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Le Démon de Midi
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15 avril 2007

Te serrer contre moi...

a

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14 avril 2007

Plonger avec toi

Etre avec toi, te serrer contre moi, ôter cette chemise, presser ces seins magnifiques contre ma poitrine...

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14 avril 2007

Glisser le long du sillon...

Envie de poser mes mains sur tes hanches, d'enserrer ta taille, delaisser glisser ces mains de chaque côté, de saisir ces deux magnifiques lobes de tes fesse... les caresser, les écarter, glisser le doigt dans le sillon, descendre plus pas, plus bas... jusqu'à trouver un sillon plus ouvert, chaud humide...

a3

14 avril 2007

Les mains entre les cuisses...

Agréable surprise ce matin de trouver ce message de Colombine (ce n'est pas son vrai nom) dans ma boîte à mails...

Salut et bravo et merci por ton magnifique blog. Tout à l'heure (hier soir - ndlr) j'allais me coucher de bonne heure avec un bon bouquin. J'avais déjà enfilé ma nuisette légère que mon petit copain (absent ce soir, sniff) adore... Avant je regarde rapidement mon blog sil ya pas de mesasges... Etje me laisse entrainer a aller voir d'autre. Et par hasard je tombe sur le tien; scotché ! des beaux textes, de belles image... j'ai beaucoup aimé le témoignage de cappucine. je me uis retrouvé sauf que moi j'avais hâte de toucher le sexe des garçons voir copmment c'était. en lisant, j'ai eu envi de me caresser... j'ai ouvret les cuisess etr ai glisser la main, j'étais toute muillé. je me suis caressé, et j'ai joui en te lisant. merci. je reviendrai.  (j'ai 28 ans)

Merci à toi Colombine. Je suis content d'avoir contribué à ton plaisir... Dommage que ce ne soit que virtuel... en ce qui me concerne.

14 avril 2007

De mises au point.

On me demande

Serais-tu d'accord pour faire un lien avec mon blog ?
Pourquoi pas, s'il est dans le même esprit que le mien. C'est à dire de l'érotisme et pas de pornographie. De belles choses à voir et pas de vulgarité... Vous connaissez mon point de vue sur la question et que je sais que bon nombre de mes visiteurs (teuses) partagent cet avis. Donc je m'y tiens.

Comment ça se fait que ton blog est en accès libre et pas dans la section adulte ?

C'est une bien belle jeune femme qui me fait la demande. Elle a elle-même ouvert un blog ou elle se montre dénudée. Sans vulgarité. Son corps est une oeuvre d'art ! C'est beau. Et elle a mis son blog dans la catégorie "pour adultes".
Moi j'ai hésité et je n'ai pas tranché. Ca m'emmerderait profondément que mon blog soit au milieu de toute cette merde pornographique. Ca n'a quand même rien à voir !
Et puis, il ne faut pas être hypocrite. Ce n'est pas parce que c'est dans la section adultes que des enfants ne pourraient pas y avoir accès. il suffit de passer le panneau d'avertissement. Mais je n'ai quand même pas tranché définitivement. Merci de votre avis.
Je suis sûr que si je mettais en adultes, je risquerais de multiplier les visites. Mais moi je veux, plus que de nombreuses visites, des visiteurs (teuses) de qualité.

Quid de l'anonymat ? Du respect de la vie privée ?
Bien évidemment je la respecte totalement. Domibec n'est pas mon vrai nom, vous imaginez. Capucine ne s'appelle pas Capucine mais elle m'a demandé de l'appeler ainsi en publiant son texte...

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13 avril 2007

Laisse moi t'aimer...

Ce très beau poème qui suit est de Warda Zina... Je l'aime beaucoup. Il fait un peu écho au texte que j'ai écrit il y a quelques temps "Je me laisse faire et c'est délicieusement bon !".
C'est beau quand une femme aime ainsi ! Merci de m'avoir donner l'autorisation de l'utiliser ici.

Je vous invite fortement à aller visiter le blog de Warda Zina (voir lien ci-contre). Il est magnifique.



Mes baisers tendrement
Caressent au commencement
Ton cou qui s'étire lentement
D'envie, sans empressement

Mes lèvres descendent ensuite
Effleurent le creux de ton épaule
Ton torse qui y fait suite
Sent ma langue qui le frôle

Elle s'attarde alors un moment
Sur une aréole posément
Y apporte un frisson charmant
Qui durcit ce téton dormant

Du bout de la langue je trace
Ce chemin au si long cours
Par des haltes appuyées éparses
Je marque de ma bouche les alentours

Sur ton ventre allègrement
Une pause faite de frôlement
Pour apaiser ce désir exempt
De retenue de te vouloir amant

Ose enfin mettre à ma vue
Ton envie de ce corps
Ton désir de cette âme nue
Qui seront tiens sans remords

Cette intimité si fièrement
Dressée, par mes mains doucement
Se laisse guider, se tend
D'un flux sanguin passionnément

D'un geste doux non farouche
Je te mène vers moi
T'embraser de ma bouche
Pour goûter à tout cet émoi

Laisse- toi venir, laisse- moi te chérir
Pour au mieux pouvoir m'unir
A ton amour et en jouir
M'enivrer de ton élixir ...

13 avril 2007

Elle se dévoile...

Je repense au texte de Capucine que j'ai publié sur ses premiers émois adolescents... Ce qui me plait dans ce texte, c'est que c'est une femme qui raconte. Ca me plait beaucoup d'écrire l'éloge du corps de la femme, d'imaginer ou de raconter des histoires autour de ce corps, de décrire (autant que le peux) ses formes, ses goûts, ses odeurs, sa sensualité... Mais ça me plait encore plus quand une femme raconte ainsi son attente du corps de l'homme, de sa caresse... JE me sens concerné, attendu... J'ai le sentiment qu'elle me parle, qu'elle parle de moi... Alors, c'est tout bon... J'ai d'autres textes de femmes sous le coude à vous partager. J'attends l'accord de leur aut... euse ? ...trice ?

Capucine m'offre aussi le droit de publier ces deux photos. C'est elle. Comme pour son texte, on a envie de voir plus, n'est ce pas. Encore une fois, le beau vient de ce qui est suggéré... On cherche à deviner plus... Merci encore Capucine.

Capucine1  Capucine2

Alors, femmes qui aimez ce blog, son contenu, ce style, n'hésitez pas, comme Capucine, à me faire parvenir textes et photos (photos de vous ou non, mais ayez la franchise de me le dire).

13 avril 2007

Erotisme et pornographie (suite)

Je reçois un mail d'un homme. Il aime mon site et à son tour il veut m'envoyer des photos pour alimenter mon blog. Ces photos, je ne les publierai pas. Des femmes au seins énormes... (je préfère celui de Capucine !) ; des femmes assises sur un tabouret, les cuisses largement ouvertes, écartant leurs lèvres entre deux doigts ; femmes montrant leur "cul" dans une position offerte mais grotesque ; sexe d'homme bandant dégoulinant de son sperme ; deux hommes hyper barakés l'un tenant la femme par les cheveux pour l'obliger à prendre son sexe en bouche, l'autre lui écartant violemment semble t'il les cuisses pour la pénétrer... Qu'est ce qu'il y a de beau dans ces images ? C'est bestial, laid, violent,... Ca donne envie de vomir.
La femme objet. La femme souillée. La femme humiliée. La femme ravalée au rang de bête. Pas pour moi.
La femme objet de culte. La femme honorée. La femme magnifiée. La femme respectée. La femme voluptée. La femme baisée (au beau sens du terme) des pieds à la tête.
A ces horribles photos, je préfère celle-ci pleine de douceur, de sensibilité, de beauté... On voit mal ? On devine.

a

13 avril 2007

Adolescente... premiers émois...

En réponse à mon message précédent où je disais chercher à mieux comprendre et mieux connaître les femmes, Capucine a accepté que je publie ce beau texte. Je le lui ai demandé parce que il est beau, plein de sensualité, de "suggérer"... Les premiers émois de l'adolescente qu'elle a été... il y a un moment déjà...

Premier flirt 15 ans, le frère aîné de ma copine, c'est d'un classique, le cousin de mon premier amant, sourire, lui aussi 1m98 pfffff brun les yeux verts, maman qu'il était beau, de 3 ans mon aîné.
Le soir du 14 juillet, assis dans l'herbe nous attendions le feu d'artifice, j'avoue ne pas avoir vu grand chose ce soir là!  Sa main qui prend la mienne, nous nous rapprochons, il a le regard indéfinissable, des mots tendres, doucement lentement il me rassure m'apprivoise, enfin, sa bouche sur la mienne. Mes lèvres qui s'entrouvrent, un frisson, cette chaleur là qui me prend, un impression de chute, un saut dans le vide.  Mes premiers vrais baisers, avec la langue comme disent les jeunes maintenant, premier moment important d'intimité, premier pas vers la sexualité partagée, première pénétration aussi, pas besoin de plus que ces baisers.
aQuelques rencontres plus tard, mes premières caresses mâles sur le chemisier, besoin de plus, un bouton qui veut bien s'ouvrir. Ses mains sur ma peau, sur mes seins fermes libres, j'ai jamais beaucoup aimer les cages que sont les soutien-gorge. Je n'ai jamais eu une poitrine généreuse, que j'envie d'ailleurs certaines de mes amies qui en sont pourvues, on n'est jamais satisfait de son sort, je sais, je ne déroge pas à la règle. Le propre de l'humain, toujours envier les atouts des copines, ne pas savoir apprécier, ce qu'on est, ce qu'on a. Le pré est toujours plus vert chez le voisin. Que c'est agréable d'être libre, de sentir le tissu titiller le téton, le rendre agressif, pointant le tissu, et alors là, voir les yeux des hommes "vieux" 30 ans regarder ce dôme. Là, faire comme si je ne voyais rien, l'effet produit, en rajouter un peu, bon juste un peu! Jouer du décolleté qui s'ouvre involontairement, quand je me suis lassée, que ça ne m'amuse plus, dire stop, d'un regard noir, avoir toujours les cartes en main. J'ai le regard expressif aux dires de certains. Lorsqu'on me connaît bien, on lit en moi comme dans un livre ouvert, pas besoin de parole, mes yeux, mon visage en disent long. Les voir à ce moment gênés, pas très à l'aise, avoir le dessus sur eux (ces hommes), il faut savoir saisir un petit plaisir quand il se présente, tester, roder, affirmer mes penchants dominants qui commencent juste à m'apparaître évidents!
Serrée tout contre lui, un long baiser, nos langues qui se mêlent, nos corps qui se caressent l'un contre l'autre. Ses grandes mains chaudes, douces et tendres, qui découvrent mon corps, qui suivent le même chemin que mes mains la nuit sous mes draps. quelle chaleur, cette chaleur agréable qui électrise mes sens, qui font monter dans ma gorge des râles de plaisir. Je ne suis jamais allée au delà de ces baisers et ces premières caresses appuyées, prélude de grands frissons. Grâce à ces séances, j'ai pu alimenter ainsi mes fantasmes de détails vécus. Le soir dans ma chambre bien à l'abri de tout et tous je revivais, le premier ajout significatif, l'odeur, de son après rasage en premier, ensuite de sa peau, chaque peau a une senteur différente, qui envoûte, la seconde, le touché, mes mains sur son corps qui découvrent chaque centimètre de sa peau, le grain de peau, la forme de ses muscles, son torse légèrement velu, ses poils que j'aime faire passer entre mes doigts, ses tétons, première  découverte, ils sont aussi sensibles que les miens. A aucun moment ni moi ni lui n'avons eu envie de plus, ni moi de son sexe ni lui du mien. Juste être une chatte qu'on caresse qui ronronne de plaisir.
Le corps de mes premiers fantasmes cet inconnu, ce corps sans tête a changé, la petite fille avait ranger son père au placard. Le début de l'adolescence, les parents ne font plus rêver mais sont en opposition en, sur, pour tout, alors pour la sexualité !!!!
L'âge faisant, ces petites expériences tactiles, mes fantasmes ont donc évolué. Maintenant je me laisser caresser en rendant ses caresses, sans, encore aucune autre pénétration, que sa langue, fleur bleue, le romantisme l'amour simple doux.
C'est ainsi que la période de quinze, seize ans, toujours dans le noir bien au chaud, une main sur mon corps l'autre entre mes cuisses, je connaissais maintenant parfaitement les endroits les plus sensibles qui réagissaient aux pressions des mes doigts devenus experts.
Je pouvais fantasmer sur le corps d'un homme, avec un visage, une odeur.
J'ai su à ce moment que j'attendrais pour me donner, je savais me donner tout le plaisir qu'il me fallait pas besoin de plus pour l'instant !

Capucine termine son texte par un (à suivre...). Mais il n'y a pas de suite... On a pourtant envie d'en savoir plus, n'est-ce pas ! Et Capucine a commencé un blog où elle voulait dire son chemin de femme... "Mère, épouse mais aussi femme..." y écrit-elle. C'est de là que vient ce texte.
Grand merci, Capucine.

13 avril 2007

Je m'interroge...

De nouveaux commentaires et de nouveaux mails ce matin de lecteurs de ce blog. Encore, une fois, que des femmes. Plus ou moins jeunes. Mais qu'importe. Ca me plait que ma manière de parler d'amour, des relations hommes-femmes plaisent aux femmes. Ca me plait d'essayer de les imaginer devant leur écran lisant mes textes ou les textes d'autres que j'ai empruntés, regardant les photos ou les dessins... Et j'essaie d'imaginer ce qu'elles pensent, ce que ça provoque en elles... De l'émotion ? De l'envie ? L'une me dit que ça lui donne chaud. L'autre revient régulièrement. Avec certaines on a eu des échanges de mail... Mesdames, mesdemoiselles, pouvez vous me dire davantage... Pourquoi vous cherchez de tels textes ? Insatisfaites dans la vie ?
Excusez moi de poser ainsi la question. Je ne juge pas, je ne me moque pas. Je cherche à comprendre. "La femme est un mystère qu'il faut découvrir avec des trésor de tendresses" me dit en quelque sorte une de mes lectrices. Je veux percer ce mystère.
Et si je pose la question c'est parce que je me projette sans doute. Si j'ai créé ce blog, si je cherche ce type de relation avec des femmes, si je cherche des femmes avec qui avoir des correspondances érotiques c'est bien parce que dans ma vie sexuelle, je suis parfaitement insatisfait. Alors je cherche à compenser. Je cherche à imaginer autre chose. Et peut être passer du rêve, de l'imaginaire... au réel, au physique. Ca m'est déjà arrivé à travers un site de rencontre... Des femmes avec qui j'ai correspondu pendant un temps, pas forcément de manière érotique car elles résistaient et nous nous sommes rencontrés pour mieux nous connaître et nous avons unis nos corps, nos bouches, nos sexes...
Vous me dîtes... En toute simplicité. Et je vous respecte trop pour en faire n'importe quoi et me glausser.

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