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Le Démon de Midi
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30 janvier 2009

Granville - 6

La partie de la belle Arelaune. Aurais-je été trop loin ?...

Mon bel inconnu parti à la rencontre de mon mari qui arrivait dans le hall de l’hôtel. Ils discutèrent 5 Mn. Ils se quittent, et yann revient vers moi.
- Tu lui as parlé ?
- Non c’est lui qui est venu vers moi
- Tu l’as reconnu ?
- Bien sur, il était à st Lo, tu as le chic pour attirer les beaux bruns toi
- Il à tout vu.
- Je sais, il me l’a dit, et m’a aussi complimenté sur toi
- Il m’à tout raconté dans le magasin, et il m’à fait du rentre dedans comme jamais. Il m’à aussi donné le N° de sa chambre
- Il à toujours le droit, de là à ce que tu le rejoignes………Il y à tout de même un grand pas.
- Je ne suis pas comme cela
- Bon et si nous montions nos bagages ?
Les clefs de la chambre en main, dans l’ascenseur, Yann se colla à moi, et tout en m’embrassant, commença à me caresser. J’étais encore toute moite, il faut dire que savoir que mon bel inconnu, avait vu notre cinéma à St Lo, m’excitait énormément. Je pensais même à notre aventure avec le routier, et au petit chemin de campagne. Je laissais aller mon pubis en  avant pour mieux sentir ses caresses.
Et Ding ding. Les portes de l’ascenseur s’ouvrent au quatrième étage. Avec un couple de petits vieux l’air effaré, de me voir le dos contre la cabine, les jambes écartées en avant, et yann qui me caresse. Nous nous redressons, sortons, et leur laissons la place.
- Bingo, le pépé, n’avait pas assez de ses deux yeux
- Par contre sa femme, je te dis pas les yeux qu’elle faisait
Effectivement, en me croisant, elle me mitrailla totalement du regard.
Prise de possession de la chambre, pendant que Yann défait les bagages, je prends une douche. Je reviens toute nue dans la chambre. Yann est allongé sur le lit en train de lire. Je m’assied à côté de lui, et lui demande ce que lui à raconté d’autre notre fortuite rencontre du jour. Rien de plus que ce qu’il m’avait déjà dit, excepté que nous devions boire un verre au bar de l’hôtel avant la visite de la thalasso.
- Et tu as accepté ?
- Oui pourquoi ?
- Il m’a complètement dragué, m’à fait comprendre qu’il aimerait me caresser……..
- Je sais il me l’a dit, cela à le mérite d’être franc, pour une fois qu’un mec qui te matte ose de faire des compliments
- Et tu n’es pas jaloux ?
- Tu sais bien que non, et tu sais que nous connaissons nos limites
Cela je le savais, jamais l’un sans l’autre, nous avions de temps en temps des aventures échangistes, et toujours inséparables. La conversation tourna autour de cette personne. J’étais dans un état bizarre, Yann ne m’obligeait à rien, j’étais partagée entre l’envie de mieux le connaître, et partager mon plaisir avec deux hommes, et l’envie que ce week end n’appartenait qu’à nous deux. Yann ne m’avait pas dit ce qu’il en pensait, et je n’osais lui demander de peur de le décevoir.
Pendant qu’il prenait sa douche, j’étais assaillie par mes pensées. Je me voyais caressée par ces deux mâles, ils me déshabillaient lentement, je sentais leurs mains aller venir sur mon corps. Je m’imaginais tenir leurs sexes, ma bouche les faire se tendre encore plus, m’abandonner à leur caresses. Perdue dans mes pensées, je caressais tout doucement mon pubis, mon index effleurant mes lèvres. Puis mon clitoris, une chaleur irradiait mon bas  ventre. Je n’allais pas jusqu’au paroxysme. J’aime m’exciter ainsi, puis me calmer, cela me met dans un état extatique pour un bon bout de temps.
Je m’habillais, cette fois ci avec une robe noire légère un peu plus longue, soutien gorge et string assorti. Yann sorti de la salle bain, j’étais prête, comme si de rien n’étais. Je le regardais s’habiller.

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30 janvier 2009

Ingénue

Une photo de badkins


aaa

29 janvier 2009

Granville - 5

Suite... Enfin la rencontre à laquelle j'aspirais tant. C'est moi qui la provoque.

J'ai trouvé ce petit hôtel sympa, non loin du centre de thalasso. Il leur restait une chambre avec un grand lit. J'étais seul mais qui sait !... Je pensais à cette femme et son mari rencontrés à St Lo. Ce serait marrant de les revoir... Penser à elle, revoir leurs gestes à travers la vitrine du magasin de chaussures, provoqua quelques picotement dans le bas de mon ventre...
Ma valise déposée dans ma chambre, je redescends avec l'intention d'aller me balader en bord de mer... C'est pour cela que je suis venu en priorité : prendre un bon bol d'air, me remplir les poumons du bon air iodé, à la fois me reposer et me crever à marcher, courir, nager...
Enorme surprise en arrivant dans le hall ! Elle est là. Seule. Elle s'est changée et porte maintenant une mini jupe et un haut moulant blanc... Magnifique.

Un rapide coup d'oeil dans la glace... Oui, pas mal avec mon jean clair qui me serre un peu et ma chemise bleue ciel, de la même couleur que mes yeux... J'ouvre les trois boutons du haut. Et je me décide à aller la saluer.
- Bonjour Madame.
Elle marque une surprise et ses yeux semblent s'illuminer.
- Bonjour Monsieur.
- Je me permets de venir vous saluer parce que c'est la troisième fois que je vous vois de la journée.
- Ah bon ??
- Oui, nous étions assis à deux tables voisines sur cette terrasse, ce matin, à Saint Lo.
- Ah bon ! Je ne vous ai pas remarqué.
- Moi, si. Parce que, vous allez me trouver impudent, je vous trouve très belle et très attirante pour un homme normalement constitué...
- Je vous remercie du compliment, mais...
- Et, permettez moi, vous allez me trouver cette fois presque grossier, mais je sens en vous une femme qui aime l'amour...
- Et bien ! Qu'est-ce qui vous permet de dire ça ?
Je vois bien qu'elle fait semblant de protester. Elle rosit légèrement et ses yeux disent tout autre chose.
- Et bien, la deuxième fois que je vous ai vue, c'était à travers la vitrine d'un magasins de chaussures.
- Oh !...
- oui. J'ai vu comment vous vous êtes tendue quand votre homme a glissé ses mains sur vos seins... Avec quelle précision et délicatesse, vous avez commencé à lui caresser son sexe à travers son bermuda... Puis lui avez pris la main pour la glisser entre vos cuisses, sous votre robe... Votre visage s'est crispé à ce moment là... D'autant plus que vous étiez nue sous cette robe.
Elle est rouge comme une pivoine.
- Comment le savez vous ?
- Sans le savoir, ma voiture était garée derrière la vôtre. Je me préparais à repartir quand vous êtes arrivés à votre voiture. Au moment où vous alliez monter dedans, un coup de vent fripon a soulevé votre robe que vous avez bien vite plaquée contre vous. Mais j'ai eu le temps de voir, très furtivement, vos fesses nues. Pardonnez-moi. Mais elles sont fort belles.
Elle ne sait que dire, semble suffoquer...
- Ne rougissez pas, Madame. Cela vous rend encore plus attirante. Comme une petite fille, on a envie de vous prendre dans nos bras, de vous serrer contre nous pour vous protéger... Et puis vous savez, moi aussi j'aime l'amour. Et je rends grâce à toutes les femmes qui osent ainsi se montrer, qui aiment faire vibrer leur corps... Comme vous encore maintenant. Vous laissez voir magnifiquement vos jolis seins nus et libres sous votre haut... Je vois la pointe qui se dresse contre le tissus... Preuve que je ne vous laisse pas non plus indifférente et que mes mots vous touchent...
- Euh !... J'ai un homme, vous savez et il me satisfait pleinement...
- Oui, j'ai vu cela... Mais vous êtes sans doute le genre de femme à chercher de nouvelles expériences, j'en suis certain. Je suis prêt à parier que vous ne portez rien sous votre mini-jupe. Et que si je pouvais glisser ma main sous votre jupe, je rencontrerais votre sexe, que j'imagine épilé (oui, une femme comme vous s'épile certainement), suintant déjà de désir... Je me trompe ?
- N'allez-vous pas un peu loin ? On ne se connaît pas...
Elle bafouille, fait semblant de protester... Mais je sais que je l'ai touchée. J'ai bien remarqué comment elle me scrute, j'ai croisé plusieurs fois son regard fixé sur ma braguette (certes, elle est tendue, car ce dialogue ne m'a pas laissé indemne non plus), sur mon torse...
- Votre mari n'est pas avec vous ?
Elle semble un peu rassurée que je mette la conversation sur un autre plan... Là, elle peut répondre, elle a prise sans trop se dévoiler...
- Il est parti garer la voiture et il revient avec les bagages...
- Vous êtes là pour plusieurs jours ?
- Trois jours seulement. On est venu faire une petite cure de thalasso...
- Ah oui ? Si vous voulez, je connais quelques massages. En plus de votre cure... Je suis à la chambre 321. Je vous y attendrai...
- Ah ! Voilà Yann qui revient.
- Je vais le saluer... Mais ne m'oubliez pas !

28 janvier 2009

Granville - 4

Suite de notre histoire. Cette fois, c'est de nouveau Yann qui s'y colle !

Au rond point je décidais, non pas de prendre la direction Granville, mais de tourner à droite pour trouver un endroit discret pour que ma belle puisse retrouver une tenue décente. A mon grand regret d'ailleurs !
Surprise que je change de direction, je lui expliquais pourquoi. A première vue elle n'était pas fâchée du tour que je lui avait joué, et était absorbée dans la lecture de la brochure de l'hôtel où nous descendions. La conversation tournait autour du sujet des soins que nous avions réservé, hydrothérapie, enveloppement aux algues, massages aux huiles......
- C'est cool il y à même un sauna, jacuzzi et hammam en accès libre, une salle de sport
- Les trois premiers ok, mais la salle de sport bof
- Il y à peut être des beaux mecs
- Tu m'as moi ça ne te suffit pas?
- Pas pour cela, mais j'aime bien regarder, ils ne se gênent pas eux, tu n'as pas remarqué le regard du type avec qui tu discutait à St LO
- Si mais je le comprend, il devait nous mater depuis 5 Mn
- ou simplement la vitrine
- Oui certainement, il était du côté femmes
- Tu crois réellement qu'il nous à vu?
- Je pense que oui, et tant mieux pour lui, nous lui avons offert un beau spectacle non?
- Ca me rappelle la fois au cinéma
- quel bon souvenir, il n'en pouvait plus le pauvre
- moi ça m'excite de savoir que l'on nous à vu où pu nous voir
- Moi c'est qu'ils te voient, comme ce routier
- oui mais lui c'était tout sauf un gros routier
- Eh bien un de plus qui gardera un souvenir impérissable de toi
Nous fîmes 3 ou 4 kilomètres, et une entrée de chemin entre deux talus me parut providentielle. Clignotant, encore 50 m, et je coupais le moteur.
La vue de ma femme à moitié nue dans notre voiture sur ce chemin désert, me fit changer nos projets. Je dégrafait ma ceinture, alors qu'elle remontait sa robe, mes mains bloquèrent les siennes, et j'embrassais sa jolie bouche, Elle me rendit ce baiser. Je sentis ses bras se détendre, et en continuant de l'embrasser, mes mains prirent les siennes pour caresser sa poitrine. Ses baisers devinrent plus fougueux, j'embrassais de baisers mouillés, son front, sa nuque, son cou.
Lâchant une de ses mains, je glissais la mienne sur ses hanches, elle continuait à caresser ses seins.
Mes lèvres descendirent vers sa gorge, puis embrassèrent sa main gauche. Qui vint à la rencontre de mon bermuda.
Mordillant son téton, le roulant avec ma langue, il devint tout dur, elle respirait de plus en plus fort. Des hanches ma main arriva a l'intérieur de ses cuisses, effleurant son sexe lisse. J'étais à genou sur le siége conducteur, elle baissa le zip de ma braguette, franchi le barrage du boxer. Et empoigna mon sexe l'extirpant de sa cachette. Je frottais un doigt contre ses lèvres qui s'entrouvrirent. Sensation sublime de son sexe chaud, et humide. Ses jambes s'écartèrent, pour faciliter cette caresse. Sa main allait et venait sur mon sexe, le masturbant de plus en plus fort. Elle pencha sa tête, je me redressais, et elle entama une série de coups de langue redoutables. Pendant ce temps, de deux doigts j'explorais les profondeurs de son vagin, remarquant son ventre se contracter. Elle m'engloutit pour une fellation inoubliable, sensation de pénétration, sa bouche allant et venant. Mon pouce alternait pression et caresses sur son bouton prêt à exploser, le mouvement de ses hanches, s'accentuait réclamant mes doigts au plus profond de son ventre. Je la sentis se raidir, et de sa main libre vint prendre la place de mon pouce, se caressant comme elle seule sait le faire.
Elle ôta mon sexe de sa bouche. Et nous envoya dans une bulle de plaisir intense. J'explosais sur ses seins, pendant qu'elle serrait ma main mes doigts en elle, pour jouir à son tour. Ma liqueur dégoulinait sur son corps, ses jambes bougeaient au rythme de sa respiration. Nous restâmes ainsi quelques minutes.
Elle me demanda d'aller lui chercher autre chose à se mettre sur le corps, sa robe ayant subit quelque dommages. Je trouvais dans la valise une petite jupe rouge sexy, un top blanc, et n'oubliais pas les lingettes..... Je la regardais s'habiller, et nous repartîmes sur Granville.
Le reste du voyage se passa sans encombres.
Et nous voila à Granville, avec un soleil timide et mon Arelaune sans string ni soutien gorge. Son top blanc laissant deviner la pointe de ses seins ( 90 C).
Déjeuner en terrasse sur le port. Puis arrivée à l'hôtel pour prendre possession de notre chambre, et visite de l'établissement de thalasso......

28 janvier 2009

Fais-toi plaisir

Prends mon vit,
caresse-toi avec,
guide le
vers ton antre,
là où tous les deux,
ensemble,
nous pourrons atteindre
le nirvanah,
le plaisir intense...
Prends mon vit,
fais en ce que bon te semble,
offre toi avec le plaisir des sens.

aaa

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27 janvier 2009

Granville - 3

Suite de notre histoire à trois. Cette fois la version d'Arelaune

Pendant que Yann fumait sa cigarette pour se rafraîchir les idées, et discuter avec un type sur le trottoir (J'espère qu'il n'avait pas vu notre numéro). La vendeuse était revenue avec les sandales objet entre autre de mes désirs. Essayage réussi, elles étaient magnifiques. Et moi un peu mal à l'aise, car pendant qu'elle me les mettaient aux pieds, la longueur de ma robe, en relevant une jambe puis l'autre, ne laissait rien cacher de mon intimité. D'autant plus qu'épilée intégralement, elle avait  certainement une superbe vue sur mon petit minou. Bref, à son regard je vis qu'elle non plus je ne la laissait pas indifférente. Mais bon, les femmes ce n'est pas mon truc. En ressortant du magasin, d'une démarche tremblante due à une nouvelles paire de chaussures à talons. J'embrasse mon homme, à priori calmé. Je lui demande : - Avec qui parlais tu ? - Un mec qui cherchait sa rue, je lui ai dit que nous n'étions pas d'ici, juste un arrêt avant un week end a Deauville - Il n'avait pas l'air mal du tout ( dit avec un sourire) - Evidemment toi et ta passion des grands bruns! - Tu es jaloux? - Pas du tout, et tu sais bien pourquoi dit il avec un sourire. Si à ce moment j'avais su que l'on le reverrait la bas, et dans quelles conditions!!!!!!! Retour à la voiture, mes sandales à la main, elles me font un peu mal tout de même. Nous sortons de la ville, et reprenons la nationale. J'allonge mes jambes sur le tableau de bord, recule un peu le siége, et me met en phase relaxe. Je vois que Yann n'en perd pas une miette, il en oublie même de doubler un camion qui se traîne. Sa main droite lâche le volant, et vient se poser sur mes cuisses, il commence à me caresser les genoux, remonte ma robe dévoilant ma petite chatte, s'y attarde un peu, le temps de me donner quelques frissons. Viens s'occuper de ma poitrine, dégrafe une de mes bretelles, puis la deuxième. Je suis en soutien gorge, les jambes écartée, la chatte à l'air. Je le prend au mot, me redresse, et l'enlève. Il le prend, je vois qu'il de concentre, passe une vitesse, et double le camion, tout en ouvrant sa fenêtre, et agitant mon soutien gorge, ralenti à hauteur du routier en Klaxonnant. Il referme la vitre, en laissant mon soutien gorge accroché à l'extérieur, puis accélère, semant le routier, qui n'avais jamais du voir cela de sa vie. Un rond point...

26 janvier 2009

Granville - 2

Voici une deuxième partie de notre histoire écrite à six mains avec Arelaune et son mari Yann. Cette fois, c'est moi qui parle.

Je décide d'aller passer quelques jours à Granville histoire de changer d'air et de recharger les batteries. J'ai le temps. Je m'arrête dans la ville de St Lo. J'aime bien cette petite ville son architecture moderne : elle était aux premières loges lors du débarquement de 44 et a été complètement reconstruite après la guerre.
Je m'assois à la terrasse d'un café. Il fait gris mais l'air est pur et doux... Ca ne me gêne pas ces nuages... J'aime le mauvais temps sur la mer...
A la table d'à côté, un couple. Lui en bermuda. Elle en petite robe à pois rouges et noirs. Mignonne ce petit bout de femme. Ses longues jambes qui sortent de sa robe courte, son décolleté généreux... J'aimerais la serrer contre moi... Mais bon, elle n'est pas seul ! Elle a son mec et d'ailleurs elle ne me vois sans doute pas, perdu dans la contemplation des yeux de cet homme ! Ils ont l'air de s'aimer ces deux là ! Je la regarde encore un moment... Je sens un petit picotement dans le bas de mon ventre...
Je paie ma consommation et pars flâner en ville... En revenant vers ma voiture, je m'attarde à regarder les vitrines... Un magasin de chaussures, je passe, je n'ai pas le projet de m'en acheter. Mais mon regard est attiré à l'intérieur par une robe à pois rouges et noirs. Je m'arrête pour mieux voir. Mais oui, c'est bien la même femme que tout à l'heure dans le café. Elle est assise sur le tabouret, sa jupe remontée haut sur ses cuisses. Son mari est tout contre debout. Il pose délicatement ses mains sur ses épaules puis les fait glisser sous la robe où il se saisit des deux seins... Elle se laisse faire. Non seulement elle se laisse faire, mais elle lui rend la pariel... Elle commence à caresser son entrejambe et... Et bien, elle n'a pas peur que quelqu'un la voit... elle le masturbe tout simplement à travers son bermuda... Vue la position de sa main, il doit être bougrement tendu, son mec... Et maintenant, elle prend sa main, la pose entre ses cuisses qu'elle serre puis rouvre et elle guide la main sous sa robe... La main s'y attarde...
Je ne perds pas une miette du spectacle... J'imagine dans quel état doit être l'homme qui reçoit un tel cadeau. J'imagine seulement. Mais je sais dans quel état cette scène me met ! Ca doit se voir, j'en suis sûr... Voilà deux vieilles dames qui s'approchent... Si elles voient, elles vont fuir en hurlant, c'est sûr. La honte sur moi ! Je fais donc semblant de m'intéresser très fort aux chaussures exposées... Elles sont passées. Je me redresse... et me retrouve nez à nez avec l'homme qu'il y a un instant j'enviais tant. Il allume une cigarette. Je ne peux m'empêcher de regarder sa braguette : gonflée à bloc, évidemment ! Il croise mon regard. Je suis gêné...
- Bonjour Monsieur. Excusez-moi de vous déranger. Vous savez où est la rue de l'Eglise ?
J'en ai rien à foutre de la rue de l'Eglise. Fallait bien que j'invente quelque chose pour me donner une contenance.
- Ah non, désolé. Je ne suis pas d'ici. Je ne suis que de passage, avec ma femme qui est dans le magasin. Nous allons à Granville.
- Ah bon ! Quelle coïncidence ! Moi aussi...
- Peut-être nous y croiserons-nous alors.
- Peut-être, oui. J'espère... Euh !... Oui, peut-être.

25 janvier 2009

Beauté

aa

J'ai tiré ce dessin du blog Dessins chics et chocs que vous connaissez certainement et si vous ne le connaissez pas, cela manque à votre culture. Alors allez vite voir. De beaux dessins érotiques plaisant à regarder.

23 janvier 2009

Granville - 1

Avec Arelaune et son mari, Yann, je commence un nouvel exercice... Une écriture à six mains ! Une femme -fort belle, je vous l'ai présentée récemment- et deux hommes :Yann et un inconnu, moi ! On verra où cela va nous conduire...Ce premier texte est de Yann. Puis ce sera moi. Puis Arelaune. Et ainsi de suite jusqu'à la conclusion...

Les enfants pris en charge par leur tante pour le week end, les derniers bisous, trois coups de Klaxon. Et direction Granville pour un week end de détente, et de remise en forme au centre de thalasso.
Arelaune était splendide avec sa petite robe à pois rouge et noirs, ses longs cheveux bruns attachés à l'arrière de la nuque dégageaient son visage.
L'échancrure de sa robe laissait entrapercevoir la naissance de sa poitrine.
Le temps était gris pour une mi Juin, nous étions un Vendredi en milieu de matinée, nous espérions que les deux heures de route qui nous séparaient de notre destination, ainsi que le rapprochement du bord de mer, nous apportent le soleil attendu pour ce court séjour.
Le trajet se passa sans encombre jusque Saint Lo, où nous fîmes une pause café en terrasse, le ciel commençant à se dégager. En repartant, une boutique de chaussures attira son attention, surtout une paire se sandales d'été, avec un léger talon. Elle entra dans le magasin, la suivant je ne manquais pas de regarder ses jambes, en étant toujours aussi admiratif. Sa robe courte, que ses fesses moulaient à chaque pas, s'arrêtait à mi cuisses. Déjà au café, pas mal d'hommes la regardaient d'un oeil évocateur ( Ce qui n'était pas sans me déplaire).
Elle demanda à essayer les sandales, la vendeuse n'ayant pas sa pointure, descendit au sous sol la chercher. Nous étions seuls dans le magasin. Arelaune nue pieds, assise sur un pouf, moi debout à ses côtés, avec pour vision l'ouverture de sa robe, qui  d'en haut me permettait de voir plus que la naissance de sa jolie poitrine. n'y tenant plus, je passais derrière elle, pour y déposer un tendre baiser, mes mains au début sur ses épaules, glissèrent vers ses seins, que je caressais lentement, au travers de son soutien gorge en dentelle blanche.
Le baiser échangé devint plus fougueux, je sentis une de ses mains effleurer mon bermuda, puis remonter un peu plus haut frotter mon sexe déjà durcit. Puis elle tourna la tête, et de ses lèvres me massa au travers du tissus. Je n'avais qu'une crainte, que la vendeuse ne remonte, et qu'une envie, qu'elle ne remonte pas de suite. Arelaune se releva et face à moi pris ma main la fit passer entre ses cuisses, et l'enserra tout en m'embrassant. Desserrant l'étreinte de ses jambes, elle guida ma main sous sa robe, lorsqu'elle l'appuya contre son sexe, je sentis qu'elle était nue. Son regard se fixa dans le mien, exprimant son plaisir de la surprise crée. Relâchant ma main, elle repris possession du pouf comme si de rien n'était.
La toile de mon bermuda tendue à l'extrême, je sortis du magasin pour
me calmer et fumer une cigarette.

22 janvier 2009

Passage

Mon blog a franchi hier la barre des 100.000 visiteurs.
Si mes calculs sont bons, c'est un(e) belge qui a été cent millième !
(Ca me plait de penser que c'est une femme !)
En 22 mois. 715 posts - 1240 commentaires (c'est toujours trop peu !).
dessin_059Environ 390.000 pages vues...

Mais surtout des dizaines de contacts,
essentiellement féminins, qui se prolongent
au-delà du blog.
Des dizaines d'amantes virtuelles.
Des centaines d'érections à l'écrire,
à lire vos commentaires, vos mots coquins,
à recevoir vos bises et vos caresses...
Des heures de rêveries à imaginer mes textes,
à vous imaginer,
à me laisser habiter par vous
parfois jusqu'à la jouissance... manuelle.

Et ça me plait, pour marquer le coup,
d'illustrer ce post avec ce dessin,
offert par Jeanmie dont je vous parlais hier.

Ca me plait de vous imaginer ainsi,
chacune de vous, chacune votre tour,
penchée sur mon vit
pour lui offrir le plus beau baiser
qu'une femme puisse offrir à un homme.
Comment feriez-vous ?
Simple baiser léger ?
Petit coup de langue enveloppante ?
Petit ou gros suçon ?
Ou, gourmande, vous prenez tout en bouche ?


Merci, mes amies.
Merci de votre fidélité.
Merci de vos mots doux.
Merci de partager votre intimité.
Et continuons...

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