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Le Démon de Midi
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29 mai 2008

L'auto-stoppeuse - 4 : un petit plaisir

Voici la suite de notre aventure à Elfe bleue et moi... Aujourd'hui, sa contribution à elle...

Il retire sa main.. je suis déçue.. je commençais juste , je  commençais à m’amuser pour de vrai surtout en le voyant  .. Il commençait a apprécier lui aussi .. Il me regardait et et je pouvais le voir à « son état ».
Non, il décide que ça suffit pour tout de suite et enlève sa main.. Et m’offre d’incliner le siège.. je me demande bien pourquoi .. me mettre a l’aise ?? pour lui faciliter l’accès ?? C’est sûrement ca  , je l’espère .. Je le fais tout de suite...
- retire ta culotte !
- Ah.. Ahh bon ??
- vas y, enlève…
Je me redresse et enlève ma culotte.. je lui tend, mais il conduit.. trop occupé pour..alors je la jette sur le tableau de bord... j’attends.. puis ferme mes yeux .. respire calmement.. ..
Il me dis de soulever ma jupe jusqu'à la ceinture...
Je ne sais pas quoi faire.. mais il a toujours son ton autoritaire.. et je repense à ce que mes copines m’ont dis.. et.. ça m’excite un peu je l’avoue.. je redresse les fesses et remonte la jupe..
Je me rassoie.. m’installe confortablement.. je sens la  brise sur ma chatte c’est pas désagréable.. des camionneurs me regardent, il ralenti pour qu’ils puissent mieux voir.. j’essaie de me cacher avec mes mains.. Apres un moment la route est plutôt calme.. J’ouvre un peu les jambes.. Seulement pour sentir un peu plus l’air.... je suis calme enfin… jusqu'à ce qu’il me dise de me caresser.
Je lui demande si on ne serait pas mieux d’aller ailleurs mais .. il refuse et me dis que si je suis sage on arrêterait à un endroit qu’il connait.. mais qu’est ce qu’il entend par sage au juste ??.. j’ouvre mes jambes.. ..En pensant au camionneurs..
- Et si quelqu’un me vois ??
- tu ne détestais pas tout à l’heure..
- C’est que..
- Tu aimais ?
- oui..
J’ouvre mes jambes et commence à me caresser. Deux doigts vont dans ma chatte.. je me redresse et regarde .. s’il n’y aurait pas des voitures..
Je retire mes doigts humides.. je caresse mon clitoris.. un peu nerveusement.. Il me regarde du coin de l’œil.. je vois que je devrais faire mieux.. Je me réinstalle.. Et continue.. Je met de la salive contre mes doigts et la pose sur ma chatte et mon clito.. Mes doigts vont dans ma chatte.. doucement.. loin.. je ne m’occupe plus tellement de lui.. de s’il me regarde ou pas.. J’ignore aussi le camionneur qui passe à coté et ralenti pour se rincer l’œil.. je me redresse .. pour qu’il puisse mieux voir.. Il ralenti lui aussi .. je sens mieux l’air sur ma chatte.. je frisonne..
Je mets un autre doigts.. je commence a me tordre sur le siège.. mon autre main s’occupe de mon clitoris..
Je suis proche de jouir.. je suis humide.. un mince jet coule sur mes fesses.. je continue je vais bientôt jouir.. ma chatte se resserre et mon clitoris pointe .. je sens qu’il pèse.. force vers l’avant dans mon ventre.. je te regarde.. ou je regarde ta queue.. je pense que tu aimes ce que tu vois.. je continue.. Tu aimes je suis certaines.. je vois la bosse à ton pantalon.. je veux que tu gicles, je veux que..
Les fenêtres de la voiture sont ouvertes.. les gens vont m’entendre.
- arrête…
- hummmm Quoi ???
- Arrête tout de suite…
- Je vais..Jouir..
- Non.. Attend que je te le dise ..On arrive..

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28 mai 2008

Avec toi... Sofia

a

Sofia m'a fait parvenir cette photo d'elle. Cela fait un moment que tous les deux nous nous fréquentons... virtuellement. J'aime aller visiter son blog où elle se découvre bellement. Blog qu'elle tient avec son homme. Et oui ! Rien n'est parfait : Sofia a un homme et j'ai pas l'impression qu'elle veut lui être infidèle... Donc notre relation ne sera jamais que virtuelle.. Merci quand même, chère Sofia, de m'avoir fait parvenir cette photo... Elle m'inspire...

Lorsque je rentre dans la chambre, tu es déjà allongée, nue, offerte à la vue, en attente du plaisir. Pendant un long temps, je ne peux que te regarder, te détailler, assis sur le bord du lit, tout contre toi mais je ne te touche pas.
Et puis je me lève et commence à me déshabiller. Tout doucement, en prenant le temps de te laisser à ton tour le temps de me découvrir. Tu me regardes. Je te regarde. Nous percevons ces parties du corps qui attirent la main, que chacun de nous a envie d'effleurer, de faire frémir...
Je suis nu. Mon sexe tout en raideur semble t'hypnotiser. Je m'agenouille sur le lit tout contre toi, genoux écartés, assis sur mes talons. Et je pose ma main, légèrement sur ton épaule et commence la douce ballade en ce corps que je découvre. De l'épaule, ma main glisse vers tes deux seins, passent entre eux, revient en arrière en contournant l'un d'eux, puis revient vers l'autre. L'un après l'autre, elle les escalade, en mesure la fermeté, les soupèse... Délicieux. J'ai toujours pensé que tout corps de femme est une oeuvre d'art. Mais ton buste à toi est un chef d'oeuvre !
Puis ma main continue sa promenade, s'enfuit sur ton ventre plat, tourne autour du nombril ; un doigts taquin s'y introduit... Ma main se repose là, elle est bercée au rythme de ta respiration. Puis elle continue son chemin et se trouve à la croisée des deux jambes... De nouveau, elle marque l un temps d'arrêt, au sommet de ce petit Mont de Vénus, entièrement dégarni, à la peau si douce, comme j'aime... Un doigt commence à s'insinuer le long de la fente. Il y trouve une source de chaleur et d'humidité. Il ne va pas très loin, rencontre assez vite ton petit vit déjà dressé. La encontre est électrique. D'un coup tu te raidis, tu bandes tes muscles, tu gémis... Non, pas déjà !... Alors mon doigt remonte et toute ma main glisse le long de l'aine et file sur la cuisse.
Merveilleuse cuisse, jambe magnifique... Toute en finesse, en rondeur et en longueur... Mon autre main vient en renfort et toutes les deux enveloppent cette belle jambe de bas en haut, de haut en bas, et encore et encore... C'est si doux... Chère Sofia, tu as des jambes de reines, de celles que tout homme rêve d'avoir serrées autour de ses reins... Mes mains passent sur ton autre jambe et lui font subir le même traitement...
Tes mains se promènent aussi le long de mes cuisses... L'une d'elle grimpe au mât de cocagne jusqu'au sommet, se laisse glisser jusqu'en bas puis remonte. Pendant ce temps, l'autre joue un moment avec mes couilles qui pendent, les fait rouler entre les doigts, puis passe derrière, longe le périnée, se faufile elle aussi le long de ma raie jusqu'à mon trou secret... Un doigt en force l'entrée... Il n'y a qu'à une femme comme toi que j'en autorise l'accès.
Je me détache de toi avant qu'il ne soit trop tard et que tu ne déclenches le feu du ciel et le jaillissement du geyser laiteux... Ce serait irrémédiable pour un bon moment et il est encore trop tôt...
Tu écartes tes cuisses comme une invitation. Toujours à genoux, je me faufile entre elles et je me prosterne devant tant de beauté. Ma bouche, mes lèvres et ma langue refont le même chemin que me mains viennent de faire : épaule, seins, ventre, nombril, pubis, une cuisse puis l'autre, l'intérieur de la cuisse puis de l'autre... Et après un si beau chemin, elle veut se désaltérer à ta source : délicieux nectar, enivrant parfum... Ma langue trouve à son tour le bouton qui t'a tant électrisée tout à l'heure quand mon doigt l'a effleurer... De nouveau tu te raidis, tu cries, tu m'invites à venir, à te pénétrer, à te remplir...
Alors je remonte sur mes coudes. Ma poitrine frôle ton pubis, ton ventre, tes seins, ma bouche rejoint la tienne et nous nous embrassons.... Et automatiquement, la Nasa ne ferait pas mieux, notre arrimage se fait : ma partie mâle glisse et s'enfonce dans ta partie femelle...
Comme j'en rêvais tout à l'heure, tes belles et longues jambes m'enferment. Tes bras aussi se referment autour de moi. Me voilà ton prisonnier. Tu ne me libèreras que lorsque je nous aurai libéré de cette immense désir de jouir.
La jouissance monte en toi. Je le sens à mille signes annonciateurs... Tes yeux révulsés, ton rythme cardiaque accéléré, tes gémissements de plus en plus poussés, tes ongles qui me labourent le dos, tes cuisses qui me serrent tel un étau... Tu veux me faire entrer en entier en toi... Et puis tu cries, tu me tires les cheveux, tu secoues la tête en tout sens...
Tout cela provoque une brusque montée de la lave du fond de mes entrailles. Aux tremblements sismiques de ton corps correspond l'éruption violente de mon sperme tout au fond de ta chair...
Epuisés, nous nous relâchons. C'était si bon...
Merci Sofia.

Vous avez aimé ? Vous voudriez que j'écrive un tel texte à votre intention ? Rien de plus facile ; il vous suffit de faire comme Sofia et de m'envoyer une photo érotique de vous.

26 mai 2008

Toilette intime

Merci, chère Anne, de ce délicieux texte...
Je me souviens encore de Camille me demandant d'une voix mal assurée :"Anne...je...je voudrai être comme toi..." Je la regardais, étonnée. Qu'avais je de si exemplaire ? "Oui...comme toi...épilée, tu comprends ?" Je comprenais. "je connais un institut de beauté si tu veux" Elle paraissait de plus en plus gênée. "Nous Anne...je voudrai que ce soit toi..." Bien sur, j'avais compris, mais la voir ainsi timide, hésitante, et mourante d'envie m'amusais au plus haut point. C'est mon petit coté sadique, mais rassurez vous je n'aime pas faire souffrir trop longtemps. "Tu sais Anne, tu m'a dit que tu te rasais... Alors j'ai pensé que tu pouvais aussi le faire pour moi..."
En réponse je passais ma main dans ses cheveux et posais mes lèvres sur les siennes, qui venaient de formuler une si douce demande.
Je lui demandais de se mettre nue. J'étalais une serviette de bain sur mon lit et l'invitais à s'y étendre. J'allais pouvoir tester sur mon amie un épilateur électrique, récemment acheté, ( avec 20 % de remise à la Redoute) et que je n'avais utilisé qu'une fois.  J'ai pu, en m'épilant l'autre jour, en apprécier l'efficacité...et les sensations. L'engin se présente comme un rasoir électrique pour messieurs, mais avec quelques perfectionnements en plus. On n'arrête pas le progrès. Par exemple il est doté d'un applicateur de froid, destiner à adoucir la douleur, toujours sensible à l'arrachage des poils, et possède deux vitesses selon les zones à traiter. J'expliquais tout ça à  Camille, qui m'écoutait en silence.
"Allonge toi...écarte les cuisses...davantage..." Comme elle semblait réticente à s'ouvrir au maximum, je l'y aidais d'une main douce mais ferme. Je la contemplais, émue par sa beauté, par son abandon. "Dommage, ta petite toison était mignonne !" Elle rassembla tout son courage. " Je veux être comme toi...bien te sentir quand tu me caresses..." La raison me paraissait valable, avec en plus, cette délicieuse sensation de se sentir constamment nue, surtout si on ne porte pas de culotte. " Tu es prête ? Alors on n'y va "
Les poils n'étaient pas trop longs, légèrement frisés, et je savais que ça serait plus douloureux qu'un simple rafraichissement. J'y allais en douceur, sur la première vitesse, avec l'applicateur de froid pour que ce soit moins douloureux. D'une main je courbais les poils et les présentais à la petite tête rotative qui œuvrait sans relâche. "ça va ?" Elle fit oui de la tête en se pinçant les lèvres. Assurément ça devenait douloureux, mais il était trop tard, il fallait aller jusqu'au bout. D'ailleurs elle était courageuse. Elle s'offrait largement, sans se dérober, les mains croisées au dessus de sa tête. Le buisson disparaissait peu à peu, faisant place à la peau claire, que je devinais très sensible. Mais il me fallait continuer, coute que coute. L'épilateur ronronnait inlassablement, maintenant sur un sexe presque dégagé.Il ne me restait plus que la finition, le fignolage, la traque aux follicules pileux rébarbatifs qui nichaient encore dans des replis presque inaccessibles. Je sentais Camille qui commençait à devenir excitée. Cela faisait bien dix minutes maintenant que j'étais penchée sur son entrejambe, et je ne pouvais ignorer les sensations qui devaient l'envahir. Mais je suis une perfectionniste. Je ne lâcherai pas ma patiente avant qu'elle ne soit lisse comme un œuf. " Y en a encore pour longtemps ? " gémit mon amie dans un souffle. Pour toute réponse, j'étirais les grandes lèvres, pour bien dégager l'entrée du clitoris. Je me reculais, comme un artiste devant sa toile, pour juger de l'effet. Mon Dieu qu'elle était belle, toujours immobile, le mont de Vénus tendus, le ventre soulevé par sa respiration saccadée. Indubitablement, cette séance avec d'autres effets qu'un simple toilettage. J'en savais d'ailleurs quelque chose, puisque moi même avais été contrainte de céder  à  un orgasme imprévu  à la fin de mon épilation.  Quand on vous dit que c'est un endroit sensible.  " Voilà ma biche, tu peu te rhabiller, t'es toute neuve "
J'évitais son regard implorant, car de toute évidence elle aurait aimé poursuivre et sentir mes caresses, pour juger de l'effet. Mais dans l'état ou elle était, elle n'aurait pas résisté longtemps, et je préférais la taquiner encore.
" Viens je t'emmène faire faire quelques courses " Puis, constatant qu'elle remettait sa culotte : " Non ma chérie, reste nue sous ta jupe, tu vas voir c'est super ! "
Cet après midi là, je ne l'avais jamais senti si amoureuse, si fondante. Elle ne lâchait pas ma main. Chaque endroit isolé (rare dans Paris un samedi après midi) était propice à un baiser trop rapide. Mais le soir, enfin seules, nous avons fait l'amour comme des reines. " La prochaine fois, Anne, c'est moi qui t'épilerai " Je n'y vit aucune objection.

23 mai 2008

L'auto-stoppeuse - 3 : Mets-toi à l'aise

Suite de mon histoire avec Elfe bleue.
Décidément, elle me plaît cette mignonne... Elle est très belle, très ... comment dire, désirable... Mais en plus elle semble bien aimer jouer et jouir de son corps... Cette manière d'avancer ses fesses au bord du siège pour que ma main monte plus haut sur sa cuisse... Cette manière de se tortiller pour se frotter contre ma main... Cette culotte trempée déjà... Et cette main sur mon sexe... Mais il faut que je fasse attention... Je conduis quand même. Je m'arrête ? Non, je veux prendre le temps, la provoquer, la faire patienter, la faire souffrir d'attendre... Car c'est clair qu'elle semble avoir très envie qu'on fasse l'amour, qu'on fasse une séance de présentation entre nos deux sexes, le sien tout gorgé et lubrifié de sa liqueur en attente du mien qu'elle sait si bien palpé et qui est raide de désir... Elle a chaud ! Mais c'est elle qui est chaude !
-
Est-ce qu’il nous reste encore beaucoup de chemin a faire ??
- tu as hâte d’arriver ??
- Pas vraiment…
- Et bien, heureusement ! On a à peine fait 50kms... Il doit nous en rester quelque chose comme 550 à faire... A la vitesse où on va sur ces petites routes, on a encore au minimum  6-7 heures à passer ensemble ! A moins que tu veuilles que je te laisse sur le bord de la route...
- non, non,... c'est bien...
Je retire ma main de là où elle est (contre son sexe) et la pose sur le haut de sa poitrine puis la glisse entre ses deux seins... Elle transpire... Du dos de la main, je lui essuie cette sueur... Du bout des doigts, je caresse la douce rondeur de son sein... C'est bon. C'est doux. C'est ferme. Délicieuse femme. Furieuse envie de la prendre, de la sentir frémir contre moi... Mais je veux prendre le temps. - A ta droite, tu as une manette. Tu peux incliner ton siège et te reposer un peu si tu as trop chaud.
Elle s'exécute et met le dossier de son siège à 45°. Je prends un ton autoritaire :
- Retire ta culotte...
- Ah... Ah bon ?...
- Allez, enlève !...
Elle l'enlève et la jette sur le tableau de bord.
- Relève ta jupe jusqu'à la ceinture...
Elle soulève les fesses pour mieux la remonter entièrement... Et elle se cale bien contre le dossier, fesse au bord du siège, jambes écartées... Elle attend.
Je la regarde. Spectacle qui ne fait qu'intensifier ma raideur et mon envie de jouir avec elle... Mais... Attendre...
- La route devient sinueuse et il y a de la circulation... Il faut que je tienne mon volant à deux mains si tu ne veux pas que nous allions au fossé. Mais tu as déjà moins chaud ainsi...
- ... oui... euh...
Je regarde la route, fais attention à ma conduite... Mais je suis tout autant troublé qu'elle... Nous restons en silence. Je double un camion. Le chauffeur klaxonne comme un dingue et me fait des appels de phare ! Il a du entrevoir une partie du spectacle !...
Je jette un oeil vers ma passagère. Elle a les deux mains posées sur ses aines, tout près de son sexe... Elle ouvre et ferme ses jambes...
- Caresse-toi...
- Là ? Maintenant ? Comme ça ?... Tu ne veux pas plutôt que...
- Non ! Caresse-toi. Tu en as envie. Tu es près de la jouissance. Pourquoi te faire attendre !...
- Mais... Toi... Tu....
- Allez. Je connais un hôtel à 50-60 kms d'ici. Si tu es sage, on s'y arrêtera...

22 mai 2008

L'auto-stoppeuse - 2 : il fait chaud

Suite du 4 mains entamé avec Elfe-bleue. Cette fois, voici sa contribution après la mienne.

J’avais besoin de vacance... Partir loin de mes tracas habituels me ferait le plus grand bien... Partir sur le stop ?? En coup de tête.. pourquoi pas.. .. mes copines n’aimaient pas l’idée.. mais on s’en fout .. "avec tout ces maniaques que l’ont retrouve partout.. sait on jamais.." me disaient-elles.. mais j’avais le sens de l’aventure.. Bon  .. peut-être un peu trop..
Je m’installe sur le bord de la rue et j’attends… Ca été long et le soleil commençait à cogner.. oufff la chaleur.. je sentais la peau me brûler.. Enfin j’ai vu une voiture ralentir.. C’était lui..
Quand il a arrêté  sa voiture, j’ai été surprise je l’avoue.. je ne m’attendais pas à le voir.. je veux dire.. je m’attendais à voir .. Un homme un peu.. plus.. enfin n’importe quoi sauf.. quelqu’un comme lui..
- Vous allez a …. ??
-oui montez …
M’a demandé si j’avais un p'tit copain ou un chien.. non je n’ai ni un ni l’autre…On a parler de toutes sortes de choses .. Conversation vide..
Il jette un coup d’œil sur mes cuisses et mon décolleté… gênant oui mais flatteur a la fois.. je ne cache rien..J’essaie d’en dévoiler un peu plus, discrètement.. …je regarde ses mains , ses yeux..J’ai toujours aimer les mains d’hommes les siennes m’attiraient.
-J’aime bien vos mains.. Elles ont l’air douce et fortes a la fois..
Il m’avait expliqué qu’il avait plusieurs petites amies.. comme moi finalement qui avait plusieurs partenaires..
-J’envie vos copines..elles ont de la chances que de si belles (et bonnes) mains s’occupent d’elles
Il me demande si je veux voir…
Il pose sa main sur ma cuisse.. c’est agréable.. J’ouvre mes cuisses un peu.. pas trop.. J’aime pas quand ca va trop vite.. Et en plus on a un peu de route à faire.. J’essaie de faire comme si de rien était.. comme si je ne m’occupais pas trop de sa main que j’ai envie de voir monter quand même.. mais j’avais chaud.. Mon cœur battait de plus en plus vite.. et je tremblais de tout mon corps..
On continue la route..  je regarde dehors.. puis.. sa main qui se trouve toujours sur ma cuisse..
-excuse moi.. on peux ouvrir la fenêtre ?? il fait chaud !!!!
-moui vas y…
J’ouvre la fenêtre.. et glisse mes fesses vers l’avant.. sa main glisse un peu plus haut sur ma cuisse.. J’ai de plus en plus chaud.. et ce n’est pas la température.. j’ai des gouttes de sueur qui coulent .. Et.. ça c’est sans parler.. que je commence à avoir chaud.. entre les jambes.... je sais pas si je rêve mais j’ai l’impression qu’il suit du regard cette goutte de sueur qui coule entre mes seins, et coule sur mon ventre.... je sens que je rougie.. et me racle la gorge..
J’ouvre un peu plus les jambes..
-Quelle chaleur…
-oui c’est vrai.. , Si vous voulez on peux arrêter pour acheter des boissons fraîches…
-Oui.. c’est une idée.
Il regarde mon décolleté .. j’ai envie que ses doigts se déplacent vers ma culotte mais pas trop vite.. je veux que ça dure plus longtemps.. J’aime qu’il me fasse attendre.. Qu’il allonge le chemin aussi s’il le veut..
Il se redresse et se concentre sur la route.. Moi j’en profite..Et essaie de voir.. si je ne verrais pas par hasard.. une bosse sur son pantalon..il déplace enfin sa main.. un peu.. ses doigts touche le tissus de ma culotte.. Je bouge un peu pour sentir un peu plus ses doigts sur ma cuisse.. et le bord du tissus. J’allonge un bras et pose ma main sur sa queue…
-Je suis heureuse de te plaire .. Autant..
Je caresse sa queue et regarde sa réaction pendant qu’il conduit .Il commence a respirer.. de plus en plus fort. et continue a glisser son doigt sur ma culotte.. J’ai hâte qu’il la déplace..
Ma chatte commence à bouger dans ma culotte.. (il l’a sent.. je le sais de la fâcon qu’il me regarde)..
-Est-ce qu’il nous reste encore beaucoup de chemin a faire ??
-tu as hâte d’arriver ??
-Pas vraiment…

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21 mai 2008

Tu veux ou tu veux pas ?

Comme tu le vois, moi je veux !...

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20 mai 2008

Gays et lesbiennes

C'était samedi la journée mondiale de la lutte contre l'homophobie.
Je ne suis pas homo, quoique certains (jeunes) garçons me fassent fantasmer !
Vous le savez, j'aime voir de jolies filles ensemble.
Mais je n'accepte pas que des hommes et des femmes soient ainsi rejetés à cause de la manière dont ils vivent leur sexualité. Qu'est-ce que cela peut nous faire. Nous vivons dans une société de plus en plus égoïste mais malgré cela on prétend se mêler de la partie la plus intime des autres, de leur sexualité... Et on se permet de les juger...
On parle de jeunes exclus de leurs familles, de personnes qui ne trouvent pas de travail et, extrême des extrêmes mais encore assez courant, de ceux qui se font tabasser... parce qu'ils sont homos !
Alors, aujourd'hui, je veux simplement leur dire ma solidarité. Et je les embrasse.

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19 mai 2008

Avec toi... Malaury

Aujourd'hui, c'est la très jeune et belle Malaury qui m'envoie cette photo d'elle “pour que lui fasse l'amour avec mes mots”. J'ai toujours beaucoup apprécié les quelques commentaires que tu as pu laisser tout au long de mon blog. Malgré notre différence d'âge que tu connais (“il pourrait être mon père...” c'est ainsi que tu as commencé l'un de tes com.), tu as une grande sensualité qui me plait bien et c'est pour cela que j'ai eu envie de faire l'amour avec toi, avec des mots, virtuellement... Uniquement virtuellement ! Tu as commencé un blog que tu ne continues pas mais qui fait fonctionner mon imagination... Merci à toi, belle Malaury.

aTu es déjà couchée lorsque j'arrive... Tu as remonté le drap jusque sous tes aisselles et je ne vois de toi que tes épaules et ton cou... Ce cou que tu me tends comme si tu l'offrais à un vampire. Mais ce n'est pas ton sang que je veux boire... Je veux t'amener au plaisir suprême. Je veux t'offrir la petite mort...
Je m'allonge près de toi. Je te regarde. Doucement, je dépose mes lèvres sur ta peau. Elle est douce... Je t'embrasse, je te lèche doucement tout le long de ce cou, sous ton menton... Ma main s'en mêle... Elle épouse la belle forme de tes épaules... Je te caresse les clavicules si finement dessinées...
Et puis lentement, un peu timidement, je repousse légèrement le drap. Tes deux petits seins apparaissent... Ils sont fiers, arrogants, gonflés d'orgueil. Ils semblent plein d'énergie, bien fermes... Les tétons pointent vers le haut. Ma main épouse leur forme. Elle se fait légère. Je joue du bout des doigts avec les pointes qui bandent encore plus, qui gonflent au milieu de leur aréole... Et je les prends en bouche, je les pince entre mes lèvres, je les titille avec ma langue. Je lèche, je lape, je tête, j'aspire, je pinçote... Tu aimes... Ta poitrine se gonfle au rythme de ta respiration...
Je pose ma tête sous ce deux belles petites poires et je glisse ma main vers ton ventre plat en repoussant encore un peu plus le drap. J'entends ton coeur battre contre mon oreille... Mes doigts jouent sur ton ventre, tournent autour de ta cicatrice de naissance. Il est mignon, ce nombril... Tes muscles se raidissent sous la caresse...
Tu as glissé ta main sous le drap et je la vois s'agiter là où tes jambes écartées se rejoignent... Je t'entends respirer de plus en plus fort, le rythme de ton coeur s'accélère, tu te raidis toute entière, tu geins...
Du bout de mes doigts, je longe ce bras jusqu'à ta main qui s'est insinuée dans ta petite culotte que tu as gardée. Là, tes doigts s'agitent à l'orée de ton intimité... Entre deux d'entre eux tu écartes tes lèvres tandis qu'un troisième joue avec ton petit bouton magique.. Sous ta main, je devine ton pubis rasé. Pubis d'adolescence que tu viens de quitter, Mont de Vénus, Mont Pelé...
Mes doigts se posent sur les tiens déjà chargés de ton humidité... Je suis tes mouvements, les accentue...
Alors, je rejette complètement le drap, ôte le léger vêtement qui te couve encore... Tu te laisses faire, soulevant les reins pour m'y aider...Je m'allonge à plat ventre entre tes deux cuisses ouvertes et je joins mes lèvres, ma langue aux mouvements de tes doigts. Toi, tu remontes tes genoux largement écartés, m'offrant à la vue toute ta fente de ton clito dressé à ton trou secret fermé... Et tu me prends la tête entre tes deux mains, dirigeant mes mouvements, me donnant un rythme, posant mon visage là où tu veux... Mes mains se sont posées sous tes fesses tendues...
Ma langue pénètre ton con ouvert, va et vient, joue avec ton clito, l'aspirant, le mordillant entre mes lèvres... Tu es bonne. Tu sens bon, là... Et je suis cette fente de la langue du haut vers le bas, du bas vers le haut, lubrifiant au passage de ma salive et de ta liqueur l'entrée de ton anus... Anus que je peux pénétrer bientôt d'un doigt...
Et c'est ainsi que, bientôt, tu te crispes, tu halètes, tu cries et dans ma bouche et sous mes doigts tu jouis, profondément, abondamment me remplissant ma bouche de ton excès de cyprine...
En attendant que tu retrouves ton calme, mes doigts toujours en toi, je pose ma joue sur ton aine glabre et t'embrasse ton pubis si doux... Puis tu m'attires vers toi, te saisis à pleine main de mon phallus gonflé et prêt à exploser. Tu en approches le visage, déposes mille baisers sur le gland puis le lèches, l'aspires et le prends en bouche, ta main continuant à aller et venir le long de ma hampe. Il ne me faudra pas beaucoup de temps pour à mon tour jouir.
Et c'est seulement alors que nos lèvres se soudent et que dans nos bouches unies, nous mélangeons avec nos langues nos deux liqueurs dans un profond baiser plein de passion...

17 mai 2008

Un nouvel espace...

aJe renouvelle mon appel...
J'ai envie d'ouvrir un nouvel espace sur mon blog.
Un album photo qui renfermerait une photo de chacune de vous.
Mais pas n'importe quelle photo.
Une de... votre Mont de Vénus, de votre pubis,
de votre grotte intime, de votre bouton d'amour...
Une photo sans artifice. Joliment érotique !
(C'est ici un blog érotique, pas un site de gynécologie !).
Je suis exigeant, je sais.
Mais j'aime aussi les jolies choses...
Et je veux plus, encore :
cette photo, vous me l'offrez avec un petit mot.
Je vous embrasse. A bientôt.

Photo de Andrey Porshnev

16 mai 2008

J'imagine...

Ma jeune amie Zabou que j'avais perdue de vue depuis un moment, m'offre ce joli texte qu'elle a écrit en pensant à moi, hier soir, pendant l'orage... Qu'il y ait beaucoup d'autres orages dans les temps qui viennent ! Merci à toi Zabou.

Je laisse mes yeux se fermer
Et tes mains me caresser
Je laisse mes mains dans les tiennes
Pour qu'à jamais tu me retiennes

 

Je laisse mes lèvres à moitié ouvertes
Pour que tu y glisses ta langue experte
Je laisse gonfler ma poitrine
Pour que de tes doigts tu la dessines

 

Tout doucement mon âme s'endort
Et toi tu arrives à mon triangle d'or
Lentement tu t’immisces
Avec ta bouche entre mes cuisses

 

Tout mon corps répond et tremble
Au moindre petit coup de ta langue
Mes mains serrent les tiennes
Tu t’appliques pour que je vienne

 

Tout doucement je me retourne
Pour qu'en moi tu t'enfournes
Lentement d'abord

J’en redemande encore

 

 

De plus en plus vite après
Tout mon corps maintenant tu as exploré
Avec mes jambes je t’enlace
Avec tes lèvres tu m’embrasses

 

De nos deux corps au départ
Il n'en reste plus qu'un
Faire l'amour n'est pas un hasard
D’une seule voix on se dit « Viens ! »

 

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