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Le Démon de Midi
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26 février 2019

Chloé...

Nous avons fait connaissance chez des amis que nous avions en commun pour une fête d'anniversaire où nous nous retrouvions au milieu d'une vingtaine d'autres invités.


Dès en entrant, je l'avais remarquée, Chloé. Petite, menue, vêtue d'un pantalon et d'un blouson en jean, les cheveux courts, elle avait l'air d'un jeune adolescent... C'est sans doute ce côté un peu androgyne qui m'a attiré vers elle. Mais à travers son tee shirt, on devinait ses deux seins qui disaient bien sa féminité. Nous avons vite sympathisé. Une similitude dans notre travail, le même amour du jazz et de la musique classique, la même passion du chant, les mêmes derniers films vus et les mêmes derniers livres lus, le même regard sur notre société et sur la vie politique... Nous avons beaucoup parlé ensemble tout au long de la soirée. Nous nous sentions bien ensemble.


aaAu moment de se quitter, je lui ai proposé de la raccompagner pour poursuivre notre échange. Puis elle m'a proposé de monter pour prendre un dernier café ensemble...


Nous nous sommes assis sur son canapé. Nos mains se sont frôlées, puis empoignées... Nos corps se sont rapprochés, nos bras nous ont enlacés... Nous nous sommes regardés, nos lèvres se sont rapprochées, effleurées, soudées... Nos langues sont entrées en activité. Nos mains se sont égarées à la découverte de l'autre, s'insinuant sous les vêtements... Vêtements qui ne tardèrent à voler... Et bientôt nous nous sommes retrouvés nus, enlacés...


Nue, elle n'avait plus rien d'un garçon, merveilleuse dans sa pleine féminité... Douces rondeurs de ses deux seins, de ses deux fesses, fines courbes de ses épaules, de ses hanches, galbe fin de son cou, de ses cuisses... Et le triangle de sa toison sur son pubis qui laissait deviner sa fente...


Sur le canapé nous nous sommes longuement caressés... J'ai suivi chacune de ces courbes de bout de mes doigts, du bout de ma langue, finissant par me glisser entre ses deux cuisses, trouvant son petit bouton, pénétrant son antre de ma langue... Puis c'est elle qui m'a caressé sur tout le corps, de ses mains, de sa bouche, jusqu'à prendre en bouche ma virilité prête à éclater...


Et nos deux sexes se sont rencontrés l'un pénétrant l'autre, l'autre enserrant l'un... Et sans attendre nous avons atteint presqu'ensemble la sublime extase, l'extrême jouissance, moi me vidant en elle et elle se vidant sur moi.
A sa demande, elle me guidant, moi la portant toujours étroitement imbriqués l'un en l'autre, nous avons rejoint sa chambre... Et là nous avons fait encore et encore l'amour toute la nuit...

Epuisés, rassasiés, nous nous sommes endormis au petit matin...
Lorsque j'ai repris conscience, j'étais seul dans le grand lit... Je l'entendais parler dans la pièce à côté... Puis elle est rentrée dans la chambre... Elle avait pris une douche et avait enfilé une courte et transparente chemise de nuit... Elle s'est assise au bord du lit, s'est penchée vers moi... Nos lèvres se sont rencontrées et de nouveau nos mains nous ont caressés... Elle avait rejeté les draps pour accéder plus facilement à mon corps...


bbEt c'est pendant que nous caressions ainsi que j'ai senti sa présence... Et je l'ai vue... Magnifique femme, tout le contraire de mon amante de la nuit : grande, élancée, fine, cheveux blonds et longs... Elle nous regardait nous aimer...


Je marque ma surprise, cherche à me couvrir, honteux de ma nudité dans cette chambre qui n'est pas la mienne... Elle me salue d'un doux sourire... Chloé me la présente... Une amie... disons intime !...


L'autre s'assoit alors sur le bord du lit, tout contre Chloé... Et elle glisse ses mains sous la chemise de nuit, saisit les deux seins que je devine à travers le tissus, les caresse... Chloé se laisse faire... Elle se tourne même vers elle et entreprend de lui déboutonner le chemisier... Apparaissent alors ses deux seins en pleine liberté... Elle les lui baise à pleine bouche tout en me caressant le sexe...


Avant même que je prenne réellement conscience de ce qui m'arrive, elles se retrouvent toutes deux entièrement nues... A genoux de chaque côté de mon corps allongé, elle s'embrassent à pleines bouches, se caressent à pleines mains... Leurs mains s'insinuent entre leurs seins, entre leurs cuisses, entre leurs fesses...


Cette vue me redonne de la vigueur et mes mains se mêlent aux leurs... Et, de concert, elles se tournent vers moi m'offrant mille baisers, mille caresses sur tout le corps...
Et puis elles se remettent ensemble, se mettent en position d'un magnifique 69... Puis l'une d'elle vient s'empaler sur mon sexe... puis se retire et l'autre vient le prendre en bouche, tandis que l'une présente son sexe à hauteur de mes lèvres... Puis elles s'enlacent de nouveau, reviennent seule ou toutes deux vers moi... Nous nous embrassons, nous nous caressons, nous nous pénétrons... Nous mélangeons nos sueurs, nos halètements, nos goûts... Nous cherchons toutes les positions, même les plus osées... Jamais l'un de nous ne reste seul très longtemps...


Tour à tour, nous sommes voyeurs et acteurs... Nous cherchons chacun à offrir aux autres et à tirer des autres le plus de plaisir possible...


Et nous avons ainsi joué et jouis toute la journée.

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24 février 2019

Panne !

Réédition

Depuis un moment, nous nous écrivons
et la confiance entre nous s'est établie.
Et puis, l'eau passant sous les ponts,
petit à petit, est venue l'envie.
Ensemble, nous l'avons décidé
et nous nous sommes rencontrés.
Premières étreintes, premiers baisers,
bnous sommes vite déshabillés.
Le désir de l'autre n'est pas feint.
Et commence la sarabande des mains.
Exploration du dos, des seins,
et des fesses... Rien n'est anodin...
Et les mains sur les sexes... Enfin !
Le sien déjà suintant de désir,
de son suave élixir,
sexe déjà grand ouvert
où s'insinuent mes doigts pervers...
Le mien gonfle sous ses doigts experts,
il prend du volume, s'étale...
... mais refuse de redresser la tête !
Quelles que soient les caresses, il s'entête
et refuse de devenir bel animal !
Honte à mon orgueil de mâle !
L'amie, bonne amie, ne s'en plaint pas.
Mais pour moi, c'est la Bérézina,
Waterloo, la mort du cygne !...
J'ai zéro sur toute la ligne !
Mais, sans lui, nous avons continué nos ébats.
aPlusieurs fois, et longuement,
sous mes doigts et ma langue,
elle a frémi, geins et joui...
Plusieurs fois, vexé de son inutilité,
mon sexe s'est enfin redressé...
Mais à peine pénétré,
il s'est renfrogné !...
Le traître, le scélérat !
Mais l'amie est experte en fellation.
Et à force de baisers, de léchouilles, de sucions,
il a enfin daigné gonfler plus que de raison
et cracher violemment et ardemment
ma semence si longtemps enfermée...
Et, cet "exploit" enfin réalisé,
il s'est rabougri. Sans aucune dignité...
Face à ma déception, à mon dépit,
l'amie, tout simplement, me dit :
"Je suis heureuse, toi aussi tu as joui !
Tu m'as tant fait jouir
que c'était mon plus grand désir".
Merci l'Amie...

16 février 2019

Amie, raconte moi une histoire...

aaJ'ai décidé de rééditer certains textes que j'ai écrits au début de ce blog.
N'hésitez pas à me laisser un commentaire. Ce texte vous inspire ?

Amie, raconte-moi une histoire...

Une belle histoire de rencontre avec une autre femme...
La rencontre... Le feeling... L'envie qui monte...
L'envie avouée, partagée...
Les corps qui se rapprochent,
qui se frôlent, qui se touchent...
Les mains qui s'égarent, qui effleurent...
Votre premier baiser, lèvres contre lèvres,
langue contre langue...
Son sein au creux de ta main...
Le frisson qui te parcourt quand elle prend le tien...

Les vêtements qui tombent,.
Peau contre peau, seins contre seins,
pubis contre cuisses...
Fesses pétries, malaxées, écrasées, écartées...
Doigts qui s'insinuent, qui pénètrent...
qui se chargent de sa cyprine.

Raconte moi son goût, son odeur...
Son corps qui frémit et se tend sous ta caresse.
Le tien qui s'ouvre, qui veut la prendre en entier...
Raconte moi vos corps emmêlés
bbla recherche du plaisir offert et reçu...

Et puis le long frisson qui parcourt vos échines,
la tornade du sommet de la tête à la pointe des pieds,
le tourbillon au creux du ventre,
et le barrage qui craque, la jouissance qui est là,
qui explose, qui vous laisse pantois...


Allez, s'il te plait ! Raconte moi...

10 février 2019

Pour une photo...

J'ai décidé de rééditer certains textes que j'ai écrits au début de ce blog. Celui-ci date du 27 septembre 2010.
N'hésitez pas à me laisser un commentaire. Ce texte vous inspire ?

- J'aime beaucoup ton blog. Je voudrais t'envoyer une photo de moi pour ton album "les Portes du Paradis"...
- Hummm ! Ce serait avec grand plaisir. Envoie moi cette photo à mon adresse mail...
- Mais le problème, je n'ai pas de photo. Et je n'ai pas d'appareil !
- Ne peux-tu en emprunter un à un ami ?
- Non. Je ne crois pas. Et je ne sais pas m'en servir...
- Ah ! Veux-tu alors que je vienne prendre cette photo ?
- Je n'osais pas te le demander...
Surprise. C'est l'échange de mails que j'ai eu avec Léa.


Nous nous retrouvons donc le jour dit dans un café, non loin de chez elle, au coeur de Paris. Malgré la quarantaine annoncée, elle a encore une silhouette de jeune femme. Taille moyenne, fine, beaux arrondis... Visage avenant malgré, effectivement, quelques rides naissantes...
Autour de notre café, nous faisons plus ample connaissance. Elle m'apprend qu'elle vit seule, qu'elle n'a jamais voulu avoir un homme attitré souhaitant garder sa liberté mais elle ne rechigne pas à recevoir un homme de temps en temps dans son lit même si ça fait longtemps que ça lui est arrivé... Et elle précise les clauses du contrat : on va chez elle, je prends des photos, on en choisit une ensemble pour mon blog et je détruis le reste. Et on en reste là. Bien évidemment, je ne la touche pas. OK. Sinon que j'ai amené mon ordinateur et si elle le souhaite, je pourrais lui laisser un CD avec les photos prises.
- Alors on y va !
Il ne nous faut pas 5 minutes pour arriver chez elle. Nous nous installons dans le séjour largement éclairé par une grande baie vitrée.
- Bon, alors je me mets nue...
et sans attendre elle se déshabille complètement. Nue. Belle. Attirante. Je bande. Mais j'ai promis de ne pas la toucher... Belle poitrine bien ferme encore. Belle cambrure, belles fesses bien rondes et hautes, longues cuisses effilées... Pubis caché par une belle toison noire...
aaJe commence à la mitrailler. Elle prend des poses. Je la prends de dos, de face, en gros plan, plan américain, plongée, contre-plongée... Plan sur ses épaules, ses seins, ses fesses, ses cuisses, son sexe bien sûr, c'est ce que je suis venu chercher...
Elle s'assoit sur le canapé, prend de nouvelles poses : jambes croisées, écartées, mi-allongées, elle glisse ses mains sur ses seins, sur son sexe... Très suggestive. Très provocante. Je me tais pour cacher mon émotion... Mon sexe gonflé de désir me fait mal dans mon jean serré... J'aurai du mettre un pantalon plus large !...
Je fais une cinquantaine de clichés... Elle me demande à les voir... Je m'assois à la table, allume mon ordi, y connecte mon appareil photo et charge les photos... Nous les regardons une à une... Je suis assis. Elle est debout, nue, tout contre moi... J'avale ma salive... Je sens la courbe de sa hanche contre mon épaule... Je sens son odeur... Je sens la chaleur de son corps...Grande envie de la prendre par la taille, de glisser mes mains sur ses fesses, entre ses cuisses... Je résiste... Elle se recule...
- Dis donc, dis-moi ce que tu penses. Ca fait un moment que j'hésite à me raser le pubis... T'en penses quoi ? C'est pas terrible cette touffe, non ?!... Et je me souviens que dans ton album, la plupart des femmes ont le pubis rasé ou épilé... Tu crois que ce serait mieux que je me rase ?...
- Euh !... Je ne sais pas, moi... C'est toi qui vois... Non, tu es bien comme ça... Mais c'est vrai que, personnellement, je préfère les sexes de femmes nus, sans poils... Mais c'est chacune qui voit et je respecte... Je ne sais pas quoi te dire...
- Bon, alors je vais me raser... Tu viens avec moi ?
bbJe la suis dans la salle de bain... Elle attrape un gant de toilette qu'elle passe sous l'eau chaude et elle se mouille le Mont de Vénus... Elle prend une bombe de mousse à raser, en met une grosse noix dans le creux de sa main et s'en couvre le bas du ventre... Et attrape un rasoir jetable et me le tend :
- Vas-y, toi... J'ai peur de me faire mal...
Et elle s'assoit, jambes largement écartées, sur le bord de la baignoire...
J'hésite... mais j'ai tellement envie... Alors je prends le rasoir et m'agenouille entre ses jambes ouvertes... Et doucement pour ne pas la blesser, je commence à enlever la mousse sur le bas du ventre... J'entends le crissement des poils coupés... Je repasse plusieurs fois au même endroit pour la raser au plus près... Délicatement, je pose le bout des doigts de ma main libre pour tendre la peau... Je descends de plus en plus, m'approche de la partie délicate, le bord de ses lèvres... Elle pose un pied sur le rebord de la baignoire pour rendre plus accessible...Elle me présente ainsi son sexe grand ouvert... Je sens ses fragrances... Mes doigts glissent au bord de sa béance pour ôter les plis de la peau qui pourraient être dangereux... Puis elle change de pied...
ccJ'ai fini... Je prend le gant, le rince à l'eau chaude et enlève de son pubis maintenant nu et lisse comme celui d'une petite fille le reste de mousse, les quelques poils qui restent là... Je l'essuie longuement, le regard obnubilé par la beauté de ce lieu maintenant vierge de tout poil !... Et je ne peux m'empêcher de déposer en ce doux lieu un baiser... Elle frémit mais laisse faire... Alors j'ose un deuxième baiser... Elle se tend... Alors j'ose un long et appuyé coup de langue du bas en haut de sa fente offerte... Ce goût ! Cette odeur ! Elle pousse un profond soupir... prend ma tête à deux mains et la presse contre son sexe... Alors je la prends par les hanches, ma main glisse sous ses fesses et je lui offre un délicieux cunnilinctus... Elle aime, elle va à la rencontre de ma bouche, de mes lèvres, de ma langue... Je me remplis la bouche de sa liqueur... Elle se raidit, me serre le corps entre ses jambes... Elle jouit.
Je me redresse... La serre contre moi... Elle reprend son souffle quelques instants puis se relève à son tour, me repousse doucement et sort de la salle de bain...
- Allons ! Viens prendre d'autres photos...
Et elle reprend des poses de plus en plus lascives, de plus en plus provocantes... debout, couchée, assise, jambes grandes ouvertes ou au contraire pudiquement serrées... Elle mime la masturbation, la jouissance... Je prends photo sur photo, de face, de dos, de profil, de près, de plus loin, d'en bas, d'en haut...
- fais voir ce que tu as pris...
Docile, je me remets devant l'ordinateur...
Quand nous avons regardé toute la série, elle m'entraîne par la main et va s'asseoir sur le canapé... Elle me fait rester debout entre ses jambes écartées.
- Je veux te remercier... malgré le contrat passé...
Et sans attendre, elle ouvre mon pantalon, le fait glisser avec mon shorty à mi-cuisses... Mon sexe tendu jaillit... Elle le prend à deux mains, le porte à sa bouche, lèche le gland luisant de désir puis le gobe tout entier... Elle suce, aspire, tandis que ses mains vont et viennent... Je sens la jouissance monter. Je sens que je vais atteindre le point de non retour... Je veux me retirer mais elle s'accroche.
Et je jouis longuement et abondamment dans sa bouche...
Puis elle remonte mon pantalon me faisant ainsi comprendre que c'est fini !
Et elle me demande de lui graver le CD promis...

5 février 2019

Un week end de canicule

J'ai décidé de rééditer certains textes que j'ai écrits au début de ce blog. Celui-ci date du 1er octobre 2015.

Eté 2003. Eté de la canicule. Femme et enfants sont partis en vacances. Je dois les rejoindre dans quelques jours.
Samedi matin. Je ne travaille pas ce week-end et je n'ai rien de prévu. Farniente absolu. 10H du matin. J'ai pris ma douche, mon petit-déj. Il fait déjà chaud. J'ai enfilé un slip de bain et me prépare à aller me vautrer sur la chaise longue sur la petite terrasse de mon appart. Je n'ai là aucun vis-à-vis et c'est bien ainsi. Mon journal, un bon disque... voyons... oui, le Concert de Cologne de Keith Jarret. Super !...
Au moment où je vais m'installer, ça sonne à l'entrée ! Le facteur ? Je vais voir. Ah, non, c'est Daphnée, la copine de ma femme. Une belle femme presque aussi grande que moi, toute fine, toute mignonne, très sympathique... J'ai parfois rêvé à elle !... Elle est vêtue d'une petite robe légère retenue par deux fines bretelles et qui lui arrive à mi-cuisses. Elle a des jambes longues et magnifiques…
Nous nous faisons la bise.
- Oh ! Bonjour. Tu sais que ma femme n'est pas là...
- Oui, je sais. Mais cette fois, c'est toi que je viens voir. Ta femme m'a demandé de veiller sur toi.
- Ah bon ? Et bien rentre... Regarde, la maison est rangée et propre, la vaisselle est faite, mon linge sale et dans la corbeille... Ah, je n'ai pas encore fait le lit... Tu pourras lui faire ton rapport...
Nous rions et elle me suit dans le séjour. Debout, nous faisant face, nous parlons de tout et de rien : de la grosse chaleur de ces derniers jours et qui va durer, de nos travail, des dernières nouvelles...
- Je manque à tous mes devoirs. Tu veux un café, un thé ?
- Un thé, je ne suis pas contre...
Je file dans la cuisine le préparer et reviens avec le plateau... Elle est toujours debout et feuillette mon journal.
- Il fallait t'asseoir... Ecoute, je vais quand même enfiler un short et un tee-shirt. Je ne suis pas très décent ainsi mais je ne t'attendais pas...
- Mais non, reste ainsi... ce serait dommage...
Je suis surpris de sa réaction... D'autant que sa voix a changé... un peu enrouée comme si elle se faisait violence, se forçait à dire ce qu'elle n'osait dire...
- S'il te plait...

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Elle prend le ton d'une petite fille capricieuse avec une petite moue... Je ne sais quelle attitude avoir.
Et je remarque son regard qui frôle mon entre-jambes... Déjà tout à l'heure, quand nous parlions, j'ai remarqué plusieurs fois ses yeux braqués sur ce lieu qui commence à ressentir quelques fourmillements et à gonfler... Alors, moi aussi, j'ose...
- Mais... Je suis gêné... Tu me donnes des idées coquines... et... ça se voit !
- Justement ! Ca fait plaisir aux femmes de voir l'effet qu'elles font sur les hommes...
Elle se rapproche de moi...
- Je me mettrais bien comme toi... Mais je ne peux pas... Je n'ai rien sous ma robe !
Ouh la la !.... Est-ce là une simple information ? Une provocation ? Une invitation ? Je choisis la troisième possibilité. Tant pis si je me ramasse un râteau !
Je la prends par la taille…
- Ah bon ? Tu es… toute nue sous cette petite robe…
Elle aussi passe un bras autour de ma taille…
- Oui…
Et elle pose sa tête contre mon torse. Alors je l’enlace, commence à lui caresser le dos…Elle aussi met ses bras autour de moi et me serre contre elle…
Ma main explore à travers le tissus. Effectivement, pas trace de bretelles de soutien-gorges… Et plus bas, jusqu’aux fesses… Pas trace du moindre élastique…
Ses mains aussi glissent le long de mon dos et se posent sur mes fesses…
aaMa main remonte et redescend en entrainant le zip… jusqu’au bas du dos… Une main caresse le dos tandis que l’autre glisse sur ses fesses nues. Elles sont rondes, hautes, fermes…
Ses mains suivent le même parcours sur mon corps… Une main caresse mon dos, une autre s’est glissée sous l’élastique de mon slip et caresse mes fesses…
Je sens la pointe de ses seins fermes contre mon torse. Je sens mon sexe gonflé contre sa hanche. Elle aussi le sent… Elle ondule, accentuant la pression…
Une de mes mains passe devant, se met en coquille sur son pubis... Très agréable surprise de le découvrir parfaitement lisse, parfaitement épilé... Un doigt de faufile... Lèvres ouvertes, humides de désir...

Nos lèvres se cherchent, se trouvent, se frôlent, se collent, s’entrouvrent laissant le passage à nos langues qui entrent en action l’une contre l’autre, se mêlant, s’enroulant, s’aspirant…
Ce sont ses deux mains qui sont maintenant dans mon slip et, avec autorité, elles le font descendre sur le haut de mes cuisses. Une main passe devant pour dégager mon sexe dressé qui entrave la descente du vêtement…

Je fais glisser les bretelles de la robe sur ses épaules… Elle me lâche un moment pour en sortir ses bras, nos corps se séparent pour laisser le léger tissus tomber au sol… Elle le ramasse pour le jeter sur une chaise… je profite de ce court instant pour achever d’enlever mon slip qui suit le même chemin sur la même chaise…
Et nos corps se ressoudent. Nos bras embrassent. Peau contre peau…
Je glisse un genoux entre ses cuisses… Je sens l’humidité de son sexe contre ma cuisse… Je lui malaxe les fesses… Une main se glisse entre elles…
Elle se saisit de ma raideur et fait aller et venir sa main le long de la hampe…
Je l’entraîne vers la chambre… Nous tombons sur le lit défait…
Pas une seule parcelle nos corps n’aura reçu une caresse, un baiser, un coup de langue… Nous nous attardons l’un et l’autre sur les parties les plus sensibles de l’autre… Cunnilingus, fellation, 69, …

Nous reprenons conscience après notre petite mort commune…
- Le thé va être trop infusé et il doit être froid maintenant.
Nous rions. Nouvelle étreinte…
Et puis nous avons constaté que Daphnée n’avait non plus aucune obligation ce week-end… Alors elle est restée. Nous sommes restés nus. Nous avons baisé comme des fous : dans la cuisine, au salon, sur la terrasse, sous la douche… dans le lit aussi. Souvent.

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