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Le Démon de Midi
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31 décembre 2008

BELLE ANNEE

BEAUCOUP DE PAIX... DE JOIE...
D'AMOUR...
DE DESIRS SATISFAITS...
DE PLAISIRS...

Je vous embrasse avec passion...

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31 décembre 2008

Rencontre dans un ascenseur - 7

Dans un premier temps docile, il s’était agenouillé pour masser à nouveau ma cheville, mais il avait fini par abandonner la poche de glace, pour me déshabiller. Il m’avait mise (à) nue devant lui tout aussi rapidement qu'il avait délaissé ma cheville sur la table basse.
Ensuite, sa bouche sur mon sexe avait totalement embrassé mon corps, ses doigts avaient remplacé ses lèvres sur les miennes, celles de mon intimité, et d’autres doigts s’étaient faufilés vers un autre orifice avec douceur, fermeté, dextérité.
Le plaisir était monté d’une manière assez fulgurante, les signes avant-coureurs de mon orgasme étaient là … je gémissais sous ses doigts qui s’activaient dans mon con et dans mon cul … mes seins gonflés, mon bassin qui bougeait pour mieux accompagner ses mouvements et atteindre mon point de non-retour, ma bouche s’entrouvrait, ma respiration était haletante, irrégulière, suffocante …
Il colla sa bouche sur la mienne, et je jouis ma bouche pleine de sa langue, mon sexe et mon sphincter enserrant ses doigts, je coulais d’une vague d’eau …
Mon prisonnier fut libéré, la décharge hormonale s’apaisant dans mon crâne …

Machinalement, je mordis ma lèvre inférieure …
- … merci pour les endorphines … j’ai beaucoup moins mal à la cheville …
Je lui envoyais un clin d’œil malicieux tout en souriant à la fois conquérante et conquise.
Je collais une nouvelle fois ma bouche sur la sienne dans un baiser profond et langoureux.
Mes mains glissèrent sur sa veste que je fis tomber, je pris le temps d’apprécier sa carrure, ses épaules et pectoraux avant de saisir le bas de sa chemise et lui faire passer par-dessus tête.
Je me demandais à quelle sauce j’allais le manger … est-ce que j’allais le manger d’ailleurs ? Ou bien allais-je me remplir de lui, l’inviter à se glisser en moi ?
On m’a dit un jour : « la liberté commence quand on a 3 choix », et je n’en avais que 2.  Je n’arrivais pas à me décider … mon 3 choix était là, je le faisais languir !
Oserais-je ? Oserais-je le faire languir, l’allumer jusqu’à ce qu’il me demande de le toucher enfin ?
Les yeux et les mains perdus à découvrir sa peau, je l’invite à se redresser pour le libérer de son carcan textile.
Il se retrouve donc debout devant moi, le renflement de sa braguette à hauteur de mon visage.
Malgré moi, mes lèvres s’entrouvrent, mes mains se posent sur l’extérieur de ses cuisses et remontent vers ses hanches, puis vers sa boucle de ceinture que j’entreprends de défaire lentement.
Mon téléphone sonne … Jubilation !
Puis panique ! Merde, j’avais oublié le bouloooottt !
Une seconde fois, je le plante là, et je me jette sur mon sac à main posé au pied du canapé.
Je décroche.
- oui ? … oui je suis désolée, j’ai eu un petit accident sur le chemin …
Nonchalamment, je m’allonge sur le dos dans le canapé, en continuant ma conversation …
- non non rien de grave, je me suis foulée la cheville …
Je le fixe, en commençant à laisser mes doigts frôler mes seins.
- … un type m’a raccompagné chez moi …

29 décembre 2008

Pas cher... mais c'était y'a longtemps !

33986870

27 décembre 2008

Vous êtes un minus...

... vous ne m'arrivez pas à la cheville,
jamais vous n'atteindrez ma beauté,
ma perfection.
Vous ne me méritez pas,
vous ne me toucherez pas...
Ce n'est pas pour vous
que je me suis ainsi apprêtée,
patiemment épilée,
légèrement parfumée...
167432

26 décembre 2008

Rencontre dans un ascenseur - 6

Lui masser la cheville ! Il s'agit bien de ça !...
Cette main sur ma braguette ! Douce et conquérante... Comme si elle faisait le tour du proprio ! Au moins le signal est donné et je sais ce qu'elle attend. Ce que j'attends moi-même depuis la première seconde où je l'ai vue entrer dans l'ascenseur. Et cette tâche d'humidité sur son tonga confirme qu'elle aussi en rêve depuis un moment...
Docile, je m'agenouille de nouveau entre ses jambes et commence à masser sa cheville douloureuse... Puis je la soulève légèrement, pose sur la table basse le torchon enveloppant le sac plastique plein de glaçons et repose sa cheville dessus...
- Il faut laisser le froid agir...
Et sans attendre, je pose mes deux mains de part et d'autre de son mollet ainsi tendu, l'enveloppant tout entier... Et doucement je monte, ne la quittant pas des yeux... Elle a fermé les siens... Se mordille les lèvres... A un profond soupir... Le genou... le bas de la cuisse... plus haut... Elles arrivent à la frontière de son vêtement... Et remontent chacune sur une hanche... Là elles se saisissent de l'élastique et doucement redescendent entraînant le vêtement... La belle soulève les fesses pour libérer le passage... Son pubis apparaît, parfaitement lisse... J'aime... Elle soulève ensuite les deux pieds pour ôter complètement ce vêtement inutile...
Je me redresse alors, me penche vers elle, attrape le bas de son pull et doucement le remonte vers le haut... passe par dessus la tête...
aaLa voilà entièrement nue... Complètement offerte... Je l'admire un moment... Magnifique... Rendre hommage à la beauté féminine... Admirer ces courbes, le grain de la peau, la finesse des membres... Mais je ne peux résister plus longtemps à l'appel de la chair... Je la tire vers moi et l'enveloppe de mes bras... Mes mains, ma bouche ne savent où aller... Je veux la caresser, la lécher la goûter partout à la fois.... ses deux petits seins si mignons qui m'avaient fait craquer tout à l'heure... Nus, ils sont encore plus excitants avec leur petite pointe bandant au milieu de leur aréole... Ses épaules, ses hanches, ses cuisses, son cou... Une main puis ma bouche glissent vers son pubis. Pubis d'adolescente qui sent ce mélange de crème épilatoire et de musc... Pubis lisse au milieu duquel mes doigts trouvent sa fente... Elle écarte les cuisses... Mes doigts glissent, trouve son clitoris, dur, trempé d'humidité, de désir... Ils continuent leur chemin et pénètrent facilement dans le puits d'amour... Ma bouche a suivi et de la langue, des lèvres, je joue avec son bouton à plaisir... Cette odeur délicieuse de la femelle en chaleur, ce goût unique à chacune de sa liqueur d'amour... Je m'en enivre...
Elle se tortille, respire de plus en plus fort... Mon autre main se glisse sous ses fesses, écartent sa fente, trouve son entrée secrète... Doucement mon majeur y pénètre... Elle se crispe, accompagne du bassin les mouvements de mes doigts, de ma bouche...
Lorsque mes doigts des deux mains sont bien au fond et s'y agitent, ma bouche quitte son bas ventre, remonte embrassant, léchant chaque parcelle de cette peau si douce, s'attarde sur chacun des seins... et remonte jusqu'à sa bouche...
Elle plaque ma tête contre la sienne, nos lèvres se soudent, s'écartent, s'ouvrent... Nos langues vont à la rencontre l'une de l'autre, l'une chez l'autre, l'autre chez l'une...
Je sens le plaisir monter en elle. En moi aussi, d'ailleurs. Mon sexe frémit, gonfle encore et encore dans mon shorty... Je veux me déshabiller mais ne veux pas la lâcher... 
Elle se tend, lâche un petit cri plaintif de bonheur... Elle enserre ma langue entre ses lèvres... Elle contracte ses fesses, ses muqueuses... Je suis son prisonnier, pris au piège si doux de ses trois orifices...

Photo de Helios Florian dal Gobbo

 

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24 décembre 2008

Très banalement...

... mais très sincèrement


JOYEUX NOEL
à chacune et à chacun

aa
photo de 3MO

 

Et pour vous, mes amiEs, en cadeau,
une guirlande de baisers
un paquet de caresses,
beaucoup d'émotion
et de jouissance...

24 décembre 2008

Rencontre dans un ascenseur - 5

Son sourire est conquérant quand je lui laisse cette invitation à me ramener chez moi.
Le bras autour de son épaule, lui me soutient une main sur ma hanche.
On avance,
moi sautillant, jusqu'à l'ascenseur désormais vide.
Sa main est chaude sur mon flan et je l'imagine malgré moi se glisser sous mon pull et parcourir ma peau, la peau si fine de mes seins.
On entre tous les deux l'antre vide, et j'appelle l'étage qui va nous emmener chez moi ... le 7ième.
Je délaisse son épaule pour prendre appui sur la rambarde de l'ascenseur. Conquérant, le sourire conquérant ... le mot était plutôt bien choisi il prend déjà possession de mes terres, sa main a glissé de ma hanche vers mon cul qu'il découvre et masse fermement.
- Vous êtes belle... Sexy, même... Désirable !... 
Tiens j'aurai juré que tu me trouvais ... bandante ...
J'esquive en posant ma tête sur son épaule, la douleur de ma cheville commence à être lancinante. J'ai hâte de m'assoir et en même temps sa main sur mon fessier me projette dans des espoirs de volupté et de plaisir.
J'ai des bouffées de chaleur. Je fouille mon sac à la recherche de mes clés et je lui ouvre un peu de moi, de mon univers.
Je me laisse tomber dans mon canapé en grimacant un peu. Il s'agenouille devant moi et commence à masser ma cheville, je ferme un peu les yeux. Je sens ses mains chaudes autour de ma cheville, hmmmm , s'il me masse partout comme ça je vais fondre ...
Ses mains glissent sur ma malléole, mon talon, mon cou de pied, c'est vraiment bon. L'une de ses mains cherche à remonter un peu dans la patte de mon jeans sans succès .. trop serré.

- Il faudrait que vous enleviez votre jeans pour que je puisse bien vous masser...
Je rouvre les yeux, et le regarde droit.
- Vous croyez ?
Sans lâcher son regard, j'écarte doucement les jambes pour l'inviter. A genoux, il se glisse jusqu'à moi, et pose son visage entre mes seins, mon sexe palpite contre son ventre.
Ses mains remontent sur mon pull et s'approprient mes seins tendus .
Il semble s'enivrer de mon odeur, et je fais de même tandis que mes doigts hérissent ses cheveux.

Ca sens bon un homme épris de désir ...Je ne sais si c'est les pheromones, mais j'adore ça.
Je bascule ma tête en arrière sur le canapé, je m'abandonne à la sensualité de ses caresses sur ma poitrine.
Je sors de ma rêverie, attrape son visage entre mes mains, l'approche de mes lèvres et reste suspendue à quelques centimètres de sa bouche. Son souffle chaud pénètre ma bouche qui s'entrouvre ...
- .... il y a une poche de glace dans le congél' ...
Cette fois, c'est moi qui lui sourit conquérante. Ses yeux et ses mains coulent sur mes seins, mon ventre et mes hanches sur lesquelles il prend appui pour se relever. Il a l'air fort à l'étroit dans son jeans ...
Je matte un peu son postérieur tandis qu'il se dirige vers la cuisine. Je ferme les yeux et l'écoute fouiller dans la cuisine.
Le silence soudain m'interpelle ... je rouvre les yeux. Il est debout face à moi un torchon plein de glaçons à la main. Il me dévore littéralement, faut dire que j'ai retiré mon jeans. Je suis lascive, installée dans mon canapé, avec un pull sans soutien-gorge et dans un tanga noir qui doit commencer laisser paraitre certaines de mes envies. Ma cheville blessée repose sur la table basse et l'autre est au sol ... la tenue et la posture sont franchement ... indécentes .... mais j'aime ça de plus en plus.
Je tends le bras vers lui pour me saisir de la poche de glace, il avance vers moi. Mais ma main ne vient pas saisir la poche de glace mais vient se placer sur sa braguette. J'apprécie dans le creux de ma main ce renflement comme un compliment, et c'est ma foi un compliment fort généreux.
- hum, intéressant .... Tu veux bien encore me masser la cheville, c'était vraiment bon ...

23 décembre 2008

Rencontre dans un ascenseur - 4

Suite...

Je lui tends le bras pour l'aider à se relever... Il doit y avoir un Dieu pour les libertins ! Elle voulait me plaquer comme ça devant la porte de l'ascenseur. Mais ce n'était pas son destin de m'échapper. Et elle rentre du coup en plein dans le jeu. Elle a mal...
- euh … bien …je … j’aime pas le café mais je vous offre un thé si vous m’aidez à rentrer...
Et comment que je vais te ramener chez toi !
Je la fais s'accrocher à mon épaule et je la prends par la taille en la serrant contre moi... Humm !... Ce corps fin et léger contre moi ! Cette belle courbe de sa hanche ! Je sens contre moi la courbure de son sein... Je marche à petits pas vers l'ascenseur, elle sautille tout contre moi sur son pied valide.
Oui, j'ai envie d'elle mais je crois bien que c'est réciproque... Je n'ai pas été sans voir son regard sur ma braguette quand elle était tout à l'heure à quatre pattes devant moi ! Et elle a bien vu combien elle était gonflée !...
Nous sommes dans l'ascenseur. Seuls cette fois. Ele appuie sur le bouton de son étage. Les portes se ferment... Nous sommes seuls. Elles s'accrochent à la rambarde. Je n'ai plus besoin de la soutenir. Alors je glisse nonchalamment ma main qui la soutenait sur sa fesse, sous sa fesse... J'étale ma main sur toute la surface de cette si belle fesse, bien ronde, bien ferme, bien haute... Elle se laisse faire...
- Vous êtes belle... Sexy, même... Désirable !...
Pour toute réponse, elle rougit un peu et pose sa tête contre mon épaule...
Mais l'ascenseur arrive à destination. Je la reprends sous la hanche, elle sautille, je marche à petits pas... Elle me montre la porte de son appartement, cherche les clés dans son sac à main... Et nous voilà chez elle... Nous entrons dans son petit salon... je la mène jusqu'au canapé où elle se laisse tomber... C'est mignon chez elle... Un peu le bordel comme chez quelqu'un qui est parti vite ce matin... Et puis ce soutien gorge accroché aux étagères ! Il a du être enlevé dans une certaine précipitation...
Je m'agenouille à ses pieds. Enlève ses chaussures... Prends sa cheville entre mes deux mains et commence à la masser doucement... Je veux remonter le bas de son jean mais il est trop serré...
- Il faudrait que vous enleviez votre jean pour que je puisse bien vous masser...
- Vous croyez ?
Elle me regarde. Ecarte les jambes. Je craque.
Je me glisse entre ses deux belles et longues jambes et la serre contre moi. Mon visage se retrouve entre ses seins... Hummm. Ils sentent bon. Mes mains glissent sur son corps et chacun d'elles se saisit, à travers le tissus, d'une de ces deux belles petites poires bien fermes et juteuses...

22 décembre 2008

Rencontre dans un ascenseur - 3

La suite de mon histoire écrite avec Cixi !...

Ouf ça y est … le rez-de-chaussée, je vais pouvoir me décoller de lui. Je souris. En me décalant un peu pour sortir, j’ai senti sur ma hanche … je l’ai sentie !
IL BANDE ! et pas qu’un peu le démon. J’en ai eu des fourmis dans les mains de me retenir de mettre ma main en coupe sur ce renflement… juste pour sentir la palpitation de cette érection. Je la devine presque dans ma main, la caressant d’une façon douce et ferme à la fois… la serrant un peu pour en apprécier le diamètre, et l’imaginer me pénétrant …
Les portes s’ouvrent.
Je sens que cette excitation va m’entraîner dans des choses … mmmh …
Allez allez qu’elle les vire ses sacs que je puisse fuir cette divine excitation qui m’envahi les seins, le bas-ventre, les hanches, les flans …
Suivra … suivra pas … apparemment non, il a pas l’air de bouger …
Je prends une grande inspiration en franchissant les portes quand on me bouscule.
- Oh ! Excusez-moi ! Je n'avais pas réalisé qu'on était arrivé en bas ! Perdu dans mes rêves.
- Y'a pas de mal.
- Je vous offre un café ? Vous êtes pressée ?
Han ouui il a osé … « qui ne tente rien … n’a rien », j’apprécie.
Je regarde machinalement l’heure sur mon portable et le jette dans mon sac.
- Oui super pressée ... une prochaine fois peut-être ?
Pas le temps de papoter … dommage quand même … et je le plante là devant l’ascenseur en tournant les talons rapidement … trop rapidement, vraiment trop rapidement sur le sol que je n’avais pas vu fraîchement lessivé …
Mon talon a ripé et je me retrouve je-ne-sais-comment face à lui à genoux dans le hall de l’immeuble.
Je devrais être pétrifiée de honte pourtant je ne peux détacher mes yeux ni des siens qui sont en train de parcourir ma poitrine vu le décolleté sans fond que je lui offre et ni du renflement que j’ai à présent à hauteur des yeux.
- je vais vous aider à vous relever
J’attrape le bras qu’il me tend et me redresse …
- merci …
Mais ma cheville ne l’entend pas de cette oreille, je vacille sur cet appui fragilisé et me rattrape à lui
- wow .. ma cheville, elle me fait mal …
- si c’est une entorse, faudrait mettre de la glace avant que ça n’enfle …
- euh … bien …je … j’aime pas le café mais je vous offre un thé si vous m’aidez à rentrer...

21 décembre 2008

Rencontre dans un ascenseur - 2

Cixi a raconté ce jour où elle était troublée après avoir lu mon blog... Elle croit reconnaître le Démon dans l'ascenseur... Voici ma version des faits...

Hum ! Mignonne cette belle femme qui rentre dans l'ascenseur... Dommage qu'il y ait du monde. Je la draguerais bien... Chance. Elle se poste devant moi... Cette poitrine ! Comme je les aime ! Pas trop grosse mais elle semble bien ferme, bien haute... Deux petites poires que j'aurais plaisir à tenir dans le creux de ma main... Les caresser, les contourner, les soupeser, les malaxer doucement, jouer avec les pointes, les lêcher, les téter... Mais, elle n'a pas mis de soutien gorge ! Et elle lit dans mes pensées ! Ses pointes pointent ! Ses seins bandent. Et ça me fait bander...
Allons bon, voilà une autre femme qui rentre avec tous ses paquets. Y'a plus de place ! Quelle intimité ! Frustrant d'être face à une telle beauté et de ne rien pouvoir dire ni faire sans craindre de heurter la compagnie... Oh ! Mais super. Elle est obligée de se serrer contre moi. Caresse furtive de la pointe de ses seins contre mon torse... Elle s'excuse ! Il n'y a pas de quoi ! Au contraire. Tout le plaisir est pour moi. Fallait pas vous redresser...
Regard plongeant dans l'échancrure de son haut... Oh ! Dieu me damne ! Je les veux ces seins... Si elle savait comme je bande ! Si elle voyait mon sexe dans quel état elle me le met ! Pourquoi elle rougit ainsi... Elle semble suffoquer !
Elle est presque indécente ainsi collée à moi, les jambes écartées, les tétons dressés, le haut de ses seins à la vue de tous... Je ne m'en plains pas... De sa hanche, elle effleure mon sexe. Elle va sentir que je bande ! Elle va crier au satyre !...
Pourquoi diantre ai-je ce journal en main... Il m'embarasse. Je pourrais sinon, par inadvertance, lui effleurer le bassin, les hanches, le haut de la cuisse, la naissance de ses fesses...
Oui, oui, il fait chaud... Mais on est bientôt arriver au rez-de-chaussée. Elle va sortir. Et mois je vais continuer au sous-sol prendre ma voiture... Ca y est. On est arrivé. La dame chargée de ses sacs sort la première. Les autres la suivent... Et elle ? Elle sort pas ? Zut. Si. Dommage !
- au revoir Monsieur.
- au revoir !
Oh ! Ce cul moulé dans son jean. Digne de ses seins. Aussi attirants, aussi appêtissants !
Les portes commencent à se fermer. Tant pis pour ma voiture. je ne suis pas pressé ce matin. Je me glisse vite entre elles et manque buter contre celle qui me met en rut.
- Oh ! Excusez-moi ! Je n'avais pas réalisé qu'on était arrivé en bas ! Perdu dans mes rêves.
- Oh ! Y'a pas de mal.
- Je vous offre un café ? Vous êtes pressée ?
Pourvu qu'elle dise oui. Pourvu qu'elle ne m'envoie pas c... J'ai gaffé ! Je sens que j'ai gaffé !...

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