BELLE ANNEE
BEAUCOUP DE PAIX... DE JOIE...
D'AMOUR...
DE DESIRS SATISFAITS...
DE PLAISIRS...
Je vous embrasse avec passion...
BEAUCOUP DE PAIX... DE JOIE...
D'AMOUR...
DE DESIRS SATISFAITS...
DE PLAISIRS...
Je vous embrasse avec passion...
Dans un premier temps docile, il s’était
agenouillé pour masser à nouveau ma cheville, mais il avait fini par abandonner
la poche de glace, pour me déshabiller. Il m’avait mise (à) nue devant lui tout
aussi rapidement qu'il avait délaissé ma cheville sur la table basse.
Ensuite, sa bouche sur mon sexe avait totalement embrassé
mon corps, ses doigts avaient remplacé ses lèvres sur les miennes, celles de
mon intimité, et d’autres doigts s’étaient faufilés vers un autre orifice avec
douceur, fermeté, dextérité.
Le plaisir était monté d’une manière assez fulgurante, les
signes avant-coureurs de mon orgasme étaient là … je gémissais sous ses doigts
qui s’activaient dans mon con et dans mon cul … mes seins gonflés, mon bassin
qui bougeait pour mieux accompagner ses mouvements et atteindre mon point de
non-retour, ma bouche s’entrouvrait, ma respiration était haletante,
irrégulière, suffocante …
Il colla sa bouche sur la mienne, et je jouis ma bouche
pleine de sa langue, mon sexe et mon sphincter enserrant ses doigts, je coulais
d’une vague d’eau …
Mon prisonnier fut libéré, la décharge hormonale s’apaisant
dans mon crâne …
Machinalement, je mordis ma lèvre inférieure …
- … merci pour les
endorphines … j’ai beaucoup moins mal à la cheville …
Je lui envoyais un clin d’œil malicieux tout en souriant à
la fois conquérante et conquise.
Je collais une nouvelle fois ma bouche sur la sienne dans un
baiser profond et langoureux.
Mes mains glissèrent sur sa veste que je fis tomber, je pris
le temps d’apprécier sa carrure, ses épaules et pectoraux avant de saisir le
bas de sa chemise et lui faire passer par-dessus tête.
Je me demandais à quelle sauce j’allais le manger … est-ce
que j’allais le manger d’ailleurs ? Ou bien allais-je me remplir de lui,
l’inviter à se glisser en moi ?
On m’a dit un jour : « la liberté commence quand
on a 3 choix », et je n’en avais que 2. Je n’arrivais pas à me décider … mon 3 choix
était là, je le faisais languir !
Oserais-je ? Oserais-je le faire languir, l’allumer jusqu’à
ce qu’il me demande de le toucher enfin ?
Les yeux et les mains perdus à découvrir sa peau, je
l’invite à se redresser pour le libérer de son carcan textile.
Il se retrouve donc debout devant moi, le renflement de sa
braguette à hauteur de mon visage.
Malgré moi, mes lèvres s’entrouvrent, mes mains se posent
sur l’extérieur de ses cuisses et remontent vers ses hanches, puis vers sa
boucle de ceinture que j’entreprends de défaire lentement.
Mon téléphone sonne … Jubilation !
Puis panique ! Merde,
j’avais oublié le bouloooottt !
Une seconde fois, je le plante là, et je me jette sur mon
sac à main posé au pied du canapé.
Je décroche.
- oui ? … oui je suis désolée, j’ai eu un petit
accident sur le chemin …
Nonchalamment, je m’allonge sur le dos dans le canapé, en
continuant ma conversation …
- non non rien de grave, je me suis foulée la cheville …
Je le fixe, en commençant à laisser mes doigts frôler mes
seins.
- … un type m’a raccompagné chez moi …
Lui masser la cheville ! Il s'agit bien
de ça !...
Cette main sur ma braguette ! Douce et
conquérante... Comme si elle faisait le tour du proprio ! Au
moins le signal est donné et je sais ce qu'elle attend. Ce que
j'attends moi-même depuis la première seconde où
je l'ai vue entrer dans l'ascenseur. Et cette tâche d'humidité
sur son tonga confirme qu'elle aussi en rêve depuis un
moment...
Docile, je m'agenouille de nouveau entre ses jambes et
commence à masser sa cheville douloureuse... Puis je la
soulève légèrement, pose sur la table basse le
torchon enveloppant le sac plastique plein de glaçons et
repose sa cheville dessus...
- Il faut laisser le froid agir...
Et
sans attendre, je pose mes deux mains de part et d'autre de son
mollet ainsi tendu, l'enveloppant tout entier... Et doucement je
monte, ne la quittant pas des yeux... Elle a fermé les
siens... Se mordille les lèvres... A un profond soupir... Le
genou... le bas de la cuisse... plus haut... Elles arrivent à
la frontière de son vêtement... Et remontent chacune sur
une hanche... Là elles se saisissent de l'élastique et
doucement redescendent entraînant le vêtement... La belle
soulève les fesses pour libérer le passage... Son pubis
apparaît, parfaitement lisse... J'aime... Elle soulève
ensuite les deux pieds pour ôter complètement ce
vêtement inutile...
Je me redresse alors, me penche vers
elle, attrape le bas de son pull et doucement le remonte vers le
haut... passe par dessus la tête...
La voilà
entièrement nue... Complètement offerte... Je l'admire
un moment... Magnifique... Rendre hommage à la beauté
féminine... Admirer ces courbes, le grain de la peau, la
finesse des membres... Mais je ne peux résister plus longtemps
à l'appel de la chair... Je la tire vers moi et l'enveloppe de
mes bras... Mes mains, ma bouche ne savent où aller... Je veux
la caresser, la lécher la goûter partout à la
fois.... ses deux petits seins si mignons qui m'avaient fait craquer
tout à l'heure... Nus, ils sont encore plus excitants avec
leur petite pointe bandant au milieu de leur aréole... Ses
épaules, ses hanches, ses cuisses, son cou... Une main puis ma
bouche glissent vers son pubis. Pubis d'adolescente qui sent ce
mélange de crème épilatoire et de musc... Pubis
lisse au milieu duquel mes doigts trouvent sa fente... Elle écarte
les cuisses... Mes doigts glissent, trouve son clitoris, dur, trempé
d'humidité, de désir... Ils continuent leur chemin et
pénètrent facilement dans le puits d'amour... Ma bouche
a suivi et de la langue, des lèvres, je joue avec son bouton à
plaisir... Cette odeur délicieuse de la femelle en chaleur, ce
goût unique à chacune de sa liqueur d'amour... Je m'en
enivre...
Elle se tortille, respire de plus en plus fort... Mon
autre main se glisse sous ses fesses, écartent sa fente,
trouve son entrée secrète... Doucement mon majeur y
pénètre... Elle se crispe, accompagne du bassin les
mouvements de mes doigts, de ma bouche...
Lorsque mes doigts des
deux mains sont bien au fond et s'y agitent, ma bouche quitte son bas
ventre, remonte embrassant, léchant chaque parcelle de cette
peau si douce, s'attarde sur chacun des seins... et remonte jusqu'à
sa bouche...
Elle plaque ma tête contre la sienne, nos
lèvres se soudent, s'écartent, s'ouvrent... Nos langues
vont à la rencontre l'une de l'autre, l'une chez l'autre,
l'autre chez l'une...
Je sens le plaisir monter en elle. En moi
aussi, d'ailleurs. Mon sexe frémit, gonfle encore et encore
dans mon shorty... Je veux me déshabiller mais ne veux pas la
lâcher...
Elle se tend, lâche un petit cri plaintif
de bonheur... Elle enserre ma langue entre ses lèvres... Elle
contracte ses fesses, ses muqueuses... Je suis son prisonnier, pris
au piège si doux de ses trois orifices...
Photo de Helios Florian dal Gobbo
... mais très sincèrement
JOYEUX NOEL
à chacune et à chacun
photo de 3MO
Et pour vous, mes amiEs, en cadeau,
une guirlande de baisers
un paquet de caresses,
beaucoup d'émotion
et de jouissance...
Son sourire est conquérant quand je lui laisse cette invitation à me ramener chez moi.
Le bras autour de son épaule, lui me soutient une main sur ma hanche.
On avance, moi sautillant, jusqu'à l'ascenseur désormais vide.
Sa
main est chaude sur mon flan et je l'imagine malgré moi se glisser sous
mon pull et parcourir ma peau, la peau si fine de mes seins.
On entre tous les deux l'antre vide, et j'appelle
l'étage qui va nous emmener chez moi ... le 7ième.
Je délaisse son épaule pour prendre appui sur la rambarde de l'ascenseur. Conquérant, le sourire
conquérant ... le mot était plutôt bien choisi il prend déjà possession de mes
terres, sa main a glissé de ma hanche vers mon cul qu'il découvre et masse fermement.
- Vous êtes belle... Sexy, même... Désirable !...
Tiens j'aurai juré que tu me trouvais ... bandante ...
J'esquive
en posant ma tête sur son épaule, la douleur de ma cheville commence à
être lancinante. J'ai hâte de m'assoir et en même temps sa main sur mon
fessier me projette dans des espoirs de volupté et de plaisir.
J'ai des bouffées de chaleur. Je fouille mon sac à la recherche de mes clés et je lui ouvre un peu de moi, de mon univers.
Je
me laisse tomber dans mon canapé en grimacant un peu. Il s'agenouille
devant moi et commence à masser ma cheville, je ferme un peu les yeux.
Je sens ses mains chaudes autour de ma cheville, hmmmm , s'il me masse
partout comme ça je vais fondre ...
Ses mains glissent sur ma
malléole, mon talon, mon cou de pied, c'est vraiment bon. L'une de ses
mains cherche à remonter un peu dans la patte de mon jeans sans succès
.. trop serré.
- Il faudrait que vous enleviez votre jeans pour que je puisse bien vous masser...
Je rouvre les yeux, et le regarde droit.
- Vous croyez ?
Sans
lâcher son regard, j'écarte doucement les jambes pour l'inviter. A
genoux, il se glisse jusqu'à moi, et pose son visage entre mes seins,
mon sexe palpite contre son ventre.
Ses mains remontent sur mon pull et s'approprient mes seins tendus .
Il semble s'enivrer de mon odeur, et je fais de même tandis que mes doigts hérissent ses cheveux.
Ca sens bon un homme épris de désir ...Je ne sais si c'est les pheromones, mais
j'adore ça.
Je
bascule ma tête en arrière sur le canapé, je m'abandonne à la sensualité de ses caresses sur ma poitrine.
Je
sors de ma rêverie, attrape son visage entre mes mains, l'approche de
mes lèvres et reste suspendue à quelques centimètres de sa bouche. Son
souffle chaud pénètre ma bouche qui s'entrouvre ...
- .... il y a une poche de glace dans le congél' ...
Cette
fois, c'est moi qui lui sourit conquérante. Ses yeux et ses mains
coulent sur mes seins, mon ventre et mes hanches sur lesquelles il
prend appui pour se relever. Il a l'air fort à l'étroit dans son jeans
...
Je matte un peu son postérieur tandis qu'il se dirige vers la cuisine. Je ferme les yeux et l'écoute fouiller dans la cuisine.
Le
silence soudain m'interpelle ... je rouvre les yeux. Il est debout face
à moi un torchon plein de glaçons à la main. Il me dévore
littéralement, faut dire que j'ai retiré mon jeans. Je suis lascive,
installée dans mon canapé, avec un pull sans soutien-gorge et dans un
tanga noir qui doit commencer laisser paraitre certaines de mes envies.
Ma cheville blessée repose sur la table basse et l'autre est au sol ...
la tenue et la posture sont franchement ... indécentes .... mais j'aime
ça de plus en plus.
Je
tends le bras vers lui pour me saisir de la poche de glace, il avance
vers moi. Mais ma main ne vient pas saisir la poche de glace mais vient
se placer sur sa braguette. J'apprécie dans le creux de ma main ce
renflement comme un compliment, et c'est ma foi un compliment fort
généreux.
- hum, intéressant .... Tu veux bien encore me masser la cheville, c'était vraiment bon ...
Suite...
Je lui tends le bras pour l'aider à se relever... Il doit y avoir un
Dieu pour les libertins ! Elle voulait me plaquer comme ça devant la
porte de l'ascenseur. Mais ce n'était pas son destin de m'échapper. Et
elle rentre du coup en plein dans le jeu. Elle a mal...
- euh … bien …je … j’aime
pas le café mais je vous offre un thé si vous m’aidez à rentrer...
Et comment que je vais te ramener chez toi !
Je
la fais s'accrocher à mon épaule et je la prends par la taille en la
serrant contre moi... Humm !... Ce corps fin et léger contre moi !
Cette belle courbe de sa hanche ! Je sens contre moi la courbure de son
sein... Je marche à petits pas vers l'ascenseur, elle sautille tout
contre moi sur son pied valide.
Oui, j'ai envie d'elle mais je crois
bien que c'est réciproque... Je n'ai pas été sans voir son regard sur
ma braguette quand elle était tout à l'heure à quatre pattes devant moi
! Et elle a bien vu combien elle était gonflée !...
Nous sommes dans
l'ascenseur. Seuls cette fois. Ele appuie sur le bouton de son étage.
Les portes se ferment... Nous sommes seuls. Elles s'accrochent à la
rambarde. Je n'ai plus besoin de la soutenir. Alors je glisse
nonchalamment ma main qui la soutenait sur sa fesse, sous sa fesse...
J'étale ma main sur toute la surface de cette si belle fesse, bien
ronde, bien ferme, bien haute... Elle se laisse faire...
- Vous êtes belle... Sexy, même... Désirable !...
Pour toute réponse, elle rougit un peu et pose sa tête contre mon épaule...
Mais
l'ascenseur arrive à destination. Je la reprends sous la hanche, elle
sautille, je marche à petits pas... Elle me montre la porte de son
appartement, cherche les clés dans son sac à main... Et nous voilà chez
elle... Nous entrons dans son petit salon... je la mène jusqu'au canapé
où elle se laisse tomber... C'est mignon chez elle... Un peu le bordel
comme chez quelqu'un qui est parti vite ce matin... Et puis ce soutien
gorge accroché aux étagères ! Il a du être enlevé dans une certaine
précipitation...
Je m'agenouille à ses pieds. Enlève ses
chaussures... Prends sa cheville entre mes deux mains et commence à la
masser doucement... Je veux remonter le bas de son jean mais il est
trop serré...
- Il faudrait que vous enleviez votre jean pour que je puisse bien vous masser...
- Vous croyez ?
Elle me regarde. Ecarte les jambes. Je craque.
Je
me glisse entre ses deux belles et longues jambes et la serre contre
moi. Mon visage se retrouve entre ses seins... Hummm. Ils sentent bon.
Mes mains glissent sur son corps et chacun d'elles se saisit, à travers
le tissus, d'une de ces deux belles petites poires bien fermes et
juteuses...
La suite de mon histoire écrite avec Cixi !...
Ouf ça y est … le
rez-de-chaussée, je vais pouvoir me décoller de lui. Je souris. En me décalant
un peu pour sortir, j’ai senti sur ma hanche … je l’ai sentie !
IL BANDE ! et pas
qu’un peu le démon. J’en ai eu des fourmis dans les mains de me retenir de
mettre ma main en coupe sur ce renflement… juste pour sentir la palpitation de
cette érection. Je la devine presque dans ma main, la caressant d’une façon
douce et ferme à la fois… la serrant un peu pour en apprécier le diamètre, et
l’imaginer me pénétrant …
Les portes s’ouvrent.
Je sens que cette excitation va m’entraîner
dans des choses … mmmh …
Allez allez qu’elle
les vire ses sacs que je puisse fuir cette divine excitation qui m’envahi les
seins, le bas-ventre, les hanches, les flans …
Suivra … suivra pas … apparemment
non, il a pas l’air de bouger …
Je prends une grande
inspiration en franchissant les portes quand on me bouscule.
- Oh ! Excusez-moi ! Je n'avais pas réalisé qu'on était
arrivé en bas ! Perdu dans mes rêves.
- Y'a pas de mal.
- Je vous offre un café ? Vous êtes pressée ?
Han ouui il a osé … « qui ne tente
rien … n’a rien », j’apprécie.
Je regarde machinalement
l’heure sur mon portable et le jette dans mon sac.
- Oui super pressée ... une prochaine fois peut-être ?
Pas le temps de
papoter … dommage quand même … et je le plante là devant l’ascenseur en tournant les talons rapidement … trop
rapidement, vraiment trop rapidement sur le sol que je n’avais pas vu fraîchement
lessivé …
Mon talon a ripé et je
me retrouve je-ne-sais-comment face à lui à genoux dans le hall de l’immeuble.
Je devrais être
pétrifiée de honte pourtant je ne peux détacher mes yeux ni des siens qui sont
en train de parcourir ma poitrine vu le décolleté sans fond que je lui offre et
ni du renflement que j’ai à présent à hauteur des yeux.
- je vais vous aider à vous relever
J’attrape le bras qu’il me tend et me redresse …
- merci …
Mais ma cheville ne
l’entend pas de cette oreille, je vacille sur cet appui fragilisé et me rattrape à lui
- wow .. ma cheville, elle me fait mal …
- si c’est une entorse, faudrait mettre de la glace avant
que ça n’enfle …
- euh … bien …je … j’aime
pas le café mais je vous offre un thé si vous m’aidez à rentrer...
Cixi a raconté ce jour où elle était troublée après avoir lu mon blog... Elle croit reconnaître le Démon dans l'ascenseur... Voici ma version des faits...
Hum ! Mignonne cette belle femme qui rentre dans l'ascenseur... Dommage
qu'il y ait du monde. Je la draguerais bien... Chance. Elle se poste
devant moi... Cette poitrine ! Comme je les aime ! Pas trop grosse mais
elle semble bien ferme, bien haute... Deux petites poires que j'aurais
plaisir à tenir dans le creux de ma main... Les caresser, les
contourner, les soupeser, les malaxer doucement, jouer avec les
pointes, les lêcher, les téter... Mais, elle n'a pas mis de soutien
gorge ! Et elle lit dans mes pensées ! Ses pointes pointent ! Ses seins
bandent. Et ça me fait bander...
Allons bon, voilà une autre femme
qui rentre avec tous ses paquets. Y'a plus de place ! Quelle intimité !
Frustrant d'être face à une telle beauté et de ne rien pouvoir dire ni
faire sans craindre de heurter la compagnie... Oh ! Mais super. Elle
est obligée de se serrer contre moi. Caresse furtive de la pointe de
ses seins contre mon torse... Elle s'excuse ! Il n'y a pas de quoi ! Au
contraire. Tout le plaisir est pour moi. Fallait pas vous redresser...
Regard
plongeant dans l'échancrure de son haut... Oh ! Dieu me damne ! Je les
veux ces seins... Si elle savait comme je bande ! Si elle voyait mon
sexe dans quel état elle me le met ! Pourquoi elle rougit ainsi... Elle
semble suffoquer !
Elle est presque indécente ainsi collée à moi,
les jambes écartées, les tétons dressés, le haut de ses seins à la vue
de tous... Je ne m'en plains pas... De sa hanche, elle effleure mon
sexe. Elle va sentir que je bande ! Elle va crier au satyre !...
Pourquoi
diantre ai-je ce journal en main... Il m'embarasse. Je pourrais sinon,
par inadvertance, lui effleurer le bassin, les hanches, le haut de la
cuisse, la naissance de ses fesses...
Oui, oui, il fait chaud...
Mais on est bientôt arriver au rez-de-chaussée. Elle va sortir. Et mois
je vais continuer au sous-sol prendre ma voiture... Ca y est. On est
arrivé. La dame chargée de ses sacs sort la première. Les autres la
suivent... Et elle ? Elle sort pas ? Zut. Si. Dommage !
- au revoir Monsieur.
- au revoir !
Oh ! Ce cul moulé dans son jean. Digne de ses seins. Aussi attirants, aussi appêtissants !
Les
portes commencent à se fermer. Tant pis pour ma voiture. je ne suis pas
pressé ce matin. Je me glisse vite entre elles et manque buter contre
celle qui me met en rut.
- Oh ! Excusez-moi ! Je n'avais pas réalisé qu'on était arrivé en bas ! Perdu dans mes rêves.
- Oh ! Y'a pas de mal.
- Je vous offre un café ? Vous êtes pressée ?
Pourvu qu'elle dise oui. Pourvu qu'elle ne m'envoie pas c... J'ai gaffé ! Je sens que j'ai gaffé !...