... entre deux voyages.
Occasion de déposer quelques baisers et caresses
sur ton corps plein de promesses.
Ce message s'adresse à toi,
tu te reconnaîtras...
Tendresse !

Nouvelle absence... de quelques jours
pour raisons professionnelles...
En attendant ...


Nue ou habillée,
sur votre lit ou à votre table,
avec la plume ou le clavier,
en bon français ou en argot,
très inspirée ou cherchant vos mots,
érotiquement, amoureusement,
sensuellement, coquinement,
écrivez-moi
une lettre ou un poème,
vos fantasmes ou bien le vrai,
une déclaration d'amour
ou le contraire.
Et je vous répondrai...

Vous pouvez aussi, si vous le préférez,
une belle photo de vous m'envoyer
pour mon album "Les Portes du Paradis".
Vous m'en verrez ravi !
Ou pour le moins quelques commentaires !
C'est pour le moins très encourageant et salutaire !

Et en attendant mon retour,
les filles, mille bises.

Ca vous arrive souvent une telle tension ?

Déjà réveillé ! Mal dormi...
Le boulot... Une réunion tout à l'heure, difficile...
Soucis familiaux... Que va t'il devenir ?...
Envie de t'avoir près de moi...
J'imagine mille scénarios...
Sexe tendu dans ma main...
Ton corps contre le mien.
Tension extrême.
Tes seins dans mes mains.
Ta bouche avalant mon vit...
Comment dire les choses tout  l'heure ?
Ma main va et vient...
Je me retiens...
Ma tête entre tes jambes,
j'admire, je sens, je goûte...
Doigts enserrant mon gland,
les tiens ? Les miens ?
Nu dans mon peignoir, ce matin,
je t'imagine... Erection...
Je vais préparer ma réunion...
D'abord préparer un deuxième thé,
une troisième cigarette...
Mon vit bat contre mon ventre.
La journée va être longue...

2 ans !
Mon blog a deux ans !
Et je ne pense pas m'en fatiguer...
En ce moment, c'est un peu le calme plat :
peu de réactions, de commentaires...
Mais qu'importe !
Il me permet quelques contacts plaisants,
quelques amours virtuels mais rien de réel.
Qui sait ? Peut-être un jour... Peut-être toi...
Quelques confidences, réelles ou fantasmées.
Quelques cadeaux d'une photo,
d'une histoire, d'un texte à plusieurs mains...
Quelques baisers échangés,
dans le cou ou en un lieu beaucoup plus intime...
Quelques amitiés sincères et solides,
tant qu'on ne s'est pas vu...
Quelques caresses avouées :
tant mieux si j'ai pu accompagner
quelques rêveries pendant des caresses intimes,
si je suis un peu responsable
de quelques frémissements,
et même de quelques jouissance !
Quelques leçons de morale aussi,
de Pères ou Mères Fouettard qui trainent malgré tout
sur des blogs réservés aux adultes.
S'attendent-ils à y trouver des leçons de tricot,
ou la recette de la bouillabaisse à la mode de Caen ?
Bast ! Au diable les grincheux et les gardiens de leur vertu !
Je vous embrasse toutes les amies.

Admirons ces courbes,
ces pleins et ces déliés,
qu'on a grande envie de suivre
du bout du doigts, de la langue...

Envie aussi de prendre à pleines mains,
de couvrir de baisers,
de s'insinuer là où cela est possible...

Envie de faire frémir et jouir...

Que moi, un homme, je sois sensible à ces belles formes,
c'est dans la nature des choses...
Mais vous, Mesdames, vous n'y êtes pas non plus insensibles, n'est-ce pas !...

ou rondes douceurs...

Fais de moi, ce que tu veux... mais dis moi ce que tu me fais...

Une femme a déjà répondu à la question :
Divine mise en bouche...
Je la déballe de son enveloppe...
L’examine dans toute sa splendeur...
La palpe dans tous les sens...
Avec gourmandise je la dépose sur mes lèvres...
Son odeur imprègne mes narines...
Puis la prends dans la bouche...
Découvre sa dureté...
L’apprivoise avec ma langue...
L’enrobe de ma salive...
La tourne et retourne dans ma bouche...
Elle frôle mes dents...
La lèche en profondeur...
Sur toute sa longueur...
Ma langue s’en régale...
Mes doigts l’encercle...
Je l’enfonce jusqu’au fond de ma gorge...
Je la sens frémir entre mes lèvres...
Une liqueur remplie ma bouche...
Que je savoure jusqu’au fond de ma gorge...
Je ne veux pas en perdre une miette...
Je la lèche jusqu’à la dernière goutte...

Et vous ?... Et toi ?...

Je me cale dans mon fauteuil, contre la fenêtre, tout au fond de la voiture, dans le sens de la marche. Le TGV qui doit me ramener de Marseille à Paris va démarrer dans 5 minutes. J'ai devant moi, sur la tablette ouverte, un bon roman érotique que je veux relire. La voiture est pleine. Pourtant il n'y a personne à côté de moi. J'ai de la chance. Je vais pouvoir m'étaler…
Les hauts parleurs grésillent, dans le train, sur les quais… J'entends les portes qui se ferment. Et doucement le train se met en branle. Et c'est alors qu'elle apparaît, regardant les numéros des places, son billet à la main. Une belle femme d'une quarantaine d'années, chemisier blanc, veste sur le bras, tailleur strict. "Oui, c'est bien là. Bonjour monsieur". Et elle s'installe à côté de moi. Elle ouvre sa tablette, y dépose également un livre. Sort de son sac un long poncho qu'elle jette sur ses épaules… Nous ne nous disons rien. Chacun dans ses pensées nous regardons le paysage s'accélérer.
Je me plonge dans mon livre. Elle ouvre le sien. Je ne pense plus à rien, pris dans ce roman. Rapide comme le train, il est vite au cœur du sujet et je sens déjà en moi une certaine raideur. Après un épisode torride entre les deux amants héros du roman, je pose mon livre un instant pour reprendre mon souffle. Je jette un œil sur ma voisine et… surprise !
- Vous en êtes où ? lui demande-je !…
- … ?
- Nous lisons le même roman… C'est chaud, non ?
Elle fait un quart de tour vers moi, passe sa main sous la tablette de mon siège, la pose sur ma cuisse et la fais remonter jusqu'à mon entrejambe où elle peut mesurer les effet du bouquin sur mon anatomie…
J'ai un premier mouvement de recul… On pourrait nous voir… Effectivement quelqu'un passe dans le couloir mais ne fait pas du tout attention… Et tel qu'elle est tournée, avec son poncho  sur les épaules, cela nous protège.
Je relève l'accoudoir qui nous sépare, mets un bras autour de ses épaules, je la serre contre moi… Et nos lèvres se rejoignent… Sa main continue de s'activer et cherche à ouvrir mon pantalon… Je pose la mienne sur son genou et la fait remonter le long de la jambe…
"Tu vas avoir une surprise" me souffle t'elle.
En fait, j'en ai deux. Lorsque j'atteins le haut de la cuisse, je me rends compte qu'aucun obstacle ne m'empêche d'atteindre son sexe, aucun bout de tissu à écarter, à enlever… Et puis elle a le pubis tout à fait rasé…
De deux doigts j'écarte les lèvres et pénètre dans son antre glissante et accueillante.
Sa main  a réussi à se glisser entre vêtement et ventre, je  sens mon cœur battre dans mon sexe serré entre ses doigts…
J'ai le cœur qui bat vite. Et si on nous voyait ! Mais non ! Après tout, nous sommes comme n'importe quel amoureux. Nous nous étreignons, nous embrassons… Personne ne peut voir où sont et ce que font nos mains. Et personne ne sait qu'il y a 5' nous étions de parfaits inconnus l'un pour l'autre…
Nous nous rapprochons encore… nos langues ne cessent de s'emmêler… sa main descend plus bas… la mienne s'enfonce plus loin…
Elle se raidit… Sa respiration s'accélère… Elle geint… Je serre son visage contre moi… Pas trop fort… Que personne ne se doute de quoique ce soit…
Je sursaute… On a touché ma main qui enserre les épaules de ma nouvelle compagne… J'ai un mouvement de retrait… Non. C'est simplement le sac à main d'une femme qui passe dans le couloir…
Elle halète… elle est rouge… elle transpire…. Mes doigts s'agitent en elle… Les siens serrent fort à me faire mal…
Elle retombe… recherche sa respiration… et elle me glisse dans l'oreille : "J'ai jouis… Viens avec moi…"
Je me reboutonne et la suit. Elle entre dans les toilettes. Je regarde autour. Personne. Je rentre avec.
Et là, serrés l'un contre l'autre, serrés entre cuvette et lavabo, je la pénètre. Rapidement, je jouis et elle de nouveau me suis….
Nous sortons ensemble. Sur la plate forme, une vieille dame qui nous regarde passer… Pas de reproche dans son regard… Peut-être un peu d'envie !
Lorsque nous revenons à notre place, elle prend son livre et sans rien me dire, elle file vers l'avant du train. Je n'ose pas lui courir après. En arrivant à Paris, sur les quais je la chercherai… Mais ne l'ai point trouvée et cette histoire en est restée là. L'aurais-je rêver ?

Nouvelle absence de plusieurs jours
pour le travail.
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A tout bientôt...