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Le Démon de Midi
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31 octobre 2010

Ombres et lumières

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28 octobre 2010

Jolies frimousses

J'aimerais pouvoir vous tirer le portrait, ainsi !
Alors, n'hésitez pas !...

abcd
efgh
ijkl

dcab


Et, de nouveau, ciao jusqu'à la prochaine fois !

27 octobre 2010

Rencontre du troisième type

Une nouvelle d'Anna Galore. Il y avait longtemps !
Et qui me plait particulièrement parce que je découvre qu'elle aime les roms et autres gens du voyage. Ce qui fait de cette nouvelle quelque chose d'actualité !... Histoire de faire la nique à Sarko et ses valets Hortefeux et autre Besson !

Les femmes ont quand même un gros avantage sur les hommes. Elles peuvent faire l’amour autant de fois qu’elles le veulent dans une même journée. Et, de plus, rien ne permet de le deviner à condition de bien s’y prendre, ce qui n’est pas sorcier.
Un samedi bien particulier me revient en mémoire. La journée avait vraiment été géniale.
En me réveillant, j’ai senti contre mon dos la bite en érection de Frank, mon compagnon de l’époque. Il dormait encore, mais bandait déjà. Côté sexe, on peut dire qu’il assurait. Il m’a dit un jour qu’il avait la même devise que les scouts : « toujours prêt ». Par contre, il avait un caractère de cochon. Autant, dans les premiers mois de notre vie commune, je ne voyais que ses bons côtés, autant ensuite c’est devenu de plus en plus pénible à supporter. Comme il ne faut pas non plus trop me chercher, nos prises de bec se sont vite multipliées. Même si certaines se résolvaient par une bonne partie de baise, à force, une usure certaine s’était développée. J’ai commencé à avoir envie de regarder ailleurs. Pas de le quitter – je le trouvais vraiment brillant intellectuellement – disons de compenser. Cela dit, je l’ai finalement plaqué quelque temps plus tard.
J’en reviens à ce fameux samedi. La veille, j’avais invité à la maison un couple de copains et Frank avait été tout simplement infect avec eux. Après leur départ, on s’était salement engueulés. Une fois dans la chambre, il avait tenté de me passer sur le corps comme un soudard, mais je n’étais vraiment pas d’humeur. Je lui avais donné un bon coup de genou remontant entre les jambes et ça l’avait calmé pour la nuit.
Normal s’il bandait dès l’aube. Je me suis levée sans attendre qu’il s’éveille, j’ai enfilé un corsaire et une brassière, bu un grand café et, après lui avoir laissé un mot sur la table de la cuisine, je suis partie vers le parc de la Bastide pour me défouler.
Il était environ 10 heures du matin quand je me suis garée. Il faisait un temps superbe en ce mois de mai et la température dépassait déjà les 25 degrés. Près du parking, sur une large esplanade, des chapiteaux finissaient d’être installés. Le soir même commençait le festival Drom – du mot romani qui signifie « route » – et nous avions prévu de nous y rendre, Frank étant féru de jazz manouche et moi très branchée sur la culture Rom en général.
J’ai fait un premier tour sans croiser personne. Au deuxième, j’ai repéré un autre coureur qui venait d’arriver. Bronzé, belle gueule, la quarantaine, bien bâti. Et seul.
J’ai ralenti ma cadence, guettant de l’oreille le moment où il se rapprocherait derrière moi. Quand j’ai entendu qu’il était tout près, j’ai repris un rythme de croisière pour rester juste devant lui, histoire qu’il admire mon joli petit cul bien moulé et qu’il se mette à fantasmer un peu. Parfait, il n’essayait pas de me doubler, il devait profiter du spectacle.
D’un coup, j’ai accéléré en allongeant mes foulées. En trente secondes, je lui avais mis plusieurs longueurs dans la vue. J’ai maintenu le rythme jusqu’au virage qui traverse le petit bois après le plan d’eau. Il ne pouvait plus me voir. Je me suis arrêtée, j’ai ôté ma brassière que j’ai jetée en travers du chemin, puis mon corsaire à deux mètres sur le côté et, entièrement nue, je me suis cachée au bout de mon jeu de piste derrière un buisson, où j’ai rapidement retiré mes chaussures.
Il a déboulé à fond dans le chemin, essayant sans doute de me rattraper. Quand il a vu la brassière, il s’est arrêté net en dérapant un peu. Interloqué, il s’est penché pour la ramasser et a cherché du regard où j’avais bien pu passer. Il a repéré tout de suite le corsaire, a souri, s’est approché, l’a ramassé aussi. Et il m’a vue. Je m’étais appuyée contre un arbre, lui faisant face, mon corps luisant de transpiration, offerte. En plus, j’étais passée chez l’esthéticienne trois jours plus tôt et mon pubis était parfaitement épilé.
Il m’a rejointe à l’abri des regards, s’est dessapé rapidement, le sexe bien raide. Il était monté comme un étalon. Il s’est collé contre moi, les mains sur mes fesses. Nos bouches se sont jointes, nos langues entremêlées, nos coeurs emballés. En m’agrippant à ses épaules, je me suis hissée le long de sa poitrine et laissée glisser pour m’empaler sur
lui.
Assez vite, nous nous sommes retrouvés allongés sur l’herbe. Il me bourrait vigoureusement. J’ai joui en criant sans retenue. Il s’est retiré, m’a retournée pour que je me retrouve à quatre pattes et m’a prise aussitôt en levrette. Décidément, mon joli petit cul lui plaisait vraiment beaucoup. Je sentais à l’accélération progressive de ses coups de reins la montée de son plaisir. Le mien n’était pas à la traîne. À son tour, il a lâché un grand cri en crispant ses mains comme des serres sur mes fesses. J’ai senti son sperme m’envahir et j’ai eu un superbe second orgasme. Il s’est écroulé sur moi et nous nous sommes affalés par terre, haletants et comblés.
Après avoir repris mon souffle, je me suis dégagée en douceur, me suis relevée et j’ai remis mes vêtements. Je lui ai chuchoté :
- C’était parfait. Laisse-moi quelques minutes avant de partir à ton tour. C’est quoi, ton prénom ?
- Angelo.
- Tu es Italien ?
- Si, cara mia.
- Alors, grazie mille e arrivederci, bello stallione.
- Ciao, bellissima.
Un Italien… Je ne pouvais pas rêver plus parfait. Frank détestait les Italiens. Remarque, il détestait la majeure partie du monde connu.
Quand je suis arrivée à la maison, il terminait son petit déjeuner. Il m’a à peine regardée. J’étais en nage et je devais émettre une quantité phénoménale de phéromones. Sans parler de l’odeur du sperme que je sentais s’échapper lentement de mon vagin. Pas question de lui laisser l’occasion de me glisser la main entre les fesses. J’ai filé directement à la salle de bains. Là, j’ai mis mes fringues dans la machine à laver avec une pile d’autres habits sales et je l’ai mise en route. Pendant qu’elle tournait, j’ai pris une longue et délicieuse douche brûlante.
Je suis ressortie, vêtue d’un peignoir que je n’ai pas pris la peine d’attacher. Quand Frank m’a vue, ça l’a allumé aussitôt, bien sûr. Cette fois, j’en avais envie. Il m’a prise dans ses bras pour me caresser, j’ai laissé tomber le peignoir à mes pieds, il m’a poussée sur le canapé du séjour et il m’a sautée en grognant comme un ours. J’ai pris mon pied encore deux fois, c’était  vraiment fantastique. Inutile de dire à qui je pensais. Après qu’il ait éjaculé, il m’a dit avec un petit air satisfait :
- Tu devrais faire du jogging plus souvent, ça te rend la peau plus douce et tu grimpes au plafond encore plus fort.
- Je vais y penser, lui ai-je répondu avec un sourire d’une parfaite innocence.
Et je suis repartie me doucher.
En fin d’après-midi, on s’est préparé à sortir. J’ai choisi une robe courte qui me laissait le dos nu jusqu’à la limite de la naissance des fesses. Elle se porte forcément sans sous-vêtements. Frank a un peu tiqué, mais je lui ai répliqué sèchement qu’on n’allait pas recommencer à se prendre la tête alors qu’on était sur le point de passer une bonne soirée. Il n’a pas insisté.
En arrivant aux abords du festival, j’ai cherché machinalement des yeux Angelo, mais je ne l’ai pas vu. Tant mieux, je préférais autant, impossible de savoir comment il aurait réagi en me voyant avec quelqu’un d’autre.
Cela dit, assez vite, nous nous sommes séparés, Frank se mêlant à la foule sous le chapiteau principal pour assister aux concerts des différents groupes et moi préférant musarder dans le second chapiteau, qui abritait le bar et des petits stands où se côtoyaient vendeurs de bibelots ou de livres et diseuses de bonne aventure. Les looks les plus variés se croisaient, depuis les rastas aux dreadlocks relevés de rubans colorés jusqu’aux petites familles proprettes avec gamins, mais aussi des bikers en blousons de cuir, des beurs sapés comme pour aller en boîte et bien sûr des manouches aux vêtements bariolés. Tout ce petit monde cohabitait sans heurt, dans une ambiance festive et bon enfant.
J’ai fini par m’installer au bar, où ma robe m’a rendue aussitôt très populaire parmi les mecs qui trainaient là. Seul le barman, en vrai pro, jouait l’indifférence. Il savait qu’il n’avait aucune chance dans ce genre de situation, étant coincé à son poste pendant encore plusieurs heures.
Mes nouveaux admirateurs se sont mis à rivaliser d’imagination pour attirer mon attention. L’un d’entre eux était tout à fait à mon goût. Il était très drôle et, à la différence des autres, il savait que je savais qu’il jouait le dragueur à deux balles rien que pour me faire encore plus rire. En plus, il était Rom, un bon point pour lui. Je me suis décidée : il allait être mon troisième amant de la journée. Je me suis mise tout contre lui pour lui dire à l’oreille « Retrouve-moi derrière dans deux minutes ».
Dès qu’il est arrivé, je l’ai pris par la main et nous sommes partis au milieu des tentes et des caravanes pour nous éloigner de la foule. Nous avons vite trouvé un coin désert et juste assez éclairé pour que nous puissions profiter chacun de la vue de nos corps emboîtés.
Il m’a d’abord prise debout, comme Angelo le matin même, sauf qu’il n’a pas eu besoin d’enlever ma robe pour le faire. Lui-même avait simplement laissé glisser son pantalon sur ses cuisses. C’était sauvage, intense, bestial. Grâce à l’alcool, il a mis un temps fou avant d’éjaculer, ce qui m’a permis d’accumuler les orgasmes. Combien ? Aucune idée. Après le premier, j’ai à peine senti une redescente de mes sensations avant que ça reparte de plus belle. Ensuite, je n’étais plus qu’une chose désarticulée traversée de décharges de plaisir incessantes. Ça ne s’est arrêté que lorsque mon amant a enfin joui à longs traits et s’est carrément effondré d’épuisement, moi toujours sur lui.
J’ai mis un très long moment avant de reprendre conscience du monde qui m’entourait. Quant au Rom, il s’était endormi dans la position qu’il avait en tombant. J’ai remonté son pantalon, histoire que personne ne le retrouve par hasard la bite à l’air au petit matin.
Le timing était parfait. Sous le chapiteau des groupes, la foule battait un dernier rappel en vain et commençait à se disperser. J’ai croisé Frank au moment où il s’éloignait à son tour de la scène alors que les lumières se rallumaient.
- C’était vraiment une super soirée ! s’est-il exclamé avec un sourire comme je lui en ai rarement vu. Et toi, tu étais où ? Je t’ai perdue de vue à un moment. Ça s’est bien passé ?
- Oh, j’ai trainé à droite à gauche. Mais t’inquiète, c’était très bien pour moi aussi. Je dirais même que je suis comblée. Bon, on rentre ? Je suis crevée et je prendrais bien une douche avant d’aller me pieuter, moi.
- Encore ? Décidément, c’est ta journée, ça va faire la troisième.
- Oui, tu peux le dire, c’est ma journée. Si je pouvais, je ferais bien la même chose tous les jours et même encore plus souvent. Y a rien de tel pour se sentir bien.

26 octobre 2010

Dessous !

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25 octobre 2010

Lèvres contre lèvres !...

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C'est beau ! C'est doux ! C'est... ! N'est-ce pas ?

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24 octobre 2010

A la plage...

... en bonne compagnie,
histoire de s'imaginer qu'il fait beau et chaud !

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23 octobre 2010

Bon week end... sous la couette...

... avec tendresse et passion et plaisir !

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23 octobre 2010

Céline et Zoé s'amusent !

22 octobre 2010

Allez donc...

... donc voir Peter Pan !
Ce blog vaut le détour, tant pour ses photos (comme celle ci-dessous) que pour ses textes.

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20 octobre 2010

Jeunesse

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