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Le Démon de Midi
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31 mars 2008

Invitation

aViens ma toute belle. N'aie pas peur.
Tu es coupable de cette raideur.
Approche-toi,
apaise-moi
et prends aussi du bonheur.
Blottis-toi contre moi,
mon vit coincé entre moi et toi.
Je caresse ta douce peau,
tourne et contourne tes courbes.
Mais, tiens ! Tu es aussi dans un bel état.
D'où te vient cette humidité
qui suinte entre tes lèvres ?
Qu'est ce petit bouton dressé ?...
Chevauche-moi.
Empale-toi.
Va au plus profond que tu peux.
Donne ton tempo.
Va et viens au gré de tes frissons.
Ensemble jouissons.
Allons. Viens ma chérie...

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28 mars 2008

Quel dommage...

... d'en être rendu là !

aMais avec tout ce que vous êtes,
tout ce que vous me racontez,
tout ce dont vous me faîtes rêver,
je ne puis faire autrement.
Et parce que vous n'êtes pas là,
que je me retrouve seul,
et bien je m'arrange entre moi et moi...
C'est sans doute pas mal,
mais certainement mieux avec toi dans mes bras.

Photo prise à l'Effrontée

28 mars 2008

Week-end pascal

Avec grand plaisir, je reçois ce message de ma jeune amie Anne et, avec son autorisation, je vous le fais lire...

Cher Démon,
Je voudrai vous relater mon week end pascal, passé en famille comme je vous l'avais laissé entendre. Perspective peu réjouissante pour moi, vous vous en doutez. Mon corps jamais rassasié crie famine, et dans la voiture de ma mère qui m'emmène au fin fond de la Bretagne, je me promets de m'offrir quelques plaisirs, forcément solitaires, mais néanmoins intenses, et consolateurs.

a Nous avons une maison de famille au Val André, et une tante, chez laquelle nous allons, à Pléneuf. Tous mes étés d'enfance et d'adolescence se sont déroulés ici. Autant vous dire tout de suite que ce n'est pas St Trop. Vous pourriez parcourir la plage de juin à septembre, vous n'apercevriez pas le moindre sein nu. C'est ici une villégiature familiale, et même les jeunes femmes, souvent très jolies du reste, sont pudiquement couvertes d'un maillot,  à peine parfois un peu trop échancré...

Je retrouve la petite chambre qui depuis mon enfance m'est destinée. Mobilier breton garanti,  lit clos, vieille armoire de chêne,  petit cabinet de toilette  du temps ou il n'y avait pas l'eau courante, c'est à dire sans robinetterie, mais une simple cuvette d'émail blanc. Cela peut paraître ringard, mais trop de souvenirs pour moi y sont attachés, comme par exemple, ceux de mes premières caresses, de mes premiers émois, vers onze-douze ans.

La famille du coté de ma mère est ultra catho, mais c'est vrai que nous sommes en Bretagne bretonnante, avec calvaires de granit à chaque coin de rue, et pratique religieuse obligatoire. En tant que Démon, cela ne va pas vous plaire, mais c'est ainsi. Et croyez moi, nous sommes loin du couvent de Saint Plaisir !
...

Je ne m'étendrai pas sur ma confession, où j'ai passé sous silence (ou omission ?) quelques turpitudes, mais où il me fallu cependant avouer suffisamment de péchés pour paraître crédible. Mon confesseur ne pouvait pas ignorer qu'à mon âge, on a d'autres gourmandises que les confitures, et d'autres mensonges que les retards au catéchisme. Cela fait, il fallut encore passer une heure agenouillée en récit de chapelet et autres oraisons. Mon Dieu que les bancs sont durs. Les Bouddhistes et leurs moulins à prières sont bien plus en avance que nous dans ce domaine.

aDe retour à la maison, le repas fut frugal, les agapes seront pour demain. Une douche et au lit. Oui M'man, oui Taty. J'adore le ruissellement de l'eau sur ma peau. Après la purification de l'âme, celle du corps. J'y prenais un intense plaisir. Je dirigeai le pommeau sur mes seins dressés sous l'ondée, sur mon ventre, sur mon pubis, pour sentir la pression de l'eau sur mon clitoris qui s'éveillait à cette douce volupté. J'insistais plus qu'il n'était nécessaire, tant était grande la chaleur qui commençait à irradier dans mon ventre. Tiens, mes poils ont légèrement repoussés. Un rasage s'impose. Heureusement j'ai tout prévu dans ma trousse de toilette.

Je m'assieds sur le rebord de la douche, cuisses largement ouvertes. J'étends une mousse à raser en bombe. On dirait de la crème chantilly dont je raffole, puis j'étale consciencieusement. Hum...que c'est doux et bon. Armé de mon petit rasoir féminin, spécial épilation, j'attaque l'ouvrage. Il ne s'agit pas d'aller vite, mais de bien passer partout. Sur le bombement du pubis, pas de difficulté. Mais à l'approche des grandes lèvres, prudence, il ne s'agit pas de faire une entaille dans cette chair si tendre. Je rase au plus près, un doigt écartant les lèvres, tirant sur la peau pour bien la tendre et permettre au rasoir d'accomplir son œuvre au plus près de la bouche d'amour. Cela pend un certain temps, puis d'un jet tiède habillement dirigé, je rince la surface rendue à sa virginité première. Un petit miroir me permet de voir le résultat de mon travail : parfait, pas la moindre pilosité n'a résisté à cette tonsure d'un nouveau genre. Je laisse l'eau couler longuement dans ma vulve béante qui ne se referme pas. Je suis intriguée par la taille de mon clitoris, que je n'imaginais pas si gros et si raide.  Il est vrai que je suis en feu maintenant. Il ne me reste plus qu'à passer du bout du doigt une crème dépilatoire pour parachever l'ouvrage et éviter une repousse trop rapide. Normalement ça doit tenir deux ou trois semaines avant une prochaine séance, sauf si un imprévu exige d'être de nouveau parfaitement nette. Mon Dieu que j'ai envie maintenant...

Dûment séchée, je me glisse dans les draps frais qui sentent la lavande comme autrefois, petite délicatesse de tante Sophie. Je suis sur le dos, jambe serrées, bras croisés sur ma poitrine. La chaleur de mon corps à tôt fait de tiédir les draps. J'ai envie, j'ai envie...mais j'attends immobile, que ça devienne insoutenable, je lutte contre le désir, sachant que je serai bientôt vaincue, que je désire cette défaite, que j'ai soif d'amour à en crever. Imperceptiblement j'écarte les jambes, premier signe d'abandon. Est ce que cela a fait surgir mes fantasmes, ou est ce les fantasmes qui commande ma reddition prochaine ? Je sens le sexe de mon ami sur mes seins, il se glisse entre eux, il s'y caresse jusqu'à ce que sa purée brûlante dégouline sur mon ventre. Me voici maintenant attachée, yeux bandés, livrée sans défense à des mains caressantes, à des langues pénétrantes, à des verges plus ou moins fermes qui semblent ramper sur mes cuisses comme autant de serpents. Justement mes cuisses s'écartent encore. Il s'échappe maintenant de mon pertuis une bave chaude qui tachera le drap. Je me tords, je me cambre,  mon bouton de  bonheur, en folle érection, frotte le drap, faisant monter le désir à son paroxysme. Une main se pose sur mes seins, tendus d'exaspération, je me pince les tétons, l'autre main se glisse le long de mon ventre. Elle ne tarde pas à trouver la faille ruisselante, un, deux, puis trois de mes doigts pénètrent à l'intérieur du volcan, s'y agite alors que mon pouce écrase sans ménagement le clito révolté. Et ça part, en ondes concentriques, comme une houle qui me soulève toute entière, qui me roule, j'ouvre la bouche sans un cri, je me retourne pour mordre l'oreiller, je lâche prise, je coule emportée par l'ouragan dévastateur qui m'entraîne comme fétu. Je suis hors de l'espace et du temps, dans l'éternité. J'ai senti ma mouille inonder ma main, puis plus rien. Il me faudra de longue minutes pour récupérer.

aJ'ai recommencé. Plusieurs fois. Jusqu'à épuisement. Puis le sommeil m'a délivré, Jusqu'à ce qu'une voix familière me réveille "Anne, lève toi vite, le petit déjeuner est près" Je réponds par un "Oui M'man" pâteux, Et quelques minutes plus tard, je suis devant mon thé vert, tartinant allègrement la délicieuse confiture de coing fait maison sur du pain grillé à souhait. Je reprends goût à la vie, et à vrai dire, savoure encore le bonheur de la nuit. "Allez dépêchez vous, la messe est à dix heure" Ah oui, j'avais déjà oublié ça. La barbe. Je remonte dans ma chambre me préparer en vitesse. Douche rapide cette fois, sans fantaisie. Je me sèche partout, me parfume légèrement, enfile un chemisier blanc impeccable, de circonstance, et une grande robe paysanne, pour faire couleur locale. Ample et descendant à mi mollet, elle ne fera pas tourner les têtes. Car finalement, moi seule saurais que je suis nue dessous, et, si vous avez bien remarqué, je n'ai pas mis également de soutien gorge. Je laisse mes seins libres, et seul un œil très averti (comme le votre cher Démon) pourrait deviner la coupable nudité sous le léger tissus du corsage. Cette petite provocation pour faire la nique à tante Sophie, en allant communier bien innocemment avec mon petit secret. On s'offre les petits plaisirs que l'on peut, n'est-ce pas

J'ai été un peu longue, et j'espère que vous ne m'en voudrez pas. Mais j'ai pris un peu de temps et beaucoup de plaisir à vous narrer comment on peut transformer intelligemment un week end qui s'annonçait pluvieux, venteux et familial, en moments de détente tendrement sensuelle.

Bise. Anne

28 mars 2008

L'adolescente du RER

aSuite à mon message précédent, "rencontre excitante", Malaury m'a envoyé un commentaire... chaud ! Avec son autorisation, je le reproduis ici... Merci et bises à toi, chère jeune Malaury.

Je suis cette adolescente que tu as croisé aujourd'hui dans le RER. Ce soir dans l'intimité de ma chambre je repense à toi tout en me caressant ou plutôt je me caresse en fantasmant sur toi. Tu m'as sans doute à peine remarquée tant tu étais envouté par cette jeune femme noire. Qu'est-ce que j'aurai aimé être à sa place, te faire bander comme elle t'a fait bander. En ce moment je me caresse la poitrine mais j'aimerais tant que ce soit tes mains, des mains d'hommes. Mais je sais aussi que les hommes de ton âge ne se contentent pas de flirter, ils en veulent plus, on doit "coucher" pour leur plaire. Saurais-tu être patient et me guider doucement sans me brusquer pour faire de moi une femme ? Le sexe des hommes me fait peur, on dirait une arme. Ton image, l'image de ton pantalon déformé par la bosse de ton sexe m'obsèdent. Mes seins d'adolescente sont gorgés de désir pour toi, viens y enfourner ton visage, embrasse les, caresse les. Je me caresse de plus en plus fort le clitoris. Je sens le plaisir monter, ma chatte est trempée de mon jus. Je passe mon index entre les lèvres de mon sexe pour y recueillir un peu de mon nectar. Je renifle mon doigt avant de le porter à ma bouche. J'aime me goûter ainsi. Soudain tout mon corps se crispe, le temps s'arrête et l'orgasme envahit mon corps et mon esprit.

26 mars 2008

Sensualité

a
Un site à voir !


Matassin !

De belles photos,

sans vulgarité.


De beaux textes.

De doux fantasmes.

Je m'y retrouve bien.

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25 mars 2008

Le Mont de Vénus

Un blog que je vous invite à visiter,
à l'honneur du sexe de la femme.
Sans vulgarité. Tout en sensualité...
Le Mont de Vénus dans tous ses états !


a

24 mars 2008

La porte du Paradis

a

24 mars 2008

Lesquelles vous préférez ?

Photo empruntée à Diablo

a

21 mars 2008

Ah, c'est trop bon !...

Photo prise à Corps Circuits

 

a

20 mars 2008

Montrez-moi ce sein que j'ai envie de voir

a2

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