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Le Démon de Midi
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30 septembre 2014

Elle prend son pied...

Photo prise sur Sweetgirls
a

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28 septembre 2014

Le baiser est érotique

Réédition

...le baiser peut avoir une telle charge érotique !
m'écrit une amie à qui, pour le moment, ces baisers manquent !
Tu as complètement raison, chère amie.
Le baiser peut être très érotique !

aaDoux frôlement des lèvres contre ta joue, sur ton front,
dans le creux de ton cou, au coin de l'oreille...
Premiers frémissements...
Puis la rencontre de nos lèvres, ma langue qui écarte les tiennes,
qui pénètre... Nos langues qui se mêlent,
qui s'enroulent, qui s'aspirent,
qui dansent, qui vont et viennent
comme le vit dans dans le vagin,
salives qui se mêlent
comme le sperme à la cyprine au moment de la jouissance...

Baisers sur tes seins, langue qui titille les pointes,
lèvres qui baisent, qui aspirent, qui têtent,
pointes qui bandent...

Baisers sur ton ventre,
langue qui s'insinue dans ta cicatrice de naissance,
douceur de ta peau, soubresaut de ton corps...
Langue qui lèche, dents qui mordillent...
Suçons... Te voilà marquée au rouge !

Lèvres sur tes lèvres, entre tes deux jambes,
qui pinçottent ton bouton d'amour,
qui aspirent ta liqueur parfumée...
Langue qui s'enfonce, qui va et vient,
au plus profond qu'elle peut...

ccJ'apprécie aussi grandement tes baisers
sur les parties sensibles de mon être :
le cou, ma poitrine, le creux de mes hanches,
mon ventre, mes fesses, l'intérieur de mes cuisses,
mon sexe dressé dont tu gobes le gland,
mes bourses qui remplissent ta bouche...

Tous ces baisers, ma chérie, je voudrais te les offrir...
Chargés d'érotisme et annonciateurs de plaisirs,
préliminaires à une jouissance extrême...
Je t'embrasse mon amie.

27 septembre 2014

Merci caresse...

aRéédition
Amie bloggeuse
qui arrives là, délibéremment ou par hasard,
j'imagine que ce sont tes mains
qui sur moi sont ainsi posées, là.
Sans commentaire !
J'aime simplement beaucoup cela.
Et toi ? Ca te fait quoi d'être là ?
Attends-tu quelque chose ?
Est-ce seulement pour la pose ?
Ou cette caresse est-elle le prémice
de ce qui sera, tout à l'heure, une apothéose ?
Merci de ta caresse.

J'avais publié ce texte il y a quelques mois...
Une lectrice a poursuivi.
Elle m'a écrit :

Mes mains, sur ta peau, glissent,
Ma bouche sur ta peau ravive,
Le feu, de désir que tu connaissais,
Et qu'avec moi tu vas enfin retrouver,
Dès que je te touche,
Je te sens te tendre sur ma couche,
Tu veux que je te caresse,
Tu ne veux pas que mes mains cessent,
Tu me veux plus près de toi,
Je te veux en moi.
Je veux te sentir bouger,
Te sentir vibrer,
Atteindre avec toi le point de non-retour,
Celui, que tu me feras peut-être connaître un jour.

23 septembre 2014

Paris-Lausanne

Réédition

Le Paris Lausanne est bondé en ce vendredi soir.
Et il part avec une demi-heure de retard !
A côté de moi, contre la fenêtre, une belle jeune femme.
Je commence une conversation avec elle
mais elle s'y soustrait et s'enferme dans le sommeil.
De l'autre côté du couloir, une belle black.
La trentaine. Moulée dans ses vêtements.
Des jambes fines longues de trois kilomètres.
Un homme à côté d'elle. Je l'envie.
Je sors mon livre. Un roman érotique.
Et je me rends compte qu'elle lit Union !
Je la regarde. Elle me regarde.
Elle voit la couverture de mon livre,
une femme nue.
Nos regards se croisent. Sourire.
Dijon. La voiture se vide de la moitié de ses passagers.
Ma voisine, son voisin sortent...
Je me carre dans le coin, me mets à l'aise.
La belle black fait de même.
Une jambe tendue. L'autre replié sur la banquette.
Elle me fixe. Je soutiens son regard.
Sa main glisse et se pose en coquille sur son pubis.
Pression des doigts... Elle ferme un instant ses yeux...
Je suis fasciné par ces doigts qui lui procurent
un début de plaisir... Sa poitrine se soulève...
Je surprends son regard sur mon entrejambes...
A mon tour, je glisse ma main et saisis
entre deux doigts, à travers le tissus,
ma raideur... épaisse... large... ferme...
Elle sourit. Je me lève.
La voiture est presque vide.
Elle se serre contre la fenêtre. Une invitation
à m'assoir près d'elle...
Sans attendre je l'enlace, elle se laisse prendre.
Je mets ma main sur la sienne toujours entre ses jambes.
J'accompagne son mouvement, sa pression...
Elle attrape son blouson et s'en couvre le bas...
Alors ma main monte au bouton du pantalon,
l'ouvre, descend le zip...
Elle soulève légèrement ses reins
faire légèrement glisser la ceinture...
Mes doigts glisse sous l'élastique de la culotte,
trouve son pubis glabre, ses lèvres humides et ouvertes,
son clito gonflé de désir...
Et je la branle. Elle se serre contre moi.
Nos lèvres se joignent... Je la sens se tendre...
Nous sommes bien...
...
Lausanne. J'ai trois minutes pour ma correspondance.
Je la plaque. Nous n'avons même pas échanger nos adresses...
Peut-être viens-tu ici, belle Black du Paris-Lausanne !

22 septembre 2014

Apparition de la Madone Nue

Réédition

18h30 hier soir,
je rentre chez moi par le boulevard.
Il fait beau, encore un peu chaud.
Tout le monde flâne et va traînant.
Et elle est apparu au milieu du trottoir,
marchant tranquillement...
La trentaine, belle et élancée,
vêtue d'une robe blanche
tombant jusqu'à ses mollets,
visage avenant, cheveux noirs.
Une véritable Madone !
Le savait-elle ou était-elle ingénue ?
Le soleil était derrière elle
et rendait sa robe transparente.
Et alors, nous la voyions ainsi toute nue.
Seul un string rouge.
Courbes de ses hanches,
plénitude de ses seins,
galbe et finesse de ses jambes...
Tout nous apparaissait.
Les hommes ralentissaient.
Les femmes maugréaient.
Doucement je l'ai croisée,
je l'ai regardée
j'ai respiré son parfum...
Je me suis retourné.
Et j'ai vu s'éloigner une femme
en robe blanche,
cheveux noir tombant sur ses épaules,
qui marchait tranquillement.

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17 septembre 2014

Charmantes

au-jardin-4

blonde-juvenile-5

gym

gymnaste-1

naturelle

studio

tigresse

Photos prises sur ce blog.
Vous en verrez plein d'autres... de jolies femmes !

16 septembre 2014

Strip-tease réciproque

Réédition

Bouton après bouton, je dénude ta poitrine. Et chaque espace de peau ainsi découvert, je me hâte de la caresser du bout des doigts, de le baiser du bout de la langue. Bientôt, ton corsage vole vers la chaise... Il te reste encore ce barrage en dentelle qui emprisonne tes seins. Mais je ne veux pas me précipiter... J'aime caresser ta nuque, tes épaules, ton dos, tes côtés, ton ventre... J'aime suivre les élastiques qui encore t'emprisonnent... Glisser un doigt dessous cherchant à deviner ce qui m'attend, j'aime mesurer de ma paume sur les bonnets ce qu'ils renferment.
Pendant ce temps, tu ne restes pas inactive... Bouton après bouton tu ouvre ma chemise... qui bientôt rejoint ton vêtement sur la chaise... J'aime ressentir la ballade de tes douces mains sur mes épaules, sur mes bras, sur mon torse, sur mon dos...
Mais nous ne sommes pas à égalité. Je suis torse entièrement nu, pas toi. Alors sans plus attendre mes mains font sauter les agraphes et la bande de dentelles tombe à terre... Tes seins jaillisent, fiers, bien fermes, bien hauts... Tes têtons sont encore tout recroquevillés mais ils ne tardent pas à se dresser sous la caresse de mes mains, sous les baisers et les coups de langue...
Nous nous serrons l'un contre l'autre. J'aime sentir ces seins caresser ma poitrine nue, s'écraser contre

elle... Je les sens comme s'ils étaient miens... Nous sommes bien ainsi. Nous nous caressons sur tout nos corps, nos lèvres se sont rejointes, nos langues s'en donnent à coeur joie...
Mais cela ne nous suffit pas... Peut-être plus impatiente cette fois, ta main s'est glissée entre nos deux ventres et s'attaque à l'attache de mon pantalon... Je t'aide à l'ouvrir mais je te laisse commencer à le descendre. Et il fini par tomber tout seul sur mes pieds... Tu me retiens pendant que j'achève de l'enlever. Et me voilà en petit slip dans tes bras. Pendant que tu commence à caresser mes fesses à travers le tissus, j'ai vite fait de dégrapher ta jupe, de descendre le zip et voilà un cercle de tissu à tes pieds. Un pas de côté pour en sortir, un petit coup de pied pour l'écarter et nous voilà de nouveau serrés l'un dans les bras de l'autre... Intense émotion, énorme sensation... Cuisses nues contre cuisses nues... Ventre contre ventre... Mes mains courent sur tes fesses, à travers la dentelle, les tiennes courent sur les miennes, passées maintenant sous l'élastiques... Une fois encore, nos lèvres se sont rejointes, nos langues s'en donnent à coeur joie...
Et comme s'il y avait eu un signal, dans le même moment tu baisses ce bout de tissu qui t'encombre pendant que je baisse le tien qui m'encombre tout autant...
a2Et nous voilà nus, dans les bras l'un de l'autre. Encore, nos lèvres se sont rejointes, nos langues s'en donnent à coeur joie... Nous nous caressons partout où nos mains peuvent accéder étant à la fois celui qui offre et qui veut offrir le meilleurs et celui qui reçoit cherchant encore le meilleurs... Tes seins s'écrasent contre les miens, mon sexe dressé et gonflé s'écrase contre le tien... Nos mains fonctionnent comme en miroir. Tu me caresses les épaules et le dos. Je te caresse les épaules le dos. Mes mains glissent vers tes fesses, se placent dessous, les tiennes suivent le même chemin  et soupèsent mes fesses... Les tiennes remontent en longeant le sillon qui les sépare, les miennes se glissent entre tes deux globes... Et toujours, nos lèvres sont jointes et nos langues s'en donnent à coeur joie...
Je te prends dans mes bras et te porte ainsi sur le lit tout proche où je l'allonge...

10 septembre 2014

Femme fontaine

Réédition

A sa claire fontaine, j'ai voulu me désaltérer...
Sous les branches d'un chêne, je l'ai déshabillée,
puis à ses pieds, je me suis agenouillé,
et ses jambes, j'ai écartées...
Sur son pubis glabre, mille baisers j'ai déposés.
Mes mains, le long de ses jambes sont remontées
et les deux fesses rondes et fermes ont empoignées.
J'ai enfoui mon visage entre les deux cuisses ouvertes,
ma langue, le long de la fente, partant à la découverte.
J'ai trouvé le bouton magique, celui qui électrise
quand on le titille, l'agace, l'aspire, le pince...
De ses douces et acres effluves, je me suis imprégné,
de sa liqueur généreuse je me suis saoûlé.
Sur la plus haute branche du chêne, un rossignol chantait.
La belle sous mes assauts haletait, gémissait, vacillait...
Mais soudain, elle ne put tenir.
Dans un immense soupir
contenant tant de plaisir
elle finit par jouir.
Elle a failli me noyer
dans le flot jaillit de son intime.
Je m'en suis étranglé
mais aussi tant régalé...

6 septembre 2014

Me glisser en toi

Réédition

Nu, me glisser entre tes bras
que tu refermes sur moi
sentir tes mains parcourir tout mon corps,
de la nuque au rebondi de mes fesses.
Refermer mes bras aussi autour de ton corps nu.
Mes mains courent le long de ton corps,
ta nuque, tes épaules, ton dos, le haut de tes fesses,
provoquant les premiers frissons du plaisir.
Et je ressens une légère démangeaison dans le bas de mon ventre.

Glisser ma langue entre tes lèvres,
forcer avec elle le barrage de tes dents,
Chercher ta langue, les faire se rencontrer,
les faire danser ensemble,
moi aspirant la tienne,
toi aspirant la mienne,
nos deux langues dans ta bouche
nos deux langues dans ma bouche,
mélangeant nos salives,
chacun goûtant l'autre.
Et je ressens un léger gonflement dans le bas de mon ventre.

 

Glisser ma main entre tes deux seins,
en saisir un, le couvrant de la paume,
contournant l'autre, pour mieux l'amadouer,
jouant avec un têton qui pointe vers le haut,
puis avec l'autre qui la laisse aller.
Passer de l'un à l'autre, les soupeser,
les malaxer doucement, les effleurer,
essayer de les prendre ensemble...
Et je sens mon sexe s'allonger de tout son long.

Glisser mes doigts le long du sillon entre tes deux fesses,
de bas en haut, de haut en bas,
à chaque passage s'insinuer un peu plus entre les deux lobes,
chercher l'entrée du petit passage secret,
le trouver et, pour relâcher le muscle qui le tient fermé,
du bout des doigts imprimer des pressions circulaires.
Enfin, pénétrer un doigt dans cet anus délicat
provoquant de ta part un soupir de contentement.
Et je sens la raideur de mon sexe contre mon ventre.

Glisser tout mon corps entre tes jambes ouvertes,
les sentir se refermer autour de moi,
et la caresse de tes pieds sur mes fesses.
Poser ma tête sur tes seins,
et  rester là, écouter ton coeur battre la chamade.
Sentir contre mon ventre la toison humide de ton bas ventre.
Caresser tes côtés, tes longues cuisses
qui m'enserrent entre elles.
Apprécier ta caresse dans mes cheveux,
sur ma nuque, sur mes épaules...
Et mon sexe sursaute d'impatience.

 

Alors, glisser cette raideur
à l'entrée de ta grotte qui est tout aussi impatiente
de s'ouvrir pour elle.
Et doucement, pénétrer.
M'arrêter
pour que nous goûtions l'un et l'autre cet instant.
Que tu prennes conscience de ce gland palpitant,
frétillant d'être en toi.
Qu'avec ce gland je ressentes la douceur,
la chaleur, l'humidité de l'endroit.

Glisser un peu plus profondément en toi,
m'arrêtant de temps à autre, reculant même
pour que la paroi de ton sexe épouse parfaitement
la forme du mien.
D'un coup de rein, tu me signifies que je peux aller plus loin encore.
Mon membre tout entier est en toi
mais je veux aller plus loin encore
et c'est avec tout mon corps
que je veux te pénétrer.

Nous restons ainsi un moment, essoufflés.
Et nos deux corps commencent à s'agiter.
Chacun veille à la fois à offrir et à recevoir
tout le plaisir de nos sens exacerbés.

 

Soudain tu te raidis.Ta respiration s'accèlère.
Tu retiens un hurlement de plaisir.
Tu me tires les cheveux, tu me laboures le dos.
Tu te saisis de mes fesses à pleines mains,
tu les pétris et entre elles tu te frayes un chemin.
D'un doigt violent tu me pénètres
augmentant ainsi l'énorme fièvre qui m'a aussi saisi.
Je veux aller encore plus loin en toi,
et tu veux m'y aider en venant à ma rencontre.

Tu ne peux retenir un gémissement de bonheur,
je me sens proche du point de non retour.
Nous ne faisons qu'un, profondément unis,
nous serrant l'un contre l'autre
soudés par la bouche et le sexe...
Et nous explosons ensemble,
énorme jouissance.
Je sens mon sexe gonfler en toi
et lâcher violemment ses jets brûlants.
Et je sens tous tes muscles m'enserrer encore plus fortement.

Et c'est fini !
Après avoir repris nos esprits,
je me glisse près de toi,
nous restons fortement enlacés,
nos mains parcourent nos corps épuisés et rassasiés.
Nous nous regardons yeux dans les yeux.
Inutile de parler pour le moment.
Nous sommes beaux après l'amour.
Nous sommes heureux.
Des yeux nous nous remercions mutuellement
de ce beau moment de félicité.
Nos lèvres se rejoignent.
De nouveau nos langues s'emmêlent.

 

Et ensemble nous glissons dans une douce torpeur
et, enlacés, nous nous endormons.

 

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