Réédition

Sache, ô mon frère (que Dieu te fasse miséricorde !), que l'homme méprisable aux yeux des femmes est celui qui est malpropre, d'un extérieur grossier et dont le membre est court, mince et mou.

Lorsqu'un homme pareil se rencontre avec une femme, il ne la besogne pas avec vigueur et de façon à lui procurer de la jouissance. Il se couche sur sa poitrine sans caresses préliminaires ; il ne l'excite pas, il ne la baise pas, il ne l'étreint pas, il ne la mord pas, il ne suce pas ses lèvres et ne la chatouille pas.

Il monte sur elle avant qu'elle n'ait commencé à ressentir du plaisir, puis il lui introduit un membre mou, et encore avec des peines infinies ! A peine a-t-il commencé qu'il est déjà exténué ; il remue une ou deux fois, puis il s'affaisse sur la poitrine de la femme pour éjaculer, et c'est là le comble de ses efforts ! Cela fait, il retire son membre et s'empresse de descendre de dessus la femme.

Un homme pareil, a dit un auteur, est prompt à l'éjaculation et lent à l'érection ; après le tressaillement que procure la sortie du sperme, sa poitrine est lourde et sa croupe légère.

De pareilles qualités ne lui sont point une recommandation auprès des femmes.
Est aussi méprisable celui qui est perfide clans ses paroles ; qui, ayant fait une promesse, ne la tient pas ; qui ne parle que pour mentir et qui dissimule à sa femme toutes ses actions, excepté les adultères qu'il commet.
Celui-là ne peut être estimé des femmes, puisqu'il ne peut leur procurer aucun agrément.

On raconte qu'un homme nommé Abbés, dont le membre était extrêmement petit et mince, avait une femme d'une forte corpulence, qu'il ne parvenait pas à satisfaire dans le coït, à tel point qu'elle ne tarda pas à s'en plaindre à ses amies.
Cette femme possédait une fortune considérable, tandis qu'Abbés était très pauvre ; et lorsqu'il manifestait un désir à sa femme, il était certain de voir celle-ci ne pas lui accorder ce qu'il demandait.
Il alla un jour trouver un Sage et lui soumit son cas.

Le Sage lui dit : «Si tu avais un beau membre, tu disposerais de la fortune. Ne sais-tu pas que la religion des femmes est dans leurs vulves ? Mais je vais t'enseigner un remède qui te tirera d'embarras.»

Abbés s'empressa de composer le remède d'après la recette du Sage, et, lorsqu'il en eut fait usage, son membre devint gros et long. Quand sa femme le vit dans cet état, elle s'émerveilla, mais ce fut bien mieux lorsqu’elle ressentit, en fait de jouissance, tout autre chose que ce qu'elle avait éprouvé jusqu'alors : il se mit en effet à la travailler dans le coït d'une façon remarquable, à ce point que, pendant l'opération, elle faisait entendre des râlements, des soupirs, des sanglots et des hurlements.

Dès que cette femme eut reconnu, en son mari des qualités aussi éminentes, elle lui donna tout son bien, mettant sa personne, ainsi que tout ce qu'elle possédait, à son entière disposition.

(tiré de "Le jardin parfumé pour la Récréation des Âmes", de Cheikh Nefzaoui, livre arabe érotique, très ancien (an 925 de l'Hégire)- Chapitre III : Des méprisables parmi les Hommes)

Absent quelques jours ! Non, pas en congés. Pour le boulot.
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Bises

Réédition

Nudité féminine dans sa magnificence.
Seins que l'on devine pleins
et qui attirent la main.
Ventre plat, longues jambes ouvertes
qui invitent à poser là sa tête…
Pubis rasé doucement dessiné.
Rondeur des deux fesses,
et, on le devine, l'entrée de l'antre secrète
qui attend, je le pense, la caresse
du doigt, de la langue ou du reste.
Et ce magnifique losange
de peau plissée que cache t'il ?
En écartant légèrement entre deux doigts,
vous trouverez d'abord un petit bouton
qui, sous votre caresse, se dressera.
Petit mais énorme dans ce qu'il provoque.
Il aime se faire titiller, caresser,
lécher, mordiller et aspirer.
La femme elle-même,
ne me dites pas le contraire,
je ne vous croirais pas,
aime y mettre la main pour se procurer
du plaisir quand elle n'a personne
d'autre sous la main…
En écartant un peu plus encore,
vous apercevrez l'entrée de la grotte intime.
Chaude, douce et humide.
Ses parois se serre autour de votre langue
de votre doigts ou de plus gros encore.
Il y fait délicieusement bon.
Centre névralgique du plaisir,
il peut y naître une énorme vague
de jouissance partagée, d'orgasme débridé,
d'énorme séisme qui prend votre corps tout entier.
Tu es là, femme nue et ouverte,
attendant ma caresse sur ton corps offert.
Mais pour le moment, je ne me fatigue pas
de te regarder et de te louer.

Réédition

Je ressors ce texte écrit il y a longtemps. Et si on se la faisait cette séance photos ?!...

Il y a quelques années, j'ai voulu faire, pour mes loisirs, un stage de photo. Trois sessions de 5 jours. A la fin de la deuxième session, la formatrice nous demande de faire un reportage d'une cinquantaine de photos sur des sujets que nous devions tirer au sort : ambiance, animaux, nature morte, nature, enfance, charme, monuments, manifestation, etc… Nous étions une dizaine. Chacun son thème… Et je suis tombé… sur "charme".
Comment faire ? J'ai osé demandé à une amie si elle accepterait de me servir de modèle. Une fille droite, directe qui sans hésiter et en riant m'a répondu "Ok, mais tu ne touches pas et tu n'essaies pas de me mettre dans ton lit !". Accord conclu… La mettre dans mon lit, à vrai dire je n'y avais jamais pensé. Pourtant je l'aimais beaucoup cette fille, une véritable amie. Et belle, fine et élancée par dessus le marché. Mais notre relation se situait à un autre niveau. Mais maintenant qu'elle me disait cela, j'ai commencé à me dire, "après tout, pourquoi pas ?!". Mais comme elle le demandait, le marché fut conclut. En guise de paiement, elle me réclamait un excellent repas dans un très bon restaurant… et bien sûr un tirage des photos et l'assurance que je ne les utiliserai jamais sans son autorisation.

Nous avons convenu de nous retrouver pour un week-end, dans une maison qui appartient à ses parents, en Bourgogne. Elle a amené avec elle différents vêtements…
La première matinée, nous avons été nous promener dans la forêt… Elle avait enfilé un jean moulant et un chemisier blanc, légèrement transparent… Je commençais à la photographier, sus tous les angles, en marchant, appuyée contre un arbre, assise sur un tronc, en contre plongée… Au bout d'un temps, je lui proposais de prendre des pauses plus lascives, de mettre en évidence les formes de son corps, la courbe de ses fesses, l'arrondie de ses hanches, la rondeur de ses seins… Un moment, comme elle ne comprenait pas ce que je lui demandais, je me suis approché d'elle, je lui ai pris une jambe pour l'écarter, je l'ai fait se cabrer, une main sur le haut de ses fesses, l'autre sous ses seins… Contact agréable… Elle s'est laissé faire… Plus tard, je me suis permis de déboutonner et d'écarter les pans de son corsage pour que l'on voit le haut de sa belle poitrine… Je me suis excusé de la toucher malgré ce qu'elle m'avait demandé. "Mais pas du tout, ce n'est pas désagréable du tout !"…

L'après-midi, après avoir vidé à nous deux une bonne bouteille bien fraîche d'Alligoté pendant notre repas, nous avons décidé de faire des photos un peu plus déshabillée, en restant dans le parc de la maison… Elle s'est donc changée et est revenue en short court et moulant et top à fines bretelles, assez échancré et laissant apparaître son nombril… Manifestement elle ne portait rien dessous… Nouvelle série de photos… Qu'elle est belle… Ces longues jambes nues… Ces seins que je devinais…
J'ai osé lui demander des pauses plus osées… Elle me répond de faire ce que je veux… Je m'approche donc, relève son vêtement jusque sous ses seins dont on voit la belle courbe… Je lui déboutonne son short et l'écarte de sorte qu'on aperçoit son string par l'échancrure… Alors qu'elle est assise sur une chaise longue, je me mets derrière et plonge dans son décolleté avec une vue magnifique sur sa poitrine libre de toute entrave…
Je ne peux cacher combien je suis excité par tant de beauté. Elle s'en rend compte et en rigole… "Dis donc, je crois que ça te fait de l'effet de prendre des photos !". Je lui réponds qu'elle ne peut imaginer à quel point j'ai envie de la caresser, de la prendre dans mes bras… "Non, non, on avait convenu ! C'est bien ainsi…"

Soirée fort sympathique. Elle s'est rhabillée. On écoute de la musique, parlons de choses et d'autres comme on aime bien faire quand on se rencontre. On rebâtit le monde… Et puis au lit. Chacun dans notre chambre. La sienne à côté de la mienne… J'entends chacun de ses mouvements, tant la cloison est mince… Je l'imagine… J'en rêve, nu sous ma couette… Et bien sûr ma main trouve sur son chemin ma virilité gonflée… Je me fais mon cinéma… Elle me rejoint dans ma chambre… et… Mais rien n'arrivera… Sinon une violente éjaculation qui s'écrase sur ma poitrine !…

Le lendemain matin, je suis levé le premier… Je suis en train de boire la café que j'ai préparé lorsqu'elle entre dans la cuisine. Quelle beauté. Elle ne porte qu'une nuisette très courte et transparente et son string dessous… Sa poitrine mise en évidence… Je la serre contre moi le temps du baiser du bonjour… Impression fugace de ses seins contre ma poitrine, de son pubis contre ma cuisse… Je bande bien évidemment !
Nous échangeons les banalités du matin lorsque nous ne sommes pas encore bien réveillés… Et c'est elle qui propose la suite des opérations… "Tu dois faire des photos de charme, n'est-ce pas ! Il faut donc que je me déshabille plus complètement encore ?". Je balbutie un oui, si ça ne la gêne pas… Et elle me propose de photographier sa toilette !
Je l'accompagne donc dans la salle de bain. Et je prends photo sur photo… Elle fait comme si j'étais pas là. Mais en même temps parfois elle prend la pause, attend d'entendre le "clic" pour prolonger son geste… Je la prends enlevant sa nuisette… Elle fait le geste suffisamment lentement pour que je puisse prendre plus de dix clichés, sous des angles différents, en tournant autour d'elle… Puis elle me tourne le dos, enlevant son string… Là aussi de nombreuses pauses… Et elle me fait face. Magnifiquement nue… Le pubis rasé ne gardant qu'un petit triangle sombre dirigé vers le bas comme s'il indiquait la direction pour pénétrer sa grotte secrète… Elle passe sous la douche ou je la prends de face, de dos, de profil, en entier, ou en gros plan sur ses seins qu'elle masse sous l'eau, ou sur son sexe ou elle glisse la main, ou sur ses fesses entre lesquelles ses doigts se perdent…
"Je peux te rejoindre ? S'il te plait !"… Elle refuse. Il n'en est pas question…
Je lui demande alors si elle accepterait que nous retournions dans la forêt où nous étions hier pour la prendre nue, là aussi. Je crains qu'elle trouve que je devienne trop exigeant ! Mais elle accepte…

Nous nous retrouvons donc au même endroit qu'hier… Sans attendre elle se déshabille et, entièrement nue, je la prends en photo… Je tourne autour d'elle, je lui fais prendre des pauses, elle se plie volontiers…
Au bout d'un temps, je lui propose d'en rester là… J'ai suffisamment de clichés… "D'accord… Et pour me remercier, viens m'embrasser !". Je pose mon appareil sur une souche et je tente de l'enlacer… Elle se laisse faire. Une main glisse sur ses fesses… L'autre se saisit d'un sein… Elle se laisse faire… Je l'embrasse… Mes lèvres cherchent les siennes, les trouvent… Mais quand ma langue veut les écarter, elle refuse… tourne la tête… Elle me serre contre elle, pose sa tête sur mon épaule, m'embrasse sur le cou… Je voudrais qu'elle glisse sa main sous mon tee shirt, ou qu'elle la glisse vers mon entrejambe… Rien de tout ça… Nous restons un moment ainsi, pudiquement enlacés…
Au bout d'un temps, elle a un frisson. Il faut se rhabiller !… 

Réédition

Entre tes lèvres fines, ma langue s'insinue...
Dans le creux de ton oreille, je murmure des 'je t'aime'...
Le long de ton cou, je hume ton parfum...
Sur l'arrondi de ton épaule, dix baisers légers...
Sur la rondeur de ton sein, ma langue s'attarde,
mes lèvres pincent doucement tes tétons dressés...
Sur ton ventre plat, mes doigts se promènent,
ils te chatouillent autour de ta cicatrice de naissance...
Sur ton aine tendre, mes lèvres butinent...
Le long de tes cuisses fines, mes mains vont en viennent...
Mais c'est devant ton puits d'amour,
ta Porte du Paradis, que tous mes sens
se sont donnés rendez-vous...
Merveilleux spectacle de tes lèvres entr'ouvertes...
Odeur nacré de ton miel intime,
Goût enivrant et inoubliable de ta liqueur secrète...
Douceur du contact chaud et humide...
Belle mélodie du chuintement du va-et-vient
associé à tes râles de plaisir...
Et tous nos sens sont exarcerbés
quand mon phallus dressé et gonflé de désir
pénètre dans ton antre...
Et que nos deux sexes associés
nous offrent une symphonie fantastique
de jouissance partagée.

Photo de Luís Mendonça

Réédition

Régulièrement, nous accueillons à la maison pour un week end la fille d'amis sénégalais, Zouria, qui vit seule en France avec son fils, Kevin, 4 ans. Une belle jeune femme de 26 ans, grande et mince. Elle est toujours vêtue, lorsqu'elle vient chez nous d'un jean serré qui met en évidence ses fesses rondes et fermes et ses longues jambes fuselées et un tee shirt qui, lui, fait ressortir ses deux seins, hauts placés, semblables à deux belles poires... J'avoue qu'elle me fait beaucoup fantasmer, que, sans qu'elle le sache, bien sûr, elle a accompagné quelques-unes de mes rêveries érotiques voire de mes caresses solitaires... Mais cette relation n'est pas de mise...
Ce matin, il fait déjà chaud. Je viens de prendre ma douche avant de descendre prendre mon petit-déjeuner. Je n'ai enfilé que mon shorty pour aller dans ma chambre achever de m'habiller.
Lorsque je sors dans le couloir, elle-même sort de sa chambre. Nous marquons l'un et l'autre un temps d'arrêt. Elle est vêtue d'un court et léger short de nuit d'où sortent ses deux longues jambes aux cuisses fermes et joliment galbées... Et elle porte un haut très fin, décolleté, qui tombe droit à l'aplomb de ses seins et qui laisse voir son ventre plat... Au fond du couloir, il y a l'escalier éclairé par une lucarne par laquelle le soleil rentre abondamment. Je la vois à contre jour et en transparence je vois sa nudité à travers le fin tissus. Sa noirceur ressort à travers ces vêtements clairs. Le soleil met en évidence ses courbes, sa beauté... Par un effet de "capilarité lumineuse" (comment expliquer ?) je vois même son pubis que je devine glabre...
Je remarque que elle aussi m'observe... Son regard glisse de mes épaules à mon torse, mon ventre, mon shorty, mes cuisses...
Nous restons ainsi une fraction de seconde.
- Bonjour ! Tu as bien dormi ?
- Très bien. Et toi ? Je vais voir si Kévin a fini. Il est aux toilettes...
Nous nous rapprochons pour la bise matinale. J'avoue l'étreindre un peu plus que la décence ne le demanderait. Mais elle se laisse faire. Pose une main sur mon torse. Les bises sur les joues glissent au coin des lèvres...
- Tu es magnifique ainsi...
- Tu n'es pas mal non plus...
me souffle t'elle.
Une de mes mains glisse de sa nuque, le long de son dos... Effleurement de ses fesses fermes. Un doigt s'allonge le long de la raie.... Mon autre main remonte de sa hanche, sur le côté, jusqu'à la naissance de son sein...
Elle glisse une cuisse entre les miennes. Ondule du bassin. Que cherche t'elle ?  Le frottement de son pubis contre le haut de ma cuisse ? Ou l'excitation de mon sexe contre sa hanche. Sexe qui gonfle ce dont elle se rend parfaitement compte...
Nous accentuons la pression...
Nous restons ainsi... oh... trois secondes ! Peut-être quatre ! Mais je garde contre ma poitrine la sensation de la pression de ses seins... Entre mes cuisses, le contact de la sienne, ferme... Je garde son odeur de transpiration nocturne... La finesse de son corps contre le mien...
- Maman, ça y est !
- J'arrive, mon chéri...
Une bonne odeur de café et de pain grillé monte de la cuisine...
Nous nous séparons, poursuivons notre chemin. Sans nous retourner...
Dans ma chambre, il me faut un moment pour calmer mon rythme cardiaque... J'ai la tentation de glisser ma main dans mon shorty et de calmer cette tension... Mais je résiste. On m'attend en bas.
J'enfile mon jean des dimanches, c'est à dire le plus troué, le plus sale, celui avec lequel j'aime bricoler... Et un tee shirt, tout aussi abimé, qui sent la transpiration...
Elle arrive deux minutes après moi dans la cuisine. Elle a enfilé un peignoir. Comme si de rien n'était, je me lève pour l'accueillir. Je pose mes mains sur ses hanches...
- Bonjour, princesse africaine...
- Bonjour, homme.
Mais le charme est rompu. Notre baiser est très chaste. Public.
Vivement le prochain week end où elle viendra...

Réédition

Je pensais être seul... Nu sur mon lit, je laissais mon esprit vagabonder...

Mes mains glissèrent le long de mon corps et l'une d'elle se saisit de mon sexe.
Doucement, je commençais à me caresser, à faire aller et venir cette main
le long de la hampe entrainant un premier frisson de plaisir.

Et c'est alors, que sans bruit, tu es rentrée dans la chambre.
Egalement nue. Tu t'es assise sur un fauteuil
et longuement tu m'as regardé.
Ta présence, bien évidemment, augmentait la pression...
Jambes écartées, tu me montrais ton intimité
que je voyais ouverte et transpirante,
dont je pouvais sentir la douce odeur sucrée.

Et puis, à leur tour, tes mains ont glissé le long de ton corps,
puis entre tes cuisses ouvertes.
Sans quitter ma main de ton regard, tu as commencé à te caresser.
Nous allions au même rythme.
Nous étions fascinés l'un et l'autre,
par ce que chacun faisait pour son propre plaisir.

Nos respirations s'accéleraient.
Le plaisir montant était palpable.
Alors tu t'es levée. T'es approchée de moi.
Tu as saisi mon phallus, remplaçant ma main par la tienne.
Et doucement, tu m'as caressé.

Quand tu as senti que l'explosion allait arriver,
tu m'as chevauché et tu t'es empalée sur mon vit.
Et nous avons jouis ensemble.

Et pour le nettoyer, tu as pris mon sexe en bouche
m'aspirant jusqu'à la dernière goutte.

Merci ma chérie. Tu as provoqué en moi ce bien joli rêve.
Tu te reconnaîtras. N'est-ce pas ?

Mais très peu pour moi ! Un peu trop body buildé à mon goût !