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Le Démon de Midi
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24 novembre 2008

Viens...

Photo de Luís Mendonça

En attente !
Comme vous ?...

a

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18 novembre 2008

Belle...

... et attirante...
Elle me laisse songeur.
Comme en attente...
Et vous ? Elle vous inspire quoi cette photo ?

338347

17 novembre 2008

En passant...

Nuit d'insomnie au milieu du chamboulement général dans ma vie.
Et le plaisir de trouver dans mes mails ce texte d'une fidèle.
Merci à elle.
Et que cela vous donne des idées. N'hésitez pas...

J’imagine que tu me susurres des mots doux ;
Tu as envie de m’entendre gémir et jouir ;

Tu as envie de me voir nue, libérée de tout vêtement, lascive et désirable ;
J
’imagine ton vit tendu, gonflé de désir,

J’ai envie de te caresser, de parcourir tout ton corps, m’attardant sur ton torse, mes mains dérivant sur ton sexe, câlineries du bout des doigts puis à pleine main, lentes puis intenses ;
Tu imagines glisser tes mains le long de mon corps, le sentir contre toi, introduire tes doigts entre mes cuisses ;

J’imagine inhaler ces effluves masculines si enivrantes ;
Tu as envie de sentir mon parfum, l’odeur de mon désir ;

Tu t’imagines léchant mes seins,  lapant ma fente, buvant à ma source ;
J’ai envie de goûter à tes lèvres dans un baiser brûlant ;

Je sens que cette exploration t’a plu et que tu as envie de recommencer … 6ème sens

11 novembre 2008

Surbookage total

Débordé de tous les côtés ces prochains jours.
Familial et professionnel.
Risque de silence sur ce blog...
Et sans doute non réponse à vos mails et commentaires.
Désolé ! Ne m'en veuillez pas.
Je ne vous oublie pas et reviendrai très vite.
Que cela ne vous empêche pas de m'envoyer
commentaires ou contributions,
en textes ou en photos...
Cela peut être vite mis en ligne !
Et vos encouragements.
J'en ai besoin.
Je vous embrasse, mes amies.
aa
(Désolé, messieurs, je vous salue aussi !)

8 novembre 2008

Gwen

aaAujourd'hui, c'est la jeune Gwen qui m'offre cette photo de son intimité.
Ce lieu de plaisir,
de convoitise,
qui aime recevoir de douces caresses.
Grande envie de pénétrer, par cette porte, au Paradis,
d'écarter du bout de la langue
ces fines lèvres,
de lapper ce bouton sensible
capable de faire naître une rose.

Cette photo rejoint mon album "Les Portes du Paradis" que vous êtes également invités à complèter.

Merci Gwen et douces bises.

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7 novembre 2008

La question...

Une amie me propose ce questionnaire pour mieux me connaître. Curieuse ! Bon, je veux bien répondre, sérieusement et sincèrement à certaines questions, plus rapidement pour d'autres !
Et vous ? Vous répondez sérieusement à ce genre de sondage ?

Quel est ton livre préféré ?
Je ne sais pas si j'en ai un. Mais je suis en train de lire les oeuvres complètes d'Albert Cossery, un écrivain égyptien. Vous connaissez ? je ne connaissais pas avant de le découvrir par hasard à la bibliothèque de ma ville. Des romans ou nouvelles qui mettent en scène les très pauvres du pays avec beaucoup de beauté et de dignité. Les titres : Mendiants et orgueilleux ; Les hommes oubliés de Dieu ; La maison de la mort certaine ; Un complot de saltimbanque... C'est beau. C'est grand. C'est plein de respect. J'adore et vais offrir...
Ta chanson préférée ?
Je ne sais pas non plus. J'adore le jazz et le blues. Georgia peut-être de Ray Charles ou Max de Paolo Conté. Je les écoute pafois en boucle, le son à fond !
Ton film préféré ?
J'ai beaucoup aimé "La vie est un miracle" de Kusturika.
Une destination ?
Là où il fait chaud et qu'il y a du soleil 365 jours / 365
Une qualité ?
Le respect des autres, la douceur...
Un défaut ?
La gourmandise des belles et bonnes choses. C'est un défaut ça ?
Une peur ?
L'arrogance et le mépris des puissants ou de ceux qui veulent l'être !
Un tabou ?
joker !
Un pêché ?
C'est quoi, ça ?
Une envie ?
Faire l'amour avec plein de jolies femmes
Une devise ?
Droit devant !
Ton rêve de bonheur ?
Ouh la la ! Un monde où tout le monde vivrait en belle inteligence en respect et sans mépris !

CATÉGORIE AMOUR
Un mot d’amour ?
Je t'aime !
De la lingerie ?
Pour la femme ? Un string en dentelle. Pour moi ? Un simple shorty !
Un accessoire ?
Pour moi aucun. Pour la femme : des boules de geisha... Je rêve de me promener dans la foule en tenant une femme contre moi qui en porte.
Une personne célèbre qui te fait fantasmer ?
Aucune
Un lieu insolite pour faire l’amour ?
L'ascenseur ? banal !
Un souvenir de ta première fois ?
Dehors, à l'écart des tentes où nos copains dormaient !
Ta plus mauvaise expérience ?
Une panne !
Un fantasme ?
Un seul parce que j'en ai plein ! Avoir un Harem de belles et jeunes femmes...

6 novembre 2008

Le plus beau des baisers

aaLa fellation : douce caresse. La plus belle que la femme peut offrir à l'homme. C'est mon avis.
Mais je sais aussi que bien des femmes prennent beaucoup offrir cette caresse.
Témoin ce que m'en écrit cette amie du blog qui veut rester anonyme. Merci à toi, chère.....

Je ne comprendrai jamais ces femmes qui n'aiment pas faire de fellation... Je ne les juge pas, elles ont bien droit de ne pas aimer... Mais... J'adore! Mon Homme le sait, depuis le temps... S'il veut réellement m'exciter, il n'a qu'à présenter son sexe à ma bouche... (Juste d'évoquer tout ça...) J'aime la douceur du sexe masculin, ses reliefs si particuliers... La sensibilité du gland, sous la langue. Les larmes de plaisir qui perlent... Les soubresauts qui annoncent l'orgasme... Ce sentiment indescriptible de savoir qu'il jouit grâce à ma bouche... La tête rejetée par en arrière, les muscles qui se tendent, ses râles de plaisir... Et moi qui offre, sans rien demander en retour... (Enfin... j'y prends du plaisir, moi aussi...) Et tu sais quoi? Dans ces moments-là, alors que j'ai sa verge entre mes lèvres et que son sperme jaillit sur ma langue, je me sens si... puissante et libre! Puissante parce que c'est moi qui provoque, par mes caresses, cette jouissance, ce jaillissement... Libre, car je lui offre ce plaisir parce que je le veux bien, parce que j'aime le voir jouir, parce que j'aime son plaisir... Mon plaisir à moi, en cet instant, se situe à un autre niveau, plus intellectuel... Mais il est tout aussi vif... Et l'orgasme masculin, éternellement inaccessible à la femme que je suis, me fascine et me bouleverse...

bbAprès ce premier texte, je l'en ai remercié et lui ai dit ce que cette idée évoquait en moi... Et elle me répond.

J'ai lu ton message quelque part en soirée jeudi et l'idée de fellation m'a poursuivie pour le reste de la soirée... Mais je n'y tenais plus, je devais enrouler ma langue sur son sexe... Lorsqu'il est monté se coucher, je l'attendais sur le lit, nue, le regard affamé... Il a rapidement compris l'invitation, a fait tomber son sous-vêtement et a présenté son gland à mes lèvres... Et je l'ai léché, du gland à la base, jouant de mes lèvres et de ma langue, alternant caresses légères et chatouillantes et touchers plus appuyés pour faire monter le désir. Ma langue, curieuse, s'est même égarée, là où ses bourses et son périnée se rejoignent... Et ses râles de plaisir, de plus en plus forts, m'ont encouragée à laisser glisser une caresse humide qui suivait le sillon de ses fesses... Et il n'oserait jamais l'avouer, probablement parce qu'il associe ce geste avec une tendance vaguement homosexuelle qu'il trouve honteuse, mais je sais que le contact de ma langue ou d'un doigt sur son anneau lui fait perdre la tête... J'ai laissé à mes doigts le soin de s'occuper de sa hampe pendant que je lui offrais, du bout de la langue, ce plaisir au délicieux goût d'interdit... Et alors qu'il jouissait en de longs jets chauds qui se sont perdus sur ma peau, je pensais à cette caresse que tu aimerais, toi aussi...!

Quelle homme heureux ! Elle parle avec moi de fellation et c'est son homme qui en bénéficie ! Le monde n'est-il pas rempli d'injustice ?
Mais ne trouvez-vous pas qu'elle en parle merveilleusement ?

Photos empruntées à Ange érotique

4 novembre 2008

Dans la rue...

Fée d'Automne m'envoie ce joli texte plein de son envie, de ses rêves...
J'aime cette impatience, cette envie exprimée, ce rêve éveillé...
Fée d'Automne, j'aime te sentir pleine de désir, coquine, gourmande... Tu ne dis rien de ton état mais j'imagine que tu dois être humide, ouverte, palpitante...
Doux fantasme.
J'aime quand une femme me les raconte ces fantasmes qu'elle a...

Tu cheminais dans la grande ville, dans l'étroite ruelle, toi l'homme solitaire.
Par hasard, je te suivais à distance, calquant mes pas sur les tiens.
Ton allure, à la fois souple et posée, m'a permis de lever les yeux, de te détailler. J'ai eu envie de te suivre plus loin.
Tu es de belle taille, je te devine de belle apparence, sans trop savoir. Mon regard glisse de tes chaussures bien cirées, à ton jeans décontracté mais net, s'interroge sur le sport pratiqué par ces jambes musclées et puissantes, s'arrête un instant sur ces hanches que je ne peux voir; cachées par les pans de ta veste, remonte à ta carrure large, et s'arrête sur cette chevelure aussi foncée et chaude que la terre que l'on vient de labourer, mais qui semble aussi douce et fournie qu'un tapis de soie. Il doit être agréable d'y glisser les doigts.
Une brise légère m'apporte ton odeur, ton parfum. Cela me donne envie de connaître le reste de ta personne.
Tu te glisses dans la foule pas trop dense, je te suis bien malgré moi, tu t'arrêtes à une terrasse ensoleillée, t'assieds et attends le garçon. Pourquoi ne pas faire de même ? Je replie sous moi les pans de mon imper en cuir, et m'installe de façon à pouvoir continuer à te regarder pas trop ouvertement.
Tu sembles pensif, sans aucune attention pour ton environnement, ce qui me convient.
Je n'avais pas rêvé, tu as de fort belles jambes, solides. Ta veste de velours brun est ouverte, et laisse apparaître une chemise blanche au col entrouvert, ainsi tu aimes les tenues déconctractées.
Ainsi que ta carrure le laissait présager, tu es bien bâti, étoffé, d'une stature que j'ai envie de qualifier de masculine, solide et rassurante. Mmm il est difficile de te donner un âge. Trop puissant pour être un trentenaire, mais pourtant aucune ride n'apparaît sur ta peau lisse au grain fin. Je te détaille avec insistance, ma curiosité est trop forte. Ta peau est mate mais pas bronzée. Tu as des pommettes hautes, un menton volontaire, un nez équilibré, tu es rasé de près, tes lèvres sont charnues et te dessinent une bouche ferme et terriblement sensuelle, sur laquelle n'apparaît en ce moment aucun sourire. Tu portes des lunettes finement cerclées de métal, qui te confèrent une légère touche intellectuelle, peut-être, distinguée en tout cas. C'est intéressant, as-tu choisi le velours de ta veste assorti à la couleur de tes yeux, profonds, et aussi bruns que l'ensemble de ta personne ?
Toute ta personne aspire à l'éveil des sens, ton discret parfum, la soie de ta chevelure, la profondeur de ton regard, la texture de ta peau que j'imagine, la souplesse de tes lèvres .. il ne manque plus que ta voix.
Le garçon de café s'approche de toi, tu passes commande. Maintenant, j'en connais aussi le timbre, semblable au reste de la personne, chaud et posé.
Je voudrais trouver la force de me lever de mon siège, de m'approcher de toi, de te demander la permission de m'asseoir auprès de toi ...
Je voudrais surtout ... te regarder encore, parvenir à te faire sourire, pouvoir enfin toucher ta peau, ouvrir ta paume et la parcourir de l'index, touher ta peau, te respirer, toucher ta peau, toucher ta peau ... toucher ta peau ...
Je voudrais ... te humer, redessiner ton visage du bout des doigts, te murmurer mon désir à oreille, te dire combien j'ai envie de te découvrir.
J'ai envie de déposer mes lèvres au coin de ta bouche, de les laisser glisser sur les tiennes, d'y goûter sans précipitation, de les laisser faire connaissance, se pincer, se mordiller, de te lécher du bout de la langue, pour t'amener à les entrouvrir, pour que nos bouches s'emmèlent en un baiser gourmet devenu gourmand ...
Je m'imagine glissant les mains sous ta veste, bien à plat sur ta belle chemise, sentir ton torse, ta respiration calme, laissant mes doigts ouvrir tous ces petits boutons, pour accéder à ta peau. Elle est souple, très douce, chaude et tout aussi imberbe que ton visage. Je te sens déjà frissonner sous ces étrangers qui partent à ton assaut, qui te caressent le ventre à pleines paumes, remontent le long de tes pectoraux, en effleurent le dessin, s'arrêtent aux épaules, glissent vers le dos.
Je t'ôterais cette veste, et cette chemise, te caresserais le dos, laisserais mon ongle cheminer le long de ta colonne vertébrale, te faisant frissonner, parcourerais tes bras musclés, reviendrais à l'avant.
Là où les doigts seraient passé, mes lèvres et ma langue prendraient le relais, te goûteraient, avec douceur et gourmandise, elle s'arreteraient sur un de tes mamelons, juste pour voir si tu aimes, repartiraient vers ton visage, embrasseraient tes joues, tes paupières, tes tempes, tes lèvres ...
Maintenant, mes mains descendent sur ton pantalon, cernent le délicieux arrondi de tes fesses « pommes », fermes, rondes et bien dessinées, que je devine sous tes vêtements.
Je m'accroupis, délace tes chaussures et te les ôte. Je peux maintenant remonter vers toi, glisser une main sur ce renflement que tu ne peux plus cacher, l'autre sur ces reins que je voudrais découvrir.
Sans précipitation, tout en te regardant avec faim, je déboucle la ceinture de ton pantalon, le bouton, et fais glisser la tirette. Je le laisse juste descendre un peu sur tes hanches, pour me pemettre de glisser mes mains sur ces fesses tant convoitées. J'aime tes sous-vêtements, tu as mis un boxer à la matière incroyablement souple et douce, qui épouse parfaitement tes formes, presqu'aussi vivant que toi, homme.
Telle une statue, tu es maintenant solidement campé, tendu et frémissant, à ton tour d'avoir envie d'un peu plus ...
J'enlève ton pantalon, je pose ma joue contre ta virilité que je ne connais pas encore, je la devine, la caresse avec l'arrêt de mon nez, j'y pose les lèvres à travers le tissu, je glisse les doigts sous le peu qu'il te reste de vêtements, et te caresse les fesses, je redescends vers tes pieds pour m'occuper de tes jambes, je laisse mes mains courir et découvrir le galbe de tes mollets, l'arrondi et l'arrière de tes genoux, le musculeux de tes cuisses. Doucement, elles remontent, t'obligent à écarter les jambes, te frôlent l'intérieur de la cuisse, là où la peau est si tendre, même chez les hommes. Enfin, je fais glisser ton boxer, et t'en débarrasse.
Je recule et te dévore ... seulement des yeux, impudiquement.
Tu es beau, homme. Je te désire.

N'hésitez pas vous aussi à m'envoyer de beaux textes exprimant vos envies, une situation réelle ou fantasmée. C'est avec plaisir que je le publierais !
Merci encore à toi, Fée d'Automne et douces bises.

3 novembre 2008

Et à plusieurs ?...

aaUne jeune amie fidèle de mon blog me fait remarquer que ça fait longtemps que j'ai fait un sondage. C'est vrai !

Alors une question : vous est-il arrivé (une fois ou deux ou au contraire très souvent) de faire l'amour à trois ou plus ?
Vous aimez ? Racontez ?

Ou alors est-ce un de vos fantasmes ? Pourquoi ?

Pour ma part, je n'ai jamais expérimenté. Mais j'en rêve parfois : me retrouver avec deux femmes ne me dérangerait point. Pas forcément pour qu'elles s'occupent en même temps de moi ! Je prendrais grand plaisir à être aussi pour un temps voyeur et les regarder, en les caressant, s'offrir mutuellement du plaisir !...
Avec un autre homme ? Pourquoi pas s'il est le 4ème !...

Et vous ?

                              Le démon et ses belles !

2 novembre 2008

Vanessa

VanessaIl y a quelques jours, je vous présentais le blog que Vanessa tient avec son homme. Vous avez été le voir ?
Aujourd'hui, Vanessa m'offre cette belle photo de son intimité qui rejoint mon album "Les Portes du Paradis".
Quelle douce entrée que voilà entre ces deux belles jambes !
Quel doux passage présage t'elle !
N'est-elle pas prometteuse d'un plaisir paradisiaque.

Comme Vanessa et d'autres, vous pouvez mes amies m'envoyer une telle photo.

Merci Vanessa et son homme. Bises

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