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Le Démon de Midi
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30 août 2008

Mignonnes

Beauté de ces corps tout en courbes.
Beauté de ces corps qui s'attirent.
Beauté de ces corps qui se frôlent.
Beauté de ces corps qui s'enlacent.
Beauté de ces seins qui se caressent.
Beauté de ces cuisses qui se croisent.
Beauté de ces sexes qui transpirent.
Beauté de ces femmes
qui n'ont point besoin de l'homme pour jouir.

a

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30 août 2008

TOI

Coup de blues, ce samedi. Pourtant, il y a du soleil ! Dernier jour de vacances. Lundi c'est la reprise du boulot. Avec de nouvelles responsabilités, beaucoup plus lourdes et prenantes. Donc moins de disponibilité et mon blog risque d'en prendre un coup... . Mais, comme j'aime dire, yapakleku ! n'est-ce pas...
Un peu à sec aussi. Pas vraiment un manque d'idées ou d'imagination... Mais plutôt flemme de rédiger... Plus que jamais, je compte sur vos contributions que ce soit en photos ou par des textes...
Alors, je ressors aujourd'hui un texte publié il y a quelques mois...
   

    Tes lèvres si joliment dessinées que tu tends vers moi pour que j'y colle les miennes dans un long baiser.
    Ta langue espiègle que tu sors entre tes dents pour venir jouer avec la mienne.
    Tes épaules douces que j'ai tant de plaisir à prendre à pleine main, à malaxer, à caresser.
    Tes bras fins que tu jettes autour de mon corps : entre eux, je me sens en sécurité.
    aTes deux magnifiques seins, ces deux belles poires que j'aime croquer, envelopper de mes paumes.
    Tes deux tétons qui pointent quand ma langue les titilles.
    Tes hanches magnifiques, bellement incurvées comme les hanches de ma guitare, dont je suis la courbe du bout des doigts, ressentant le frisson ainsi provoqué.
    Ton ventre plat qui entoure ton petit nombril rigolo où tu aimes que je glisse la pointe de ma langue humide.
    Tes deux aines, là où la peau est si douce, charnière délicate et magnifique entre ton tronc et tes jambes.
    Tes jambes justement, longues et fines, que je prends grand plaisir à caresser à pleines mains.
    Tes cuisses à la fois musclées et galbées qui font se retourner bien des hommes quand dans la rue tu les montres.
    Tes fesses rondes, fermes, hautes accrochées… Irrésistiblement, elles m'attirent le regard que tu sois habillée dans ton jean moulant ou que tu sois nue. Elles attirent aussi ma main pour de délicates caresses. J'ai beaucoup de chance : elles font parties des rares que je puisse toucher. 
    Ton pubis rasé que j'aime caresser, embrasser, lêcher.
    Ton sexe, bien évidemment je ne l'oublie pas ! Belle fente ouverte comme un grand sourire vertical que je ne me lasse pas de contempler, d'embrasser, de lécher, de pénétrer…

Toi ma belle,
    Toi ma douce,
        Toi mon aimée,
            Tu sais que de toi tout cela j'aime.
        Tu sais que ton corps me fait te désirer mais
    Tu sais aussi que j'aime aussi en toi tout ce que tu es et que
Ton corps n'est que l'écrin merveilleux d'une perle encore mille fois plus précieuse et c'est pour cela que je
T'aime.

29 août 2008

Plaisir intense

Complice, mon amour...
Un beau site de Plaisir intense
qui aime le plaisir :
tout un programme !
Des beaux textes écrits par elle
tout en sensualité, en désir,
en plaisir de jouir...
Et de belles photos...

aaa

28 août 2008

Hommage au corps de la femme (2)

Comme moi, Pierre aime les jolies rondeurs
et douces courbes de la femme.

Dans un blog, il rend
hommage à vos fesses, Mesdames.

bbb

Et dans un autre, il fait honneur à vos seins.

aaa

C'est beau, c'est doux, c'est désirable, c'est excitant.
Allez y voir... Vous m'en direz des nouvelles...
Et bises en ces lieux magiques.

26 août 2008

Raconte-moi...

Pendant quelques mois, j'ai tenu un blog "Mon Harem" avec Anne, une très jeune femme et Flo, une femme de mon âge. Nous l'avons arrêter. Ce texte qui suit en est tiré...

Viens ma chère Anne,
t'allonger nue sur mon corps nu.
Voilà ! Comme ça ! Regarde moi !
Ecarte tes jambes de part et d'autre des miennes.
Glisse toi vers le bas, fais pénétrer mon sexe tendu
dans le tien, humide et en attente...
Humm ! C'est bon... Redresse toi sur tes coudes
que je puisse bien te regarder dans les yeux.
Laisse moi te caresser sur tout ton corps,
du sommet de ton crâne à tes deux fesses,
en suivant ta douce colonne centrale,
en m'échappant pour te caresser les côtés
et tes deux seins qui effleurent les miens...
On est bien ! Ne bouge pas !
Goûte la douce et lente promenade de mes mains
sur ton magnifique corps offert.
Sens la puissance de mon vit
dans ton con ouvert.
Laisse moi picoter ton visage de mille baisers.
Et raconte moi une histoire.
Raconte moi la première fois que tu as fait l'amour.
Tu avais quel âge ? Qui était ton partenaire ?
Comment était-il ? Comment cela s'est passé ?
As-tu joui cette première fois ?
Et lui ? L'as-tu revu ?
Vas-y ma chérie. Et regarde moi en me racontant cela.
Non ! Ne rougis pas. Tu n'as pas à avoir honte.

Je vous sens au fond de moi.
J’ai tant attendu, espéré, désiré ce moment.
Maintenant vous etes là, je suis sur vous étendue, fraîche encore de ma sortie du bain, parfumée, lisse et pure.
Je vous sens chaud et raide.
Vous etes entré sans forcer, écartant simplement mes chairs désirantes, et j’ai laissé échapper un profond soupir, comme un souffle de vent dans les ramures à l’automne
Soulevée sur mes coudes pour mieux vous voir, pour mieux vous connaître encore, je me noie dans vos yeux, mes lèvres entrouvertes quémandent votre bouche.
Votre sourire est tendre, votre main caressante sur ma croupe cambrée fièrement pour être plus solidement encore empalée sur votre membre que j’enserre de toutes mes forces.
Vous me sentez venir, vous relevez d’un geste paternel mes cheveux qui tombent sur votre visage.
Ma respiration se fait courte, saccadée.
Le plaisir monte et me bat les flancs.
L’incendie bienheureux s’est emparé de mon ventre
Vous souriez toujours, conscient de votre force,
Vous me savez à votre merci.
Alors…


Il faut que je me calme. Que je tente de rassembler ma mémoire
Malgré le séisme qui s’est emparé de mon corps.
Que je revienne à mes dix sept ans
A ces première vacances après le bac
(Avec mention je précise)


« …Florac est une charmante petite sous préfecture de Lozère, et c’est à quelques kilomètres que la colo s’était installée sous  tentes, pour les trois semaines de ce mois de juillet qui s’annonçait radieux. Je venais de passer mon BAFA et j’étais toute contente d’avoir pu décrocher ce poste de monitrice de colonie de vacances d’un comité d’entreprise du bâtiment. C’était une expérience nouvelle pour mois et surtout j’allais gagner mon premier argent, c’est important à 17 ans. »
J’étais, avec une autre mono, Nathalie, responsable d’un groupe d’une douzaine de gamins de 10 – 12 ans, issues des banlieues nord de Paris, c’est dire l’ambiance ! Ils étaient remuants et excités en diable, il fallait vraiment avoir l’œil pour ne pas en perdre, compter sans cesse notre petit troupeau, ramener l’ordre constamment car ils étaient prompte à la chamaillerie, voir à la bagarre en règle. Mais bon c’était les vacances, ils étaient là pour se détendre, et aussi pour découvrir un milieu si différent de ce qu’ils connaissaient, qu’on restait quand même assez cool avec eux.
J’avais même pris en affection un petit Mamadou, noir comme de l’ébène et qui habitait Gennevilliers. Ses yeux pétillaient de malice et il avait une gouaille qu’on connaissait naguère aux titis parisiens. Bref, le camp était installé depuis une semaine, on avait fait des grands jeux, la visite de Florac, et ce matin là on partait avec pique nique et sacs à dos, pour une journée en foret. Tout ce passa bien, Mamadou a bien disparu un moment, mais on l’a assez vite récupéré, et nous étions sur le sentier du retour, notre petite bande chantant à tue tête.
Je n’ai pas fait attention, ou je regardais ailleurs, mais brusquement mon pied à roulé sur une pierre ou une racine qui barrait le sentier, j’ai entendu un craquement à la cheville gauche, et me suis retrouvée par terre, une vive douleur m’arrachant un cri étouffé. Aussitôt la petite troupe s’agglutina autour de mois, les commentaires fusèrent. « Elle s’est cassé la jambe »
« ça saigne pas » « faut appeler l’hélico » « elle va mourir » conclut Mamadou avec optimisme. Nathalie m’aida à me relever mais en vain. Je ne pouvais pas poser le pied par terre.
Heureusement, un groupe nous suivait, avec Jean Pierre, le directeur de la colo, une vingtaine d’enfants et deux autres moniteurs. Il constata l’étendu des dégâts « t’a une sacrée entorse » observa-t-il. C’est vrai que ma cheville avait presque doublée de volume. « Tu peux pas rentrer comme ça, je vais t’aider. » Il renvoya enfants et moniteurs devant, me pris le bras pour le passer sur ses épaules, me pris par la taille de l’autre main, et je me remis sur une jambe, la seule qui restait opérationnelle, la droite. On se mit en route clopin-clopant, moi boitillant, lui me serrant de près et me soutenant.
Jean Pierre était un homme d’une quarantaine d’année, d’allure sportive, avec de beaux yeux bleus qui fascinaient plus d’une monitrice. J’avais remarqué une alliance à son doigt. Il était instit, il faisait des colos parce qu’il aimait les enfants, et aussi pour arrondir ses ressources. Il était sympa, surtout soucieux du bon fonctionnement du centre de vacances. On progressait avec lenteur. J’avais le sentiment qu’il me serrait vraiment beaucoup contre lui, et qu’il n’était peut être pas nécessaire de me tenir la main qui était passée autour de son épaule, mais ça ne me déplaisait pas, au contraire. Enfin je me faisais des idées, car il était plein de sollicitude paternelle envers la pauvre éclopée que j’étais devenue. Nous arrivâmes au camp presque une heure après tout le monde. « Demain je t’emmène à l’hôpital de  Florac pour te faire plâtrer »
Ainsi fut fait, et les jours qui suivirent me virent devenir la star de la colo. Tous les enfants voulurent dessiner ou écrire quelque chose sur mon plâtre, les monitrices également, et même Jean Pierre qui dessina un cœur transpercé d’une petite fleur. J’aurai dû me méfier. Pour me rendre utile, puisque je ne pouvais plus encadrer les enfants, il m’avait confié des taches administratives. Je gérais l’intendance, faisait les comptes des achats et dépenses, répondais au téléphone. J’aimais bien, et j’étais constamment près de Jean Pierre toujours au petit soin pour moi. Insensiblement je me sentais attirée par lui, non par un sentiment amoureux, je le trouvais vraiment trop vieux,
Mais je sentais comme un mystérieux et insistant appel de mon corps.
J’avais bien quelques amis, filles et garçons par ci par là, mais c’était copain copain et j’étais sage comme une image. Et voilà que dans cette ambiance de vacances, la chaleur, le soleil, mon immobilité forcée, et surtout la présence attentionnée de Jean Pierre faisaient naître en moi un élan de plus en plus troublant.
Ce jour là toute la colo était partie en car passer la journée au Mt Aigoual. J’ai râlée, car j’aurais bien aimé faire cette excursion d’où, paraît-il, on peut voir les Alpes et la Méditerranée par temps clair, un panorama unique. Et bien sur il faisait un temps exceptionnel. Tout le monde parti, je restais seule avec Jean Pierre dans le camp devenu étonnamment silencieux. La matinée passa comme d’habitude à faire des comptes et passer des commandes de nourriture : ça dévore, une colo ! A midi, je me retrouvais seule face à face avec Jean Pierre pour le déjeuner.  C’était la première fois, je me sentais étrangement gênée devant lui, trouvant rien à dire, n’osant pas même le regarder dans les yeux. En fait un désir inavouable s’était emparé de moi et je commençais à paniquer. Par cette chaleur je n’avais mis qu’une brassière, sorte de léger soutien gorge moulant ma jeune poitrine et une courte jupe plutôt rikiki, plus facile à mettre avec mon plâtre. D’ordinaire j’aurais été fière d’exhiber mon nombril tout bronzé, mais pour l’instant je me sentais contrariée, dans la crainte d’être provocante.
Mais Jean Pierre en avait sûrement vu d’autre, il plaisantait, évoquant des souvenirs de vacances, de colos, me parlant des enfants, me donnant même des conseils pédagogiques. Plus il parlait, plus je me troublais et le désirais. Le repas terminé, il me conseilla d’aller faire la sieste. « Il fait trop chaud maintenant, va te reposer un peu, ce soir les gamins seront excités, on est pas près de dormir »
Sous la petite tente, je somnolais sans parvenir à trouver le sommeil, énervée par le bourdonnement des mouches, et par l’insidieuse moiteur que je sentais sourdre de mon ventre. Quand j’entendis la fermeture éclair de la tente, je su que c’était lui. C’est allé très vite. Il m’a embrassée, j’ai répondu à son baiser avec fougue, laissant sa langue me fouiller, me sentant m’ouvrir, couler chaudement, mon Dieu, pourvu que ça ne traverse pas la petite culotte. Il était torse nu, je l’étreignait, j’avais perdu la tête, je fermais les yeux, je me laissais emporter par ce feu qui brûlait en moi. Il releva ma brassière pour libérer mes seins, les caresser tendrement. Il se dégagea. Je le vis ouvrir un petit sachet. Un préservatif. Je fermais de nouveau les yeux, m’offrant, écartée. Il eu quelque peine à retirer ma jupe trop étroite, ma culotte qui collait. Je le senti au bord. « Doucement, s’il vous plait…je suis vierge… » Il marqua un temps d’arrêt. « Putain une vierge » murmura-t-il, sans que je sache si c’était de ravissement ou de déception. Il s’enfonça lentement. Il buta contre l’hymen, je senti une pression, une petite douleur. Il força, la douleur se fit plus insistante. Il poussa encore. Je senti comme une piqûre, comme une petite brûlure, je poussais un cri assourdi. Je le senti pénétrer au fond, battre, gonfler, et quelque chose de chaud me remplis. Un temps d’arrêt pour reprendre souffle, et il s’était déjà retiré. A travers mes paupières mi-closes, je le vis ôter son préservatif, qu’il entortilla dans un  kleenex. Il redevenait mou. Il essuya le petit filet de sang qui s’écoulait de moi. C’était fini. Je n’avais pas jouis, j’avais eu mal, j’étais devenue femme…Il m’embrassa, me caressa un peu et se retira. Je m’endormis pour oublier.
La dernière semaine du camp se passa sans autre incident. Nous ne nous sommes plus retrouvés seuls, j’ai continué mes taches administratives, Jean Pierre se montrait toujours aussi prévenant, mais j’avais l’impression qu’il évitait mon regard désormais. La veille du départ, il m’emmena de nouveau à l’hôpital pour faire enlever mon plâtre. On le cassa en mille morceaux, je pu contempler ma cheville qui avait retrouver une taille normale, encore bleuie par l’hématome. On me donna une pommade à l’arnica, on me fit un bandage, et le lendemain ce fut le départ.
Cris, excitation, nous avons recompté dix fois les enfants pour ne pas en oublier. De mon aventure, quelques monitrices ont du avoir des doutes. Nathalie, sûrement a deviné. Sur l’autoroute du retour, alors que les enfants, pour une fois calmés, s’étaient endormis, je serrais dans ma main un  petit morceau de plâtre, où était dessiné un cœur percé d’une fleur…


Vous ne devinez pas l’effort qu’il m’a fallu pour aller jusqu’au bout de mon récit.
J’ai du puiser au fond de moi pour trouver la volonté de résister à la vague qui à chaque instant voulait m’emporter, me noyer, lutter contre la violence de cette irrésistible pulsion, juguler le désir et trouver les mots.
Ma consolation est que ce fut sans doute aussi dur pour vous.
D’un léger mouvement je romps notre immobilité convenue
Votre visage se crispe
Vos mains enserrent mes seins
Une violence compulsive agite votre sexe dans mon ventre
Je m’écrase sur vous.
Un torrent brûlant coule en moi
Je gémis plus fort, je cris
Ouiiiiiiiiiii

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25 août 2008

Caresse...

Superbe photo,
Superbe activité,
Superbe douceur
pour bien commencer la semaine !

aaa

Ca vous dit, Mesdames ?...

Photo emprunté à "Bleu comme l'enfer"

24 août 2008

Une Ange érotique passe...

J'ai déjà attiré votre attention
sur ce magnifique blog
Chimère érotique (qui est dans mes liens)
qui montre de très belles photos de femmes,
toutes en sensualité et en offrande...
Un plaisir que je veux de nouveau vous partager
Merci Angérotica.

aaaa

23 août 2008

Jeune fille, prend garde !

Autre texte publié en juin 2007 !... Ecrit en pensant à des jeunes filles précises qui visitaient mon blog et me faisaient des propositions... L'une d'elle m'a remercié plus tard... en me disant que je l'avais fait réfléchir...
C'est avec beaucoup de prudence et d'hésitations que je commence ce texte. Je ne veux pas passer pour un ayatollah, un père Lapudeur, un censeur, un père Lamorale que j'ai déjà dénoncés dans des textes précédents. Ceux et celles qui fréquentent régulièrement mon blog ne me croiraient pas.
Dans ce blog je rends hommage à la femme, à la beauté de son corps, au plaisir de suivre ses courbes. Elle est de tous mes fantasmes. Avec elle j'aime faire l'amour. J'aime sa sensibilité, sa sensualité, sa douceur, sa beauté. Dans mes fantasmes, la femme dont je parle, est belle, jeune, grande et fine, aux cuisses longues et galbées, aux seins fiers et orgueilleux, aux fesses rondes et fermes... La femme idéal que chacune veut être. Mais le fantasme, ce n'est pas la vraie vie.
La femme n'est pas "qu'une forme allitée à remplir !" (jeu de mots facile !). Et je suis triste quand la femme ne se respecte pas elle même. Quand la jeune fille surtout ne se respecte déjà plus. Ou du moins fait semblant...
Jeune fille tu es belle. Femme neuve, aux formes qui s'achèvent, tu nous fait rêver nous les mâles, quelque soit notre âge... Dans mes instants de solitude, dans mes moments d'ennui, dans mes plaisirs solitaires, c'est bien évidemment avec toi qu'en rêve je fais l'amour. Malgré mon âge qui es loin du tien ! Dans le rêve tout est permis... Toi la gamine que j'ai croisée dans la rue ou dans les transports, dans tes vêtements moulés mettant en évidence tes seins et tes fesses tellement désirables, qui montre sans pudeur ton nombril, qui laisse dépasser ostentiblement les lanières de ton string... Et je te remercie de me faire rêver, de nous faire rêver. C'est toi qui fait que j'aime passer des heures dans les transports et je préfère t'avoir comme voisine plutôt que ce jeune boutonneux, cette vieille décrépite ou ce vieux bedonnant... De montrer ainsi ton corps, de t'exhiber ainsi avec fierté je ne veux pas t'en empêcher. Ca te plait. Ca me plait. Continue. Comme les jeunes mecs veulent tester leur virilité en parlant plus fort que nécessaire, en roulant des mécaniques, en portant un peu trop facilement la main à la braguette, toi tu veux tester ta féminité en voyant l'effet que fait ton corps magnifique sur la population mâle, en aguichant, en te moquant...
Depuis que je tiens ce blog j'ai été amené à aller voir pas mal d'autres blogs de celles qui me laissent des com. Dans certains, des jeunes filles, belles, s'exhibent. On  les voit sous toutes les coutures. L'une d'elle, elle se reconnaîtra et je lui ai dit, se plaint de recevoir des propositions salaces, de se faire traiter de pute. Mais qu'importe ! Ca reste virtuel. Il ne faut pas qu'elle se plaigne. Il faut qu'elle ignore. Elle a le droit de s'exhiber et je revendique avec elle et pour elle ce droit si ça lui chante. Mais il ne faut pas qu'elle se plaigne si elle attire à elle les détraqués, les obsédés... Et je veux te mettre en garde, jeune fille, ne rentre pas dans ce jeu. Ne t'avilit pas. Trop attendent cela et se réjouissent de contribuer à cet avilissement. Et, ne m'en veux pas de te le dire, je me demande si parfois tu ne vas pas trop loin en montrant ton cul grand ouvert, ton sexe ou ta bouche dégoulinant de sperme... Vus les com que tu reçois, tu sais bien que ce n'est pas majorité de tes admirateurs qui cherchent à t'avilir et qui attendent cela... La plupart te disent leur envie de te tenir dans leur bras, de t'avoir pour eux seuls, de te faire l'amour toute la vie... Quoi de plus normal ? Tu as testé ! Tu as gagné !
Je pense aussi à cette autre très jeune fille (elle annonce 18 ans mais les a t'elle vraiment ? ), elle se reconnaitra aussi car elle vient souvent me visiter semble t'il. Elle m'a envoyé sans que je le lui demande une photo d'elle. Habillée. Belle. Magnifique fille ! Je le lui ai dit aussi. Et elle se plaint que je ne la mette pas sur mon blog. Pourquoi faire ? Même nue, je ne l'aurais sans doute pas mise. Par respect pour elle. Peur de la salir. D'en faire un objet. Peur de l'exhiber, d'être en quelque sorte son proxénète !. Et elle me dit qu'elle aime montrer sa chatte, se faire couvrir de foutre ! Pauvre petite fille ! Protège toi. Tu n'es pas que ton cul, aussi beau soit-il... Tu as en toi d'autres valeurs que la beauté de ton corps pour exister aux yeux des autres, aux yeux des hommes... Montre toi, tu en vaut la peine, tu n'as pas avoir honte, mais n'en rajoute pas, ne fais pas de toi l'esclave sexuel que tu dis aimer être. Non ! Tu ne peux pas aimer être un objet sexuel !
Trop de filles violées. Trop de femmes violentées, méprisées. Trop de filles mères avant d'être femmes. Trop de femmes victimes de violences conjugales, cela aussi je le vois sur différents blogs de femmes. Attention, je ne dis pas que c'est de leur faute, qu'elles ont responsables, certainement pas. Je ne veux pas leur imposer le tchador ! Je ne me trompe pas sur les responsabilités. Le coupable, c'est le salaud qui frappe, qui viole, qui méprise, et lui seul, sans circonstances atténuantes... Mais il ne faut pas qu'elles s'enferment elles-mêmes dans ce rôle, il ne faut pas qu'elles se soumettent aux cons qui ne veulent que les avilir, qui ne veulent que leur plaisir... Quelle différence entre une branlette solitaire et la pénétration d'une fille-femme qu'on méprise, qui n'est qu'un objet, qui fait ce qu'on lui demande de plus avilissant que parce qu'elle croit gagner en amour et en respect !...
L'Amour ce n'est pas la soumission. L'Amour ce n'est pas l'avilissement. Ce n'est pas dans la souffrance. L'Amour c'est la réciprocité, c'est l'égalité, c'est le respect, c'est la tendresse, c'est la complicité, c'est l'admiration de la personne dans son entièreté, pas que de la beauté de son cul, de la longueur et de l'épaisseur de son sexe... L'amour c'est vouloir le bonheur de l'autre, même si on doit y perdre soi-même des plumes. C'est accepter de se taire pour écouter. C'est accepter de recevoir et pas seulement de donner. Celui qui donne a le pouvoir. Il faut de l'humilité pour recevoir.
Jeune fille, bien sûr que tu as droit de t'éclater, de jouir, d'avoir tes fantasmes, de jouer avec ton corps, avec ton sexe, de franchir la ligne jaune... Mais prends garde, ne te trompe pas. Tu jouiras d'autant plus que tu resteras libre et maîtresse de tes plaisirs, sans te laisser avilir.
Voilà ce que je voulais te dire, belle jeune fille, avec toute mon affection et mon respect.

Et vous tous/toutes qui m'avez lu jusqu'au bout, merci de me dire ce que vous en pensez !

23 août 2008

A une jeune fille

Suite au débat précédent, je ressors ce texte paru sur mon blog il y a près d'un an !
Pour que les choses soient claires.
a
Et je persiste et signe...

Oui, jeune fille,
Pas encore tout à fait majeur,
Encore adolescente,
Femme en devenir,
Tu es belle, tu es attirante.
Ton visage aux traits si doux,
Je voudrais le prendre entre mes mains,
L'embrasser, y déposer mille baisers.
Ta bouche si bellement dessinée,
Je voudrais la baiser,
Glisser ma langue entre tes lèvres,
Trouver ta langue et jouer avec.
Bien sûr, je voudrais te serrer dans mes bras,
Te protéger, te caresser.
Bien sûr, je voudrais te dénuder,
Entièrement…
Bien sûr je voudrais prendre dans mes paumes
Tes seins tout neufs,
Qui se dressent avec fierté,
Provoquant, alléchant.
Bien sûr je voudrais suivre du bout des doigts,
Les courbes de ton corps,
Tes hanches, ta taille,
Glisser sur ton ventre plat.
Bien sûr, je voudrais tenir à pleines mains,
Tes deux si belles fesses,
Longer le sillon, les écarter,
a1Les pétrir, les malaxer, les caresser.
Bien sûr que je voudrais embrasser
Tes deux belles et longues jambes,
Fines, galbées, légèrement musclées.
Bien sûr, je voudrais effleurer la légère toison
Qui recouvre à peine ton pubis bombé.
Je voudrais d'un doigt me glisser
Entre tes deux lèvres humides
Et trouver là ton petit bouton
Si sensible et l'entrée de ton antre.
Ce bouton que j'aime t'imaginer,
Seule sur ton lit, le caresser,
Cherchant le plaisir que tu devines
Mais qu'aucun homme encore
N'a eu l'occasion de te procurer.
Oui, jeune fille,
Pas encore tout à fait majeur,
Encore adolescente,
Femme en devenir,
Je voudrais te serrer nue
Contre mon corps nu,
Sentir tes seins s'écraser
Contre ma poitrine,
a2Sentir l'humidité de ton jeune sexe
Contre ma cuisse glissée entre les tiennes,
Sentir mon sexe tendu
Contre ta hanche.
Oui je voudrais caresser ta peau douce,
Pétrir tes jeunes chairs encore dodues.
Oui, jeune fille,
Pas encore tout à fait majeur,
Encore adolescente,
Femme en devenir,
Ta vue provoque tous ces désirs en moi.
Mais je ne le ferais pas.
Même si tu insistais, je ne le voudrais pas.
Parce que tu n'es plus de mon âge,
Je pourrais être ton père.
aParce que je suis un homme
Et non une bête en rut
Qui se vide sur tout ce qui lui plait.
Parce que j'aurais l'impression de te salir,
De chercher avant tout mon propre plaisir
Même si je te le procure aussi.
Parce qu'il ne peut y avoir de véritable amour
Entre une jeune et… un "vieux".
Oui, jeune fille,
Pas encore tout à fait majeur,
Encore adolescente,
Femme en devenir,
Tu fais partie de mes fantasmes,
De mes rêves cachés,
Que je n'ose jamais exprimer.
C'est ma réalité.
Et ce sera ainsi.

22 août 2008

Retour d'ascenseur

aaaPuisque mon amie Volcane m'expose en son blog dans sa "Salle d'armes",
je ne résiste pas au plaisir de remontrer une si belle photo d'elle
qu'elle m'a offerte pour mon album "Les portes du Paradis".
Une occasion de vous inviter, Mesdames, à l'y rejoindre.
Ce serait un plaisir pour moi de vous y accueillir...

Et je vous invite à lire ou relire le texte qu'elle m'a inspirée...

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