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Le Démon de Midi
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30 janvier 2008

Bises coquines

Plusieurs femmes, dans les messages qu'elles m'envoient, dans leurs commentaires,... m'adressent des "bises coquines" ou des "chaudes bises"...
Qu'est pour vous une bise coquine ?
Merci de me dire.
Et bises... coquines !

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30 janvier 2008

Massage à l'homme de ma vie

Le texte d'Anne sur le massage qu'elle a offert à son homme inspire Sofia qui me raconte à son tour ce qui suit. J'aimerais me trouver entre ces mains expertes...

Pas plus tard qu'hier, je suis montée me coucher quelques instants avant lui, il me rejoint, se déshabille et s'allonge à mes côtés. Je lui demande si un petit massage aux huiles essentielles lui ferait plaisir. Quelle question !, aussitôt proposé, il s'installe sur le ventre prêt à recevoir mes délicieuses caresses. Je m'installe à califourchon sur son postérieur et commence à lui masser le cou, les épaules, les bras, le dos. Le parfum qui se dégage, mêlé à la douceur de mes mains commence à faire monter en lui de délicieuses sensations, progressivement je m'installe sur ses cuisses afin de m'occuper de ses fesses, puis de la partie la plus intime de son anatomie. Il se retourne et les délicieuses sensations que cela lui procure se transforment rapidement en une forte érection. A présent, je me trouve face à son membre dur et raide. Je commence à caresser ses bourses et son sexe à l'aide de mes deux mains afin de maintenir son plaisir au plus haut niveau. Etant également dans un état d'excitation maximum ?..la suite peut-être plus tard.
Inutile de vous dire que ce fût un pur moment de bonheur.

Et vous ? Vous offrez ainsi des massages aux hommes que vous aimez ? L'une de vous pourrait-elle m'en offrir un ? Ca me ferait tant de bien...

29 janvier 2008

Massage

Anne me gâte. Son ami s'est absenté quelques jours et elle attend avec impatience son retour... Anne, j'ai mal partout ! J'ai besoin d'un de tes massages...

Pour son retour, je prévois une soirée tantrique, art que nous aimons souvent pratiquer. Quand il sortira de sa douche, je l'essuierai soigneusement. Il s'allongera, nu, à plat ventre sur notre lit. Je ferai couler dans mes mains une huile essentielle à base de ginseng prétendue particulièrement aphrodisiaque. Vrai ou faux l'essentiel c'est d'y croire, et je m'emploierai à le convaincre. Je masserai les épaules, le dos, les cuisses, les mollets, à la façon des masseuses asiatiques que j'ai vu opérer. Puis je le ferai passer sur le dos. Alors là, il est impossible pour lui de dissimuler une imposante érection. Passant outre, je continuerai à masser avec application sa poitrine, son ventre, lentement, en évitant soigneusement l'objet du désir pourtant si proéminent. Je sens son impatience monter, ce qui m'encourage à ralentir encore mon action. Penchée comme je le suis pour le masser, il peut apercevoir furtivement mes seins par l'échancrure de mon kimono, ce qui participe encore à la montée de son excitation. Mais il connaît la règle du jeu tantrique : attendre et prolonger la montée vers l'extase. Me voici maintenant à califourchon sur son ventre, je sens son sexe raide à travers le fin tissus de mon pantalon. Vous dirai je que moi aussi je suis au bord du plaisir maintenant ? il va devenir urgent de me dénuder et de m'empaler sur cette épée de chair qui n'attend que de me pourfendre. J'en mouille déjà.

25 janvier 2008

Petit plaisir...

25 janvier 2008

Il parait qu'il va faire beau ce week-end.Alors

Il parait qu'il va faire beau ce week-end.
Alors profitons-en !

a
Bon week end à vous tous.
Profitez-en pour me visiter.
Et, éventuellement, laisser trace de votre passage
par un petit message, un commentaire,
une contribution

Et vous, Mesdames,
prenez le temps de répondre à mon enquête !

C'est tellement important !...
Je vous embrasse.

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25 janvier 2008

Un peu court, non ?

a1

25 janvier 2008

Pubis rasé, épilé ou au naturel ?

Osez vous exprimer !

Un nouveau sondage de la Sofres suite au papier de Anne, toilette intime.
Peut-être je me trompe mais j'ai le sentiment, à ce que me dit l'une ou l'autre
ou à ce que je lis sur tel ou tel blog, que beaucoup de femmes aiment avoir le pubis nu.
Je ne vais pas le leur reprocher. J'aime. Même si une toison pubienne est aussi agréable à caresser !
Est-ce un effet de mode ?
Mais suivre la mode peut avoir un intérêt, me semble t'il, si les autres le voient. Et, dans la vraie vie, on ne montre pas son pubis, rasé ou non, à longueur de journée à plein de monde.
► Alors ? Qu'en pensez-vous ?

► Vous rasez-vous ? Vous épilez-vous ? Restez-vous au naturel ? Pourquoi ?
► Si vous êtes rasée ou épilée, le faites-vous vous-même ? Ou en confiez-vous le soin à votre ami/amant/mari ou à un professionnel ?
► Et ce moment est-il une corvée ou un moment de pur bonheur voire de pure jouissance. (Pour un homme c'est une véritable corvée de se raser la barbe tous les matins ! Rien de jouissif là-dedans !)
Merci de vos réponses. Et bises en ce lieu, quelqu'en soit son état.

22 janvier 2008

Prière

a

22 janvier 2008

Toilette intime

Une nouvelle lettre d'Anne qui se confie de plus en plus intimement ce qui n'est pas pour me déplaire, vous le pensez-bien. "Me trouvez-vous impudique ?" m'a t'elle demandé un jour. Non, bien sûr. Cela n'est qu'un jeu  !  Et mon blog se veut parfaitement impudique... tant qu'il ne devient pas vulgaire.
Alors, si cela peut donner des idées à d'autres dames, n'hésitez surtout pas. Je n'attends que ça.
Merci à toi donc, chère Anne... de moins en moins inconnue !

Cher Démon,
Le samedi est souvent le jour de ma toilette. Je veux dire de ma toilette intime, celle où je mets à profit une matinée cool pour m'occuper de mon corps. Et quand mon ami est là, je l'invite à participer. "Danou, tu viens me raser ?" Non, n'imaginez pas que je suis une femme à barbe, mais mon amant adore voir mon sexe entièrement rasé, et n'hésite pas, quand il est là, à jouer les barbiers. Quand, je suis seule, je me débrouille, et ce n'est pas un moindre plaisir.
J'étale une serviette sur notre lit, m'allonge cuisses largement ouvertes. Il arrive avec la mousse William douceur super hydratante pour peau fragile. Il l'étale adroitement sur sur le mont de Vénus dont j'accentue le bombement en me cambrant. Il apprécie que je lui facilite la tache. Pour bien étaler la mousse, il prend son temps, passe et repasse dans un mouvement à peine appuyé, de bas en haut et de gauche droite, afin que toute ma surface pubienne soit blanche comme une barbe de père Noël. Cette première phase se passe souvent dans la rigolade, on joue comme deux gamins, mais assez vite, ma position très ouverte, et les attouchements prolongés de mon amant qui sous prétexte d'étaler la mousse, abuse un peu de la situation, m'amène à un état d'échauffement caractéristique que je connais bien. La seconde phase du travail consiste à passer le rasoir. A cet effet je me suis procurée un rasoir spécial nana, aux lames moins agressives que les rasoirs masculins. Il le manie avec adresse, sûreté et un savoir faire certain. Je reste dans la plus totale immobilité, pour éviter tout dérapage qui risquerait de me blesser, bien que cet instrument est dit "de sécurité". Là encore, mon amant prolonge à plaisir l'opération, avec une minutie et une attention qui ferait honneur à un professionnel. Sans doute s'aperçoit il de mon émoi, que trahit maintenant mes grandes lèvres entrouvertes sur la grotte de moins en moins secrète, et dont les sécrétions qui tendent à devenir abondantes se mêle au reste de la mousse. Enfin la phase trois consiste à passer sur l'ensemble de la zone un gant de toilette doux et parfumé, qui achève de m'exciter, car avec un machiavélisme bien masculin, mon tendre servant insiste un peu trop sur une vulve déjà bien enfiévrée, et donne le coup de grâce en frôlant involontairement (???) mon clitoris mis en effervescence par tant d'attention. Mais il y a une justice immanente. Mon amant quant à lui, est raide et dur comme l'obélisque de la Concorde. Vous dévoiler la suite, cher Démon, serait indécent, tant sa pénétration fut profonde, tant je me suis offerte à son plaisir, et tant mes gémissements ont accompagné un orgasme dévastateur. Voilà un week end bien commencé.
Anne

22 janvier 2008

Je l'attendais...

Anne, à la lecture de "A l'Abbaye de Saint Plaisir", a quelques émotions. Elle m'écrit à nouveau. Merci à elle...

Cher Démon
Mon impatience croissait au fil des heures. Et au fil des heures j'avais de plus en plus de mal à me concentrer sur le droit europeun en matière d'environement. J'avais enfilé un pyjama pour etre prete, disponible, accessible. J'ai résisté longtemps avant de glisser une main fouineuse vers la chaleur qui irradiait mon bas ventre. Le pyjama assez large facilitait cette maneuvre, qui loin de m'apaiser, me faisait suinter davantage. Mais qu'il vienne, bon sang, qu'il vienne. Ce ne fut que vers minuit moins le quard qu'il poussa la porte d'entrée. Il me fit un petit bisous dans le cou. "Pas couchée ?" Il palpa d'une main précise mes seins tendus sous la veste du pyjama. Un gémissement l'informa sur mes dispositions. Je m'agenouillais à ses pieds. De mes doigts fébriles je défis sa ceinture, ouvris le pantalon, dégagea son membres déjà ride de la prison du slip devenu trop étroite pour son développement. "je bande depuis l'ascenseur..." murmura-t-il. Je le pris en main avec respect, avec adoration pour le porter à mes levres. Il reçut le baiser qui le raidit davantage. De ma langue, rendue plus agile encore par la ferveur de mon désir, je le caressais en aller et venues lentes et appuyées qui déclencherent chez mon amant des gémissements rauques anonciateurs de tempêtes à venir. Je portais mes mains devenues inutiles, sur ma fleurs ouverte baignée de rosée, pour connaitre à mon tour le fulgurant plaisir. Je le sentis se raidir encore, gonfler dans ma bouche, et en un ultime coup de reins libérer sa semence généreuse sur ma langue. le jet abondant me remplit toute entière, L'exédent de liqueur coule sur mon menton, sur mon cou, descend le long de ma gorge jusque sur les seins. je me retire heureuse, comblée par un orgasme lumineux qui me fait défaillir. Nous nous retrouvons enlacés, nus dans le lit, à la rencontre d'un sommeil apaisant, lui me murmurant son amour, et moi, yeux clos, rêvant à une soeur Alice, offerte et soumise. Anne.

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