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Le Démon de Midi
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30 septembre 2009

Réponse à l'invitation !

Il y a quelques temps, j'ai écris un texte en pensant à une amie du blog... Viens là, près de moi... Et bien voici la suite... racontée par elle. Elle souhaite pour le moment garder l'anonymat... Tant mieux. Je la garde pour moi tout seul...

Tu me lis, tu me regardes, tu me veux. Ton invitation ne se refuse pas, elle est trop tentante. Oublions le virtuel, place au réel !

Tu as parcouru cette route, tu es venu jusqu'à moi. Tu as choisi un lieu propice à notre rencontre, un endroit calme et entouré de nature. Cette attention m'a enchantée.

Et maintenant que je suis là, que j'attends ton arrivée, je suis perdue. Ce que tu as vu et lu de moi est une chose. Qu'en penseras-tu dans la crudité du concret, dans la vérité du réel ?

aaOn frappe à la porte. Je m'agite. Je jette un regard furtif au miroir. Cette jupe courte, légèrement bouffante et couleur prune, devrait te plaire. Du moins, je l'espère.

J'ouvre... et te découvre. Malgré un sourire intimidé sur mes lèvres, je te lance un "Bonjour" éclatant.

- Bonjour ma douce et belle amie. Tu es encore plus ravissante en chair et en os !

Je rougis et t'invite à entrer.

Nous prenons notre temps. Tu t'installes confortablement dans le fauteuil de la chambre, je te sers un peu de vin que j'avais pris soin d'amener avec moi. Nous trinquons joyeusement à notre rencontre.

bbLa conversation bat son plein, comme à notre habitude. Dernières confidences échangées, impressions détaillées, opinions partagées. La seule différence est notre présence charnelle. Mais cette différence a toute son importance.

Tu me redis ton désir, je succombe à nouveau à l'entendre. Je me rapproche. Ma jambe se montre curieuse et remonte lentement le long de la tienne, jusqu'à ton entrejambe. Sourire en coin, oeil mutin, je prends conscience que tu ne mens pas. Tu es déjà dur, trop à l'étroit.

L'appel du pied se mute en appel du corps. Je me lève et m'assois sur toi, à califourchon. Sans prononcer un mot, je t'embrasse doucement, puis effrontément. Tu réponds à mon audace avec beaucoup d'engouement. Tes mains me parcourent, soulevant ma jupe, lui donnant encore plus de bouffant. Tu ne tardes pas à découvrir ma surprise. Aucun barrage n'arrête ta main exploratrice et tu souris à cette attention.

Tu me trouves donc déjà humide et prête à t'accueillir. Je ne te laisse pas le temps de me dévêtir, je ne fais moi-même. J'ôte donc mon petit haut, libérant par la même occasion mes seins nus de toute lingerie. Tu y plonges immédiatement tes lèvres, m'arrachant quelques gémissements de plaisir.

aaJe prends les choses en main. Déboutonne ta chemise, déboucle ta ceinture et offre à ton vit tout l'espace qu'il mérite et dont il a besoin. Plus je le caresse, plus il se dresse, fier et droit, insolent presque. Je te laisse encore goûter à ma bouche avant de décider de te prendre dans la mienne.

Ma langue s'enroule autour de ton gland déjà décalotté, je te suce avec gourmandise. Je m'active pendant que tes mains pétrissent mes fesses et s'enduisent de ma cyprine.

Et quand la brûlure de mes reins devient trop pressante, je t'invite à pénétrer en moi. Mes lèvres s'ouvrent doucement tandis que je descends sur ta verge turgescente pour mieux te sentir monter en moi. La chevauchée prend de l'ampleur, nous partons au galop. Et avant que je n'exulte, tu me bascules soudainement sur le sol et m'infliges tes derniers coups de reins souverains et dévastateurs. Nous nous perdons alors dans nos cris de jouissance.

Photos empruntées à Chimères érotiques

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29 septembre 2009

Le repos du guerrier

C'est un peu le débordement côté boulot en ce moment ! Et ça ne va pas aller en s'arrangeant. Mais bon, je ne vais pas me plaindre. J'ai un boulot qui me plait. Il y en a tant qui s'emm... à leur travail et qui comptent les heures et les jours qui les séparent des prochains congés... Ou bien qui depuis des temps et des temps sont en recherche d'un travail... Ce serait donc mal venu de me plaindre...

aa

Mais il n'empêche... certains jours j'aimerais avoir de si ravissantes collaboratrices ! Non point que les femmes avec qui je travaille soient déplaisantes... Non, non ! Ne me faites pas dire... Mais deux jeunes femmes comme ces deux là, allez, habillées de la sorte, me donneraient encore plus de coeur à l'ouvrage...

Bon. Je vais faire râler dans les chaumières : mais parfois, je regrette qu'on ait aboli le droit de cuissage... Le droit de tâter, de goûter en toute impunité !

Ne prenez pas cela au premier degré !... Lol ! comme disent les jeunes !...  Vous me connaissez, je ne suis pas comme ça...

Quoique !...

28 septembre 2009

Envie...

aa

...de te serrer contre moi
de t'amener avec moi dans mon lit,
de glisser ma main
à la place de la tienne...
De prendre à pleine main
tes deux belles fesses.

Viens... Bises

27 septembre 2009

Baiser !...

aa

Oui ! Baiser ! Envie de baiser !...
Toi aussi ?
Et bien ! Qu'est-ce qu'on attend ?
Rencontrons-nous et baisons !
Faisons l'amour.
Laisse moi te lutiner.
Laisse-toi aller.
Laisse-moi te déshabiller.
Mets moi à nu...
Laisse moi me couvrir le visage
de ta cyprine.
Joignons nos deux sexes en désir.
Collons nos corps l'un à l'autre,
etreignons nous,
emmêlons nous.
Pétrisssons-nous.
Baisons. Baisons. Baisons.
Et jouissons !

bb

photo piquées à Coco

26 septembre 2009

Littérature érotique

Parfois, des lectrices -en mal d'émotion sans doute- me demandent des conseils de lectures érotiques. Il m'est arrivé plusieurs fois ici de parler d'un livre ou l'autre...
Chocolat Canelle m'a fait découvrir un blog de
livres érotiques.
Des livres dans leur intégralité : La Fontaine (et oui !), Sade, de Musset, Casanova...
Allez-y vite. Et bonne lecture.

aa

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24 septembre 2009

Au cinéma

Cadeau de mon amie Gwen pour mon anniversaire... Ce texte !...
Merc
i

Voilà quelques semaines que j’ai rencontré un homme délicieux … sur un blog. Il dit aimer les plaisirs de l’amour et publie de sublimes textes qui me font fondre de désir. Et puis, il m’a envoyé des photos de lui, il est charmant. Autant de raisons de le rencontrer. Malgré nos conversations de plus en plus intimes, il ne me propose rien. Alors je lui envoie ce mail au milieu de la nuit : « Vendredi je serrais à Domiland vers 19h30, viens ». Le lendemain matin, fébrile j’ouvre ma messagerie, son message ne contient qu’un mot, le bon mot : « oui ».

L’approche de ce rendez-vous me grise mais m’intimide aussi. Je me fais couler un bain pour me détendre. Mes mains savonnent mes seins, mes fesses, mon pubis. Tout à l’heure ce seront ses mains qui seront à la place des miennes. Je les imagine sur mon corps, rêve au baiser qu’il va me donner, songe à son corps, nu, contre le mien … Le désir monte … Envie de glisser mes doigts entre mes cuisses mais je résiste. Je réserve ce désir pour lui.

Je sors de l’eau et m’enveloppe d’une serviette de toilette. Comment vais-je m’habiller ? Sous-vêtements sexy. Jupe, pantalon, décolleté ? Mon premier choix se porte sur mon pantalon préféré. Essayage. Non, pas assez glamour. Une jupe le séduirait davantage. J’en repère une jolie sur un cintre. Mais pour un 1er rendez-vous, trop provocante. Choisir quelque chose qui n’en dévoile pas trop tout en donnant envie d’en voir plus. La voilà ! LA robe ! Longue mais échancrée jusqu’en haut de la cuisse ; pas décolletée mais épaules dénudées. J’espère qu’il aimera.

J’ai perdu beaucoup de temps. A peine le temps d’un brushing rapide, d’une couche de mascara et 3 gouttes de parfum qu’il faut partir.

Il m’a donné rendez-vous au cinéma de la ville. Quelle drôle d’idée pour une 1ère rencontre. Il m’attend à l’intérieur de la salle 3. Je ne pense même pas à regarder quel film est projeté dans cette salle, je dévale les escaliers deux à deux et le cherche du regard. Je suis soulagée de voir qu’il y a peu de spectateurs installés. Je l’aperçois dans son siège, isolé des autres cinéphiles. Il se lève à ma rencontre, et m’embrasse chastement en me serrant dans ses bras. Ce premier contact est très agréable. Puis la musique du générique débutant, nous prenons place. Il a pris soin de relever l’accoudoir qui sépare nos deux fauteuils, nos cuisses sont ainsi collées serrées. Jambes croisées, l’échancrure de ma robe dévoile bien haut la peau de ma jambe ; il prend plaisir à regarder ce jeu de jambes et à rapprocher sa cuisse toujours plus près de la mienne. Etrange ce moment où l’on est censés faire connaissance mais où l’on ne peut parler. Je pose ma tête contre son épaule, avec douceur, il caresse mes cheveux, ma nuque. Je suis bien détendue. Finalement cette situation est plaisante. Nul besoin de chercher ses mots, pas d’appréhension du silence. Un retardataire vient d’entrer dans la salle, il se décale pour le laisser passer ; mouvement de jambes de ma part, il rajuste ma robe pour ne pas que cet impromptu visiteur ne voie ma cuisse dénudée. Son geste est précis, respectueux mais me semble plus long que nécessaire. Il n’enlève pas sa main, au contraire il la fait glisser, caressant mon genou et remontant jusqu’à mon entrejambes. Je dépose un baiser dans le creux de son cou pour l’encourager à continuer. S’attendant à rencontrer ma culotte, il est surpris de sentir ma peau glabre sous ses doigts. Le désir monte. Je devine sous son pantalon son sexe qui prend forme de plus en plus. Je dépose comme une couverture mon gilet sur ses cuisses et déboutonne son jean pour atteindre ce membre viril. Ses doigts parcourent à merveille mon intimité au point de refréner un cri. Pour contenir ce dernier, je pose mes lèvres sur les siennes : nous échangeons notre premier baiser, passionné. Parce qu’il est difficile de caresser mes seins à l’abri des regards, et qu’il n’est pas aisé de glisser sa main sous ma robe, il en défait les boutons et je me penche pour ne pas être vue des autres personnes présentes dans cette salle. Oups, je me retrouve en tête à tête avec son sexe que j’avais délaissé un instant plus tôt. Comme happée par lui, je le prends en bouche et le suce, le lèche, l’aspire, le caresse, le branle, l’embrasse … Générique de fin, les spectateurs quittent la salle. Instinctivement, je me mets à genoux sur mon siège pour continuer cette caresse buccale. Je sens qu’il relève complètement ma robe et parcours de ses doigts mes fesses, en écarte les globes pour s’approcher de plus en plus de leur entrée intime. Je comprends alors que la salle est désormais vide. Je me relève et le chevauche pour venir empaler mon sexe dans le sien. Cuisses appuyées sur les accoudoirs, son dossier rabaissé, je suis en position idéale pour le dominer. Mes seins sont à portée de ses mains, de sa bouche et il ne s’en prive pas. Je sens cogner son vit au fond de ma chatte et accélère les mouvements pour le sentir plus fort, plus profond … Nous avons jouis ensemble dans cette salle de cinéma vide où la résonnance est importante. Réajustement de nos vêtements, dernier baiser … les premiers spectateurs entrent déjà pour la prochaine séance, nous nous faufilons discrètement vers la sortie, l’air est frais … un beau moment de cinéma.

24 septembre 2009

Insomnie

3h du matin... Je me suis réveillé. Ne retrouve pas le sommeil.
Des soucis du travail qui remontent à la surface.
Qui se cognent aux soucis familiaux...
Alors, je veux les chasser... La journée y fera face...
Je pense à vous. Au fond de votre lit. Vous dormez. Vous faites des rêves érotiques.
Vous avez fait l'amour avant de vous endormir.
Vous êtes encore pleine de la semence de votre ami...
Ou bien, solitaire, vous vous êtes caressée.
Vos doigts sont encore chargés de l'odeur de votre cyprine...
Peut-être, j'aime l'imaginer, vous partagez votre couche avec une autre femme...
Vous avez baisé et jouis comme des folles... et vous dormez enlacées, jambes mêlées...
Je suis nu dans mon peignoir. Erection...
Je pense à vous. Belle nuit, les belles. Faites de beaux rêves...
Tout est calme. Heure magique.
Bises légères

23 septembre 2009

A une amie...

A une amie que je ne connais que virtuellement... pour le moment. Elle se reconnaîtra, bien évidemment... Je préserve son anonymat. Elle le lèvera si elle le souhaite...

Mon Amie, ma Chérie,
Comment te dire ?... A l'un de mes textes, tu me réponds : "Tu es très... excitant... Tes mots m'ont donné très envie d'y répondre favorablement... Parfois je hais être derrière un écran. J'ai envie... d'être prise comme tu l'entends...Bref, oui, le texte a fait mouche !"... Et tu me gratifies de "baisers brûlants" !...
Cette fois, mon Amie, ma Chérie, c'est toi qui me troubles... Depuis que j'ai reçu ton message, à chaque instant je pense à toi... En plein milieu de cette réunion où nous parlons sérieusement... Au feu rouge, au milieu des embouteillages... En regardant les informations, à la télévision... Hier soir, au moment de m'endormir...
Oui, tu ne peux imaginer combien tu me donnes envie. Envie de toi. Envie de te rencontrer. Envie de te serrer contre moi. Envie de laisser mes mains s'insinuer sous tes vêtements. Envie de mesurer tes rondeurs et tes courbes. Envie de t'entendre soupirer d'aise. Envie de coller mes lèvres aux tiennes, de laisser nos langues jouer ensemble. Envie de t'entendre me dire 'vas-y' ou 'encore'... Envie de t'amener dans un lieu retiré, dans une chambre... Envie de te déshabiller et te mettre toute nue. Envie de caresser chaque parcelle de ta peau, d'en lécher chaque pore... Envie de me glisser entre tes jambes. Envie de me glisser entre tes lèvres. Envie de boire à ta fontaine. Envie de pénétrer dans ton puits d'amour, par ta "Porte du Paradis"... Envie de te faire frémir. Envie d'entendre tes soupirs. Envie de te faire jouir. Envie... Envie... En vie !.
Oui, mon Amie, ma Chérie, je veux tout cela, je veux te satisfaire, je veux te consoler, je veux te rassasier, je veux te câliner, je veux te bercer...
Je ne sais rien de toi. Tu habites où ? A l'autre bout de la terre, j'en suis certain. Tu as quel âge ? Peu importe ton âge, à vrai dire. Mais pas qu'importe le mien... Hélas !...Ben oui, je n'ai plus la vigueur de mes 20 ans, ni la force de mes 30 ans...
Je sais un peu de toi tout de même : tes fantasmes exprimés dans ton blogs... Quelques photos de toi... Belle... Assurément belle !... Quelques confidences...
Et puis, quand nous retrouver ? Je suis tellement débordé...
Bien sûr que je veux t'aimer. Mais j'ai peur de te décevoir...
Je t'embrasse belle et douce amie, belle et douce chérie...
Me répondras-tu ?
Domi

22 septembre 2009

Restons simple

Je n'aurais aucune exigence, je ne demanderais rien.
Mais sachez une chose :
c'est aujourd'hui mon anniversaire.
Alors, Femmes, je veux tout simplement ceci :
vous vous mettrez toute nue,
vous vous caresserez sur tout le corps,
vous glisserez votre main entre vos cuisses écartées,
entre vos lèvres humides et ouvertes
et vous vous masturberez.
Vous ne perdrez rien de votre liqueur intime,
vous vous en imprégnerez chacun de vos doigts,
le creux de votre main.
Et, lorsque l'onde de choc de l'orgasme se sera apaisé,
vous porterez cette main à votre bouche
et vous la lêcherez, vous goûterez,
vous vous saoûlerez de votre odeur et de votre saveur.
A ma santé.
Et, bien sûr, en offrande, vous me raconterez...
Allez ! Qu'est ce que vous attendez ?...

aa

21 septembre 2009

Viens là, près de moi

Lorsque je regarde ton blog,
que j'y lis tes fantasmes ou tes histoires vraies
(le lecteur ne saura jamais si c'est vrai mais prend plaisir à l'imaginer)
que j'y vois tes photos, de toi ou celles que tu as choisies,
je bande. J'ai envie de toi.
Je jalouse l'homme qui joue avec toi.
Je te veux alors là, tout contre moi,
offerte, docile, pour calmer l'ardeur que tu as éveillée...
Je veux que tu me calmes, que tu soulages mon trop plein.
Je veux ton corps à ma disposition.
Je veux que tu me fasses jouir.

De même quand tu me dis l'émoi que tu as en visitant mon blog,
en lisant mes histoires, mes mots adressés à toi,
je te veux encore là, tout contre moi.
Et je me mettrai à ton service.
Je soulagerai ton envie.
Je mettrai ma main à la place de la tienne
qui s'est glissée le long de ton corps
jusqu'à ce centre névralgique
source d'un si grand bonheur.
Je glisserai mes doigts dans ton puits d'amour,
humide, chaud et en attente...
Je boirai à ta source ta cyprine acidulée.
Et je te ferai frémir, trembler de plaisir
et hurler au moment de jouir.

Alors, viens, qu'est-ce que tu attends ?

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