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Le Démon de Midi
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31 octobre 2014

En chaussettes

De jolies jeunes femmes ici.
Un point commun : elles ont gardé leurs chaussettes.Ca rajoute à leur sensualité.
C'est Edmond-Louis qui m'a fait découvrir ce lien.

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30 octobre 2014

Envie...

Une amie "virtuelle" (mais cette femme est bien réelle) qui vient régulièrement sur mon blog m'envoie ce texte... Comme une déclaration... 
L'expression d'une envie...
Hélas ! 900 kms nous séparent

Tu es là dans la forêt, il fait beau...

J'arrive, vêtue de façon estivale...
Je te vois nu...
Je m'assoie et te regarde, poser, te photographier...
Tu me fais envie...
Tu me reconnais...
Je te reconnais....
Je me lève, on s'embrasse comme si nous étions en manque... En manque de toi, en manque de moi, sûrement...
Tu soulèves ma robe, défais mes dessous, nous voilà nus...
Sexe contre sexe..
Nos mains nous caressent, nos mains nous échauffent....
Je ne peux m'empêcher de glisser une main sur ton sexe, déjà fort tendu...
Il m'attend... Je l'engloutis et lui offre une caresse langoureuse... Je me gourmande, tu es aux anges....
Te voilà à genoux et je me redresse, j'écarte mes jambes, je te souris... Je sens ta langue venir me caresser...
Je suis aux anges...

Tu te redresses, m'embrasses...
Je m'accroche à toi, enroule mes jambes autour de toi et je te sens en moi...
Nous sommes aux anges...
Un pur délice que de ne faire qu'un...
Nous jouissons ensemble...
Tu m'as emplie, je suis heureuse, tu es heureux..
Embrasse moi encore....
22 octobre 2014

Lorsque...

Réédition

Lorsque pour la première fois je l'ai vue,
chez des amis communs, la belle inconnue,
j'ai été impressionné par tant de beauté,
sa finesse, ses courbes et son port altier.

Lorsque nous avons commencé à parler,
j'ai été touché par la douceur de sa voix,
sa finesse, son humour et son franc-parler.
Nous ne nous sommes plus quittés de la soirée.

Lorsque nos mains se sont jointes dans la voiture,
alors que je la reconduisais chez elle,
je me suis senti de bonheur frissonner
et une boule de chaleur dans mon ventre se créer.

Lorsque mes lèvres se sont posées sur sa joue,
et que les siennes furtivement  ont effleuré ma peau,
alors que, à sa porte, nous devions nous séparer,
je me suis mis à terriblement espérer.

Lorsqu'elle m'a invité à monter prendre un café
mon coeur a bien failli de joie exploser,
tant j'étais devenu à elle si attaché
que je ne voulais point en être séparé.

Lorsque la porte fut refermée, que dans l'entrée
nous nous sommes mutuellement, fermement enlacés,
je me suis mis, sur tout son corps à la caresser
appréciant sur le mien la promenade de ses mains.

Lorsque nos corps furent entièrement déshabillés,
que nos peaux l'une à l'autre se sont collées,
j'ai été d'autant plus impressionné
par sa douceur, sa fraîcheur et sa beauté.

Lorsque mes mains vives ont pu la caresser,
suivre chacune de ses courbes de la tête aux pieds,
couvrant et découvrant chaque rotondité,
par une telle perfection j'ai été émerveillé.

Lorsque sur le grand lit elle s'est allongée,
que de ma bouche je me suis mis à la goûter,
sur sa poitrine et dans son intimité,
par son goût et son odeur j'ai été ennivré.

Lorsqu'après tant de caresses mutuelles échangées,
doucement, de ma virilité dressée
ses chairs roses, chaudes et humides j'ai écartées,
je l'ai sentie de plaisir et d'attente se cabrer.

Lorsque je me suis en elle, lentement promené,
que sous mon corps, vivement elle s'est agitée,
en échangeant sur tout le corps caresses et baisers,
au bout d'un temps, tous deux, nous avons explosé.

Et lorsque nos esprits, nous avons retrouvés,
que nous nous sommes de nouveau très fort enlacés,
caressés, embrassés, pour nous remercier,
tous les deux nous étions parfaitement comblés
de cette merveilleuse félicité et déjà prêts... à recommencer.

 

20 octobre 2014

Rencontre excitante.

Réédition

Journée de très forte chaleur. Je me rends à la Gare de Lyon par le Rer A. Comme tous les passagers, je suis habillé léger : fin pantalon de toile et tee-shirt. Le train est bondé et je voyage, depuis le départ, debout, me tenant à la barre centrale.
La Défense. Quelques passagers descendent, pas assez pour que je puisse aller m'asseoir. Beaucoup d'autres montent.  Poussée par la foule, elle  est projetée contre moi. Une belle et jeune black. Fine et grande, toute en jambe. Vêtue d'un pantalon moulant blanc et d'un chemisier collant, mettant en évidence sa poitrine. Tout contre moi, je n'ose la dévisager davantage... Le train démarre.  Et je sens, au gré d'une secousse, son sein contre mon bras. Elle s'écarte légèrement puis reprend le contact. J'ai contre moi la sensation  de sa forme, de sa fermeté... Il va et vient... Je sens même un moment la pointe de son tèton...
Je la regarde de coin. Elle sourit, regardant loin devant elle. Elle transpire et d'un  geste simple déboutonne le bouton du haut...  Pour je ne sais quelle raison, elle se pense légèrement en avant. Et par l'échancrure de son corsage, j'aperçois un sein. En toute liberté. Fier et haut monté. Joliment dessiné. Une magnifique poire d'ébène. Un tèton violet au milieu de sa large aréole. Image fugitive qui me fait prendre conscience qu'entre mon bras nu et son sein gauche il n'y a que la finesse du tissu...
Elle accentue la pression contre moi... Délice... D'autant plus qu'elle  n'a aucune raison d'être ainsi collée à moi sinon le plaisir qu'elle tire de cette caresse impromptue.
Charles de Gaulle-Etoile.  Du monde descend, d'autre monte. Pour laisser le passage, elle se glisse entre moi et la barre verticale. Et elle y reste. N'osant me coller contre elle, je  m'écarte légèrement, non sans lui effleurer les fesses, du plat de la main, comme par inadvertance... Elle ne réagit pas, ne se retourne pas. Merveille de rondeur, de fermeté... J'ai  envie de lui prendre ces globes à pleines mains, de les caresser, de les pétrir... Mais nous ne sommes pas seuls, il y a foule...
Elle se recule, recherche le contact. Elle fait doucement et imperceptiblement tourner ses hanches tout contre moi... Alors, je m'avance, me colle à elle... Elle doit sentir ma raideur contre le haut de sa fesse droite...
Auber. Nouveau mouvement de foule. Nous, on ne bouge pas comme aimantés l'un à l'autre. Elle donne un coup de rein, fait un dixième de tour sur elle-même et voilà mon vit dressé coincé dans la gorge séparant ses deux lobes, gorge dessinée et accentuée par la couture de son pantalon moulant.  Elle donne de très léger mouvement de haut en bas qui ne se voient pas mais qui se répercutent terriblement contre mon phallus... Elle me branle littéralement entre ses deux fesses. Je voudrais ôter ces épaisseurs de tissus qui séparent nos deux peaux, celle de ma verge et celle de son cul. Je  regarde autour de moi. Nous sommes tant serrés que personne ne voit ce qui se passe en bas, chacun cherchant un peu d'air le plus haut qu'il peut... Alors j'ose poser ma main sur sa hanche puis la glisser sur le devant et la mettre en coquille sur son pubis. Elle accentue la pression... Je me serre contre elle et la pousse vers l'avant de sorte que son sein vienne s'écraser contre ma main qui tient la barre.
aChâtelet. Le train ralentit, s'arrête. Elle me repousse, se contortionne pour se dégager. Elle veut sortir... Au passage, discrètement, sa main saisit mon sexe comme pour en mesurer les formes, les dimensions,  sa force... Et elle part. A la porte du wagon, elle se retourne  vers moi et m'adresse un large sourire et un baiser discret du bout des lèvres. Et elle disparaît au milieu de la foule.
Une place s'est libérée. Je m'y précipite pour cacher cette bosse indiscrète. Je me retrouve assis face à une adolescente, 15 ans tout au plus, en mini-jupe, seins arrogants et nombil à l'air... Je surprends son regard fixé sur mon entrejambe. Mais je ne m'occupe pas d'elle. Je m'imagine être descendue avec la black panthère, la prenant dans mes bras, l'étreignant... L'amenant dans un coin désert, et la mettant nue, goûtant sa peau, me glissant entre ses longues jambes, buvant à sa source. Je nous imagine faisant l'amour comme des bêtes. Je fais le tour de ses formes, je la lèche sur tout le corps. Je la pénètre violemment... Nous jouissons intensément...
Gare de Lyon. Je dois descendre. L'adolescente devant moi a toujours le regard fixé sur la raideur que mon pantalon met en évidence. Elle a serré les poings contre son bas-ventre et écarte et rejoint doucement ses cuisses de donzelle.
Cette belle Black, femelle en chaleur qui me met en rût, ce soir, imaginera t'elle que grâce à elle, un homme et une pucelle se donneront seuls, chacun dans son coin, du plaisir entre leur main ?

16 octobre 2014

Courbes sensuelles

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10 octobre 2014

Couple enlacé

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Réédition

Plaisir du corps à corps,
plaisir de sentir les courbes de l'autre
dans les creux de son corps,
dans le creux de sa main,
plaisir du toucher doux
du grain de la peau,
plaisir de sentir l'autre frémir
sous la caresse.
Désir de ne faire qu'un
profondément uni dans une même jouissance

9 octobre 2014

Douceur entre femmes

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8 octobre 2014

Caresses

Douces caresses...

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3 octobre 2014

Les filles du train...

Réédition

Comme tous les matins, je prends le RER pour aller à mon travail à Paris. Je trouve une place libre à côté de deux jeunes filles qui se font face et en face d'un jeune garçon de 16 ans environ. Les filles ont 18-20 ans. Des étudiantes sans doute. Sexies, les filles ! De celle qui est à côté de moi, je ne vois pas grand chose, seulement ses cuisses nues qui sortent d'une mini-jupe. Je ne vais pas me retourner pour la dévisager... Par contre je ne me prive pas de regarde celle qui est face à moi en diagonale : belle poitrine ferme, haute dont elle montre la naissance par son large décolleté. Ventre à l'air. Jean taille très basse qui moule ses longues jambes fines...
Elle se penche l'une vers l'autre, chuchotte en riant et en nous lançant des oeillades au garçon et à moi... Puis elles se mettent à parler assez fort pour qu'on entende...
- Tu as vu Cédric hier soir ?
- Oui. On a passé une belle soirée. C'était super...
- Vous avez fait quoi ?
- On a fait l'amour. Hummm... C'était bon. Quand il m'a serré contre son corps musclé et chaud... Sa queue qui était dure, dressée... Elle est énorme, tu sais... Et quand il m'a pénétré... Je te dis pas... Il m'a fait jouir plusieurs fois... J'aime faire l'amour. Je suis une salope...
Elles rigolent toutes les deux en nous regardant... Le garçon est tout rougissant. Moi je me plonge dans mon journal...
- Tu as déjà fait l'amour avec un homme plus vieux... chais pas, dans la cinquantaine ?
- Non mais je voudrais bien. Parait que c'est super, ils ont le temps, ils cherchent à te faire jouir...
- Moi je vais demander aux copains de mon père...
Rires...
-... ou au premier homme que je trouve dans ce train !
Là elles éclatent de rire et je sens bien qu'elles me regardent... Provoc.
- Et toi tu as fait quoi heir soir ?
- J'étais seule. Alors j'ai fait l'amour avec moi-même, avec mon doigt... C'était bien aussi...
- Dis donc, t'as déjà fait l'amour avec une autre fille ? Moi je l'ai fait pendant les vacances...
- Oui, avec ma tante. Elle a 30 ans. Belle femme. Et une autre fois avec ma tante et une de ses amies...
- T'as aimé ?
- C'est pas pareil mais j'ai bien aimé aussi. C'est plus sensuel, plus érotique... Mais il manque quand même la queue d'un mec...
-... ou d'un homme plus vieux ! Moi aussi, j'ai aimé... J'ai envie de refaire... On le fait ?
C'est celle d'en face qui dit cela et elle se penche en avant, faisant glisser ses mains sur les cuisses de la copine... Elles rient comme des tordues.
- On voit tes seins... T'as pas de soutien gorge ?
En disant cela, elle plonge une main dans l'échancrure du vêtement... Mais là c'est le fou rire...
- Et toi, tu peux parler ! T'as pas de culotte ! Cochonne...
Après avoir repris son souffle tellement elle riait :
- J'en mets jamais avec ma mini-jupe. J'espère toujours qu'un homme dans le train posera sa main sur ma cuisse et la remontera tout en haut... Ouah ! Le pied ! Jouir dans le train... Les transports seraient plus agréables. Les hommes savent pas à côté de quoi ils passent !
Auber. C'est là que je descends. Le garçon aussi. Lorsqu'il se lève avant moi, je remarque que son jean est bien gonflé au niveau de la braguette...
- Aurevoir Monsieur...
et elles rient. Je leur réponds simplement.

L'après midi, je dois recevoir en entretien individuel des jeunes étudiantes en demande de stage. J'arrive légèrement en retard au premier rendez-vous, retenu par une réunion. Ma collaboratrice m'informe que la première étudiante m'attend dans mon bureau. Je la rejoins donc. Surprise...
- Ah ! Bonjour Mademoiselle ! On se connait je crois. Du moins un peu. J'ai commencé par connaître de vous ce que je n'aurais jamais du connaître !
Elle est toute aussi surprise de me voir là et rougit jusqu'à la pointe des cheveux...
Je m'assois derrière mon bureau. L'examine. Elle est gênée. Je la dévisage. Et je l'avoue, je bande !
Nous restons en silence un long moment que je fais durer...
- Je sais trop de choses de votre intimité ou du moins de vos fantasmes pour donner suite à votre candidature. Vous le comprenez... Le stage doit durer 6 mois et sachant ce que je sais, ça se passera mal ou du moins d'une manière que je ne veux pas avec mes collègues et stagiaires. Je ne mélange pas boulot et vie amoureuse et sexuelle !
Et nous en restons là. Une autre candidate n'est pas venue au rendez-vous. Peut-être la copine !

1 octobre 2014

Caresses féminines...

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Beauté du corps féminin
tout tendu vers les caresses
de ses soeurs.
Beauté de ces mains
qui se font légères,
qui s'insinuent,
qui effleurent,
qui se glissent entre deux cuisses
qui se posent sur un sein,
sur une fesse...
Beauté du frisson ressenti,
beauté du sentiment exprimé.
Douceur, volupté, sensualité,
féminité absolue
tant désirée.

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