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Le Démon de Midi
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28 janvier 2019

J'imagine

Réédition

J'ai décidé de rééditer certains textes que j'ai écrits au début de ce blog. Celui-ci date du 1er novembre 2011 !

Je suis levé tôt ce matin .
A l'autre bout du monde, vous vous endormez seulement.
tumblr_kpilnstjR61qzikyio1_500Alors je vous imagine. Evidemment, je vous magnifie.
Je vous vois nue entre vos draps.
J'imagine la forme parfaite de vos seins,
deux aimants pour les mains ;
la courbe de vos hanches ;
la rondeur et la fermeté de vos fesses ;
le galbe de vos longues cuisses fines ;
votre pubis épilé ne gardant de votre toison
qu'un petit triangle soigneusement taillé.
La pointe du bas semblant indiquer
l'entrée de votre antre sacrée...
D'ailleurs, avant de dormir,
j'imagine que votre main s'est glissée par là,
vos doigts s'insinuant entre vos lèvres,
s'y agitant d'abord doucement puis de plus en plus rapidement
jusqu'au spasme final, violent,
qui cabre votre corps...
J'imagine... Belle nuit.

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20 janvier 2019

Le Week-end initiatique de Léa. Partie 7/7 et fin !

Il frappe deux fois et sans attendre de réponse, il ouvre et ils rentrent... En passant la porte, il lui souffle à l'oreille :

- Surtout, ne faites rien qu'on ne vous demande pas !
Une belle pièce meublée en moderne, pleine de lumières. Une moquette épaisse au sol, une grande table basse au milieu entourée de canapés et de fauteuils qui semblent confortables. Au mur, comme dans la chambre en haut chez Wilfried des gravures érotiques. Le plafond, au-dessus de la table, est couvert d'un vaste miroir. Madame Sophie est là.
- Ah ! Entrez les amis. Vous avez bien un petit instant ?
- Un petit, oui.
- J'ai cru comprendre que Mademoiselle Léa n'était pas insensible à mes jeunes gens, n'est-ce pas ? Alors je voudrais lui faire un petit cadeau. Et vous, cher Monsieur, asseyez-vous dans ce fauteuil. Vous verrez tout. Je vais appeler Clara et Armand.

Léa est toute excitée en se demandant malgré tout ce qui va se passer. Va-t-elle lui proposer de faire l'amour avec ces deux jeunes gens ? Ça ne la surprendrait pas. Plus rien ne la surprend maintenant.
Madame Sophie revient avec Armand et Clara.
- Bien ! Léa, veuillez-vous agenouiller devant ces jeunes gens et leur retirer leurs strings.

 

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Léa ne se le fait pas dire deux fois. Elle s'agenouille et attire Clara vers elle. Doucement, elle fait glisser l'élastique le long des longues cuisses de la jeune fille dévoilant le pubis parfaitement épilé. Puis, elle se tourne vers Armand et fait la même opération, mettant à l'air le sexe du garçon. Il est lourd, pend encore entre ses jambes. Il a gardé une fine toison juste au-dessus de la racine du phallus. Léa est fascinée par ce sexe qu'elle a tenu tout à l'heure en main. Il avait alors une autre vigueur ! Elle reste toujours émerveillée de la capacité du sexe masculin à changer ainsi d'apparence.
- Bien ! Ne sont-ils pas magnifiques tous les deux ?!... Maintenant, veuillez-vous asseoir les fesses au bord du canapé et vous appuyer au dossier et vous allez écarter légèrement les jambes... Voilà, comme ça, c'est parfait.
Puis elle prend Clara et elle la fait asseoir sur les cuisses de Léa, ses jambes de chaque côté des siennes ce qui les lui écarte encore plus. Et elle la fait s'appuyer contre le corps de Léa. Clara se retrouve ainsi le sexe ouvert, offert à la vue de tous.
- Si vous le voulez, vous pouvez lui caresser la poitrine et le ventre jusqu'au pubis. Mais pas plus bas, n'est-ce pas. Pas touche à son sexe, on est d'accord ?
- D'accord Madame !

Et sans tarder Léa commence à prendre en mains chacun des seins de la jeune fille. Fermes, haut montés, ni trop gros ni trop petits... Les pointes se dressent déjà sous les caresses.
Sophie s'adresse à Armand.
- Et bien mon garçon, tu connais le jeu, n'est-ce pas ? Tu vas t'agenouiller entre les cuisses de Léa et tu vas offrir un joli cunnilingus à ton amie Clara. Tu peux caresser les cuisses de Clara, Léa s'occupe du haut.

Armand approche son visage du sexe ouvert devant lui. Léa est déçue. Elle ne voit rien. Mais elle sent soudainement la jeune fille se crisper sur elle, sans doute quand la langue effleure son clitoris.  Elle sent aussi les mouvements du corps d'Armand entre et contre ses cuisses. Elle précise alors ses caresses sur les seins, les côtés, le ventre. Elle descend jusqu'au pubis, aux aines où le bout de ses doigts rencontrent ceux d'Armand... Elle remonte ses mains, serre contre elle Clara qui commence à gémir, à se raidir de plus en plus, à respirer fort, à se tortiller pour aller à la rencontre des lèvres, de la langue du garçon. Elle serre ses cuisses autour du corps d'Armand. Elle sent les fesses de la fille contre son pubis qui se serrent, se resserrent de plus en plus fort. Elle regrette de ne pas être nue pour mieux sentir ce contact... Les vibrations qui remplissent le corps de Clara se répercutent dans son corps à elle. Elle sent une onde d'excitation et de plaisir la gagner...

Une main sur un sein, elle serre Clara de plus en plus fort... Elle fait pression de son autre main sur le pubis, limite imposée par Sophie. Elle donne des à-coups pour aller à la rencontre de la bouche d'Armand comme si c'était elle qui recevait la caresse...

Tous les muscles de Clara se bandent soudainement. Elle crie. Elle jouit. Léa voit dans la glace son visage déformé. On dirait qu'elle souffre. Elle se demande intérieurement pourquoi l'extrême jouissance s'exprime sur les visages et sur les corps de la même manière que la souffrance. Idée passagère qu'elle oublie vite.
Clara se détend. Elle caresse doucement son corps... Léa est un peu déçue. Certes, elle ressent un grand bien-être, elle a l'impression que son short est trempé de sa liqueur. Mais elle n'a pas joui.
- Ne bougez pas les filles. C'est pas fini, dit Madame Sophie. Reprenez votre esprit ma petite Clara. Il faut maintenant que vous soulagiez ce pauvre garçon. Regardez dans quel état il est.

Armand se relève. Sexe dressé. Puissant. Il a un grand sourire.
- Waouh ! Quelle érection ! Que j'aimerais soulager ce garçon ! s'exclame Wilfried déclenchant un grand éclat de rire...
- Non, non, non ! Une autre fois si vous voulez. Je sais que vous aimez ces jeunes éphèbes. Vous les avez d'ailleurs fort bien formés pour le plaisir des hommes mais aussi des femmes. J'en sais quelque chose.

Nouveaux rires.
- Allez Armand, pénétrez ce joli con que vous avez si bien préparé à vous recevoir et qui n'attend plus que vous. Et vous, Léa, vous faites ce que vous voulez. Sauf prendre la place de Clara !
- Dommage ! souffle Léa. Mais... est-ce que je peux me mettre nue ? Pour mieux sentir le contact de Clara contre moi...
- Oh oui ! s'exclame la jeune fille.
- Bon ! Eh bien d'accord. Mais je te rappelle la consigne, Armand. C'est Clara que tu pénètres. Ne te trompe pas d'entrée.
Sans attendre plus, Clara se lève, se retourne pour aider Léa à enlever son haut puis son short. Léa se rassoit comme elle était et Clara reprend sa position sur elle...

Le garçon s'approche. Il prend son temps. Caresse les corps des deux femmes, leurs cuisses... Il prend son sexe d'une main, le tire vers le bas, prend appui sur les cuisses et lentement commence la pénétration...  Léa pousse un petit cri de surprise : c'est elle qu'il pénètre. Elle regarde Sophie qui ne semble pas s'en être rendu compte. Elle se raidit. Dieu que c'est bon. Le sexe continue sa progression...
- Armand ! Qu'est-ce que j'ai dit ?
Il se retire brutalement.
- C'était pour rire, Madame !
Mais il est le seul à rire. Léa est furieusement frustrée !

 

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Maintenant, il prend appui sur les épaules de Léa, se penche en avant, est presque à plat ventre sur le corps de Clara. Sans le guider, le gland écarte les lèvres de Clara. Cette fois c'est elle qui se raidit. Doucement, lentement, il s'enfonce en elle. Lorsqu'il est au plus profond qu'il peut, vu leurs positions, il s'arrête un temps. Puis il se retire tout aussi lentement, tout aussi doucement... Il sort complètement... Puis recommence... Très lentement. Très doucement. Il sait y faire le bougre.
Clara transpire. Sa respiration devient saccadée. Elle donne des coups de reins... pour aller à la rencontre du sexe...
Léa la caresse... Elle glisse une main entre les deux corps des jeunes, se saisit de la racine du sexe et le maintient... Elle pose son autre main sur les fesses d'Armand... Elle les voit dans la glace du plafond... Rondes... Elle a envie de les pénétrer...

Enfin, Armand change de rythme... Maintenant, Léa glisse ses mains sous les fesses de Clara, elle les écarte, trouve son anus et le pénètre d'un doigt...
De nouveau elle est gagnée par le plaisir que lui transmet la jeune fille...
Soudain, le garçon arrête tout mouvement, se raidit. Léa le regarde. Il a le visage défiguré. Il fait des efforts qui semblent insurmontables pour se retenir. Mais il a dépassé la zone de non-retour.. Vite, Léa glisse de nouveau sa main sur le pubis de la belle, descend ses doigts, masse le clitoris au passage et atteint le sexe qu'elle sent gonfler... Armand se laisse tomber, donne de violents coups de reins... Il jouit. Et sa jouissance entraine celle de Clara... Encore plus violente que la précédente...

Léa est au bord de l'extase... Elle veut se masturber pour arriver à ses fins mais ne peut atteindre son sexe... Alors elle serre les fesses, les sphincters... Elle respire fort... Le garçon se rend compte de la situation et se retire. Léa plonge alors une main vers son sexe tandis qu'elle pénètre de l'autre le con de Clara rempli de sperme. Et elle les masturbe au même rythme... Les deux femmes crient en même temps de jouissance.

Long silence. Repos. Retrouver son souffle...
- Allons, Mademoiselle Léa. C'est très bien. Maintenant rhabillez-vous vite, nous devons y aller.

***

Wilfried arrête la voiture en double file.

- Mademoiselle, allez sonner à la porte qui est là, la verte. Quand on vous répondra à l'interphone, vous répondrez "Nous sommes là !". C'est tout. Et vous attendrez que quelqu'un vienne.
- Mais... Qu'...
- Mademoiselle ! Vous faites ce que je vous demande.
Avec de nouveau de l'angoisse au ventre, Léa descend de la voiture. Qu'est-ce qui va se passer encore ? Elle pensait que c'était fini. Et voilà que Wilfried a un nouveau plan !...  Elle en a presque les larmes aux yeux.
Elle sonne. Attend quelques secondes et une voix rendue nasillarde par l'interphone répond.
- Oui ? Qu'est-ce que c'est ?
- N... Nous sommes là !

L'interphone est coupé. Comme demandé, Léa attend à côté de la porte. Enfin, celle-ci s'ouvre.
- Oh ! Anne !
- Ben oui ! Qu'est-ce que tu croyais ? Il ne t'a pas dit que vous passiez me prendre ?
- Non. Et j'ai eu peur d'un nouveau traquenard, d'une nouvelle idée de sa part...
Elles s'embrassent chaleureusement.
- T'inquiète pas. Une idée, il en a une. Mais je pense qu'elle va te plaire. Et j'en suis.
- Qu'est-ce que c'est ?
- Chut ! Viens ! Il nous attend.
Wilfried les accueille avec un grand sourire.
- Ca va mieux, Léa ? Je vous sentais inquiète... Passez derrière avec Anne, vous pourrez vous faire des câlins le temps qu'on arrive à la maison.
Elles ne s'en privent pas de ce câlin. Les lèvres se joignent, les mains se font indiscrètes, passent sous les vêtements. Léa constate vite que Anne est toujours les fesses à l'air sous sa petite jupe ce dont elle ne se plaint pas.

Ils se retrouvent tout en haut, au bout du couloir devant la porte que Léa commence à connaître.
- Entrez, Mademoiselle.
Léa ouvre la porte et commence à rentrer. Mais elle s'arrête, interdite. Devant elle, nu, les jambes écartées, mains derrière le dos... Cédric est là. Elle se retient de pouffer de rire et en même temps, elle est heureuse de cette surprise.
Anne et Wilfried rentrent derrière elle et il referme la porte.
- Mesdemoiselles et particulièrement vous Léa, vous allez dépuceler ce garçon. Je vous l'ai dit tout à l'heure, il s'est fait sodomiser, il a éjaculé entre des mains d'hommes et dans des bouches d'hommes. Souvent même. Avant hier, c'était la première fois qu'il voyait avec vous une femme nue et qu'il jouissait entre des doigts de femme. Ce matin il a joui sous l'effet de vos caresses, Anne avec Eléonore. Mais il n'a jamais pénétré une femme, il n'a jamais fait vraiment l'amour à une femme. Vous allez être sa première, Léa...
- Yes ! s'exclame la jeune femme. Je suis contente !
- Je vois cela. Je vous aiderai si nécessaire et Anne aussi... Car il va vous falloir beaucoup de ténacité. Il a déjà déversé beaucoup de sperme aujourd'hui et je ne sais pas si ses couilles ont eu le temps de faire de nouveau le plein ! Regardez son pauvre sexe !

En effet, le sexe pendouille lamentablement entre ses cuisses. Le malheureux garçon est rouge de confusion mais stoïquement, il garde la position.
- Allez, on va se mettre nus aussi, ça va le mettre à l'aise.
Et tous les trois se déshabillent. Une fois nu, Wilfried s’assied dans le fauteuil.
- Anne, venez vous asseoir sur mes genoux.
Elle s'assoit en amazone en prenant Wilfried par le cou. Lui commence immédiatement à lui caresser les cuisses.
- Léa, vous faites comme vous le voulez, vous prenez toutes les initiatives que vous voulez. Le but est que ce jeune garçon vous pénètre et jouisse en vous. Et vous, jeune homme, quittez cette position. Vous êtes sensé faire l'amour avec cette femme et j'aimerais vous voir prendre quelques initiatives aussi... Comme vous savez le faire avec vos jeunes copains et avec moi. On vous regarde...

 

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Léa s'approche du garçon et l'enlace. Timidement, il entoure ses épaules de ses bras. Elle aime être ainsi collée à ce jeune corps presqu'encore adolescent, démuni de poils, à la fine musculature, les membres longs... Elle sent le sexe contre sa cuisse qui semble gonfler légèrement... Elle a le temps. Elle veut le faire languir... Elle lui caresse les bras, les épaules, le dos, se contentant d'effleurer seulement le haut des fesses... En même temps, elle fait aller et venir la pointe de ses seins contre son torse... Lui ne semble pas oser trop bouger, trop entreprendre. Tout juste s'il a descendu légèrement les mains sur le dos de Léa !

Elle jette un coup d'œil aux deux autres par-dessus l'épaule du jeune homme. Anne a blotti sa tête dans le creux de l'épaule de Wilfried. Elle tient d'une main le sexe en semi-érection et en caresse légèrement le gland de son pouce... De l'autre main elle se caresse distraitement la pointe de son sein. Wilfried, lui, caresse la face intérieure de la cuisse en remontant jusqu'aux lèvres...

Léa s'écarte légèrement pour caresser maintenant le torse du garçon en s'attardant sur la pointe de ses petits seins... Mais elle a glissé sa cuisse entre les siennes pour continuer à sentir le contact du pénis toujours au repos... Elle se garde bien de le toucher ce sexe et arrête ses caresses juste au-dessus de sa racine...
Puis elle s'agenouille, caresse les jambes, les cuisses, les lui fait écarter... Elle fait exprès de faire en sorte que son souffle arrive sur le sexe... Que le garçon sente son visage tout près... Elle observe que ce pénis gonfle de plus en plus... Il commence à se redresser...

La première, elle craque. Elle n'en peut plus de le faire languir... Une main monte sur ses fesses, les écarte, se faufile entre elle. Il va aimer ça ! Elle trouve l'anus et essaie d'y faire pénétrer un doigt !... De l'autre main, elle empoigne les testicules et gobe le sexe dans sa bouche... Enfin, le garçon réagit. Ses muscles se bandent. Il pousse un profond soupir de satisfaction. Et son vit gonfle, gonfle dans la bouche de la jeune femme...  Il prend une taille et un volume satisfaisant mais il reste mou. Surtout pas assez ferme pour la pénétrer...

Léa se relève et l'entraîne vers le lit. Elle le fait s'allonger sur le dos... Elle s'agenouille à côté de lui, colle sa bouche à la sienne, doit lutter pour qu'il accepte de l'entrouvrir pour qu'elle puisse y faire pénétrer sa langue... En même temps, elle branle le sexe qui refuse encore de durcir... Lui, se contente de lui caresser mollement ses épaules et ses bras...
Elle se sent gagnée par un certain découragement et une légère colère. Wilfried lui a confié une mission impossible ! Ce garçon n'est pas du tout intéressé par les femmes. Pourtant, l'autre jour dans le salon d'essayage et ce matin avec Anne et Eléonore il avait une autre allure et n'était pas insensible aux formes et aux caresses féminines ! Ou alors, il a tellement eu d'orgasmes dans la journée avec Wilfried et d'autres garçons -elle voudrait bien savoir ce qui s'est passé, entre mecs, elle aurait voulu être petite souris- qu'il en est complètement épuisé et sans réserve !... Elle décide, d'être plus radicale. Elle se redresse brutalement, s'agenouille au-dessus du visage du malheureux, les genoux de part et d'autre de ses épaules. Elle écarte ses lèvres entre deux doigts :

 

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- Ecoute, Cédric, je veux jouir de toi. Je veux que tu bandes suffisamment pour enfiler ton sexe là... Tu vois, c'est chaud, profond, humide... regarde...
Et elle prend une de ses mains, un doigt et se l'enfonce dans son con... Puis le retire.
- Regarde. Ça, ce petit bouton. C'est mon clitoris. Toutes les femmes ont ça. C'est très sensible. C'est en partie avec ça que je jouis... Alors, tu vas me le caresser avec ta bouche, ta langue, tes lèvres... Tu peux aussi faire entrer un de tes doigts dans mon vagin. Là ! Tu vois ? Et  avec ton autre main, caresse-moi les fesses. J'adore qu'on me caresse les fesses...
Et joignant le geste à la parole, elle prend une main et la pose sur ses fesses tandis qu'elle se baisse pour mettre son sexe au contact du visage du garçon... Elle donne des mouvements de reins...
Le garçon hésite puis donne un coup de langue... Il y revient... Il trouve de la pointe de la langue le clito et l'agite dessus... Sa main caresse légèrement les fesses...

Petit à petit, il prend de l'assurance... Ses gestes sont plus précis. Il y met plus de vigueur... Ses doigts écartent les fesses, trouve l'entrée de l'anus et l'un d'eux essaye d'y pénétrer. Il sait pénétrer les culs, ne peut s'empêcher de penser Léa. Mais elle aime ça... Une onde de bien-être la gagne... Elle est bien... Mais la règle lui impose de ne pas jouir ainsi. Elle fait durer encore un moment cet instant... Et elle se détache, se retourne, se met à quatre pattes au-dessus du corps allongé... 
- Continue à me caresser, c'est bon...

Le sexe posé sur le ventre du garçon a trouvé la rigidité attendue... Preuve qu'il prend enfin goût à l'affaire, pense Léa. Elle se penche, soulève la tige ferme et dure d'une main et la met en bouche. Il aime la fellation, certainement ! Alors, elle lui en offre une tout en faisant aller et venir sa main le long de la hampe. Et, pour rajouter du piment, elle glisse son autre main sous les fesses...
Lui, fait pénétrer deux doigts dans le vagin et joue avec le pouce avec le clito... Et il enfonce un doigt de son autre main dans l'entrée secrète...

Léa sent le phallus palpiter dans sa bouche et dans sa main... Il continue à gonfler... Alors, une nouvelle fois, elle se retourne, le chevauche et s'empale... Elle prend appui sur le torse du garçon... Mais celui-ci lui fait plier les bras et la serre contre lui. Il lui caresse le dos, les fesses... Il relève les jambes comme pour la pénétrer encore plus profondément et donne des coups de reins... Léa ne peut plus bouger ainsi prise... Elle se laisse aller, ne se concentre plus que sur ses seules sensations... Une onde de plaisir la submerge devenant tempête, tornade, cyclone quand elle sent en elle le garçon exploser. Ils jouissent en même temps !

Ils retrouvent leur souffle. Et se rendent compte de la présence de Wilfried et de Anne tout contre eux...
- Anne, nettoyez le sexe de ce garçon pendant que je nettoie celui de Léa.
Et il les fait se séparer. Anne s'empare du sexe encore raide du garçon, le lèche, le prend en bouche. Wilfried plonge le visage entre les cuisses de Léa et aspire le sperme dont il est rempli, mélangé à la liqueur de Léa...
- Anne, amenez maintenant ce garçon dans votre chambre et occupez-vous en bien. Il vient de découvrir le plaisir qu'il peut avoir avec une femme et je ne doute pas qu'il veuille recommencer. Bonne nuit.
- Bonne nuit, Monsieur. Bonne nuit Léa.
- Bonne nuit.
Lorsqu'ils sont sortis, Wilfried prend Léa dans ses bras et la serre contre lui en la caressant.
- Vous avez été superbe, Mademoiselle. Bravo !
Et il l'embrasse à pleine bouche. Et la pénètre. Ils font l'amour tous les deux, en prenant leur temps, avec beaucoup de douceur et de tendresse...

 

Epilogue

 

Quand Léa se réveille, elle est seule dans le lit, seule dans la chambre. Elle constate que ses vêtements sont toujours sur le sol, là où elle les a laissés hier soir...
Après une longue douche, elle enfile son short et son haut. Et descend.

Lorsqu'elle sonne, personne ne vient lui ouvrir. Une sourde angoisse commence à la gagner. Il va falloir qu'elle parte attraper son train pour revenir à Marseille. Il faut qu'elle récupère son sac et elle ne veut pas rentrer ainsi habillée. Sans y croire, elle actionne la poignée de la porte. A sa surprise mais avec soulagement, elle constate que la porte n'est pas fermée à clé. Elle rentre. L'appartement est vide.

Dans la cuisine, elle trouve sa robe posée sur une chaise. Son sac sur la table. Sur la table, aussi, un papier : "Bisous, Léa. Je suis contente de te connaître. Je t'aime. Appelle-moi !" suit un numéro de téléphone. Signé Anne. 
A côté, une enveloppe "Pour Mademoiselle Léa". Elle l'ouvre. Un papier : "Mademoiselle. Je viens à Marseille le week-end prochain, dès vendredi midi, chez des amis. Si vous voulez m'y retrouver, vous savez comment me le faire savoir". Pas une signature. Pas un mot gentil. Pour qui il se prend ?!... Il croit que je suis libre, que je suis ainsi à sa disposition ?... Dans l'enveloppe, il y a également toute une série de photos d'elle : attachée sur le lit là-haut ; à genoux sur le canapé du salon ; dans l'infâme cave où elle s'est fait violer ; dans la cave du Baron ; suspendue chez Mathilde... Le mufle ! Il m'a prise en photo et je suis parfaitement reconnaissable. S'il met ces photos sur le net, je suis foutue ! pense Léa...

Elle ôte son haut et son short. Trouve dans son sac culotte et soutien-gorge et les enfile. Puis elle met sa petite robe avec laquelle elle est arrivée.

Elle est maintenant attablée à une table d'un petit bistro près de la Gare de Lyon devant un sandwich et une bière. Elle a plus d'une heure à attendre avant le départ de son train. Elle a l'impression de reprendre pied dans la vraie vie. Toutes ces dernières heures ont tellement été hors temps. Mais elle repense à chacun de ces moments avec une certaine nostalgie. Elle regrette déjà ces moments où, certes, elle a été humiliée, où il lui a fallu prendre le dessus, avaler sa salive... Mais elle craint aussi de retourner dans une vie monotone, un train-train où elle s'ennuie, plein de convenances, de "bonnes manières"... Et puis, elle se sent emprisonnée avec ce soutien-gorge et cette culotte... 

Elle rallume son téléphone. 15 appels en absence ! Amis et famille ont dû se demander ce qu'elle était devenue. Qu'est-ce qu'elle va bien leur raconter de son week-end à Paris ? La vérité, comme une provocation ? Non, elle a le temps du voyage pour s'inventer un programme... La Tour Eiffel, les Champs Elysées,...
Elle cherche le message d'Anne dans son sac et compose son numéro.
- Anne ? C'est Léa ? Ça va ?
- Oui, super, tu m'appelles. Tu es repartie ?
- J'attends mon train... Et ta nuit, elle a été comment avec le beau Cédric ?
- Il s'est tout de suite endormi... Mais on a fait l'amour ce matin au réveil. C'était sublime. Et toi ?
- Grandiose !...
Un temps de silence. Et Léa rajoute tout bas :
- Tu me manques déjà. Vous me manquez... J'ai pas envie de retourner à Marseille, toute seule... Ça m'emmerde... J'ai le cafard... Tu crois qu'on va se revoir ?
- Allons, ne te laisse pas aller... La vie continue. Quand à se revoir, pourquoi pas ? Ca dépend de toi... Wilfried m'a invitée à l'accompagner le week-end prochain à Marseille...
- Quoi ? Tu vas venir avec lui ? Super !
Maintenant, Léa sait ce qu'elle va faire le week-end prochain. Et elle a hâte.
- Oui ! Tu veux ? Il a de bons amis là-bas que je connais un peu. Et je crois l'avoir entendu dire qu'ils lui demandaient de venir parce qu'il y a un jeune couple de 23 et 24 ans qui veut être initié... Un gars et une fille... Et je pense, que si tu acceptes, tu seras aux premières loges pour les accompagner comme j'ai essayé de le faire avec toi...
- Un gars et une fille ?... 
Cette perspective lui rend son enthousiasme.
- Faut que je te laisse. Mes cours vont reprendre. Je t'embrasse.
- Oui. Moi aussi. A vendredi.

Léa reste songeuse un moment. Elle finit sa bière d'un trait. Laisse un billet sur la table.
Elle va aux toilettes et enlève culotte et soutien-gorge.

14 janvier 2019

Le Week-end initiatique de Léa. Partie 6/7

Wilfried gare la voiture dans un parking souterrain proche des Champs-Elysées. Il coupe le contact. Et en posant sa main sur la cuisse de Léa, il dit :
- Détendez-vous, Mademoiselle Léa. Je vous sens crispée.
- Je vous l'avoue, Monsieur. Oui. J'ai peur de ce qui m'attend...
- Ah bon ? Et pourquoi ?
- J'ai eu tellement peur souvent pendant ces deux jours que je crains le pire.
- Mais vous avez eu aussi beaucoup de plaisir, n'est-ce pas ?
- Oui, Monsieur.
- Et bien alors ? Bon ! Je ne devrais pas vous le dire pour garder l'effet de surprise mais rassurez-vous. Vos épreuves sont terminées. A moins que ma propre présence soit une épreuve pour vous. Ce soir, vous m'appartenez et vous n'appartenez rien qu'à moi. Avec cependant une petite surprise, mais je crois que ça ne vous déplaira pas, ce soir, lorsque nous serons revenus à la maison. Ça vous va ainsi ?

 

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Léa est soulagée. Un poids la quitte.
- Oh oui, Monsieur.
D'autant plus soulagée que Wilfried met un bras autour de ses épaules, l'attire vers lui et cherche sa bouche avec la sienne. Leur premier vrai et long baiser. Pendant que leurs langues s'agitent et dansent ensemble dans la bouche de l'un, de l'autre, Wilfried a glissé sa main sous le haut de Léa et lui caresse doucement, tendrement les seins dont les tétons se dressent... Elle ose poser sa main tout en haut de sa cuisse et devine le sexe tendu à travers le tissus du pantalon.
- Allons. Venez.

Ils sortent tous deux de la voiture. Il la prend par la taille et ils sortent du parking. De temps en temps, sa main glisse sur les fesses qu'elle caresse furtivement avant de remonter sur la hanche. 

Lorsqu'ils rentrent dans le restaurant, Léa a un mouvement de recul et de malaise. Ambiance feutrée, moquette épaisse au sol, décoration luxueuse, lustres de cristal tombant du plafond, tapisseries aux murs, tables richement montées avec leurs rangées de verres en cristal, leurs nombreux couverts par convives, leurs sièges capitonnés... Les femmes sont bellement habillées, chargées de bijoux. Certaines sont en robes longues... Les hommes sont également en costumes et certains même, en smoking avec nœud papillon, montre à gousset... Les serveurs sont en queue de pie et gants blancs, les serveuses en robe noir strict avec petit tablier blanc... Léa ne se sent absolument pas à sa place dans ce cadre avec son petit short et son haut qui laissent tout voir de sa morphologie... Elle se sent rougir...
Mais Wilfried lui désigne un escalier juste à côté de la porte d'entrée et l'invite à le monter. Il la suit. Elle devine son regard sur ses fesses, ses cuisses...

Ils arrivent sur un palier. Wilfried passe devant elle, ouvre une porte et lui fait signe de rentrer. Une toute autre ambiance ! Lumières tamisées. La salle est tout aussi belle que celle du bas mais beaucoup plus simple. Un grand espace au milieu. Les tables sont disposées autour de ce qui doit être une piste de danse, séparées les uns des autres par des petites cloisons faisant de chacune un petit coin intime. Léa remarque tout de suite que les femmes sont aussi peu habillées qu'elle et les hommes sont en tenues plus sportives, plus décontractées. Elle observe aussi que certains couples sont enlacés, en attendant d'être servis, d'une manière qui ne laisse aucune ambigüité sur ce qu'ils sont en train de faire : mains plongées dans des décolletés, dans des braguettes, sur des cuisses nues...

Une grande femme fine vient à leur rencontre. La maîtresse d'hôtel sans doute. Vêtue d'un short en cuir très court et très moulant et d'un chemisier transparent dont seuls les deux boutons du bas sont attachés ; il laisse ainsi tout voir de la poitrine, fort belle d'ailleurs, de la femme.

Elle accueille chaleureusement les nouveaux arrivants.

- Bonsoir, cher Monsieur. Bonsoir Madame.
- Bonsoir Madame Sophie. J'ai réservé une table pour deux personnes.
- Oui, oui, tout à fait. Je vais vous y conduire, si vous voulez bien me suivre.
En traversant la salle, ostensiblement Wilfried pose sa main sur les fesses de Léa. Ailleurs, ce geste de possession aurait terriblement gêné la jeune femme. Mais dans ce lieu, cela ne la gêne absolument pas, au contraire. Ce lieu semble dédié à tous les plaisirs et, puisque Wilfried lui a certifié que ce soir elle lui appartenait et à lui seul, elle veut jouer pleinement le jeu.

- Voulez-vous un apéritif ?
- Amenez-nous une de vos meilleures bouteilles de champagne, s'il vous plait.
- Je vous fais amener cela ainsi que la carte.
Et elle s'éloigne. Léa est surprise de ce lieu. Elle n'imaginait pas que de tels lieux pouvaient exister. Mais elle n'est pas au bout de ses surprises !
Ils sont assis non pas face à face comme dans n'importe quel autre restaurant mais côte à côte sur une banquette très confortable... Comme en bas, la table est joliment présentée avec ses rangées de verres de différentes tailles et ses nombreux couverts.

Wilfried pose une main sur sa cuisse, tout contre son pubis. Instinctivement, elle écarte les jambes. Il la prend par la nuque de l'autre main et la rapproche de lui pour un nouveau long et profond baiser... Ses doigts se sont faufilés entre ses cuisses et agacent son sexe à travers le fin tissu du short.

- Que je vous donne quelques explications. Dans cette salle, il est servi exactement le même menu qu'en bas, la même qualité de service. Mais disons que l'ambiance est beaucoup plus... disons, beaucoup moins guindée ! C'est le moins qu'on puisse dire. Madame Sophie est une amie. Une dominatrice. Et toutes les serveuses et tous les serveurs constituent ce qu'on pourrait appeler... son harem. L'ambiance vous plait ?
- Beaucoup, Monsieur. Merci.
- Je vous autorise ce soir à oser prendre des initiatives, si vous voyez ce que je veux dire. Discrètement, nous ne sommes pas chez le Baron, avec une certaine tenue donc mais aussi directement...

 

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Léa n'a pas le temps de lui répondre. Une magnifique jeune fille qui doit avoir à peine 20 ans leur amène dans un seau la bouteille de champagne commandée. Et, Léa en est fortement surprise, elle ne porte pour tout vêtement... qu'un mini string rouge qui lui arrive au ras du pubis. Elle ouvre la bouteille.
- Merci, Clara. Vous embellissez de jour en jour.
- Merci Monsieur.

C'est vrai qu'elle est belle cette fille, pense Léa. Ses petits seins arrogants, ses fesses rondes, ses longues cuisses fuselées... Elle est obnubilée par son pubis : le fin tissu du string a pénétré entre ses lèvres et les dessine parfaitement... Comme si elle était entièrement nue.
Léa la regarde s'éloigner. Elle semble parfaitement à l'aise dans sa presque nudité devant tout le monde.
Arrive alors un jeune garçon, le même âge sensiblement... et la même tenue. Un string rouge qui moule parfaitement la forme de son sexe et de ses testicules. Il se poste à côté de Léa et lui tend la carte. Puis donne l'autre à Wilfried.
- Bonsoir Armand, vous allez bien ?
- Oui, merci Monsieur. Je suis content de vous revoir.
- Moi aussi, mon garçon. Je garde un bon souvenir de vous, de ces belles nuits torrides avec vous et les copains.
- Merci Monsieur. J'aimais bien aussi.

Le garçon ne se démonte pas devant les insinuations de Wilfried. Et Léa, qui a le regard aimanté par son sexe, le voit même frémir à travers le tissu.
- Et avec Madame Sophie ?
Les yeux du garçon brillent.
- Ça va bien. Super.
- Racontez à Mademoiselle.

Là, le garçon commence à rougir légèrement.
- Eh bien... Nous sommes six. Trois filles et trois garçons. Le soir, à quelques-uns, nous faisons le service au restaurant. Nous vivons ensemble et parfois on joue...
- Vous jouez ? Que diable ! Dites-nous en plus mon garçon.
- Eh bien... Madame Sophie organise des spectacles pour elle seule ou pour des amis. Elle nous demande de faire l'amour entre nous. Entre garçons, entre filles, entre garçons et filles... Parfois à deux ou à trois ou plus... Parfois, elle nous demande aussi de nous masturber devant elle ou ses amis...
- Et vous aimez cela ?
- Me masturber ?
- Vous masturber et le reste...
- Oui Monsieur. Je vous laisse faire votre choix ?
- Merci. Mademoiselle, donnez-moi votre carte et laissez-moi choisir moi-même. Et buvons.

Il prend sa flûte de champagne et la lève à la santé de Léa. Elle fait de même...
Lorsqu'il a fini de consulter la carte, il met un bras autour du cou de Léa, prend sa main et la pose sur sa braguette.
- Que sentez-vous ?
- Vous êtes en érection, Monsieur.
- Oui je bande. Et sachez que c'est vous qui me mettez dans cet état. Vous mais aussi ce jeune Armand.

Léa est surprise de cet aveu. Et cela doit se voir.
- Pourquoi êtes-vous surprise ? Vous m'avez vu ce matin avec Cédric... Et oui, j'aime les garçons aussi. Les jeunes garçons, ces jeunes éphèbes... Armand et ses copains qui travaillent ici et qui sont maintenant au service de Madame Sophie, comme Cédric et d'autres encore, je les ai eus dans mon lit... J'aime sentir ces jeunes corps contre le mien, ces corps musclés mais à la musculature encore fine... J'aime voir et sentir leur jeune sexe frémir, se tendre, se durcir, se redresser fièrement... Vous aimez faire des fellations ?
- Oui, Monsieur.
- Et bien moi aussi. Et ces jeunes sont généreux en foutre, leur jouissance est profonde, leurs orgasmes sont longs... Je vous choque ?
- Pas du tout.
- D'ailleurs pourquoi seriez-vous choquée ? Je vous ai vue avec Mademoiselle Anne et aussi avec Eléonore... Au fait, vous avez passé un bel après-midi chez Maîtresse Mathilde ?
-  Au début ça a été un peu difficile. Elle a été violente avec moi, elle m'a humiliée me traitant comme une chienne, une chaîne autour du cou et à quatre pattes...
- Humiliée ? C'était dans la rue ? Il y avait du monde qui se moquait de vous, qui rigolait ?
- N... Non. Il n'y avait qu'elle, Anne et Eléonore.
- Des amies donc. Que vous commencez à connaître. Et que vous semblez apprécier...
- Oui. Mais quand même...
- Et elles étaient confortablement assises dans des fauteuils, habillées et tout ?...
- Non. Elles étaient nues, les bras attachés par des cordes qui tombaient du plafond et les pieds entravés par une barre de fer.
- Donc d'une certaine manière, elles étaient elles aussi humiliées...
- Oui, c'est vrai.
- Il faut savoir ce que vous voulez, Mademoiselle Léa !

 

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A ce moment arrive Clara.
- Je peux prendre votre commande.
- Oui, tout à fait. Nous allons prendre les canapés de foie gras sur lit de quatre salades, un tournedos avec ses trois purées et ses champignons, le plateau de fromage et un sorbet. Cela vous convient, Mademoiselle Léa ?
- Oh oui...
- Très bien. On va vous servir.
Et la serveuse s'éloigne. Tous les deux la regarde partir, fascinés l'un et l'autre par sa cambrure, ses fesses, ses longues cuisses.
- A croquer aussi, n'est-ce pas ! Il faut donc savoir ce que vous voulez, vous disais-je. Vous avez voulu expérimenter la soumission, vivre autre chose, découvrir d'autres horizons... La soumission passe par un minimum d'humiliation, reconnaissez-le. Et vous savez que vous auriez pu tomber sur beaucoup plus violent, plus pervers que Mathilde et moi-même. Bon, mais à part ses humiliations, que s'est-il passé ensuite ?
- Elle m'a attachée comme l'étaient Anne et Eléonore, elle nous a bandé les yeux et nous a livrées à une vingtaine de femmes que nous n'avons jamais vues mais qui nous ont fait beaucoup jouir...
- Mais vous étiez pourtant en position d'humiliation. Et vous avez malgré tout beaucoup joui ?
Léa devient gênée et rougit un peu. Wilfried rit de bon cœur en l'attirant vers lui
- Je vous taquine ! Changeons de sujet.

Et il l'embrasse à nouveau à pleine bouche en glissant sa main sur sa cuisse. Un doigt s'insinue sous le tissu du short et vient directement vers le sexe. Il y pénètre sans difficulté tant il est lubrifié par  le désir et l'excitation. Elle ne reste pas inactive, pose sa main sur le sexe qui gonfle le pantalon et la fait glisser tout au long de la hampe...
Tout occupés, ils n'ont pas entendu arriver Armand qui amène deux assiettes. Lorsqu'il s'en rend compte, Wilfried lui ordonne :
- Restez là, Armand. Regardez !...

Et son doigt s'agite de plus en plus dans le con de Léa qui sent le plaisir monter. Enhardie, coquine, elle tire le zip de la braguette, plonge la main, se faufile sous le slip et se saisit de la queue de Wilfried...
Doucement, Wilfried la lâche et la repousse... Ils reprennent une position plus digne ! Léa ne peut s'empêcher de regarder le sexe du garçon qui forme une barre horizontale plaquée contre son ventre.
- Merci Armand. A plus tard.

Il remplit de nouveau les coupes de champagne. Et ils commencent à manger. En silence, pendant un moment. Puis c'est Wilfried qui rompt de nouveau le silence.
- Nous avons troublé ce garçon, ne croyez-vous pas ? Pourtant, ici, il doit être habitué. A votre avis, qu'est-ce qui l'a troublé à ce point ? Votre main dans ma braguette ou la mienne dans votre minou ?
- Sans doute les deux, non ?
- Vous avez absolument raison. Voyez-vous, ces jeunes garçons que j'ai caressés, masturbés, sucés, sodomisés, fait jouir et qui m'ont aussi fait jouir, eh bien j'ai voulu leur faire connaître aussi le corps féminin. Ils étaient heureux entre mecs et se pensaient homos à vie. Mais je considère qu'une sexualité ne peut être en plénitude que dans la bisexualité.
Cédric que vous avez vu hier et ce matin, je peux vous assurer que vous avez été la première femme qu'il voit nue de si près et qu'il touche. Et c'était la première fois qu'il jouissait entre les mains d'une femme. Il n'a jamais encore glissé son sexe dans celui d'une fille. Il est encore puceau de ce côté-là. Mais ça ne saurait durer. Et ce matin, Eléonore et Anne y ont été fort. Pris ainsi entre deux filles qui jouaient si bien de leurs corps contre le sien, il n'a pas résisté bien longtemps le pauvre. Eléonore et Anne ont parfaitement compris cela, elles jouent elles aussi sur les deux tableaux, aussi bien avec des femmes qu'avec des hommes.
C'est aussi ce qu'a compris Madame Sophie. Parce qu’Armand ne vous a pas tout dit tout à l'heure. C'est vrai qu'elle leur fait faire des jeux sexuels entre eux, entre garçons, entre filles, entre garçons et filles. Mais je peux vous assurer que tous les soirs elle en a un ou deux dans son lit, filles et garçons... Et qu'elle ne rechigne pas à se faire prendre par ses trois éphèbes en même temps.

- Je ne connais pas les autres mais Armand et Clara sont magnifiques. J'aurais aussi plaisir à les avoir dans mon lit, ose Léa.
- Voyez-vous ça ! Vous allez devenir insatiable ! rigole Wilfried. Vous me racontiez dans vos mails votre triste vie sexuelle, avec des aventures essentiellement masculines, des coups d'un soir sans lendemain. Et puis de temps à autre, une femme, une fille mais plus par défaut que par réelle envie, n'est-ce pas.
- C'est vrai. J'aimais les deux. Mais il me manquait toujours quelque chose.
- Pourquoi vouloir choisir ? Pourquoi être soit hétéro, soit homo ou lesbienne ? Ne choisissez pas. Jouissez de l'une et de l'autre. Et des deux en même temps quand c'est possible. C'est ce que je reproche un peu à Mathilde. Mais elle ne veut rien entendre. Elle est trop exclusive.
- Elle n'a jamais eu d'homme ? Elle a pourtant une belle collection de godemichets.
- Et bien je peux vous assurer qu'elle ne se les est jamais enfilés. C'est pour certaines de ses amies. Sans doute permet-elle à Eléonore de jouer avec. Mais ce n'est pas elle non plus qui le lui glisserait dans le con. Mathilde est une lesbienne militante... On se chicane souvent là-dessus. Et elle ne veut rien savoir. Si elle vient à des soirées comme celle de vendredi, c'est parce qu'elle sait qu'elle va trouver son compte avec des femmes. Mais surtout pas pour les hommes. Il n'y avait pas un seul homme cet après-midi avec vous et...

Il est interrompu par Clara.
- Vous avez terminé. Je peux enlever vos assiettes ?
- Oui, merci. C'était très bon. Comme d'habitude.
Pendant qu'elle ramasse les assiettes, elle est rejointe par Armand qui amène le plat suivant.
- Vous êtes mignons tous les deux ensemble. Savez-vous que vous plaisez beaucoup à Mademoiselle Léa ? Elle m'a même dit qu'elle aurait grand plaisir à vous avoir tous les deux dans son lit.

Léa prend un air offusqué.
- Ce n'est pas vrai, peut-être ?
- Si, j'ai dit cela mais pas pour que vous le leur répétiez !
Clara et Armand échangent un clin d'œil.
- Mais nous aussi on en serait ravi, Mademoiselle, dit Armand
- Certainement, oui, rajoute Clara. Avec plaisir. Vous êtes aussi ravissante, Mademoiselle.

Lorsqu’ils sont repartis, Wilfried demande
- Mais pourquoi vous mettez-vous dans ces états ? Il faut que vous osiez sinon vous n'aurez jamais rien et vous resterez dans la banalité des échanges que vous avez eus jusqu'à maintenant. D'autant plus que vous avez des arguments de valeur.
En disant cela, il se tourne vers elle, pose une main sur son sein et l'autre sur sa cuisse et la remonte jusqu'à son pubis. Ils rient ensemble.
- Allons, mangeons pendant que c'est chaud.
Nouveau silence. Mais rapidement, Wilfried reprend la parole.

- Donc, vous avez aimé cet après-midi. Qu'est-ce que vous avez encore aimé durant ce week-end ?
- Ce temps dans le salon d'essayage avec Cédric. Ça m'a beaucoup excitée. Ce temps ce matin aussi avec lui et Anne et Eléonore...
- Vous les aimez bien ces deux filles, n'est-ce pas ?
- Oui, beaucoup. J'ai aussi bien aimé la séance de massage chez Luigi...

- Ah, ce brave Luigi. Il sait y faire avec les femmes... Et le temps chez le Baron ?
- Bof !... La danse... J'avais la honte !...
- Encore cette foutue humiliation ! Il me semble pourtant que vous avez joui sur la scène devant tout le monde, non ? Vous vous êtes fait la honte vous-même...
- Mais... Mais c'était ces boules de geisha...
- Et alors ? Apprenez à vous maîtriser, à maîtriser votre plaisir, à le surmonter... Vous avez encore beaucoup à apprendre. Et dans la cave ?
- Je n'avais plus conscience de mon corps... Quand j'y pense, je me demande comment j'ai pu m'offrir ainsi à tous ces inconnus...
- Qu'auriez-vous pu faire ? Fuir ? Nue ? Avec le beau Luigi, vous étiez en sécurité... Savez-vous... Non, vous ne pouvez pas savoir... Vous avez battu tous les records. 39 hommes se sont vidés sur vous, dans votre sexe, dans votre cul, dans votre bouche, entre vos mains ou par leur propre masturbation sur votre corps. 39 hommes et 12 femmes.
- Vous avez compté ?
- Bien sûr que j'ai compté et Luigi aussi. Nos chiffres concordent. 39 hommes dont Luigi en premier, moi et le Baron...
- Le Baron ? Quel horreur cet homme ! Je ne l'aime pas du tout. On dirait qu'on est du bétail avec lui...
- C'est vrai qu'il fait un peu primaire. Mais il est cependant charmant homme. Donc ce temps ne vous a pas trop déplu ? Et est-ce qu'il y a quelque chose qui vous a vraiment déplu ?
- Le viol ! s'écrie Léa spontanément.
- Le viol ? Quel viol ? 
- Vous le savez bien. Dans la cave. Après cet enlèvement violent par les deux jeunes cons.

Léa est regagnée par la colère. Wilfried est interloqué.
- Mais ce n'était pas un viol. C'était moi...
- Et alors ? Je ne le savais pas. J'ai eu la peur de ma vie. Tirée ainsi dans une cave, déshabillée, mise à nue par deux abrutis, bâillonnée et les yeux bandés, ligotée sur un affreux sommier... Et ces cons qui sortent en disant qu'ils allaient chercher leurs copains et de l'alcool pour passer une belle nuit en s'amusant de moi... Et vous qui arrivez, qui me pelotez et qui me pénétrez d'un coup... Je n'ai senti aucun plaisir, aucune jouissance...

Léa est furieuse.
- Vous m'en voulez ?
- Oui, je vous en veux.
- Vous n'auriez pas aimé être ainsi violée par 20 ou 30 jeunes gars dans la force de l'âge ?
- Ça va pas, non ? Non, j'aurais pas aimé du tout. Et je me promettais de porter plainte. J'allais pas me laisser faire...
- Et vous craquez devant Armand et Cédric ? Et vous n'avez pas trop détesté vous faire prendre par 39 hommes dans la cave du Baron ? Quelle différence ?
- C'est pas pareil !
- Ah bon ? Pourquoi ? A cause de l'âge ? Pourtant vous semblez aimer les jeunots... A cause du milieu social ? C'est sûr que ces garçons qui vivent dans ce quartier n'ont pas les moyens d'aller s'amuser chez le Baron. Feriez-vous de la discrimination sociale ?
- Non, rien de tout ça. Chez le Baron, c'était maîtrisé, vous étiez là, je savais que ça faisait partie de votre plan pour me soumettre, de mon initiation. Même si au début c'était difficile, je l'avais accepté en acceptant de vous rejoindre pour ce week-end. Ça faisait partie du lot... Mais là, dans cette cave, ça n'avait plus rien à voir. C'était un enlèvement, une tournante dont j'étais victime... Et je ne savais pas où vous étiez... J'imaginais qu'en constatant mon absence, vous alliez penser que j'étais partie, que j'en avais assez, que vous étiez fâché mais que vous ne me rechercheriez même pas pensant que j'avais repris le train...
- Mais j'étais là...
- Mais je ne le savais pas et ne pouvait pas imaginer cette mise en scène.
- Donc, vous m'en voulez.
- Oui. Beaucoup.
- Alors, pardonnez-moi. Je comprends. C'est la première fois que j'imagine une telle mis en scène. Je pense que je ne recommencerai pas.

Ils se regardent. Elle a encore de la colère dans les yeux. Mais elle voit un regard contrit qui semble sincère. Il la tire vers lui et lui dépose un baiser sur le front.
- Vous me pardonnez ?
- N... Oui !
- Sourire ?
Léa lui offre un sourire un peu forcé.

A ce moment, Madame Sophie approche de la table.
- Vous avez terminé ? C'était bon ? Tout va bien ? Je vous fais apporter la suite. Mais avant, cher ami, on va commencer à danser. Voulez-vous m'accorder la première danse ?
- Très volontiers.

 

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Il se lève et, en se donnant la main, ils vont vers le centre de la piste. La musique commence. Un slow. Ils s'enlacent et commencent à se dandiner, à aller et venir... Rapidement, la main de Wilfried glisse vers le bas du chemisier de Sophie et il entreprend de le déboutonner. Puis la main remonte, écarte les pans du vêtement dévoilant ainsi toute la poitrine de la femme. Il pose la main sur un sein avec lequel il joue. L'autre main a tout de suite glissé sur les fesses...
Madame Sophie n'est pas inactive... Elle a ouvert le pantalon de Wilfried et a glissé une main sous le tissu, sur les fesses. Tandis que l'autre se faufile sous la chemise pour caresser sa poitrine...

D'autres couples les ont rejoints. Sans aucune pudeur, des poitrines se dévoilent, des sexes sortent par des braguettes ouvertes, une femme a son short descendu jusqu'au bas des fesses, une autre a la jupe relevée entièrement jusqu'à la taille... Les mains se promènent. Les corps bougent à peine au rythme de la musique...
Léa regarde. Un peu jalouse de voir Wilfried s'occuper ainsi de Sophie... Elle voudrait être à sa place. Armand s'approche de la table pour débarrasser.
- Vous êtes seule, Mademoiselle ?
- Et bien oui. Je suis lâchée. Il danse avec votre patronne...
- Si je peux me permettre... Vous accepteriez cette danse avec moi ?
- Oh oui !

Elle se lève vite et, entraînée par le garçon, ils vont à leur tour vers le centre de la piste, s'enlacent et commencent à danser. Immédiatement, Armand glisse sa main sous son vêtement et caresse ses seins, l'autre main se faufilant sous la ceinture du short sur ses fesses... Léa est d'abord intimidée et ne sait trop où mettre ses mains qui restent un moment sur les épaules du garçon. Mais personne ne fait attention à eux, trop occupés à ce qu'ils font et reçoivent eux-mêmes... Alors ses mains glissent sur les fesses... Rondes. Fermes... Quel délice... Elle sent le contact de la verge du garçon contre sa hanche, verge qui gonfle, durcit, prend de l'envergure... Elle se colle à lui encore plus pour accentuer la pression et du coup plaque son pubis contre la hanche de son partenaire.

Elle ose lui chuchoter :
- Je vous fais de l'effet. Vous bandez dur... C'est bon de le sentir...
- Oui, vous me faites bander. J'ai envie de vous prendre mais je n'en ai pas le droit. Du moins pas ici... Et vous, je vous trouble ?
- Vous ne pouvez imaginer à quel point. Vérifiez si vous voulez... ose-t-elle.

Le garçon ne se le fait pas dire deux fois. Il change de position, lâche seins et fesses et glisse une main devant, sous la ceinture et ses doigts vont directement vers le sexe qu'ils pénètrent facilement tant il est humide de volupté... Il commence à jouer avec le bouton d'amour... C'est bon... Du coup, Léa passe aussi sa main devant, la fait pénétrer sous le string, empoigne le sexe bandé et le sort de sa prison de tissu... Elle a envie de le masturber...
Mais la musique s'arrête. Armand se sépare de Léa et se réajuste rapidement. Chacun retourne à sa place en remettant correctement ses vêtements, en remontant une fermeture éclair, en baissant un haut...

Léa arrive à sa table en même temps que Wilfried.
- Alors, c'était bon ?
- Hummm !
Armand les suit pour faire son travail.
- Et vous, Armand ? Vous avez aimé ?
- Beaucoup Monsieur, répond-il sans aucune gêne...
Nouveau silence pendant que Armand débarrasse la table. Des couples ont repris une autre danse. Ils regardent, chacun perdu dans ses pensées.

Le repas terminé, Wilfried dit :
- Mademoiselle, on va partir. Mais avant, Madame Sophie nous a demandé de passer au salon. Mais nous n'allons pas nous y attarder, nous sommes attendus.
- Ah bon ?
Il ne donne pas plus de précisions, se lève et va vers le fond de la salle de restaurant. Léa le suit. Ils suivent un couloir et s'arrêtent à une porte.

5 janvier 2019

Le Week-end initiatique de Léa. Partie 5/7

Dimanche

 - Réveille-toi ! Monsieur nous attend en bas.
Oh non ! Ça va recommencer. Je veux dormir, dormir, dormir... Oublier.

Mais elle finit par se lever quand même. Une rapide douche ensemble et elles descendent. Nues. Toujours !

Wilfried vient leur ouvrir. Il est enjoué.

 

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- Ah vous voilà ! Vous allez voir une surprise. Entrez vite dans le salon.
En effet ! Eléonore est là. Nue également. Elles s'étreignent, s'embrassent...
- Calmez-vous, les filles ! J'attends une visite et je vais avoir besoin de vous. Vous allez être surprises !... Asseyez-vous toutes les trois sur le canapé. Ecartez les jambes. Caressez-vous l'une l'autre. Pas pour vous faire jouir mais comme distraitement... Et surtout, pas un mot, pas un rire... Le silence. J'insiste...
Elles s'installent donc côte à côte. Eléonore au milieu, Anne et Léa de part et d'autre. Elles écartent les jambes comme l'a demandé Wilfried. Léa met même sa jambe par-dessus la cuisse d'Eléonore.
- Parfait, Mademoiselle Léa. Caressez-vous maintenant.
Eléonore caresse la cuisse et le genou de Léa et passe son autre bras autour du cou d'Anne pour lui caresser le sein. Anne caresse la cuisse d'Eléonore et caresse son autre sein... Léa caresse un sein d'Eléonore et le haut de sa cuisse tout contre son sexe...

Un coup de sonnette.
- Parfait, Mesdemoiselles. Continuez quoiqu'il arrive. Et pas un mot... Vous allez assister au spectacle et en serez un peu les actrices aussi...
Et il sort pour aller ouvrir. Les femmes se regardent et sourient se demandant ce qui va se passer. Elles n'ont aucune crainte. Quelle que soit l'épreuve, elles sont là toutes les trois ensemble. Elles entendent ce qui se passe dans l'entrée.
- Ah ! Vous voilà !
- Bonjour Maître.
Une voix d'homme. De jeune homme, même... Il semble à Léa reconnaître cette voix.
- Déshabillez-vous et allez dans le salon en position, jambes écartées, mains dans le dos face au canapé... Je vous rejoins.
Les femmes retiennent un rire en imaginant ce qui va se passer. Un jeune homme nu va rentrer et va se mettre face à elles en position de soumission...

Elles entendent le bruit de vêtements qu'on retire et comme une claque sur les fesses.
- C'est bien mou ce sexe ! Allez-y. Et obéissez-moi quoiqu'il arrive.
Le jeune homme rentre dans le salon, nu. S'avance et aperçoit les trois femmes nues qui le regardent. Il a un mouvement de recul en se cachant le sexe de ses deux mains. Le cœur de Léa bondit : elle a reconnu Cédric, le jeune vendeur qu'elle a branlé hier dans le magasin de vêtements.
- Vous y êtes ?
- Oui, Maître ! ment-il. Mais il ne peut se dérober. Il va donc face aux trois femmes et se met en position. Il est rouge de honte et, comme l'autruche qui plonge la tête dans le sable pour se cacher, il ferme les yeux...
Léa, Eléonore et Anne, elles, n'ont pas les yeux fermés. Elles regardent intensément le jeune garçon qui n'est pas mal foutu. Particulièrement son sexe qu'elles voient se gonfler petit à petit, se mettre à l'horizontale, poursuivre la progression jusqu'à être parfaitement droit comme un I.

Wilfried rentre à son tour. Il s'est aussi déshabillé mais porte une serviette attachée autour des reins. Il s'approche du garçon. Lui pose violemment une main sur les fesses. De l'autre main, il donne une tape sur le sexe dressé qui agit comme un ressort et revient en position en claquant sur le ventre.

- Ouvrez les yeux et regardez ces trois belles femmes, voulez-vous ?
Le garçon s'exécute. Wilfried continue :
- Je vois là que vous n'êtes pas insensible aux femmes, jeune homme. Je m'en suis déjà rendu compte hier avec Mademoiselle Léa. Vous reconnaissez Mademoiselle Léa ?
Cédric marmonne.
- Pardon ?
- Oui, Maître.
- Vous avez aimé la voir nue et les caresses qu'elle vous a offertes ?
Nouveau grommellement.
- Oh la ! Parlez clair, jeune homme.
- Oui, Maître.
- Oui quoi ?
- J'ai aimé la voir nue et j'ai aimé ses caresses.
- Et bien dites-le lui directement.
Le jeune homme avale sa salive... Balbutie... Léa a pitié de lui mais ce petit jeu l'amuse.
- J'ai... J'ai aimé vous voir nue et vos caresses.
- Et qu'est ce qui s'est passé avec ses caresses ?
- J'ai j... J'ai joui, j'ai éjaculé...
- C'était bon ?
- Oui, Maître.
- Et vous vouliez me faire croire que vous n'aimiez pas les femmes, que vous n'aimiez que les hommes... C'est vrai que vous m'avez montré que vous les aimiez les hommes. Vous faites des fellations sublimes... Et votre petit cul est des plus confortables !... Vous voyez que je peux faire des compliments... Qu'est-ce qu'on dit ?

 

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Cédric se tait, ne sachant trop ce que son maître attend de lui...
- J'attends un remerciement pour mes compliments. Et aussi pour vous offrir trois belles et jeunes femmes.
- Merci Maître.
- Bon ! On va laisser Mademoiselle Léa se reposer, elle a assez travaillé hier... Mesdemoiselles Eléonore et Anne, approchez-vous.
Les deux jeunes filles s'approchent, amusées.
- Vous allez caresser ce garçon jusqu'à ce qu'il jouisse. Avec vos mains, vos fesses, vos seins, vos corps... Mais interdiction absolue de lui toucher le sexe... Mademoiselle Léa, vous pouvez contribuer en vous masturbant devant ce jeune homme... Il n'a jamais vu une femme jouir...

Anne et Eléonore commencent à caresser le corps de Cédric d'abord avec leurs quatre mains qui glissent sur ses épaules, son torse, ses cuisses, ses fesses... Chacune leur tour, elles prennent plaisir à écarter les deux lobes et à commencer à pénétrer un doigt dans l'anus...

Puis c'est avec leurs seins, leurs fesses qu'elles le caressent, dansant autour de lui, s'accroupissant, se redressant... Elles prennent aussi un malin plaisir à présenter leur pubis, leurs seins, leurs fesses aux mains du garçon croisées dans le dos. Au début, il gardait les poings fermés mais petit à petit ses doigts se sont déliés et sont devenus actifs sur ces corps qui se présentent à eux... Elles se mettent, chacune de leur côté, de telle manière que les jambes du jeune homme se trouvent entre les leurs et elles frottent leurs sexes humides contre les cuisses...

Léa n'est pas inactive. Elle a remonté ses pieds contre ses fesses, a écarté impudiquement ses genoux et se caresse le bouton magique en faisant pénétrer deux doigts dans sa grotte.... Le spectacle que lui offrent ses deux amies et Cédric l'excite au plus haut point et elle sent un intense plaisir monter en elle.
Le garçon aussi sent la montée de la sève du fond de son corps. Il respire fort, il geint comme s'il souffrait... Une goutte de sperme perle sur le bout de son gland... Son sexe que personne ne touche frétille tout seul...

Les filles voient que son plaisir est proche... Elles veulent lui donner le coup de grâce... Elles s'agenouillent en caressant le haut des cuisses, à l'intérieur, effleurant les couilles, le périnée... Elles caressent ses fesses et l'une d'elle introduit profondément un doigt après l'avoir humidifié de sa salive dans son entrée secrète...

De son côté, Léa qui voit aussi la tension monter chez le garçon jouit sous ses doigts...

C'est plus que ne peut supporter Cédric... Son sexe se gonfle, bat la mesure et soudain explose en de longs jets qui s'écrasent sur son ventre, coulent le long de la hampe...

Wilfried arrache sa serviette et, nu, le sexe dressé, s'agenouille devant le garçon, prend son sexe en bouche et lèche tout ce sperme... Les trois femmes le regardent interloquées. Lorsqu'il se redresse, il voit leurs regards.

- Que se passe-t-il Mesdemoiselles ? On peut aimer les femmes et aussi avoir du plaisir avec des hommes, surtout avec de beaux jeunes hommes comme celui-ci. N'est-ce pas ?
Et il plaque le garçon contre son corps en pétrissant violemment ses fesses...
- N'est-ce pas ?
- Oui, Maître.
- Mademoiselle Anne, allez vous asseoir sur le canapé, les fesses au bord, les genoux remontés et écartés... Et vous, Cédric, à quatre pattes. Allez lécher le sexe de Mademoiselle...

Anne se met dans la position demandée. Le garçon se met à quatre pattes.

- Mais avant, prenez mon sexe en bouche pour l'humidifier pour que je puisse vous enculer !
Cédric se redresse, prend le phallus dressé entre ses mains et le porte comme avec gourmandise à sa bouche. Il offre, en connaisseur, une fellation à son Maître...
- Ne me faites pas jouir maintenant, garçon. Ça suffit ! Allez lécher Mademoiselle Anne.
Il s'avance sur ses genoux et ses mains vers la jeune fille qui l'attend, plonge le visage vers ce sexe ouvert... Le regarde. Sans doute n'a-t-il jamais vu d'aussi près un sexe féminin... Puis il ose un premier coup de langue, puis un autre... Sans doute y trouve-t-il un certain plaisir car il appuie davantage...
- Vous pouvez vous caresser, Mademoiselle, car je doute que ses coups de langues vous fassent jouir. Il a tout à apprendre des femmes, ce jeune puceau....
Avec satisfaction, Anne entreprend de se masturber pendant que le jeune homme la lèche comme le ferait un chien sur une plaie ouverte.

Wilfried s'agenouille derrière lui. Il crache dans sa main et enduit de salive l'anus ouvert qui s'offre à lui. Il y fait pénétrer un doigt, puis un second... Il les fait aller et venir, il les tourne... Le garçon se cabre, gémit... Lorsque le maître considère que le chemin est suffisamment préparé, il présente son sexe et doucement, lentement, sans à coup le fait pénétrer dans le jeune cul jusqu'à la racine. Les trois femmes sont fascinées par ce sexe qui disparaît ainsi... Et elles sont aussi bien surprises. Elles l'ont vu pénétrer des sexes féminins, elles l'ont toutes les trois eu en elles, plusieurs fois même... Mais voir Monsieur Wilfried, enculer un garçon, cela sort de leur imagination. Mais si elles sont surprises, elles sont toutes excitées. Si elles ont été plusieurs fois spectatrices ou actrices de scènes lesbiennes, c'est la première fois qu'elles voient un homme pénétrer un autre homme. Et, sans qu'elles cherchent à savoir pourquoi, cela leur plait.

 

 

Wilfried s'installe bien dans le cul du garçon. Puis commence à aller et venir en tenant son partenaire par les hanches. Chaque coup de boutoir accentue la pression de la bouche du garçon contre le sexe d'Anne qui a repris avec plus vigueur encore sa masturbation.
Il fait venir Eléonore à côté de lui et, tout en continuant à besogner le jeune cul, il lui caresse doucement les fesses, les cuisses, glisse sa main entre elle pour effleurer son sexe... Il fait aussi venir Léa de l'autre côté, d'une pression au poignet, il la fait s'agenouiller contre lui, tout contre lui de sorte que ses seins caressent son corps...
- Caressez moi  les fesses, glissez votre main entre mes cuisses, caressez mon périnée, effleurez mes couilles...lui ordonne-t-il. Léa s'exécute avec plaisir ne perdant pas une miette du spectacle offert par ce vit allant et venant entre les deux fesses de Cédric...

Le garçon respire fort. Il devient goulu. Prend de l'assurance, entoure de ses bras les reins d'Anne. Wilfried aussi respire de plus en plus fort. Il lâche Eléonore, fait se redresser brusquement le garçon, le plaque contre lui... Il se saisit de sa verge qui est de nouveau dressée et il la branle rapidement tout en malaxant de son autre main les couilles... Et tous les deux poussent ensemble un râle puissant...  Léa se rend compte aux mouvements du périnée que Wilfried jouit en longues saccades tandis que le malheureux garçon qui a déjà joui il y a à peine un quart d'heure sous les caresses d'Anne et d'Eléonore ne peut éjaculer que trois petits jets de sperme qui

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retombent sur la main du Maître...

L'homme se retire et se redresse.
- C'est bien, garçon. Mais peut mieux faire. On a la journée pour apprendre. A quatre pattes. Là, c'est bien. Léchez-moi la main.
Et Cédric lèche, aspire son propre sperme.
- Maintenant, nettoyez-moi la queue.
Et le garçon se redresse pour prendre dans sa bouche, avec semble-t-il beaucoup de plaisir, le sexe qui est encore gonflé mais pend maintenant entre les jambes de Wilfried et est couvert de sperme... et de quelques traces jaunâtres !
- Debout maintenant. En position. Je reviens vers vous dans un instant et je vais compléter votre éducation.
Et s'adressant aux trois femmes :
- Mesdemoiselles, allez dans cuisine. Vous allez y trouver vos vêtements. Enfilez-les et descendez. Maîtresse Mathilde vous attend dans sa voiture dans le parking souterrain. Mademoiselle Léa, je compte particulièrement sur vous. Et je vous attends, ce soir, à 20 heures. Filez. 

Elles ne se le font pas dire deux fois et font des efforts pour ne pas trop montrer leur joie. Wilfried serait capable de changer d'avis. Elles vont vite à la cuisine où, effectivement, elles retrouvent leurs vêtements. Léa enfile son short si court et si moulant et son haut... Et elle regarde ses compagnes. C'est la première fois qu'elle les voit habillées. Et constate avec plaisir qu'elles sont habillées aussi légèrement qu'elle. Ni culotte, ni soutien-gorge pour aucune d'elles. Un short en cuir aussi mini que le sien et un gilet sans manche avec deux seuls boutons, également en cuir, pour Eléonore. Une mini-jupe et un chemisier pratiquement transparent, sans bouton, qui se ferme en nouant les deux pans juste en dessous des seins, pour Anne.

C'est ainsi qu'elles descendent vers le parking souterrain. Elles trouvent Maîtresse Mathilde qui les attend devant sa voiture.... Elles se précipitent vers elle.
- Oh la, Mesdemoiselles ! Qu'est-ce que vous croyez ? A genoux. Toutes les trois !
Surprises, les trois femmes s'agenouillent devant elle. Mathilde se plante devant Léa et soulève sa jupe. Elle ne porte pas non plus de culotte.
- Embrassez-moi sur les lèvres !
Avec plaisir, Léa dépose un baiser sur les lèvres glabres qui s'offrent à elle.
- Avec la langue, s'il vous plait !
Léa s'exécute et lèche le sexe déjà humide de la femme... Elle enfonce la pointe entre les lèvres... Trouve l'excroissance du clitoris, la pince entre ses lèvres...
- C'est bien ma petite. Baissez la tête.
Puis elle passe devant Anne pour réclamer le même baiser intime. Puis devant Eléonore. Satisfaite elle leur ordonne :
- Debout !
Elles se relèvent.
- A poil.

Là, Léa n'a plus envie de rire. Elle ne va quand même pas se mettre nue dans ce parking. Quelqu'un pourrait arriver... Mais elle voit Eléonore qui a déjà enlevé son gilet et a le short à mi-cuisse. Anne commence à dénouer le bas de son chemisier... 
- Allons ! Dépêchez-vous. Mademoiselle Léa !
Alors Léa se déshabille en espérant pouvoir rentrer vite dans la voiture dont elle s'est rendu compte que les vitres sont fumées.
- Jambes écartées ! Mains sur la tête !
Elle donne ses ordres comme un adjudant. Léa a envie de se révolter mais, comme ses amies, elle se montre docile. Mathilde se met face à elle et la fixe droit dans les yeux. Léa soutient le regard.
- Baissez les yeux !
Léa baisse les yeux. Alors la femme passe sa main entre ses cuisses et, sans aucune précaution, pénètre deux doigts dans son sexe. Elle fait mal à Léa qui se raidit.
- Allons mignonne. Votre Homme vous a confiée à moi pour que je m'occupe de vous. Vous êtes là pour être dressée, n'est-ce pas ?
Léa reste silencieuse.
- J'ai posé une question !
- Vous me faites mal...
- J'ai posé une question, hurle Mathilde. Je veux une réponse.
Et elle enfonce ses doigts encore plus profondément.
- Oui, Madame.
- Maîtresse !
- Oui, Maîtresse !
La femme la lâche. Mais se saisit aussitôt des tétons de ses deux seins et les fait tourner entre ses doigts. Léa ne peut retenir un cri de douleur.
- On va bien s'amuser, ma petite. Allez, les filles, en voiture.
Elles se serrent toutes les trois à l'arrière, Léa au milieu. Mathilde jette les vêtements dans le coffre.

Le temps qu'elle fasse le tour de la voiture pour s'asseoir derrière le volant, Eléonore souffle à ses amies :
- Ne vous inquiétez pas. Je la connais bien, elle est douce et gentille. Elle aboie plus qu'elle ne mord...

Mais cela ne rassure pas Léa. Elle a peur de la suite. Elles a peur aussi de se retrouver ainsi nue dans une voiture en pleine rue. Elle a beau savoir que de l'extérieur, avec les vitres fumées, personne ne peut deviner ce qu'il y a à l'intérieur. Mais elle, elle voit. Et si elles étaient arrêtées par la police pour un banal contrôle ? Et s'il y avait un accident ?

En même temps, elle se sent rassurée, assise entre les deux jeunes filles. Elle aime sentir leurs cuisses nues contre les siennes... De plus, Eléonore qui a dû sentir sa tension, essaie de la rassurer en posant sa main sur sa cuisse...
La circulation est fluide en ce dimanche midi. Rapidement, elles sont sorties de Paris et roulent en banlieue. La voiture tourne plusieurs fois à droite, à gauche... Elle traverse maintenant une zone pavillonnaire. Et la voiture rentre dans une cours et s'immobilise devant le perron d'une grande maison.
Mathilde descend de la voiture, va ouvrir la portière arrière.
- Allez ! Fin du voyage. Descendez. Eléonore, vous montrez le chemin. A la cave, bien sûr.

Les trois femmes sortent précipitamment de la voiture et grimpent non moins rapidement les quelques marches du perron de peur que quelqu'un les aperçoivent.
Eléonore les entraîne à travers un long corridor puis descend un  escalier sombre en colimaçon. Léa et Anne marque un temps d'arrêt en arrivant en bas. Une grande salle voûtée s'ouvre devant elles. Des chaines pendent des murs, des cordes... Des anneaux aux murs... Une vieille table de gynécologue au milieu... Des fouets, des cravaches, une collection de godemichets sur une étagère et autres instruments bizarres dont des pinces, des tenailles, des instruments de torture... L'angoisse les étreint. Léa repense à la salle de torture vue hier soir chez le Baron.

Mais elles n'ont pas le temps de s'attarder et de se poser des questions. Mathilde les pousse à l'intérieur...

- Allons, allons, entrez. Léa, à quatre pattes !

Elle va vers un mur, en décroche une chaine et revient vers la jeune femme. Elle lui attache un collier métallique autour du cou, collier prolongé par une longue chaîne aux lourds chaînons... Entraînant Léa comme elle le ferait d'un chien tenu en laisse, elle va au milieu de la salle et fixe l'autre bout de la chaîne à un poteau.
Puis elle va vers Anne, l'amène non loin de là et, sans rien dire, attache chaque poignet à une corde qui tombe du plafond. La malheureuse se trouve presque suspendue dans les airs les bras écartés au-dessus de la tête. Puis c'est Eléonore qui subit le même sort. Elle va ensuite chercher deux longues barres en fer se terminant à chaque extrémité par des anneaux. Elle en emprisonne les chevilles des deux filles qui se retrouvent ainsi, en un instant, écartelées et dans la totale incapacité de bouger... Pour finir, elle les bâillonne solidement.

Elle se recule et regarde avec grande satisfaction sa mise en scène. Et, d'un coup, elle enlève sa robe. Elle est nue. Elle se plante devant Léa en écartant les jambes.

- Allez, suce-moi, petite chienne ! Et fais-moi jouir. Je veux jouir sous ta caresse...

Et elle prend à pleines mains les cheveux de la jeune femme et plaque son visage contre son sexe. Léa veut résister, reculer... mais Maîtresse Mathilde ne se laisse pas faire...
- Allons, mignonne ! J'ai bien vu l'autre soir que si tu aimes les queues des mecs, tu aimes aussi les petites chattes des femmes, non ? Allez, suce !... C'est un ordre !
Et tout en maintenant d'une main Léa par les cheveux, elle attrape de l'autre une badine souple et commence à en donner des petits coups sur les fesses tendues. Et elle donne des coups de reins, frottant vigoureusement son sexe contre le front, le nez, les joues, le menton de Léa qui a bientôt le visage couvert de sa cyprine.  Enfin, elle lâche les cheveux. Mais continue à donner ses petites frappes de sa badine.

Léa a les larmes aux yeux. Elle ne supporte pas cette humiliation. Les évènements prennent une tournure qu'elle n'attendait pas et qui lui déplait : elle, à quatre pattes, ainsi traitée, ses amies suspendues, entravées, bâillonnées.... Et ce décor !... Et ces coups ! Ils ne lui ont pas mal mais l'agacent... Et elle a peur que soudainement, la femme lui donne un coup plus violent. Autant la satisfaire pour éviter cela, ne pas la provoquer par une résistance inutile.
Alors, elle commence à lécher les lèvres qui s'offrent à elle, elle trouve sans difficulté le clitoris qui est dur, dressé, l'aspire, le suce...
Les coups deviennent plus précis et tombent maintenant entre ses deux fesses. Mathilde tend le bras et la badine frappe entre ses lèvres. Parfois, elle effleure son bouton déclenchant comme une soudaine décharge électrique... Ces coups qui étaient jusqu'alors désagréables deviennent sources de plaisir... Alors elle met plus de cœur dans son cunni...
La femme bouge le bassin à la rencontre de la langue, des lèvres. Léa se cabre encore plus pour offrir son sexe aux coups...
Bientôt, Mathilde est prête d'exploser... Elle repousse doucement la tête de Léa, lâche sa badine et se masturbe... Elle jouit immédiatement entre ses doigts.

Elle caresse la tête de Léa en lui tendant sa main qui l'a fait jouir :
- C'est bien ! Tu es une brave chienne ! Lèche ma main...
Léa lèche sa main, doigt après doigt...  Et elle regarde ses amies qui n'ont pas perdu une miette du spectacle. Anne semble avoir peur et ouvre de grands yeux. Par contre, Eléonore lui fait un grand sourire. Elle connaît bien Mathilde et veut sans doute rassurer Léa. A moins, qu'elle aime ce genre de spectacle... ces tatouages, ces piercings... Peut-être est-elle perverse...
Mathilde décroche le bout de la chaîne fixé au poteau et tire dessus, entraînant Léa derrière elle, toujours à quatre pattes. Elle s'approche d'Anne... Elle lâche la chaîne sur le dos de Léa et se poste derrière la fille en mettant ses mains sur ses seins.
- Allez, chienne, faisons ensemble jouir cette petite. J'ai vu qu'elle aime que tu la suces... 

Léa se rapproche et porte ses lèvres aux lèvres d'Anne et elle commence à la lécher... Pendant ce temps, Mathilde la caresse sur ton son corps en se plaquant contre elle, son pubis contre les fesses, ses seins contre son dos... Léa ose poser ses mains sur les longues cuisses de la jeune fille pour la caresser... Rapidement, malgré sa position inconfortable, elle jouit sous les caresses à quatre mains.
Puis Mathilde va vers Eléonore.
- Venez, Léa, occupons-nous de celle-ci maintenant.
Léa s'approche de bon cœur de la fille. Et elle se réjouit du changement de ton de Mathilde. Elle pose les mains sur les fesses d'Eléonore et entreprend de la lécher...

- Non, non, Mademoiselle. Elle m'appartient cette petite et je lui réserve un traitement spécial qu'elle aime particulièrement. Couchez-vous par terre, la tête entre ses jambes et regardez... Et préparez-vous à recevoir sa douche car vous savez que cette demoiselle a des jouissances plus qu'humides !

Un peu déçue, Léa s'allonge donc comme Maîtresse Mathilde le lui a demandé. Elle aurait tant aimé provoquer cet orgasme chez cette jeune fille. Le sol est froid et un peu rugueux... Pas très confortable mais elle prend plaisir à regarder le spectacle qui s'offre à elle : ce sexe ouvert, les fesses, les belles et longues cuisses...

Toute à sa contemplation, elle ne voit pas ce que fait Mathilde qui s'est légèrement éloignée. Quand elle sent le contact d'un objet froid et fin sur son téton droit suivi de rapides et successives petites décharges électriques. Par réflexe, elle donne un coup et se redresse brutalement ce qui fait rire la femme. Elle tient à la main une longue tige métallique qui se termine par une grosse poignée que Mathilde tient dans sa main.
- Allons, allons, petite ! Couchée, j'ai dit !
Et elle repose la pointe de la tige sur le corps de Léa. Nouvelles petites décharges saccadées... Pas très puissantes ces décharges... Mais pas très agréables non plus....
Mathilde se met face à sa soumise, pose son objet sur le sein droit... Eléonore se crispe... La femme s'attarde puis change de sein... Léa voit les muscles des cuisses bander, ses lèvres, ses fesses s'ouvrir et se resserrer... La femme bourreau fait glisser la pointe sur le ventre, les côtés de la fille... Qui a des mouvements de recul, de résistance, autant que ses entraves le lui permettent...

Lentement la femme contourne la jeune fille et pose maintenant le bout de la tige sous une fesse qui se contracte... Puis sur l'autre... Puis elle la fait pénétrer  dans le sillon et la fait glisser lentement de haut en bas... Puis de nouveau... Plusieurs fois... avant de l'enfoncer dans l'anus... d'y aller et venir... Eléonore est toute crispée... Elle gémit à travers son bâillon... Est-ce de la douleur ou éprouve-t-elle du plaisir. Inquiète mais aussi fascinée, Léa voudrait bien le savoir.

Mathilde s'est remise devant, un genou au sol pour mieux voir ce qu'elle fait... Comme Léa l'avait imaginé, la pointe électrique s'accapare maintenant du sexe. Elle fait lentement le tour des grandes lèvres avant de tourner autour du clitoris puis de se poser dessus en y imprimant de minuscules petits cercles...

Tout le corps de la fille n'est que tremblements, crispations... Elle crie à travers son bâillon... Un premier jet de cyprine arrose le visage de Léa. Puis un  autre... L'objet reste en place, insiste... Eléonore n'est plus que fontaine... Elle crie, elle gémit, elle se contorsionne...

Léa est trempée de la cyprine. Elle ouvre la bouche, l'étale sur son corps avec les mains...

Mais tout s'arrête. Mathilde fait tomber son instrument de torture par terre, s'approche d'Eléonore et la prend dans ses bras, la caresse sur tout le corps... La jeune fille retrouve sa respiration petit à petit.

- Allons, Léa, debout ! Venez ici, face à vos amies. Vous êtes la seule de nous quatre à ne pas avoir encore joui, mais ne vous inquiétez pas, ça va venir.
Et elle entreprend d'attacher Léa comme le sont Anne et Eléonore ; les bras en croix au-dessus de la tête attachés à des cordes descendant du plafond, jambes écartées maintenues par une barre métallique. Mathilde s'approche d'Anne, enlève son bâillon et en couvre les yeux. Elle fait de même avec Eléonore et va chercher une autre bande de tissu dont elle couvre les yeux de Léa.

- Je vous laisse un instant. Ne vous échappez pas, surtout.
Et les trois femmes l'entendent sortir de la cave et monter les escaliers...
- Ça va Eléonore ?
- Oui, ça va bien... Et toi Léa ?
- Ça va ! Mais elle me fait peur cette femme... Elle est folle !
- Mais non, elle est gentille. Elle fait un peu brutale mais vous ne la connaissez pas. Elle peut être douce aussi...
- Mais elle t'a fait mal avec son bâton électrique...
- Au début c'est un peu désagréable... Mais après, c'est un plaisir énorme, tu peux pas savoir... A chaque fois j'ai des orgasmes comme je n'ai jamais eus autrement... Tu en sais quelque chose, tu étais aux premières loges et je t'ai copieusement arrosée ! rigole Eléonore.

Anne intervient dans la conversation :
- Moi elle me fait peur aussi.
- Mais non. Pourquoi ? Et puis, faut savoir ce que vous voulez, les filles. Vous avez accepté d'être soumises. Ça aurait pu être pire… Elle nous humilie, elle t'a peut-être fait un peu mal, Léa. Mais dans d'autres mains, vous auriez pu être vraiment torturées...
- Oui, j'ai vu dans les caves du Baron.
- C'est pas le genre de la maison.
- Mais qu'est ce qui va se passer maintenant ? Parce que je suppose que ce n'est pas fini...
- Je ne peux pas vous le dire... Je crois savoir. Et si je ne me trompe pas, vous n'allez pas le regretter...
- Mais...


A ce moment, elles entendent des pas dans l'escalier. Il y a au moins trois personnes.
- Rentrez mes amies, rentrez. Je vous les livre. Commencez sans moi. Je reste en haut pour accueillir les autres. Commencez par celle-ci. Elle n'a pas encore eu sa dose de jouissance depuis qu'elle est là.

Léa comprend que c'est d'elle qu'il s'agit. Elle se crispe, la peur au ventre, s'attendant au pire. Et effectivement, elle sent quatre mains qui prennent possession de son corps. Ses épaules, ses bras, ses côtes, ses cuisses, ses fesses, ses seins, son minou, bien sûr... Un sein nu contre le sien. Un pubis glabre contre ses fesses. Ces femmes sont nues. Une bouche se pose sur la sienne. Elle accueille la langue qui cherche à se faufiler entre ses lèvres. Une autre bouche s'empare de son sexe. Les lèvres pincées tirent sur ses grandes lèvres, la langue joue avec le clito. Deux mains écartent ses fesses, un doigt inquisiteur pénètre l'anus. Deux autres doigts glissent sans difficulté dans son vagin. Léa s'abandonne. Elle ne sait plus qui est où. Le plaisir monte. Elle voudrait voir ces deux femmes, leur rendre leurs caresses... 
Caresses des corps nus contre le sien. Doigts qui s'agitent en elle. Bouches qui mordillent, aspirent, lèchent, tètent, embrassent... L'orgasme monte. Elle a peur de tomber mais elle est retenue par les liens. Elle avance autant qu'elle peut son pubis à la rencontre de la bouche et des doigts... Elle jouit dans un grand râle...

Petites tapes sur les fesses. De nouvelles mains s'emparent d'elle. Elle n'a pas entendu les nouvelles personnes arriver, toute tendue vers son plaisir. Autre contact. Gestes plus maladroits ou au contraire plus précis... Nouveau parfum autour d'elle. Et de nouveau, intrusion de doigts dans son cul, dans son sexe... Elle gémit... 
Et elle entend aussi ses amies gémir... Celles qui l'ont quittée s'occupent maintenant d'elles. A moins que ce soient d'autres femmes...
C'est le silence. Pas un mot. Mais des gémissements, des plaintes, bruits de succion... Un petit cri plaintif qui vient d'ailleurs que là où sont Anne et Eléonore...  D'autres femmes font l'amour sans s'occuper d'elles trois.   
Nouveau cri d'intense jouissance. Léa reconnaît la voix d'Anne. Imaginer la jeune fille en train de jouir sous les doigts inconnus lui provoque un nouvel orgasme...

Lorsque des mains la quittent, d'autres prennent le relais, tout autant indiscrètes, précises, lui offrant un énorme plaisir.
Et toujours ces bruits, ces feulements, ces petits cris de jouissance, parfois une petite claque sur une fesse... Corps qui se frottent au sien. Des gras, des maigres... Parfums mélangés, odeur de sueur, de cyprine...
Combien sont-elles ? Que des femmes. Combien de temps cela dure- t-il ?... Léa n'en peut plus de jouir. Elle est épuisée. Sa position commence à lui peser... Mais tout s'arrête.

      - Au revoir, ma chérie. Merci. C'était super. A bientôt.
Successions d'embrassades, de remerciements, de petites tapes affectueuses... Elles remontent l'escalier. Le silence tombe. Les trois femmes ne disent pas un mot, trop épuisées, encore toutes remplies de ces plaisirs offerts...

Mathilde redescend vite.

- Allons, mes belles, je vais vous délivrer. Regardez-vous, comme vous êtes belles.
Et l'une après l'autre, elle leur enlève le bandeau qui leur masquait les yeux... En clignant des yeux, un peu éblouies, elles se regardent l'une l'autre avec un grand sourire de contentement. Heureuses de ce temps de longues jouissance mais aussi heureuses que ça soit terminé car elles sont épuisées d'avoir tant joui.

La femme se baisse devant Léa et lui délie les pieds puis elle dénoue les cordes qui lui retenaient les bras écartés en l'air. Toute ankylosée, les articulations des épaules et des hanches un peu grippées par une si longue immobilisation, elle manque perdre l'équilibre. Mathilde la retient en la tenant affectueusement contre elle et en lui caressant les dos et les fesses. Léa se sent bien contre cette belle femme, solide. Elle aime sentir le contact de ses seins contre les siens et de son pubis encore humide contre le haut de la cuisse. Mathilde ne la relâche que lorsqu'elle est sûre que Léa a retrouvé son équilibre. Puis elle va délivrer Anne qui elle aussi a du mal à tenir debout. La femme la retient de la même manière qu'elle a retenu Léa. Puis va délivrer Eléonore. Pendant qu'elle s'occupe de sa soumise, Anne et Léa s'enlacent sans se dire un mot. Elles sont bientôt rejointes par la troisième...

- Allons, les filles, venez. Nous allons nous doucher toutes les quatre ensemble. Léa, Wilfried vient vous chercher dans un instant. Et vous Anne, vous rentrerez chez vous. Et, ma petite Eléonore, nous passerons le reste de la soirée en amoureuses. Vous partez demain, Léa ?
- Oui, Madame.
- Eh oui, tout a une fin. Nous nous dirons donc au revoir. 
Elles la suivent en haut et entrent dans une salle de bain. Il y a là une grande douche dans laquelle il y a largement de la place pour elles quatre avec plusieurs pommeaux... Elles se savonnent mutuellement avec beaucoup de douceur, de sensualité... Elles sont bien.
En se séchant, Léa ose poser une question :

 

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- Madame, combien étiez-vous de femmes tout à l'heure dans la cave ?

- A votre avis ?
- Je ne sais pas. 15-20 ?
- Nous étions 24. 27 avec vous trois. Et nous avons toutes eu un orgasme plusieurs fois. Mais pas autant que vous. Allons, trêve de bavardages. Anne et Léa, reprenez vos vêtements.
Elles entendent un klaxon dans la cours.
- Votre Homme est là, Léa. Dépêchez-vous.
Rapidement, les deux femmes se rhabillent. Mathilde et Eléonore restent nues. Puis elles s'embrassent avec beaucoup d'émotion.
- A bientôt, Léa, j'espère.
Léa sort. Quand elle apparaît en haut du perron, Wilfried lui ouvre la portière de la voiture avec beaucoup de cérémonie.
- Mademoiselle Léa, je vous retrouve avec beaucoup de plaisir.
- Moi aussi Monsieur.
- Je vous amène au restaurant. Un restaurant très particulier...

Il ferme la portière, fait le tour de la voiture et s'installe au volant. Et démarre. Anne la salue du haut du perron avec Eléonore et Mathilde qui sont toujours nues...
Ils roulent en silence dans les rues de Paris. Léa est trop fatiguée. Et elle est aussi inquiète. Que lui réserve Wilfried ? Qu'a-t-il voulu dire en disant que ce restaurant était très particulier ? Que va-t-il lui arriver encore ? Il y a encore une soirée et une nuit à passer... C'est long...

2 janvier 2019

Le Week-end initiatique de Léa. Partie 4/7

Wilfried rit de bon cœur.
- Il n'y aura pas d'autres. Les deux jeunes hommes qui vous ont amenée ici sont des amis. C'était une mise en scène à laquelle vous m'avez fait pensé en m'écrivant il y a quelque temps que vous aviez le fantasme de vous faire violer... Ça ne vous a pas plu ?
- Non ! hurle Léa.
- Calmez-vous, Mademoiselle Léa ! Vous avez souhaité dépasser des limites, n'est-ce pas ? Vous avez demandé à devenir ma soumise. Il faut savoir ce que vous voulez. Je comprends que vous ayez eu peur. Mais c'est le jeu que vous avez souhaité. Et la soirée n'est pas finie. Allons, venez !
Et sans attendre sa réponse, il sort. Elle le suit.

 

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Arrivés dans la rue, elle voit devant la voiture les deux jeunes hommes qui l'ont prise. Instinctivement, elle a un mouvement de recul. Wilfried, qui a anticipé le geste, lui pose autoritairement la main sur les fesses, en conquérant.
- Allons, ma petite, cet épisode est terminé. Je dis bien "CET épisode" ! N'ayez pas peur.
L'un des deux jeunes s'approche un peu penaud.
- Excusez-nous Mademoiselle. C'est notre ami qui a tout combiné et qui nous a demandé de faire ça. Mais vous savez, nous, les femmes c'est pas notre truc. On préfère les mecs.
Il lui tend la main qu'elle refuse de serrer. Et elle rentre, boudeuse, dans la voiture. Elle ne sait plus où elle en est. Combien les a-t-il payés pour cette horrible mise en scène ?

Wilfried démarre. Ils ne disent pas un mot pendant le court trajet. Léa est plongée dans ses pensées. Elle hésite entre abjection et affection à l'égard de cet homme, entre rejet total et respect... C'est vrai qu'elle a voulu repousser ses limites, vivre autre chose. Elle n'imaginait pas ce qui l'attendait. Et finalement, mises à part la honte, l'humiliation, la peur... l'expérience de ce week-end est plutôt pas complètement désagréable. Et elle repense au conseil de la jeune Anne : lâche prise, laisse-toi aller, profite du moment... Elle s'en fait le serment quoi qu'il lui arrive. 

La voiture rentre dans un parking souterrain. Où vont-ils encore ? Elle suit Wilfried jusqu'à un ascenseur. Ils montent au 10ème étage. Et Wilfried pousse une porte sur laquelle est inscrit : "Salon de massage".

Un homme, un beau black, carré comme un champion de judo, vêtu d'une blouse blanche et d'un pantalon blanc, s'avance vers eux.
- Bonjour cher ami.
- Bonjour Luigi. Ça va bien ?
-Ça.
Et se tournant vers Léa.
- Et voici donc votre nouvelle protégée. Léa, si je me souviens bien.
- Mademoiselle Léa, oui. Tu lui fais comme d'habitude. La totale.
- A tes ordres. Si vous voulez bien me suivre, Mademoiselle.

Elle le suit dans les couloirs jusqu'à une salle d'eau. Au milieu, une grande cabine de douche aux parois vitrées avec plein de tuyaux partout. Léa remarque une multitude de petits pommeaux tout au long de ces tuyaux, au sol, au plafond... Et devant, un tableau de commandes digne d'un Airbus.

- Veuillez vous déshabiller entièrement. Mettez ce bonnet pour protéger vos cheveux. Et rentrez dans la cabine. Vous posez vos pieds sur les marques au sol. Et vous ne bougez plus. Je vais commencer par un massage par jets d'eau. N'ayez pas peur, l'eau est à la température de votre corps et c'est très agréable. Et laissez-vous aller.

Il se place derrière le tableau de commande et un premier fin jet d'eau chaude atteint la nuque de Léa. Puis un autre et un autre. Ils deviennent de plus en plus puissant, montent et viennent le long de la nuque provoquant une sensation extrêmement agréable. Elle ferme les yeux, goûte l'instant... Au bout d'un temps, ces jets sont rejoints par d'autres et ils descendent sur les épaules où ils s'attardent, allant et venant...

- Mettez vos mains au-dessus de votre tête.
Maintenant ce sont une multitude de jets, fins, puissants, qui enveloppent tout le corps de Léa, son dos, son buste, son ventre, ses côtés. Chaque petit jet fait un petit cercle... Que c'est bon.
- Attention, il va y avoir un peu d'eau froide.
Des jets d'eau froide venant d'en haut, d'en bas, des côtés, enveloppent chacun de ses seins, allant de la racine à la pointe des tétons. Eau froide se mêlant à l'eau chaude qui continue, en petit cercle, à masser son corps des épaules au bas du ventre... Jamais Léa n'a subi un tel massage.
Soudain, tout s'arrête. Mais immédiatement, ce sont ces fesses qui sont visées. Un jet plus puissant au milieu des autres monte et descend s'insinuant par sa force entre les deux lobes...
Et puis se sont ses cuisses, ses genoux, ses mollets qui sont ainsi massés...

Des jets venant du sol, enfin, parfaitement dosés en puissance, visent son sexe, écartent les lèvres, l'un d'eux parfaitement dirigé sur le bouton sensible, tous marquant des petits cercles concentriques... Léa sent le plaisir monter. Non, ce n'est pas possible, je ne vais pas jouir comme cela devant cet inconnu ! Et sous le seul effet de l'eau ! Mais c'est plus fort qu'elle, elle ne peut rien maîtriser. D'autant moins quand tous les jets se remettent en fonction en même temps...

- Laissez-vous aller, Mademoiselle, vous ne serez pas la première femme à jouir sous la douche.
Toutes ces milliers de gouttelettes qui  criblent tout son corps, sa nuque, ses épaules, ses seins, son ventre, son dos, ses fesses, ses cuisses et ceux plus précis sur son sexe ont raison de Léa qui jouit comme elle n'a jamais joui. Jamais un amant ne lui a offert de telles caresses. Il faudrait dix mains, vingt mains pour s'occuper ainsi de la totalité de son corps.
Elle jouit longuement. Ça continue. Elle voudrait crier grâce mais c'est si bon... Les orgasmes, violents, se succèdent. Elle manque perdre l'équilibre, se retient à une paroi. Alors tout s'arrête. Brutalement. Regret et soulagement.

- C'est bien Mademoiselle. Reprenez votre souffle, séchez-vous avec cette serviette et quand vous serez prête, vous viendrez dans la pièce à côté, toujours nue.
Il faut un bon moment à Léa pour retrouver ses esprits. Alors elle se sèche avec la grande serviette douce et chaude, enlève son bonnet et va dans la pièce à côté.

La pièce est plongée dans la pénombre. Une odeur d'encens. Une musique douce. Au milieu, une table de massage. Elle voit Wilfried, assis dans un fauteuil, qui la regarde avancer avec un sourire chaleureux et amical. A-t-il assisté à la douche ?
Le masseur lui tourne le dos occupé à manipuler des flacons d'huiles.
- Allongez-vous sur le ventre sur la table, si vous voulez bien.
Elle veut bien ! Elle adore se faire masser.

Quand elle est prête, il revient vers elle et verse sur ses épaules un filet d'huile. Et il commence à la masser. Sa nuque, ses épaules... Il lui prend un bras, masse le biceps et le triceps, s'attarde sur le coude, passe à l'avant-bras puis la main, la paume, le dessus, doigt après doigt jusqu'au bout de la dernière phalange. Puis il repose le bras le long du corps et va vers l'autre qui subit le même traitement... Après, c'est le dos qui fait l'objet de ses soins, les côtés... Il s'arrête sur le haut des fesses. Léa est bien. Elle se laisse aller, s'assoupirait presque...

Luigi verse un filet d'huile sur l'arrière d'une cuisse puis il la prend à deux mains et la masse longuement faisant rouler les muscles fins sous ses doigts. Ses gestes s'arrêtent juste à la limite d'effleurer l'entre-jambe et juste au bas de la fesse... L'arrière du genou... la cheville... le pied, orteil après orteil jusqu'au bout de la dernière phalange...

Il revient vers les fesses, laisse couler un fin filet sur chacune d'elles et commence à les masser. D'abord doucement et petit à petit plus vigoureusement... Sa main s'enfonce de plus en plus profondément dans le sillon qui les sépare... Une main s'insinue de plus en plus bas entre les cuisses ouvertes de Léa dans le prolongement de la fente... Et soudain, un doigt s'insinue dans l'anus largement lubrifié par l'huile de massage et un autre dans le sexe... Ils se rejoignent à travers la fine cloison, vont et viennent... Léa se crispe à la fois sous l'effet de surprise et aussi de bien -être absolu... Dieu que c'est bon... Elle sent le plaisir monter.... Elle serre les sphincters, les muqueuses pour enserrer ces doigts... Elle voudrait que ça continue... Se laisser aller.

Luigi retire ses doigts.

- Vous voulez bien vous retourner, Mademoiselle ?
Déçue que ce soit fini, Léa se retourne et se met sur le dos. Le masseur lui écarte légèrement les jambes. Elle se sait encore plus exposée ainsi. Elle devine le regard de Wilfried qui la détaille. Elle est sûre qu'il bande !

Luigi recommence à la masser... Il s'attarde longuement sur ses seins... Il titille les tétons, les fait rouler entre ses doigts, tire dessus...

Ses mains glissent ensuite vers son ventre, sur les côtés. Elles s'attardent sur les aines, glissant dans un mouvement de va et vient sur l'espace entre la cuisse et le bord des lèvres... Léa est remplie d'une douce chaleur... Elle est en attente d'un contact plus précis, intérieurement elle y aspire, s'y prépare. Mais ce contact ne vient pas... Nouveaux filets d'huile sur le dessus de chacune de ses cuisses et les mains glissent de l'aine au genou d'une jambe puis de l'autre... Longuement, doucement... Puis c'est le tour des tibias, de nouveau les chevilles...

Luigi reverse un filet d'huile allant d'un genou à l'autre en passant par le pubis... Et les deux mains, chacune sur une cuisse, remontent, se rejoignent sur le Mont de Vénus puis redescendent et remontent... Plusieurs fois... Au passage les pouces effleurent le sexe ouvert et transpirant d'attente... L'homme est cruel, il la fait patienter... A chaque passage, Léa donne un imperceptible coup de reins pour accentuer le contact...
Enfin, le mouvement cesse sur le pubis. Une main glisse vers le sexe, trouve le clitoris qu'elle fait rouler entre pouce et index... Décharge électrique... Léa pousse un profond soupir de bien-être et de plaisir... Puis deux doigts la pénètrent doucement...

 

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A deux mains, avec précision, avec subtilité, savoir-faire, le masseur la masturbe. Léa se laisse complètement aller, l'esprit concentré sur le mouvement de ces doigts en elle et sur elle... Et, au bout d'un temps, elle jouit sans pouvoir retenir un cri de plaisir... 
Doucement, Luigi la lâche. Ses mains glissent encore lentement, légèrement sur tous son corps...
- Reprenez votre souffle, Mademoiselle. Prenez votre temps...

Quelques instants de silence, de repos... Et Léa commence à se redresser. Luigi l'aide à se lever, à descendre de la table de massage. Il lui tend une serviette chaude, humide et parfumée...
- Essuyez-vous pour enlever les restes d'huile...
Léa s'essuie. Elle remarque que Wilfried s'est levé et s'approche d'elle avec un sourire. Il tient quelque chose dans la main. Lorsqu'elle a fini de s'essuyer, il se met face à elle.
- Ecartez les jambes légèrement.
Et sans rien dire, il fait pénétrer dans le sexe de Léa deux boules de Geisha.

***

La voiture quitte le périphérique à la Porte de Saint-Cloud et prend l'autoroute... Elle prend de la vitesse. Ils roulent sans parler. Wilfried a mis les Quatre Saisons de Vivaldi sur la platine... Léa ignore complètement où ils vont. Qu'est-ce qui l'attend ? Elle se doute bien que la soirée va être longue encore et qu'elle risque d'être soumise à de nouvelles épreuves.
Il fait nuit maintenant. Elle a complètement perdu la notion du temps. Elle se rend compte que depuis qu'elle s'est retrouvée entre les mains de Wilfried dans la chambre, hier soir, elle ne sait plus quelle heure il est. Elle sait que quand ils sont rentrés dans le salon de massage, il faisait encore jour. Ils en sont sortis, il faisait nuit... Elle voit sur l'horloge de bord qu'il est 22h30 !...

Elle est bien. Les vibrations de la voiture se répercutent dans les boules de Geisha qui irradient une douce chaleur intérieure. Tout en conduisant, comme distraitement, Wilfried a posé sa main droite sur sa cuisse et la caresse du genou à l'entre-jambe... 
La voiture roule maintenant sur une petite route. Wilfried conduit très lentement comme s'il cherchait sa route. Enfin, il braque à droite et emprunte une large allée de terre bordée d'arbres. Au fond, Léa aperçoit les lumières de ce qui ressemble à un château. Ils arrivent sur un vaste terre-plein ou de nombreuses voitures sont déjà garées. Wilfried trouve une place, coupe le contact. Enfin il prend la parole.

- Mademoiselle, je vous amène dans un lieu très particulier. Et vous vous doutez bien que vous allez de nouveau être mise à l'épreuve. Il vous faudra être forte.
Léa avale sa salive.
- Oui Monsieur. Que va-t-il se passer ?
- Vous le verrez bien. La seule chose que je peux vous dire, c'est de me faire confiance. Vous avez déjà eu quelques épreuves qui finalement ne sont pas si terribles que ça, n'est-ce pas ?
Léa repense à la soirée d'hier, à la violence de Léon, Marc et Luc, au simulacre de viol tout à l'heure dans la sinistre cave,...
- Non Monsieur.
- Alors laissez tomber votre honte et tâchez de profiter au maximum de ce qui vous sera... offert. Retournez dans votre tête ce qui peut paraître être une épreuve difficile en quelque chose qui peut vous apporter une grande jouissance.
- Oui Monsieur.
- Allons, venez.
Ils sortent de la voiture. En se dirigeant vers le perron, Wilfried pose sa main sur les fesses de Léa qu'il caresse en longeant la raie...

Ils rentrent dans un grand vestibule. Ils sont accueillis par un homme. Un grand et bel homme, dans la soixantaine, large d'épaules, le visage buriné, les cheveux poivre et sel... Il est vêtu d'un strict pantalon gris et d'un blazer bleu au-dessus d'une chemise bleue claire. Un foulard autour du cou  entré dans l'échancrure du col... Très distingué cet homme, et Léa se sent décalée dans son petit short et son haut...

- Bonjour cher ami, vous voilà, on vous attendait.
- Bonjour Baron...
- Voici donc votre dernière trouvaille. Belle pouliche !
Il fait un geste pour poser sa main sur la croupe de Léa qui se retire brusquement. Il rit.
- Et sauvage avec ça !... Il va falloir vous adapter au lieu, ma chérie !
D'un coup ce Baron a baissé au fin fond de l'estime de Léa. Elle a en horreur ce regard de maquignon, ce langage, ces mots pouliche, chérie...
- Ne vous inquiétez pas, elle s'adaptera...
- A plus tard, alors. Belle soirée. Vous aussi, très belle. Vous savez que vous serez la reine de cette soirée...
Ces mots glacent Léa... 

Ils rentrent dans le premier salon. Une vaste pièce. Lumières tamisées. Des tables dispersées, éclairées chacune par une bougie. Des gens mangent. Musique douce... Dans un coin, un petit podium sur lequel dansent langoureusement trois jeunes filles et deux jeunes garçons... Les filles portent uniquement soit un string, soit un short comme celui que porte Léa, les seins à l'air. Les garçons aussi sont torse nu et portent un short très court moulant leur sexe et leurs fesses. Léa, à la fois admire ces beaux corps plein de jeunesse et les plaint de devoir s'exhiber ainsi... 
Mais Léa est un peu rassurée car elle remarque que la plupart des femmes sont, comme elle, très court vêtues. Deux ou trois couples dansent, enlacés... Elle remarque encore les mains baladeuses des hommes sur le corps de leur partenaire.

- Venez, je vais vous faire visiter les lieux et ensuite nous reviendrons casser une petite croûte ici avant que votre fête commence...
"Votre" fête ? Que veut-il dire ? Léa devine déjà que ce lieu est un temple du sexe, de la jouissance...
Elle suit Wilfried qui va vers le fond de la salle et emprunte un escalier qui va vers le sous-sol... Un long couloir, large, éclairé par des appliques... Tout le long, des alcôves ont été aménagées... Dans certaines, Léa devine des couples faisant l'amour, elle entend les soupirs, les rugissements, les bruits de succion... Des ombres passent d'une alcôve à l'autre...
Wilfried ouvre une porte. Ce que voit Léa la saisit d'effroi. Est-ce cela à quoi la destine Wilfried ?

Une femme est attachée debout, écartelée, par des chaines, un gros collier métallique autour du cou également attaché par une chaine. Un homme la fouette. Il choisit les endroits où il fait claquer les lanières de cuir : les seins, les fesses, l'entre-jambes... Plus loin, une autre femme est attachée dans une position qui n'a rien de confortable sur une table métallique... Une autre femme promène sur son corps une tige métallique qui semble raccordée à une prise électrique. A chaque contact, la malheureuse se cabre... Voudrait hurler mais elle est bâillonnée avec une grosse lanière de cuir dans laquelle elle ne peut que mordre... Plus loin encore, c'est un homme qui est attaché, écartelé... Une tige posée au sol et enfoncée dans l'anus. Le sexe et les testicules attachés par une cordelette sur laquelle tire une femme avec, semble-t-il, beaucoup de plaisir...

Léa transpire de peur. Elle ne peut s'empêcher de souffler un "Non !"...
- Quoi donc, Mademoiselle Léa ? Vous ne voulez pas ? Vous résistez ?
- Non, Monsieur, s'il vous plait... Non, supplie-t-elle.
- Et bien, vous ne viendrez pas là. Je n'aime pas beaucoup cela non plus. Mais sachez que ces personnes sont toutes volontaires... Venez, sortons.

Léa est soulagée surprise que cela ait été aussi simple.
Au bout du couloir, une autre grande salle voûtée et moquettée. Lumière tamisée sauf un projecteur braqué sur un lit installé au milieu de la salle sur une estrade. La salle est vide, il n'y a personne.
- Il est encore trop tôt. Nous reviendrons. Allons manger...

Ils s'installent à une table tout contre le podium. Pendant le repas, Léa a tout loisir de regarder les danseurs. Ils sont magnifiques. Les filles sont belles, de véritables mannequins. Elles se ressemblent presque. Jeunes seins arrogants. Longues jambes fines et musclées. Fesses bien rondes et fermes... Les garçons, de vrais éphèbes. Belle gueule, corps fin, bien proportionné. Musclés mais pas trop... Ils n'ont pas 20 ans. Leur danse à tous les cinq est très lubrique. Les filles s'enlacent, se frottent les seins les uns contre les autres, s'effleurent les fesses avec tout leur corps, s'agenouillent devant les garçons frottant leur visage contre les sexes qu'on devine tendu à travers le tissu... Les garçons frottent également leur sexe contre les corps des filles, contre leurs fesses, leurs cuisses... Ils dansent parfois entre eux, sexe contre sexe...

Alors qu'ils ont fini de manger, le Baron monte sur le podium. Il chuchote quelque chose à l'oreille des deux garçons puis attrape un micro et demande le silence.
- Maintenant, Mesdames et Monsieur, les amis, que la fête commence. Je pense que vous avez tous fini votre repas et je vous invite à vous approcher de ce podium pour accueillir... Mademoiselle Léa !
- Oh non ! souffle tout bas Léa.
- Allons, Mademoiselle.
C'est Wilfried qui lui intime sèchement l'ordre d'obéir.

Léa ne peut reculer. Les invités se sont levés et s'approchent en applaudissant. Les deux garçons ont sauté du podium et la prennent chacun par une main. Elle doit se lever, les suivre, grimper les quelques marches... A peine arrivée sur le podium, les trois filles l'entourent et d'un seul geste lui ôtent son haut. Elle est rouge de honte.

La musique reprend. Plus vive. Plus rythmée. Un garçon se colle derrière elle, colle son sexe entre ses fesses, la prend par les seins et lui donne ainsi le rythme. L'autre garçon s'agenouille devant elle et plaque une main contre son pubis, accompagnant le rythme... Ces attouchements des deux danseurs, troublent Léa. Elle sent la barre du sexe bandé contre ses fesses qui va et vient... De plus elle aime danser. Il lui suffit d'oublier le public qui la regarde... Alors, elle se lance, ferme les yeux, prend d'une main la tête de celui qui est à genoux devant elle et la plaque contre son sexe. En même temps, elle pose la main sur celles qui lui caressent les seins, renverse la tête en arrière sur l'épaule de celui qui est derrière... Et elle commence à s'agiter au rythme de la musique.

Elle avait oublié les boules de Geisha qu'elle a au fond d'elle. Les vibrations se répercutent dans tout le bas de son corps, plaisantes au début, plus précises ensuite, plus violentes... Elles gagnent tout son corps, la font entrer comme en transe...

 

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Les garçons l'abandonnent immédiatement, happés chacun par une des filles. L'autre vient se coller à son tour contre elle, la prend par la taille, plaque son pubis contre le sien, ses seins contre les siens... Léa la prend aussi par la taille et va elle aussi chercher le contact. Elle voudrait communiquer à cette fille les vagues qui la submergent... Elle veut jouir de son corps, partager cette jouissance. Elle pose ses mains sur les fesses nues de sa partenaire de l'instant, glisse une jambe entre celles de la fille et commence à frotter son sexe contre la cuisse. L'autre fait de même... puis brutalement se sépare d'elle, toujours dans sa propre danse...

Elle se retrouve seule face au public tandis que les autres s'agitent à côté... Elle remarque que l'infâme Baron s'est assis à sa place. Et, à sa grande surprise, Luigi, le masseur, est aussi assis à la table avec Wilfried. Tous les trois la regardent avec intensité. Elle voit aussi tous les autres qui regardent la scène. Combien sont-ils ? 60 ? 80 ? Hommes et femmes. Certains en couple. Serrés les uns contre les autres... Des corps se frottent les uns aux autres. Des mains explorent. Elle voit une main de femme frottant la braguette de son compagnon. Ou des mains d'hommes sur une fesse ou un sein... Certaines se sont même enfouies sous les vêtements...

En se déhanchant, comme une provocation, elle glisse sa main entre ses jambes, se masturbe ouvertement... Ce n'est pas son habitude de s'exhiber ainsi, elle est plutôt timide. Mais cette ambiance, la musique, ces corps à moitié nus, cette jeunesse autour d'elle sur le podium... Et peut-être aussi le vin bu pendant le repas qui la désinhibe... Et ces boules dans son corps qui vibrent, cognent, ces décharges électriques de plus en plus intenses... L'orgasme la gagne. Elle manque tomber tant il est violent. Un garçon s'en rend compte et la retient en se plaquant contre elle... Elle râle de plaisir... Il lui chuchote :

- T'es une petite salope, toi... Dommage, ici je ne peux pas te tringler mais tu ne perds rien pour attendre...
Comme si de rien n'était, il poursuit la danse le temps qu'elle retrouve ses esprits. Puis la lâche... Encore flageolante, elle reprend la danse entourée maintenant de deux filles qui se frottent à elle. L'une d'elle lui chuchote
- Je vais jouir... Prends-moi contre toi, pose tes mains contre mes fesses et mon sexe...
Léa ne se le fait pas dire deux fois... Quel plaisir de sentir cette fille jouir contre elle. Elle sent sous ses doigts le fin tissu du string s'humidifier... Lorsque la fille se sépare d'elle, Léa ne peut s'empêcher de porter sa main au visage pour la humer...  Cette odeur de la cyprine intensifie encore son plaisir...
Combien de temps dure cette danse? Elle ne saurait le dire. La musique s'arrête. Les danseurs descendent du podium...

Wilfried l'accueille au bas des marches.
- Bravo Mademoiselle Léa. Je suis fier de vous.
Un peu étourdie, Léa n'entend pas les applaudissements. Elle ne sent même pas ces mains d'inconnus qui l'effleurent
Wilfried la ramène vers la table en la prenant par la main et la conduit jusqu'à Luigi.
- Mademoiselle, je vous confie à mon ami Luigi. Vous vous connaissez déjà. C'est lui qui va vous diriger pour la suite. A tout à l'heure.

Sans attendre, Luigi la prend par l'épaule et l'entraîne vers l'escalier qu'elle a descendu tout à l'heure. Maintenant les alcôves sont en pleine activité. Elles devine les corps nus qui s'étreignent, copulent, se séparent pour aller vers d'autres...

Elle a une bouffée d'angoisse en approchant de la porte derrière laquelle se passent des choses qu'elle ne veut pas imaginer. Mais Luigi ne ralentit même pas le pas et l'entraîne vers la salle voutée au fond du couloir. Maintenant, elle est pleine... La plupart des personnes sont nues. Des couples, des trios, des quatuors font l'amour... Un  cercle de spectateurs autour du lit placé au centre. Là, une femme est prise à la fois par cinq hommes : par devant, par derrière, par la bouche et un sexe tendu dans chaque main... Elle regarde...
Elle sent un sexe contre sa hanche. Enorme, long, épais, tendu à la verticale... C'est Luigi[E1] . Sans rien dire, Luigi lui fait retirer son short et plonge sa main entre ses cuisses pour enlever les boules de Geisha.

Les six personnes sur le lit poussent des cris, des soupirs et jouissent pratiquement simultanément... Léa n'est pas sûre que la jouissance de la femme ne soit pas feinte... Mais elle n'a pas le temps de se poser de questions...

- Ca va être notre tour. Venez.
Et il l'entraîne vers le cercle de lumière que les autres abandonnent...
Luigi parle fort.
- Je vous présente Mademoiselle Léa. Messieurs, gardez votre énergie. Je vais tout à l'heure vous l'offrir et tous vous pourrez en jouir. Vous aussi Mesdames, si vous le souhaitez. Ceux qui l'ont vue là-haut ont remarqué que Mademoiselle Léa n'est pas insensible à vos charmes, Mesdames.

Applaudissements... Le cercle se resserre. Léa est rouge de confusion. Ce n'est pas sa nudité qui la gêne. Tout le monde est nu. Mais cette manière de la livrer ainsi à tous... Elle a peur... Peur de la brutalité, de la bestialité... Peur de ces regards concupiscents... Peur de tous ces sexes virils dressés, tendus, de toutes les formes, grosseurs, longueurs... Luigi continue :
- Mais avant, elle m'appartient.
Rires et nouveaux applaudissements.
Sans attendre, Luigi la prend contre elle. Son sexe entre leurs ventres. Il lui chuchote
- Faisons l'amour comme si nous étions seuls dans votre chambre.

Pas si simple quand des dizaines de paires d'yeux sont braquées sur eux si proches, si pleins de désir... Mais elle s'abandonne vite sous les caresses de Luigi. Comme tout à l'heure sur la table de massage, ses caresses sont précises... Les seins, les fesses, le sexe... Mais elle sent bien que maintenant elle ne peut plus se contenter de recevoir. Il lui faut agir...
Alors elle s'écarte légèrement pour se saisir du sexe. Elle n'est pas sûre d'en avoir déjà tenu de si puissant. Elle arrive tout juste à en faire le tour de ses mains... Elle sait que tout à l'heure, il va la pénétrer et elle a peur d'avoir mal...

Elle commence à le masturber, à en faire le tour... Elle soupèse les testicules qui ont une taille proportionnelle à la taille du phallus... Deux grosses noix bien pleines.
Elle se penche pour prendre ce sexe en bouche. Pas besoin de se pencher beaucoup tant il est dressé et long. Il arrive au nombril du black... Elle doit ouvrir grand la bouche pour prendre le gland... Cela lui donne un peu la nausée. Alors elle le lèche comme elle le ferait d'un cornet de glace. Et elle fait en même temps aller et venir sa main le long de la hampe... Elle s'attarde plus précisément sur le frein. Elle sait que les hommes sont sensibles là. Elle glisse son autre main entre les cuisses de Luigi et lui caresse le périnée et les bourses...

Elle imagine que les personnes qui sont derrière elle la reluquent. Alors, par provocation, elle écarte les jambes et se cambre plus que nécessaire pour qu'ils aient une vue imprenable sur son cul et ses lèvres... 
Luigi ne reste pas inactif... Pendant qu'elle l'aspire, il lui caresse les seins d'une main et sa croupe de l'autre, longeant la raie entre les deux fesses...

Et il la pousse doucement vers le lit qui est au milieu du cercle de lumière. Il la fait s'allonger, écarte ses jambes et, se mettant à genoux sur le sol, il plonge son visage entre elles. Il lèche son sexe ouvert, trouve facilement de la pointe de la langue son clitoris qu'il pince entre ses lèvres, aspire... Dans le même temps, il fait pénétrer un doigt dans la grotte, puis deux, puis trois... Léa imagine qu'il prépare le terrain pour faire rentrer tout à l'heure son énorme vit. Elle aime cette caresse. Elle s'offre tout à lui, oubliant que des dizaines d'yeux la regardent. Elle est plutôt discrète d'habitude mais se montrer ainsi, s'exhiber dans un acte qui d'ordinaire se fait dans la plus grande intimité ne lui déplait pas. Elle perd toute inhibition. Elle concentre son esprit vers son sexe ainsi sollicité, sur ce que ces caresses de la bouche et des doigts provoquent au fond d'elle. Une onde de plaisir la gagne petit à petit, en vagues de plus en plus fortes...

Mais Luigi se redresse. Il grimpe sur le lit, se cale entre ses jambes et la couvre de son corps puissant, redressé sur ses coudes... Elle sent le sexe dressé entre ses lèvres... Il s'enfonce légèrement, écartant un peu plus encore les parois de son vagin. Wilfried la regarde, surveillant la moindre grimace de douleur... Le gland poursuit son chemin vers ses profondeurs, doucement, lentement... Lorsque sa partie la plus gonflée écarte ses lèvres, Léa a une grimace de douleur... Il stoppe sa progression, attendant que le corps s'habitue et s'adapte à sa présence... Puis il reprend sa marche, décidée et toujours lente... Léa suit l'avancée du sexe en elle... Et bientôt, elle est remplie de ce phallus... Le black effectue quelques mouvements pour bien se caler au fond d'elle. Puis il glisse ses bras sous son corps et se retourne, l'entrainant avec lui. Il est maintenant couché sur le dos et elle couchée sur lui. Il la fait se redresser ce qui lui permet de caresser ses seins d'une main tandis que l'autre caresse ses fesses.

Léa à son tour devient active. Elle fait coulisser le sexe puissant entre ses chairs... C'est elle qui donne le rythme, l'intensité, l'amplitude des mouvements en fonction de son plaisir qui monte... 
mais Luigi ne la laisse pas jouir ainsi. Il la tire vers lui faisant ainsi sortir son sexe qui retombe lourdement sur son ventre. Il lui chuchote à l'oreille :

- Retournez-vous et empalez-vous de nouveau sur moi !

Léa s'exécute. Elle se retourne, le chevauche, prend le vit lourd, gluant et luisant de sa cyprine, d'une main et se l'enfonce dans le con... Elle ressent de nouveau une certaine honte car maintenant elle fait face à ceux qui regardent... Elle voit tous ces hommes, le sexe tendu, certains se masturbant doucement... Ces femmes dont bon nombre ont la main entre les cuisses... Des couples aussi qui se caressent sans perdre une miette du spectacle qu'elle offre avec Luigi...

Elle a du mal à retrouver dans cette nouvelle position le confort et la volupté qu'elle avait tout à l'heure... Quand elle le retrouve elle reprend ses mouvements de va et vient... D'une main, elle peut palper les couilles qui pendent entre les cuisses de Wilfried... Et elle trouve, de l'autre main, son clitoris...
De nouveau, le plaisir monte... Elle veut jouir... mais de nouveau Wilfried ne la laisse pas s'égarer... Il se dégage, se redresse, la fait mettre à quatre pattes et il la prend en levrette... Et quand elle est sur le point de jouir, il la retourne, se met debout, la soulève dans ses bras puissants et l'empale à nouveau. Elle entoure ses reins de ses jambes, il la soutient les mains sous les fesses... Et il entreprend de faire, lentement, un tour du cercle des spectateurs... Des mains effleurent le corps de Léa... Certaines, des femmes sans doute, vu la finesse des doigts, encerclent la racine du sexe masculin tout contre les lèvres de Léa...
Et ils reviennent vers le lit. Il l'allonge, sans se détacher d'elle. Il chuchote de nouveau à Léa
- Jouissons maintenant !

Et lentement il commence des mouvements de va et vient... Rapide à certains moments, très lent à d'autres, allant presque à sortir d'elle avant de se renfoncer en elle jusqu'à la racine... La tête de Léa lui tourne, elle sent des décharges électriques au fond d'elle-même, remontant de la pointe des doigts de pied le long de la colonne vertébrale, jusqu'à la pointe des cheveux... Elle est prise dans un tourbillon... Luigi souffle fort, son sexe gonfle en elle.
Léa jouit la première. En poussant un cri, un feulement plaintif... Son orgasme puissant provoque celui de Luigi. Un premier jet de foutre puissant remplit tout le corps de Léa... Puis un second... Elle ne peut les compter. Cette explosion prolonge sa jouissance...
C'est fini. Le masseur se redresse, se retire, se lève...

- Maintenant, Messieurs, cette femme vous appartient. Et vous aussi, Mesdames...

Il a à peine parlé que dix mains, vingt mains, elle ne sait pas, se saisissent de ses cuisses, de ses seins, se glissent sous ses fesses... Un sexe prend la place de celui qui vient de sortir, moins puissant mais tout autant arrogant... Un autre se présente devant les lèvres de Léa. Elle ouvre la bouche et le gobe, offrant une fellation à cet inconnu. Elle voit que des hommes frottent leur sexe contre ses seins, son corps... Un rapide éjacule déjà en de nombreux jets qui s'écrasent sur les seins, le cou, le visage... L'autre jouit au fond d'elle et se retire. Un autre prend sa place et s'allonge sur Léa. Elle reconnaît le jeune danseur dans les bras de qui elle a joui tout à l'heure...

- Je t'avais dit qu'on se retrouverait, petite salope.

Elle n'aime pas ce terme. Mais elle aime être prise ainsi par ce jeune homme... Elle a tant reluqué son sexe tout à l'heure... ET le voilà en elle. Ca l'excite... De nouveau elle va jouir...
Une femme s'est mise à califourchon au-dessus de son visage et elle entreprend un cunni que la femme accompagne de mouvements du bassin...

Elle suce, masturbe, branle, accueille dans son con... Combien d'hommes, de femmes... elle ne saurait le dire. Ils se succèdent... Continuellement des jets de foutre arrivent sur son corps, dans son sexe... Elle n'est plus que jouissance...
Elle a du mal à ouvrir les yeux couverts eux aussi de ce sperme... Tandis que, la tête sur le côté, elle suce un phallus, elle aperçoit cependant à côté de lui une femme qui se masturbe... Wilfried jouit et se retire... Sans attendre la femme grimpe sur le lit, s'agenouille au-dessus de son visage et jouit en longues giclées de liqueur... Une femme fontaine. Un éclair amène la pensée de Léa vers la jeune Eléonore...

Les cinq sens sont en éveil et en action... Les bruits de succion, les gémissements, les cris, les plaintes, les soupirs de plaisir... Les mains sur les corps, les sexes, les corps à corps, sexes à sexes... Le goût et l'odeur du sperme, de la cyprine, de la transpiration... La vue de ces phallus, de ces sexes ouverts, de ces corps...

Léa plane au-dessus de son corps... Elle ne sait plus où elle est...  

Quelqu'un jette une couverture sur elle. Elle se sent soulevée, portée... Elle ne sait pas qui la porte. Elle devine deux voix d'homme, Wilfried sans doute et Luigi... Elle reconnaît le couloir à entendre les gémissements dans les alcôves... Des marches sont montées... La musique est forte, les percussions, les basses résonnent dans tout son corps... Elle entrouvre les yeux et aperçoit des corps qui se tortillent, qui se frottent... Certains sont nus... De l'air frais... Descente du perron... Bruit du gravier qui crisse sous les pas des deux hommes. Une portière de voiture s'ouvre. On l'allonge sur la banquette arrière... Elle s'endort...

Elle réveille alors que Wilfried essaie de l'aider à sortir de la voiture. Ils sont dans un parking souterrain... Il la soutient en la collant contre lui... Monter des marches...

- Mademoiselle Anne, vous vous occupez de Léa...

Elle entrouvre les yeux. Reconnaît la chambre. Anne, nue, vient vers elle, enlève la couverture et la conduit vers la douche en se collant à elle.
L'eau coule sur ses cheveux, son visage, tout son corps... Elle est chaude. Ça fait du bien. Elle est chancelante...

- Anne! Si tu savais...
- Chut ! Ne dis rien. Je sais d'où tu viens. J'y suis passée aussi !... Laisse-toi faire... Ne dis rien...
Le jet est dirigé vers son sexe. Longuement. L'eau la pénètre... Elle ne ressent plus rien. Seulement les mains douces d’Anne qui la frottent, la caressent, la débarrassent de tout ce sperme qui a séché sur elle, en elle...

Anne l'essuie longuement, la fait asseoir pour lui sécher les cheveux, la coiffer.
Puis elle la pousse doucement vers le lit. Elles se couchent toutes deux. Se font face. S'enlacent, seins contre seins, sexes contre cuisses.... Anne continue à la caresser. Léa est incapable de faire un geste. Elle s'endort profondément.

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