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Le Démon de Midi
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15 mai 2008

L'auto-stoppeuse – 1 : En route pour les vacances.

Avec Elfe-bleue, je commence un nouveau 4 mains... Histoire de mettre nos fantasmes ensemble et de se faire plaisir. A vous aussi, chères lectrices/teurs !

Je pars en vacances. Je dois descendre dans le Sud et, comme j'ai tout mon temps, je décide de prendre les petites nationales, plus tranquilles que les autoroutes. Il fait beau. Je n'ai que (!) 600kms à faire.
A la sortie de la ville, elle est là, au bord de la route, son sac à dos à ses pieds... Le carton qu'elle tient à la main indique la ville où je veux me rendre. Elle semble plutôt mignonne dans son haut décoletté qui laisse son nombril à l'air et sa mini jupe... Bien plus jeune que moi aussi... Je m'arrête à sa hauteur.
- Vous allez à... ?
- Oui, oui, montez ! Vous êtes seule ?
- Ben oui, pourquoi ?
- Ordinairement, quand une jolie fille fait du stop seule, il y a son petit copain ou son chien qui attend caché derrière un arbre...
- Ah bah non, j'ai pas de petit copain. Ni de chien d'ailleurs.
Elle balance son sac sur le siège arrière et s'assoit près de moi. Sa jupe remonte tout en haut de ses cuisses et je ne peux m'empêcher de les regarder. Et je ne peux m'empêcher d'entr'apercevoir par l'échancrure de son haut, ses deux petits seins en pleine liberté, sans soutien gorge !
- Vous me trouvez donc jolie pour dire ça ? En fait, vous êtes heureux que je sois seule, non ?
- Pour ne rien vous cacher, oui. Ca me ravit de faire une si longue route en si belle compagnie. Vous êtes... euh... comment dire ?... plutôt sexy et désirable. Comment ça se fait que vous n'ayez pas de petit copain ? Tous les garçons doivent vous courir après...
- Le dernier, je l'ai plaqué avant hier... Il était jaloux et je veux aller avec qui me plait. Mais c'est pas grave. Je vais en retrouver sur la côte... Et vous, vous avez une copine ou une femme ? Parce que vous êtes pas mal non plus...
- Merci. Oui, j'en ai. Plusieurs même. Moi aussi j'aime me sentir libre...
- Vous aimez les femmes alors ? Comme moi. J'aime les hommes...
- Et bien on est fait pour s'entendre...
Un silence s'installe entre nous. Je conduis doucement. Je garde ma main sur le levier de vitesse. Au plus proche de sa cuisse. Au bout d'un temps, elle frôle ma main du bout de ses doigts.
- Vous avez de belles mains !...
Je ris en la remerciant.
- Elles ont l'air douces... Elles ont de la chance les femmes que de si belles mains caressent !
- Tu crois ? Tu veux voir ?
Et sans attendre sa réponse je pose ma main sur sa cuisse et commence à la caresser entre le genou et la lisière haut placée de sa jupe... Elle écarte légèrement les jambes.
- Hum... C'est bien ! C'est doux...

(à suivre)

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14 mai 2008

Le pied !...

 

004

 

 

Ca, c'est mon pied !
Il n'a rien d'extraordinaire sinon que c'est le mien.
Ou du moins l'un des miens car j'en ai deux !
Pas de fétichisme ni de fantasme,
ni sur mon pied ni sur les vôtres.
Mais je voulais vous le montrer, c'est tout.
Et vous dire que j'adore le prendre.

J'aime prendre mon pied !

 

14 mai 2008

Isabelle

Percelune me fait le beau cadeau de ce texte... J'adore... Vous aussi, j'en suis sûr...
Merci à toi, Percelune. Et surtout, que personne n'hésite à m'envoyer de tel texte !...

Je suis assise, seule, au fond de la salle d'un bar,dans une grande ville, ma petite bière devant moi (oui, j'aime ça), en fumant une cigarette. L'ambiance est plutôt feutrée, il y a de la musique, pas beaucoup de lumière, des spots rouges, et il faut dire que l'atmosphère est assez enfumée. Ca se passe il y a quelques années, et je suis assez jeune, dans les 19, 20 ans, mais déjà très libérée.
aTrès vite, je sens que quelqu'un m'observe avec insistance, et au début, ça me fait tout bizarre, parce que c'est une femme, plus âgée que moi. Jusque là, seuls les garçons s'intéressaient à moi. Je sens que mon coeur se met à accélérer brusquement, et une transpiration inhabituelle commence à me couler le long du dos, entre les cuisses. Je tremble. Ma poitrine gonfle et cela doit se voir, car sous mon chemisier blanc, je ne porte rien. Et la femme qui me regarde fixement soupire de plus en plus en se tenant les seins à pleines mains. C'est une belle plante, blonde, queue de cheval, assez plantureuse, un beau visage rond, qui me dévisage. Elle porte une robe noire assez moulante, au dessus des genoux, et de petits escarpins noirs vernis.
Dans la pénombre, je ne distingue pas encore la couleur de ses yeux. Peu importe. Je transpire maintenant à grosses gouttes, car je sens confusément qu'il va se passer quelque chose. La femme, qui ne m'a jamais quittée des yeux depuis que je me suis installée à cette table, se lève soudain, doucement, et se dirige vers moi, avec son verre, son sac, son paquet de cigarettes, puis vient s'installer à mes côtés.

bElle me fait comprendre qu'elle a été irrésistiblement attirée par moi, comme par une voix intérieure. Et, ne pouvant résister, elle a fait le premier pas.
Isabelle est grande, les yeux d'un bleu glacier intense, hypnotiques. Elle me demande quel est mon signe: - poisson. Elle aussi. Et elle me dit que les poissons n'ont pas besoin de parler pour se faire comprendre d'autres poissons. Elle aurait entendu mon appel. Je l'aurais appelée, qui plus est par son prénom, et elle serait venue, comme envoûtée.

Isabelle ne dit plus rien. Elle a posé sa main droite sur ma cuisse, et commence à me caresser tout doucement, en remontant vers le haut, avec de petits mouvements circulaires des doigts. Instinctivement, je frémis, serre les jambes. Mes genoux semblent se dérober. Je ferme les yeux, mais pas longtemps, car maintenant, Isabelle vient de me dégraffer un bouton, et je sens un doigt qui joue sur la pointe de mon sein gauche. Je ne puis réprimer un petit cri de stupeur qui lui fait cesser son jeu, et, balbutiant, confuse, mais terriblement excitée par ce premier contact avec une femme, je lui explique que je n'ai pas l'habitude, je m'excuse, j'ai l'impression soudain d'être ridicule et de passer à côté de quelque chose.
Elle me propose d'aller chez elle, c'est tout prêt. Puis, rassurante, elle me demande si j'ai envie de "faire ça" avec elle. Je dis oui, le coeur battant à tout rompre.
Nous sortons.

cDix minutes à peine plus tard, je me retrouve chez Isabelle, dans sa chambre. Je ne vous ai pas encore dit son âge: dans les 30, 35 ans si je me souviens bien.
Elle me dit de me déshabiller pendant qu'elle va prendre une douche, de me mettre à l'aise, de faire "comme chez toi". Plutôt timide à l'époque, j'ôte mes vêtements lentement, mais je garde encore ma petite culotte, et, aperçevant une glace, toute rouge, je croise instinctivement les bras sur ma poitrine. En sortant de la douche, Isabelle s'avance vers moi, par derrière, et vient m'enlacer tendrement, en venant placer ses mains à la place des miennes, sur mes seins. Elle sent bon, elle me fait des bisous dans le cou, me mordille le lobe des oreilles, tourne sa langue à l'intérieur, ce qui m'excite diablement, puis, après m'avoir longement embrassée, elle m'accompagne vers la douche, me retire ma petite culotte, et me savonne, tout en me caressant, partout sur le corps.
Puis, nous nous couchons sur le lit. Elle me dit d'écarter les jambes, de les relever, de fermer les yeux, et de me laisser faire. Ne fermant les yeux qu'à moitié, je la vois alors se mettre entre mes cuisses, puis, tenant mes hanches, maintenant mes jambes écartées avec ses coudes, elle se met à me lécher, à me mordiller, jusqu'à ce que je n'en puisse plus. C'est vraiment trop bon!
Elle se couche sur moi, chatte contre chatte, et se frotte contre moi. Je sens ses gros seins durs contre les miens. C'est terrible comme sensation! Je me glisse un peu sous elle, relève la tête, et lui mordille les tétons. Elle gémit. Elle me dit qu'elle aime ça, que ça l'excite, que jamais un homme ne lui a fait ça aussi bien! Pourtant, de temps en temps, il faut l'avouer, une bonne queue, c'est le top de la jouissance!
Isabelle, à un moment, se dégage et sort du lit. Je suis comme folle, je me tortille en tous sens sur les draps, trempés. Mes longs cheveux blonds-roux font comme une masse tournoyante d'algues mouillées sur mes épaules. J'y ai goûté! J'ai encore faim!

Isabelle revient. Je pousse un cri haletant: un membre d'homme artificiel lui ceint le bas-ventre, luisant, rose, tenu par une sorte de ceinture en cuir noir. - Tourne-toi, m'ordonne-t-elle. Et s'ensuit une bonne partie de levrette qui me fait très vite jouir, tant c'est à la fois nouveau et surprenant pour la jeune fille que je suis. Mais le comble du plaisir, encore jamais connu même avec un garçon, c'est quand elle m'a demandé si je voulais bien qu'elle me prenne...entre les fesses. J'ai dit oui, sans hésiter, et jamais je ne le regretterai, car c'est le summun de la jouissance. Depuis, je suis devenue une fervente adepte de cette technique qui vous envoie direct au nirvanâ.

J'ai quitté la chambre d'Isabelle, épuisée, au petit matin. Je ne tenais plus debout, la tête me tournait. J'avais le derrière en feu, et je n'ose pas imaginer ce que pensaient les gens en me voyant dans cet état encore second, lorsque je rentrais chez moi.
J'étais heureuse. Je savais que j'aimais les femmes, et surtout, que je les attirais.

13 mai 2008

Intimité

averoIl y a quelques jours, j'ai lancé un appel pour que vous m'envoyiez une photo de... votre intimité, de votre Mont de Vénus... afin d'ouvrir un nouvel album tout à vous consacré !
Une amie qui veut rester anonyme m'envoie cette première photo d'elle. Elle inaugure donc cet album qui vous attend. Elle m'avoue que c'est la première fois qu'elle envoie ainsi une photo de son sexe à un homme et que cette photo sera publié sur internet... Alors grand merci à elle...

7 mai 2008

Après une période de travail intense, je

Après une période de travail intense, je m'accorde quelques jours de congé... Et en plus, il y a du soleil... Alors silence radio pendant quelques jours. Et retour mardi voire même mercredi...
A mon retour j'espère trouver de votre part plein de petits commentaires, des contributions, des photos, des réponses à mes invitations...
Bises à vous.

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7 mai 2008

Avec toi... Volcane

 

C'est avec l'autorisation de Volcane que je publie cette photo d'elle-même pour lui dédier ce texte qu'elle m'inspire.
aTrès chère Volcane,
qui est si sensuelle, qui aime tant les choses de l'amour,
qui aime se promener dans sa salle d'armes,
(peut-être un jour y déposerais-je les miennes)
permet-moi de tirer sur cet élastique qui te ceint,
et d'ôter ce triangle de soie qui fuit entre tes cuisses.
Je sais que dessous, je vais trouver une peau glabre,
un pubis qui aura subi une épilation intégrale.
Par coquetterie, m'as-tu dit.
Pubis de pré-adolescente, à la peau si douce.
J'aime cet aspect enfantin mais conjugué à une réelle féminité.
Laisse-moi écarter légèrement tes jambes,
admirer tes lèvres gonflées, deviner ton clito.

Laisse-moi respirer les âcres effluves qui s'en dégagent,
regarder les gouttes de rosée qui commencent à perler...

Vision magnifique. Je suis voyeur.
Maintenant, laisse-moi me glisser entre tes cuisses.
Je veux me désaltérer à ta source. Je suis gourmand.
De bas en haut, je suis des lèvres et de la langue ta douce fente.
Goût délicieux. Impression magique de sentir tes premières vibrations.
Derrière ce petit bourrelet de chair, je trouve ton bouton magique,
ton petit phallus qui sous ma langue se dresse.
Je le titille, le pince entre mes lèvres, l'aspire, le fait rouler sous ma langue.
Tu aimes. Tu viens à la rencontre de ma bouche. Tu roules des hanches.
Tu appuies sur ma tête pour accentuer la pression.
Mes mains pendant ce temps glissent sur tes cuisses ouvertes,
se rejoignent là où est ma bouche...
Un doigt, puis deux glissent doucement à l'intérieur de ta vulve.

Tu te raidis un peu plus encore. Je les sens emprisonnés au fond de toi.
Tu amplifies les mouvements de tes hanches,
tu accélères le tempo. Tu ondules.
Femelle en chaleur tu recherches le plaisir.
Mes doigts s'agitent en toi, ils vont et viennent,
tandis que ma bouche, sur ton clitoris, continue son oeuvre.
Tu m'emprisonnes entre tes cuisses que tu serres.
Tu viens. Tu cries. Tu jouis. Tu m'inondes doigts et visage
de ta liqueur jouissive.
J'attends que tu reprennes ton souffle, ton calme.
Et alors je me glisse tout entier entre tes jambes,
je te pénètre de mon sexe dressé
pour noyer tes entrailles du trop plein de mon foutre.
Merci, belle Volcane.

Amies, si vous voulez que je vous dédie un texte de ce style, envoyez-moi une photo érotique de vous ou signalez m'en une sur votre blog. Je la prendrai. Je vous embrasse.

6 mai 2008

Pile ou face ?

Recto ou verso ?
Devant ou derrière ?

007
003

5 mai 2008

On est bien...

Photo de Nuno Belo

a

1 mai 2008

Dis-moi...

002Ma chère amie, de nouveau je te pose la question...
Oui, toi qui navigues de blog érotique en blog érotique
et qui vient d'arriver sur le mien,
qui es toute émoustillée par les images vues et les textes lus,
qui as le sexe suintant et gonflé de désir,
qui hésites encore à glisser ta main entre tes cuisses
pour rechercher ton bouton si sensible qui va t'amener au plaisir.
Oui, je te repose la question : que vas-tu me faire ?
Regarde, je suis également gonflé de désir,
celui d'apaiser le tien.
Alors, dis moi...
Ou bien faut-il que je montre plus ?

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