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Le Démon de Midi
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21 juillet 2008

Sur la route

Le texte que j'ai écris avec Elfe Bleue sur l'auto-stoppeuse a inspiré ce texte à une admiratrice de mon blog, Valérie. J'avais il y a quelques temps écris des beaux textes avec elle. Elle-même en écrit et me les avait envoyés. Et puis, plus de nouvelles. Et la revoilà. Avec grand plaisir. Et elle m'annonce qu'elle veut elle aussi ouvrir un blog érotique !... Humm... J'attends avec impatience. Merci Valérie.

Je suis en route pour une livraison au Portugal, trois pays à traversé, le voyage s'annonce long.
Ma climatisation est en panne et conduire mon camion sur ses routes sinueuses n'est pas de tout repos, j'ai vraiment trop chaud, il faut que je m'arrête pour me changer.
Peu d'endroits où stationner sans danger avec mon engin, je dois encore faire plusieurs kilomètres avant de trouver un lieu adéquat. Enfin, à la sortie d'un village, il y a un grand parking où d'autres routiers sont arrêtés. Je peux enfin souffler et faire quelques pas pour me dégourdir les muscles, me rafraîchir et surtout enfiler une tenue plus légère.
aJe troque mon jean contre un petit short en toile beige et mon banal t-shirt blanc contre un petit débardeur noir. Je ne sais pas si je suis vraiment sexy dans cette tenue mais peu importe j'ai encore une longue route à faire. Dernière petite promenade sur le parking avant de repartir. Je sens quelques "collègues" m'observer, dans ce milieu encore très macho difficile de passer inaperçue…
J'ai même droit à quelques sifflements en remontant dans ma cabine, finalement mon short fait son petit effet.
Le moteur en action, me voilà repartie à l'assaut des routes nationales, fenêtres ouvertes, et musique dans l'habitacle.
Presque deux heures que je roule, je ne cesse de me faire doubler par des automobilistes toujours trop pressés, trop énervés.
Trop énervés voire pour certains trop excités. J'ai vu beaucoup de choses au fil de ces années de bitume avalé mais ça, non vraiment, ça jamais. Une voiture, tout ce qu'il y a de plus banale, me double avec une étrange lenteur, pensant que le conducteur avait un problème, j'ai observé avec insistance l'intérieur du véhicule, et une scène fabuleuse s'est offerte à ma vue, une femme, allongée sur le siège passager, jupe relevée et cuisses ouvertes. Vue furtive mais déconcertante. Le véhicule rabattu devant moi, je ne sais pourquoi, mais je l'ai accablé d'appels de phares et de coups de klaxon. Tu parles d'un comportement féminin ! A croire que le métier me transforme ! Je sens le conducteur me lancer un regard fier dans le rétroviseur. Je pense qu'il n'a pas eu le temps de voir que j'étais une femme…
Il y a longtemps que la voiture a filée, l'interlude est clos et pourtant une vague d'excitation persiste sous ma peau…
Mon quota d'heures de route étant déjà dépassé, je décide de m'arrêter et de m'offrir l'hôtel, pour pouvoir prendre une longue douche, et m'endormir dans un grand lit.
Après une longue manœuvre pour me faufiler dans le parking, me voilà enfin au calme dans la petite chambre au confort minimum, néanmoins amplement suffisant pour que mes paupières se ferment.
Ce ne fut pourtant pas le cas immédiatement. Étendue nue sur le lit, m'abandonnant à quelques rêveries en tous genres, j'entends soudain de drôles de gémissements…
Je me suis vite rendue compte que ces râles venaient de la chambre voisine. Je ne pus m'empêcher de coller mon oreille contre le mur…
Très vite l'excitation m'envahit, ma peau frissonne au rythme des ébats de mes voisins de chambre… J'imagine leurs corps moites, unis dans la passion, j'imagine cette femme offerte à son amant, les cuisses ouvertes, le sexe suintant de désir, brûlant d'accueillir une queue raide, j'imagine les coups de reins violents d'un homme en transe… Mille visions m'envahissent, tandis que ma main s'est blotti entre mes cuisses, et que mes doigts s'agitent sur mon bouton fleurit…
Vision d'un sexe tendu et gonflé, glissant entre deux globes de chairs ronds, vision de cette même queue engloutie dans une bouche suceuse sans fond, cognant contre une langue lécheuse et masseuse qui ne sera rassasiée que lorsque la liqueur virile se répandra sur les papilles en furies.
Vision d'un cul bombé, offrant une vue sur les grottes du plaisir, qui ne tardent à être comblées, grotte d'amour trempée et remplie par un sexe juteux, grotte secrète desserrée par un doigt curieux… Rythme a2enivrant, cadence folle pour atteindre l'extase…
Mes doigts fouillent à présent mon intimité complète, les gémissements se font plus violents derrière le mur, j'aimerai les rejoindre… Je voudrais me mêler à ces inconnus, goûter cette femme, pétrir ses seins, m'abreuver à sa source, m'allonger contre elle, frotter mon sexe contre le sien. Je voudrais caresser cet homme, emprisonner sa tige dans ma main, l'emmener d'un mouvement vers la jouissance…
Je voudrais simplement être une souris, me faufiler sous la porte voisine et observer le plaisir d'un homme, d'une femme."

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19 juillet 2008

Noir Bustier

a

Aujourd'hui, c'est Noir Bustier qui me fait grâce de son intimité que je vais mettre dans mon album...
Furieux désir de me glisser entre ces deux cuisses et d'honorer de mes mains, de ma bouche, de mon sexe ce si beau et si doux endroit qui semble en attente de je ne sais quoi, offert, ouvert...
Allez donc visiter son blog où elle a d'autres bien belles photos d'elle.
Merci à toi, chère amie.
ET vous autres, visiteuses, pensez à moi...
Je vous embrasse.

17 juillet 2008

Assise devant mon ordinateur...

Mon amie qui veut rester anonyme m'a envoyé ce courrier...

Salut, 
J’ai été un peu surprise quand je t’ai lu..J’avais l’habitude d’avoir de tes mails.. ceux qui sont propres, et bien .. : "bonjour.. merci de ta visite.. A bientôt " .. ceux que l’on s’écrit.. par habitude..Ou pour certains être "convenable et polie" ..
Je n’avais jamais pensé à t’envoyer ce genre de lettre, jamais de moi-même.. J’y avais pensé inconsciemment.. en allant sur ton blog et en te lisant..J’aime ce que tu écris.. Plusieurs choses j’ai lues et relues plusieurs fois..
Je retourne sur ton blog, j’ai envie de te relire encore.. Et voir peut être que tu y as mis du nouveau ???
J’aurais aimé être là .. cachée .. pouvoir te regarder pendant que tu te caresses.. j’adore faire ca.. Regarder.. J’aurais aimer te voir.. ou mieux… être la photographe .. est ce que c’est pour moi que tu bandes sur cette photo ?
Je suis assise devant mon ordinateur les jambes repliée sur moi-même une main dans la culotte.. A t’imaginer nu.. ma bouche autour de ta queue ,ma langue glisse ..en faisant le tour de ton gland.. les plis de ta queue.. l’endroit ou je te goutte le plus..
Tu dis que chaque femme a un goût différent, c’est la même chose pour chaque hommes et en plus.. chaque queue est différente texture, gout, odeur.... mais là, je deviens vulgaire…
Je regarde les autres photos.... .. ma chatte s’humidifie ..Imaginer que tu  te glisses en moi.. toujours plus vite, toujours plus fort.. Mon imagination s’active.. en pensant à ta queue.. je grimpe dessus.. tu sens ?? on dirait que je suis faite pour elle.. Tu frappes ton gland sur mon clito.. je sens quelques gouttes.. je suis un peu déçue....J’aurais aimé sentir ces  gouttes sur ma langue ..
Ma bouche retourne à ta queue..je sens ta jouissance proche et je ne veux rien manquer..
Je sens ton gland vibrer.. tes couilles se serrer.. je t’enfonce.. tu sens ma gorge.. mon palais.. je te retire de ma bouche complètement.. je veux voir ta queue…passe ma langue.. vais jusqu'à tes couilles les prends une à une.. je retourne à ta queue.. te prends dans ma bouche.. je t’enfonce.. retire.. t’enfonce… jusqu'à ce que..
Tu gicles ….
Je gicle sur ma chaise.. Mon clitoris pousse dans le vide.. Il pointe.… j’ai le regard fixe sur l’écran… "Vous avez un nouveau message..."
Ouffff que d’émotion pour moi.. tu vois.. c’est à peu prés ce que tu me fais faire chaque soir.. quand je suis seule…. Dans mon lit, devant mon écran ou en sortant du bain.. quand je me promène nue chez moi..
Je t’embrasse partout

15 juillet 2008

Promesse d'une jouissance saphique...

a


...comme j'aime les imaginer dans mes nuits solitaires.
Ah, si elles voulaient bien me convier à leurs futurs ébat...

15 juillet 2008

Feu d'artifice...

... de sensations !
Tout y est : la vue, le goût, le toucher, l'odorat, l'ouïe...

De toutes les couleurs !
Et le bouquet final de l'orgasme !

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14 juillet 2008

Volcane

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Merci Volcane pour cette belle photo
que je verse dans mon album "Votre intimité".
Corps désirable, femme attirante...
Je vous invite à visiter son blog : de beaux textes, de belles photos d'elle ou d'autre...

13 juillet 2008

Envie de toi...

Suite de ma correspondance avec cette amie anonyme... mais non inconnue.

Petite chérie,
Que j'ai aimé cette belle lettre... Je t'imagine sortant nue de ta douche, encore humide, t'installant devant le clavier de ton ordinateur... Pendant que tu tapes ces beaux mots à mon intention d'une main, ton autre main glisse sur ta poitrine : elle titille la pointe de tes seins qui se dressent... Puis elle glisse entre tes cuisses que tu as ouvertes... Là tu joue avec ton clitoris qui en redemande... En m'écrivant, en pensant à moi, tu jouis...
Tu m'as offert deux belles photos de toi... Tu ne me montres là que ton visage. Ces photos sont un peu sombres. Mais derrière tes lunettes je devine la douceur de ton regard. Je devine aussi ta bouche sensuelle, gourmande, qui aime embrasser, mordre, sucer, lêcher...
Sur ces lèvres, je voudrais y coller les miennes. Les écarter avec ma langue, trouver la tienne et les laisser toutes deux jouer ensemble, mélangeant nos salives, nos envies, nos désirs...
Je suis débordé de travail ces temps-ci. Mais régulièrement ma pensée va vers toi... Cette envie qui devient irrésistible de te serrer contre moi, se sentir tes seins s'écraser contre ma poitrine, d'emmêler nos jambes, de pétrir tes fesses, de glisser ma main, ma langue, mon sexe entre tes jambes ouvertes. Envie de sentir tes mains glisser sur ma peau nue, la caresser là où elle est si sensible, se saisir de mon vit dressé ! Envie de ce corps à corps nus, de cette lutte animale de deux êtres en rut ! Envie de te faire hurler de plaisir, de te faire inonder de désir, de te faire immensément jouir. Envie de calmer ta fringale, de te remplir le ventre de ma semence, de jouir en toi...
Encore ce soir je me contenterai de me caresser en pensant à toi...
Bientôt tu vas partir en vacances. Nos courriers vont s'espacer... Profites en bien, belle amie, et penses à moi !.
Je te couvre le corps de mille baisers.
Domi

11 juillet 2008

Absolue solitude

Tu ôtais la ceinture qui enserrait ta taille, arrachais tes sandales, lançais dans un coin ton ample jupe -de cotonnade, me semble t-il- et défaisais le nœud qui rassemblait tes cheveux en queue de cheval. Tu avais la chair de poule et riais. Nous nous tenions si près l'un de l'autre que nous ne pouvions nous voir, tous deux absorbés par ce pressant rituel, immergés dans la chaleur et l'odeur que nous dégagions conjointement. Je me frayais chemin par tes chemins, mes mains sur tes hanches cambrées, les tiennes remplies d'impatience. Tu te lovais, tu m'explorais, tu m'enfourchais, tu m'enveloppais de tes jambes invincibles, et tes lèvres sur les miennes me disaient à mille reprises : viens.
A l'instant crucial, nous éprouvions un avant goût de l'absolue solitude, chacun de nous abîmé dans son gouffre brulant, mais nous avions tôt fait de reprendre vie de l'autre côté du feu pour nous découvrir enlacés dans le désordre des oreillers, sous la blanche moustiquaire. J'écartais tes cheveux pour plonger mes yeux dans les tiens. Il t'arrivait parfois de t'assoir à mes côtés, jambes repliées, ton châle de soie couvrant une de tes épaules, dans le silence de la nuit à peine commençante...

Prologue de Rolf Carlé à un livre de nouvelles d'Isabel Allende "Les contes d'Eva Luna" qui n'ont rien de très érotiques mais très jolis quand même et plaisant à lire.

10 juillet 2008

Lina

aAujourd'hui, c'est une nouvelle amie, Lina, qui m'offre cette belle photo de son petit minou, de sa petite chatte...
On n'en voit pas la queue mais on la devine.
Envie de la caresser, de l'embrasser, de la lêcher, d'écarter les petites lèvres et de pénétrer plus avant...
Lina me dit beaucoup aimer mon blog. Merci à toi, chère amie, c'est bien pour cela que je le tiens.
Et merci pour ce beau cadeau que tu me fais là. Cette photo va rejoindre mon album "votre intimité".
Et vous chères amies, n'hésitez pas...

8 juillet 2008

Il n'y a pas de vent...

Ma correspondante anonyme m'a répondu ce joli texte... J'aime qu'il me soit adressé. Merci à toi, petite chérie...
Je sors de la douche…  Il fais chaud.. je ne sens aucun vent sur ma peau.. aucune brise.. je me promène nue dans la maison..
Il n’y a aucun vent.. rien .. Et pourtant mes seins pointent.. c’est bizarre.. je ne suis ni excitée.. (non pas vraiment encore.. je ne pense pas encore à toi ).. Et je n’ai pas froid.. mais ils pointent , se dressent .. narguent..
Comme si ils cherchaient ta langue , comme si ils voulaient sentir ton souffle.. Je m’allonge sur le canapé.. et me demande si  ce n’est pas inconscient.. mon besoin de toi…de te sentir sur moi.. la tout de suite
J’ai lu..
Oui j’ai lu que le clitoris étais comme une mini-queue.. intéressant.. Quand je vois ta queue qui se dresse devant moi.. Je pense à mon clitoris qui m’amène à mouiller, à me tremper, à me détremper....  je sais ta queue.. je la devine.. c’est visible partout.. même sous des vêtements.. même quand tu essaies de le cacher.. J’aime te voir ..Dur.. Partout..
Mon clito est bien camouflé.. caché sous plein de petits plis et de replis.. même durcis.. personne le sais sauf toi  et ta langue quand tu le découvres.. une bonne chose qu’il soit si bien caché je pense…
Non l’équivalent d’une queue peut être aussi les seins ..  quand excitée.. tout le monde peut le deviner..
Et en ce moment.. il n’y a aucun vent.. pas de brise ..
Rien..
Et mes tétons pointent.. Si tu voyais….

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