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Le Démon de Midi
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20 janvier 2009

Le grenier

Mon amie Cixi me fait grâce de ce beau texte de sa composition. Inquiète de vos critiques...
Pour ma part, j'aime beaucoup cette sensualité, cette douceur, ce désir...
Dîtes-lui vous aussi ce que vous en pensez.
Et merci à toi, Cixi chérie, de ce beau cadeau.

« Agréable et raisonnable ça finit pareil, mais est-ce que ça n’est pas incompatible ? » m’a t-il dit un sein dans chaque main.
Allons allons, si tu avais vraiment eu l’intention d’être raisonnable, tu ne m’aurai pas envoyé cet email pour me dire que tu serais chez ton père … seul …
Nous deux, c’est une tension sexuelle absolument délicieuse. On se cherche des yeux tout le temps, on n’arrête pas de se toucher dés qu’on est seuls.
Toutes les excuses, qu’on ne cherche même pas, sont bonnes pour se toucher, se prendre dans les bras, se serrer l’un contre l’autre.

On est dans le grenier face à la petite fenêtre par laquelle filtre le soleil. Tu m’as fait visité toute la maison, à croire que tu y cherchais « l’endroit » où tu te sentirais en sécurité pour me tenir un peu plus contre toi, malgré toi. Du grenier, on voit le jardin, et les arbres qui dansent avec le vent. Il fait vraiment bon en cet après-midi de septembre… La vitre est pleine de poussière et quelques toiles d’araignées virevoltent ça et là au gré des mouvements d’air. Sous nos pieds, des planches et pas mal de poussière, ça crépite quand on marche.
Le scénario se répète un peu chaque fois. J’arrive, je regarde tes yeux … ça y est … je craque. Je me fais pourtant la leçon chaque fois, mais je craque.. Paradoxalement, je sais au fond de moi que je vais craquer à l’instant même où j’accepte ton invitation, où je monte dans ma voiture.
Vis-à-vis de toi, je n’ai l’impression de n’être qu’un aimant, et respirer, toucher ta peau est mon seul objectif.

Le reflet dans la vitre sale est superbe. Je me fais même la réflexion que ça ferait une très jolie photo de charme.
Tu es dans mon dos, les bretelles de ma robe rouge et de mon soutien-gorge sont descendues sur mes bras.
C’est délicieux, on va craquer alors qu’on ne devrait pas .... Mais on se cherche, se titille, se touche …c’est un peu comme si on prolongeait, vous savez, cette fraction de seconde ...

A pleines mains tu caresses mes seins. Le reflet dans la vitre s’érotise. Je vois dans cette vitre ma poitrine qui se dénude sous un ray de soleil et de poussières.
Le cadrage de l’image ?
Je ne vois que mon cou jusqu’au rouge de ma robe descendue maintenant à hauteur de mes reins, tes mains enveloppantes, tendres et viriles à la fois, et tes épaules larges derrière moi. 
« Agréable et raisonnable.. »
« … rarement … »
« … mais … »
…mais à ce moment exact, précis …je m’en fous …
… j’en soupire de contentement

Je recule d’un tout petit pas pour m’adosser vraiment à toi. J’adore ton odeur, même si je dirai que tu n’en as pas vraiment. Ca m’enveloppe.

Tu prends ton temps pour me caresser, on dirait presque tu cherches à mémoriser la forme ronde et ovaline de mes seins. On se cale l’un contre l’autre, tandis que je bascule un peu ma tête en arrière pour la poser contre ton épaule, ta main gauche quitte mon sein et descend le long de mon flan, de mon ventre … Tes doigts « marchent » sur ma cuisse jusqu’au bord de ma robe et la font remonter un peu. Je penche mon visage un peu vers le tien tout en fermant les yeux … tu ne réponds pas à ma demande implicite d’un baiser … je n’insiste pas.
Probablement que aujourd’hui ça terminera comme la fois d’avant, et celle d’avant aussi, ma bouche qui jouera sur ton sexe, tes doigts qui me caresseront, me fouilleront, mais tu ne déposeras tes lèvres que sur ma joue.
Sur ma joue, du bout des lèvres sur le coin des miennes et tes yeux qui m’en disent bien plus long 
Je prends tout ce que tu es prêt à m’offrir, de toute façon, je suis accro … demain et les jours suivant je vais être en manque, mais aujourd’hui c’est Noël … je profite que tu m’ai appelé pour te rejoindre.

Mes hanches, plus précisément c’est ma hanche gauche que tu viens caresser sous ma robe, le haut de ma cuisse, mes fesses. Au passage, tu frôles ma lingerie sur mon iliaque. Ta main monte et descend le long de ma cuisse d’abord sur le coté, puis sur le devant. La pulpe des doigts s’aventure à peine sur l’intérieur de mon entrejambe. Mon envie de toi est colossale.
Je glisse mes mains derrière toi, je caresse tes hanches également et tes fesses.
Mes seins et mes tétons se tendent dans ce halo de lumière, sous tes doigts, tes paumes et mes envies grimpent fortement.
Dis ? Si j’appuie sur le stop du chrono de ta montre, est-ce que le temps va s’arrêter ? Hein dis ? …
Alors je m’ouvre à tous mes sens pour ne perdre aucune miette de fraction de seconde.
Je m’abandonne pour vivre pleinement ce moment, pour n’être qu’ici, qu’à cet endroit et avec toi.

C’est maintenant ta main droite qui délaisse ma poitrine, elle prend le même chemin que son alter symétrique. Elle se glisse sous ma robe, puis sous ma lingerie. Tu as réussi à glisser ta main, à écarter ma culotte sans même frôler mon pubis.
Hann, mais comment t’as fait !? J’en lâche un gémissement, je peste intérieurement que tu me laisses languir à ce point, et j’en jouis tout autant ! Tu me rends dingue ...

Ta main en coupe dans ma culotte est à quelques cm de mon sexe, je sais que si tu l’approchais un peu, elle se calerait, prendrait possession complète de mon sexe. Ton poignet se placerait à la naissance de mon pubis, ta paume l’envelopperait délicieusement, et enfin tes doigts trouveraient naturellement leur place sur mon sexe on ne peut plus palpitant.
Ton index et annulaire caresseraient mes lèvres, et ton majeur … ton majeur pourrait à sa guise, à ta guise, titiller mon bouton, frôler ma fente, parcourir sa longueur ou d’un mouvement de poignet coulisser dans ma moiteur.
Oh ! Merde … c’est si bon … n’empêche que t’en loupes pas une pour nous trouver un endroit pas confort … entre les sièges baquets de ta voiture sport et ce grenier poussiéreux…

Tu lâches, à ton tour, en retirant ta main de ma culotte, un soupire de contentement.
A quelle sauce tu vas me manger ? J’ai le ventre en feu, mais j’angoisse toujours que tes remords, ta loyauté vis-à-vis d’elle ne soient capables de m’abandonner maintenant.
Je déteste ce moment où j’ai l’impression que tu jauges la situation, que tu hésites encore … une seconde peut-être deux …

Tes mains sur ma taille, tu viens coller ton bassin encore un peu plus contre mon cul. Délicieuse constatation, tu bandes. Je la sens ferme, érigée et maintenant bien calée le long de mon sillon fessier.

Ton bassin se met à bouger d’un mouvement vertical, je sens ta queue aller et venir entre mes deux vallons.
Irrépressiblement, je déplace mes mains sur tes fesses et tes hanches. J’apprécie le mouvement de tes hanches au travers de mes mains et le long de mon cul.
Je glisse maintenant mes mains entre nous, j’ai envie de te sentir sous mes doigts, envie de capter ta chaleur. Mes doigts me démangent, mon corps fourmille de milles désirs.
J’aime glisser mes doigts dans les poches et entre les boutons des braguettes. On ne peut en général qu’y glisser au mieux une à deux phalanges, la pulpe des doigts, mais il n’en faut pas plus pour apprécier la chaleur d’un sexe bandé, percevoir cette palpitation, la vibration de cette pression sanguine.

Ma main gauche se faufile dans ta poche tandis que tu suspends ton va-et-vient.
Le bout de mes doigts cherchent et trouvent ton sexe bandé au travers de la doublure de ta poche. Je caresse ton gland doucement. J’humidifie machinalement mes lèvres en sentant cette douce texture sous mes doigts.
Je me projette dans le moment où je vais t’accueillir sur ma langue, j’en soupire.

Tu fais glisser ma culotte, et tu m’invites à bouger. Je m’accroche littéralement à ton bras, ta main sur mon sexe commence à me caresser, à glisser tes doigts dans ma fente.
Tout monte vite dans mon crâne.

Ton autre main dans mon dos, sur mon épaule, descend le long de ma colonne vertébrale et s’en vient chercher mon anus. Tout en maintenant tes caresses sur mon sexe d’une main , l’autre vient prélever un peu de ma moiteur pour l’étaler et masser mon orifice, l’attendrir.
Ton doigt me pénètre et c’est un gémissement qui m’échappe.
Je voulais que le temps se suspende, et voilà que tout s’accélère et augmente …
Le rythme et le volume d’air de chacune de mes respirations, le nombre de décibels qui s’échappent dans mes gémissements, le volume de ta proéminence masculine que je sens contre ma cuisse, le degré d’humidité de mon antre, mon désir que tu ailles plus vite, plus fort, encore…

Mes jambes en tremblent encore un peu, la pression de tes doigts se relâche. Je viens face à toi, appose mes mains bien à plat sur ton torse. Je prends quelques secondes pour percevoir ta chaleur dans le creux de mes paumes, pour dessiner la forme de tes pectoraux. Je laisse l’une de mes mains descendre le long de ton plexus, sur tes abdominaux et venir défaire ta ceinture. Tu viens accompagner mon geste en faisant sauter les boutons de ta braguette. Ton jeans glisse le long de tes cuisses.
Mes mains sur l’élastique de ton shorty prennent la même direction de l’ensemble de mon corps : verticale et vers le bas.
Je m’agenouille devant toi.
J’approche ton dard de ma bouche à l’aide de mes doigts. J’y pose un baiser, puis un coup de langue sur le méat où je trouve le premis de ton plaisir, avant de te glisser sur ma langue chaude. Je te suce doucement, avec langueur, avec avidité parfois, gourmandise certainement.
Ta main passe sur mon front, tu dégages mes cheveux pour me regarder. Mais je ne te suis pas être assez soumise pour affronter tes yeux.
Tu gonfles un peu plus encore dans ma main et dans ma bouche. Je sens tes cuisses se crisper et ton bassin bouger, chercher le rythme qui va te faire décoller et jouir sur ma langue, dans ma bouche. Alors c’est moi qui ai suspendu mes mouvements, je t’ai entendu gémir de dépit. C’est lorsque j’ai repris mes caresses et que ton gland a caressé le fond de mon palais que tu as jouit.
Je n’ai pas perdu une goutte de toi.
Tu places tes mains de chaque coté de mon visage et m’invite à me redresser. Je récupère au passage ma culotte que je renfile. Je me blottis un instant au creux de tes bras, tu me serres fort contre toi, avant de me libérer.

Tu passes devant et tu ouvres la voie pour redescendre du grenier.
- T’es vraiment bien gaulé quand même …
J’adore ton cul ! J’adore ton corps et j’adorerai te voir déambuler à poil devant moi, genre comme la pub pour ce parfum masculin dont j’ai oublié le nom.

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15 janvier 2009

Pour votre plaisir, Mesdames.

Que vous inspire cette photo ?
Qu'auriez-vous envie de lui dire ? De lui faire ?
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Non, non, ce n'est pas moi...

13 janvier 2009

Vos "Portes du Paradis"

Les fidèles à mon blog connaissent mon album, Les portes du Paradis.
Cet album m'est cher.
Il contient des photos de pubis féminins, de Monts de Vénus...
Je l'appelle "Porte du Paradis" car ce lieu, si beau,
nous amène tous aux délices, au bonheur, à la plénitude
qui doivent être au Paradis si celui-ci existe !
Dans cet album, contrairement aux autres,
aucune photo volée. Toutes m'ont été offertes
par des femmes qui me sont devenues chères.
C'est pas rien une femme qui vous offre
une photo de ce qui lui est le plus intime.
Merci encore à chacune.
Et une invitation à d'autres : n'hésitez pas.
Ce lieu est pour moi sacré.
Je le respecterais. Je l'honorerais.
Et puis, un constat : tous ces sexes féminins reçus
sont rasés ou épilés de près.
Surprenant, non ?
Bises à vous en ce lieu source de tant de plaisir.

11 janvier 2009

Eveilleuse de désirs...

Je vous présentais il y a quelques jours, le Mont de Vénus d'Arelaune en vous disant que je ne savais quelle photo choisir parmi celles qu'elle m'avait envoyées.
Mais, avec son autorisation, je ne résiste pas au plaisir de vous montrer aussi celle-ci.
Eveilleuse de désirs... J'aime ce titre. Mais toutes les femmes ne le sont-elles pas ?

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Occasion de vous inviter à aller visiter le blog d'Arelaune tient avec la complicité de son homme ou elle se montre joliment...

10 janvier 2009

Autofrissons

Une amie m'envoie cette photo.
Ce n'est pas elle mais
"elle illustre le soir où elle est tombée sur mon blog"
m'écrit-elle.

Diantre ! Que j'aurais voulu être là !


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Plusieurs me disent leur émoi en me lisant, en parcourant ces pages.
Certaines me disent que leur main glissent alors vers ce lieu magique,
source de tant de plaisirs.
D'autres qu'elles en rêvent la nuit.
Pour mon auto-satisfaction (de temps en temps, ça fait du bien),
merci de me raconter comment vous me lisez...

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9 janvier 2009

Un conseil pour une amie

Une jeune amie, fidèle à mon blog, me dit dans un de ses derniers messages sa désespérance que son mari ne lui procure strictement aucun plaisir sexuel. Alors, elle se contente de ses propres caresses pour arriver à l'orgasme. Qu'elle le fasse en pensant à mes textes, à mes mots, me fait plaisir, bien évidemment. Mais ce n'est pas vraiment satisfaisant.
Elle m'écrit :
Quant à ta pratique de faire jouir ta partenaire avant qu'elle ait caressé ton intimité, cela m'amène à la reflexion que j'ai plutôt vécu la situation inverse, faire jouir mon partenaire, pratiquement pas dénudée, rapidement, sans qu'il ne se soit occupé de me procurer du plaisir par des caresses... Je me vois chevaucher mon homme, soulevant ma jupe et écartant ma culotte sans la retirer pour laisser s'introduire son sexe ...Je me vois pratiquer une fellation, dans un lieu non approprié, entièrement habillée et ressentir uniquement le plaisir de faire jouir mon amant en moi, mais pas de plaisir "corporel"... (...)
Hier soir, je me couche ..., nue, ... il me carresse les seins, fortement, sans douceur, ... J'aurais envie comme tu me l'as dit dans un précedent message qu'il fasse vibrer chaque parcelle de mon corps. Mais j'accepte toutefois ces carresses sur mes seins tendus, qui ont tant besoin de caresses.
A trois heures du matin, après un reveil nocturne de
(ma fille), je n'arrive pas à me rendormir, je pense à toi, à ton dernier message, à certains de tes textes et je me carresse la poitrine de la manière dont j'en avais envie depuis la veille, d'abord lentement, les effleurant à peine, dessinant le contour des mes aréoles du bout des doigts, jouant avec mes tétons durcis, puis mes carresses s'intensifièrent, et là oui je pu accepter mes mains insistantes sur ma poitrine et en retirer grand plaisir.

Doit-on mettre l'attitude son homme sur le compte de sa gougeaterie ?
Ou l'homme ne serait-il pas un grand timide ? Certains ne pensent-ils pas qu'être doux, patient, c'est une attitude de "bonnes femmes" ou de "pédés" ?
Je ne comprends pas cette attitude moi qui aime tant la sensualité, qui attends tellement que ma partenaire atteigne le Nirvanah !
Je ne sais quoi dire à mon amie pour lui remonter le moral, pour l'aider...
Alors vous, mes amies fidèles, dont certaines sont aussi passées par là, que lui diriez-vous ? Que lui conseilleriez-vous ? Merci pour elle.

 

7 janvier 2009

Arelaune

6A son tour Arelaune m'offre une photo de sa Porte du Paradis.
A vrai dire, elle m'en a envoyées plusieurs
et j'ai eu du mal à choisir
tant cette Porte semble accueillante,
ouverte, en attente.
J'ai choisi celle-ci, la plus prude sans doute,
la plus excitante aussi car elle laisse deviner.
Le petit bouton à plaisir qui jaillit là,
les bords d'une lèvre que j'imagine
imprégner de son suc intime...
Y déposer un baiser, un seul...
Et puis, oui, donner un coup de langue,
léger, pénétrant, m'y attarder...
Sentir son odeur.
Boire sa liqueur...
Merci Arelaune. Une histoire commence entre nous.
Et vous, mes amies, osez franchir le pas.

5 janvier 2009

Rencontre dans un ascenseur - 9bis !!

Mon amie Cixi, avec qui j'ai écrit à 4 mains cette belle histoire qui m'a beaucoup excité, est très vigilante. Elle s'est rendu compte que j'avais oublié de publier un texte... Que j'avais pourtant écrit avec beaucoup d'émotion... Désolé. Le voici donc... Cela vous oblige à relire le N° 9, puis celui-ci, puis le 10 !...

Hum... La serrer nue contre moi... Ses seins s'écrasent contre ma poitrine... Délicieux goût de sa langue... Mes mains courent sur son dos, descendent sur ses fesses, longent le sillon... Je retrouve son trou secret encore entrouvert de ma pénétration du doigt tout à l'heure... Sentir aux creux des mains la douceur de sa peau, ses courbes...
Et surtout.... je sens l'humidité de son sexe contre mon gland... Le coquin, il n'en pouvait plus ! Il a sorti la tête pour voir ce qui se passait, pourquoi on le faisait tant attendre...
C'est qu'elle me provoquait la bougresse... Son téléphone éteint qu'elle me colle à l'oreille... depuis combien de temps fait-elle semblant de téléphoner...
Je ne suis pas très à l'aise, accroupi avec elle sur les genoux... Je la fais s'assoir sur le canapé, me redresse et enlève d'un coup jean et shorty... Enfin nu ! Enfin libre de toute entrave... Mon sexe palpite contre mon ventre à hauteur de ses yeux...
Elle semble hypnotisée, approche ses mains, le saisit à deux mains... Oh ! Douce pression de ses doigts fins... Une main descend en coupelle sous mes bourses, l'autre commence à monter et descendre.... Elle décalotte complètement mon gland, tire sur la peau... Il est luisant des premières gouttes de sperme... Elle approche la bouche, langue tendue pour le lêcher...
Mais je ne veux pas jouir ainsi.... Je veux me lâcher en elle...
Je la bouscule et la fais s'allonger sur le canapé... Je lui couvre le corps du mien... Seins contre seins, bouche contre bouche, jambes emmêlées, sexe contre hanche...
- Pénètre-moi...
- Attends encore un peu...
Je veux faire durer le plaisir encore un peu... Goûter ce corps au maximum... Je me soulève sur un coude pour pouvoir saisir de l'autre main ses magnifiques seins qui m'obsèdent depuis qu'elle est rentrée dans cet ascenseur...
Son sexe inonde le haut de ma cuisse... Ses mains courent sur mon dos... mes fesses... les écartent... Elle me pénètre d'un doigt... Hum !...
Je me laisse glisser vers le bas... La pointe de mon vit glisse le long de la fente ouverte, chaude et humide... Et pénètre dans cette magnifique Porte du Paradis ! D'un coup de rein, je la pénètre tout entier... Je glisse mes bras sous elle et la serre fort contre moi. Elle-même m'enferme dans ses bras, dans ses jambes remontées autour de mon bassin... Je voudrais entrer tout entier en elle, ne faire plus qu'un...
Je sens le plaisir monter... Il a tant attendu... Ne plus bouger... Se crisper... retenir encore... Je suis si bien...

3 janvier 2009

Jeux érotiques

Un sondage pour commencer l'année inspiré par une amie qui me raconte qu'elle a offert à un couple ami, chez qui elle passait le réveillon de la St Sylvestre, un jeu de dés érotiques.

Deux dés : sur l'un un endroit du corps : DOS * PIEDS * FESSES * SEINS * LEVRES * SEXE

Sur l'autre, une action : TOUCHER * CARESSER * MASSER * EMBRASSER * PINCER * LECHER

Elle ne me dit pas s'ils ont essayé ce jeu... Mais ça me donne une idée de texte à venir...

Vous mêmes, vous est-il arrivé de jouer avec un tel jeu à deux ou à plus ?
Racontez-moi...
Je vous laisse le week end pour me répondre
et je vous le souhaite bon (le week-end !)

3 janvier 2009

Rencontre dans un ascenseur - 10 et fin

Il ne bouge plus, tendu à l’extrême tout au fond de moi.

Je ne bouge plus non plus, le corps relâché, gorgé de lui, mes muscles utérins me transmettent sa contention, la retenue qu’il s’inflige pour profiter encore de ce moment …

La pression sanguine de sa queue bat contre mes muqueuses détrempées.

Cette sensation, à la fois intense et infiniment douce, me fais décoller, je m’abandonne à jouir sans violence dans un orgasme long et graduel à l’inverse du premier fulgurant et fugace.

A l’apogée de cette montée, je ne retiens plus rien. Mon sexe ruisselle de sa fontaine et la décharge hormonale qui m’a envahie s’empare de ce qui reste de moi.

Mes mains viennent soudainement et durement s’accrocher à ses fesses pour qu’il me pénètre encore plus, mon bassin de la même façon se plaque contre son pubis et entame des va-et-vient frénétiques.

Il râle, souffre et enfin dans le dernier coup de rein qu’il offre, m’assène, il se libère dans mon corps de son orgasme retenu, tandis que ma gorge se libère d’un cri de plaisir…

Nos respirations finissent par s’apaiser, nos corps moites encore collés l’un à l’autre reprennent conscience de l’environnement qui nous a abrités et du temps qui semble doucement reprendre son cours …

- … alors …ce café ... tu le veux ou pas ?

C'est la fin ! J'ai eu beaucoup de plaisir, vous imaginez, à écrire cette rencontre avec Cixi... Merci à elle... Et si cela vous dit de faire la même chose, n'hésitez pas... Se laisser porter par la plume et l'imagination du/de la complice du moment, se mettre dans la situation, se répondre... Faire ainsi l'amour, virtuellement, avec une inconnue (car je sais peu de choses de Cixi)... ça ne vaut pas le réel bien sûr, mais ça alimente les neurones...

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