Le Démon de Midi

Voilà un moment que j'ai une relation avec Nina. Relation qui n'était que virtuelle jusqu'à ce jour...
Je lui avais partagé ma passion de la photo et ma recherche pour trouver des femmes qui accepteraient de poser pour moi pour que je mette en valeur leurs formes, leurs rondeurs, que je fasse de leur corps des photos de nus artistiques...
Elle a été d'accord. A deux conditions. D'abord, que je ne prenne pas son visage au cas où je voudrais publeir ces photos... Et puis, par fidélité envers son homme officiel, que je ne cherche pas à profiter de la situation... Elle mefait promettre... que je ne me déshabillerai pas. J'accepte les deux conditions. Et je lui promets de lui donner tous les clichés, après les avoir retravaillés (cadrage, contraste,...) sur un CD et de ne publier que les photos que nous aurions choisis ensemble.
Nous nous retrouvons donc. Quelque part...
Elle est venue, comme je le lui avais demandé, dans une tenue qui mettait en valeur son corps. Un haut moulant et décolleté, sans soutien-gorge. Une mini-jupe avec des collants. String...
Je commence à la photographier ainsi habillée dans différentes positions : debout, assise, à genoux, baissée, les bras en l'air,... de face, de dos, de profil, en plongée et contre plongée... Je joue de mon zoom passant du plan large au plan rapproché sur la rondeur de ses seins, l'incurvée de ses hanches, les courbes de ses fesses, le galbe de ses cuisses...
Je lui fais enlever le haut. Nouvelle série de clichés sur ses seins, son ventre, ses hanches... De face, de trois-quart, de profil, du dessus, du dessous... Je lui demande de cacher ses seins de ses deux mains, de jouer avec les tétons, de faire glisser ses mains sur son corps...
Puis c'est le bas qu'elle ôte ne gardant que son string... Nouvelles photos dans diverses positions... Je m'attarde sur ses fesses, sur son entre-jambes...
- Est-ce que tu veux bien plonger ta main dans ton string et mimer une masturbation ?
- Mais je ne vais pas la mimer... Me retrouver quasiment nue devant ton objectif inquisiteur me donne des envies... Je suis trempée...
Et sans plus attendre elle glisse sa main sous l'élastique et commence à se caresser...
Clic-clac... Photos de ce geste... La main qui s'agite que je vois en transparence... Si elle est trempée, j'avoue que moi-même je suis aussi dans un certain état d'excitation. Je regrette ma promesse... mais la tiendrai !
Elle y prend goût à ses caresses et commence à pousser des soupirs profonds de plaisir...
- Allons Nina, ce n'est pas le moment... On continue...
A regret, elle ôte sa main... Je m'approche, la lui saisit et la porte à mon visage... Je sens puis goûte ses doigts chargés de sa cyprine... Hummm ! Cette odeur, de goût délicieux !...
- Ote ton string maintenant !
Elle glisse ses pouces dans l'élastique et le fait doucement glisser le long de ses hanches puis de ses cuisses... Je prends des photos en rafale de ce mouvement... Puis nouvelle série de photos sous différents angles dans différentes positions...
Et je lui demande de s'allonger sur le lit... Nouvelle série de près et de plus loin... Objectif rasant le corps montrant les formes et les creux comme un paysage vallonné...
- Tu veux reprendre ta masturbation ?
- Oh oui !
Et ses mains glissent le long de son ventre et elle reprend ses mouvements... Gros plan sur ses doigts jouant avec son clitoris, s'enfonçant entre ses lèvres...
Toute à ses caresses et à son plaisir qui monte, elle ne fait plus attention à moi... Je pose mon appareil et m'assois tout contre elle sur le bord du lit... Je la regarde. Elle a les yeux fermés, une main joue avec ses seins tandis que l'autre s'agite autour de son sexe... Alors, je craque et fais pénétrer deux dans mes doigts dans son vagin. Elle sursaute, ouvre les yeux.
- Je suis toujours habillé !
Pour toute réponse, elle agrippe ma main des deux siennes et lui impulse le rythme et l'amplitude qui l'amènent jusqu'à l'orgasme. Elle jouit profondément.
Alors, je la fais changer de position. Les fesses au bord du lit, les jambes pendantes, écartées... Je m'agenouille entre elle et entreprends un profond cuni qui la mène à un nouvel orgasme...
Lorsqu'elle a retrouvé ses esprits et son souffle, nous nous retrouvons assis côte à côte... Je reprends mon appareil et lui montre les 120 photos que j'ai prises...
Et nous en sommes restés là.

Madame, Mademoiselle, si une telle séance vous inspire et vous donne des envies, n'hésitez pas ! Contactez-moi...

L'ami François qui passe souvent sur mes deux blogs, m'offre ce texte qu'il a écrit.
Merci à lui.
Vous aussi pouvez m'envoyer des textes de votre composition,
racontant une expérience ou un fantasme.
Je me ferais un plaisir de le publier

- Bonsoir, tu es dans la même chambre qu'hier ?
- Oui. Je suis content. Hier a la même heure nous étions ensemble.
- Oui et c'était si doux.
- C'est vrai.
- Es tu fatiguée? Non car ce qui nous arrive donne de l'énergie.

- C'est pareil pour moi.Tu sais je suis nue j'allais prendre ma douche.
- Je te dérange, reprends les textos quand tu as fini.
- Non. J'ai envie de te dire que je ne suis pas réellement nue j'ai ton bijou, cette pierre si sobre en forme de goutte d'eau. Je veux te dire aussi que mes seins ont encore la saveur de tes mains sur eux. Ton doigt qui a effleure ma clavicule puis ta langue qui suivait ma petite veine sur mon sein droit. J'aime quand tu viens lécher mon nombril.
 - J'aime ce que tu me dis. Oui j'aime tellement te découvrir. J'aime ce bijou quand il trône entre tes seins.
 - Ah j'aime tellement que tu aimes. J'aime m offrir et me donner a toi.
 - Moi aussi et tu le sais. Veux tu que je me dénude?
 - Oui j'aimerais.
 - D'accord. Je me sens seul et presque gênée de me dénuder si loin de toi. Je ressens ton manque. J'aurais envie de ta peau ton odeur tes seins qui s'ecrasent sur mon torse.
 - Moi aussi mais imagine. J'aimerais aussi passer ma main sur tes fesses sur tes sacro illiaques que j'aime tant et caresser ton torse.
- Oui tu as raison je ferme les yeux.
- Oui je défais ton noeud de cravate - et tiens je pense combien j'aime glisser ta cravate entre mes jambes et....- puis entr ouvre ta chemise et glisse mes doigts. Mon Dieu que j'aime ton torse avec tes poils ton duvet. Je glisse ma main.
 - Oui continue. Comme tu es nue, je sens ton corps se tendre sous le désir.
 - J'aime ces instants et profitons en. Ta chemise est ouverte et j'aime passer ma main sur ton torse puis ton ventre.
 - Tu me combles j'aime te regarder voir tes seins tes veines qui les irriguent si bien et te les feront gonfler tout a l'heure.
 - Tes mots me touchent tellement. Imagine, je m assieds sur mon canape et tu me regardes debout face a moi.
- Oui tes seins sont triomphants tu t incline legerement en arriere. J'enleve mon pantalon et enleve ma chemise...
- Approches toi je te prends les mains que tu as le long du corps et je sens que tu regardes mes seins mon ventre et que tes yeux regardent ma toison...

- Je veux te caresser les seins te mordiller les epaules.
- Oui fais le je me cambre. Sens tu ma main qui se pose sur ton slip...
- Oui j'aime et t invite a me liberer de mon slip ce que tu fais volontiers.... Ah comme j'aime ces instants. Je me penche vers toi et passe a mon tour mon doigt sur ta veine qui parcourt ton sexe.
 - J'adore et tu le sais et le sens. Je me mets a tes genoux et tu ecartes legerement tes jambes.
 - Ah comme j'aime quand tu es ainsi. Je pose ma main sur ta tete et te guide vers ma toison et j'ecartes plus les jambes.
 -Je m approche ecartes tes levres et commence a te lecher. Je te sens tendu et contente de me sentir ainsi.
- Ah comme tu es doux. Ah j'aime quand en même temps tu poses ta main sur mon ventre. Je pose mes mains sur ton dos.
 - J'aime te sentir ainsi. Je sens que tu es bien ton corps tendu. J'aime te butiner ainsi.
 - Je m allonge sur mon canape et tu continues a me lecher. J'adore l'intensite dans tes yeux quand tu me regardes en cet instant.
- Donne moi ton pendentif.
- Oui je me cambre ce qui te plait beaucoup et te tend ce pendentif dans sa chaine.
- Ta main tremble et je sens ton desir. Tu poses le pendentif sur ma toison, j'aime cette mise en valeur. Puis tu glisse celui ci dans ma fente. Je tressaute car cette pierre m apparaît froide.
- J'aime te sentir ainsi. Je me retourne et m allonge a tes pieds.
- Je descends du canape et positionne ma tete juste au dessus de ta tete.
 - Ah j'aime je te leche je te sens tendue dresse au dessus de ma tete.
- Ah guide ma langue dans ta fente. J'adore.
- Regarde mon sexe tendu.
- Oui j'aime et j'aime le voir bouger ainsi. Oh comme dans langue est vive.... J'aime etre ainsi au dessus de toi. Mon corps est tendu.
- J'ecarte mes jambes et mon sexe est tendu vers toi.
- Ah j'aime.
- En cet instant precis ton corps est tetanise de plaisir et un petit cri t echappe.
- Je jouis en cet instant sur mon ventre.
- Tu te penches t enduis le doigt et le leche... Je sais qu'en cet instant tu es tres pale...

Réédition

Derrière chez moi, y'a un bois, le plus joli des bois... Non ! faut pas exagérer ! Mais j'aime aller y faire un tour, surtout le soir des beaux jours, après le dîner... Et ce soir là, ce petit bois avait un charme particulier...
Un moment, le sentier que je suis longe un parking aménagé le long de la nationale qui passe là. Et ce soir-là, une petite Fiat y est arrêtée. Et, appuyées contre la carrosserie, deux femmes sont enlacées et s'embrassent à pleines bouches, leurs mains parcourant leurs corps. L'une d'elle, belle femme, fine, élégante, n'est pas loin de la quarantaine. Elle est vêtue d'une robe légère boutonnée sur le devant. L'autre, beaucoup plus jeune. Elle pourrait presque être sa fille. 25 ans maximum. Jolie aussi, menue, vêtue d'une minijupe et d'un tee-shirt.
Le spectacle est beau. Je me cache discrètement derrière un bosquet et admire !
Au bout d'un temps, l'ainée s'écarte, ouvre le coffre de la voiture, y prend une couverture et entraîne sa jeune amie à l'intérieur du bois. Tout en marchant, elle commence à déboutonner le haut de sa robe. Elles s'arrêtent non loin de moi. Elle étale la couverture au sol, là où il y a de l'herbe. Et en se redressant, tout en ôtant ses escarpins en les lançant d'un coup de pied, elle fait passer sa robe par dessus sa tête et se retrouve avec uniquement un joli petit string en dentelles noires, les seins, magnifiques, en pleine liberté. Elle s'approche de la fille qui a également ôté ses sandales. Sans attendre et sans hésiter elle lui enlève son tee-shirt. Elle non plus ne porte pas de soutien-gorge. Ses seins sont menus, mignons, semblables à deux petites poires haut placées et bien rondes. La femme prend la fille par la taille, frotte doucement sa poitrine contre la sienne tout en dégraphant la jupe qui tombe elle aussi au sol... La fille porte aussi un string rouge pétant...
Alors elles s'enlacent, cuisses contre cuisses, pubis contre pubis, seins contre seins et leurs bouches se rejoignent de nouveau dans un long et fougueux baiser... Elles se caressent mutuellement, leurs mains s'attardant sur les fesses de leur amie, remontant le long de la colonne vertébrale, glissant sur le côté, effleurant les seins comprimés les uns contre les autres...
L'ainée glisse sa main entre elles deux. Elle descend le long de leurs ventres, s'arrête à la lisière de leurs strings puis se faufile sous l'élastique rouge, continue à glisser encore un peu, s'immobilise. Alors la gamine se tend, se crispe, gémit comme si elle avait reçu une décharge électrique ! L'autre la retient en plaquant sa main libre contre ses fesses... Leur baiser se fait plus violent encore ! La jeune s'accroche au fin élastique du string en dentelles noires comme si elle voulait l'arracher. Elle faufile sa main à l'intérieur... Elles restent un moment ainsi, offrant et recevant, se branlant mutuellement, goûtant l'immense et délicieuse sensation, s'humectant les doigts de la liqueur de la chérie...
C'est la plus jeune qui se sépare la première, enlève son ultime rempart. Son pubis apparaît, rasé de près... L'ainée enlève aussi le sien, montrant sa magnifique toison que l'autre, qui se trouve déjà à genoux à ses pieds, broute à pleine bouche, pétrissant violemment les deux fesses de l'amie. Celle-ci se laisse faire, écarte les cuisses pour faciliter l'accès de la langue, ondule du bassin, va à la rencontre des sensations, du plaisir... Elle respire fort... Femelle en chaleur, elle veut jouir ! Mais elle n'est pas égoïste, s'agenouille contre son amante, la fait s'allonger sur la couverture, lui fait écarter les jambes, plonge son visage entre elles et s'active avec sa bouche contre la vulve tant désirée, tout en pétrissant un sein puis l'autre...
Mais la fille veut encore se désaltérer à la source... Elle glisse sa main vers la toison, se faufile là, disparaît presque entre les belles cuisses galbées, entre les lèvres humides...  Et force ainsi l'autre à s'allonger à son tour, tout contre elle, têtes-bêches, cuisses ouvertes... Et elle retourne laper la précieuse cyprine...
Elles s'agitent ainsi un moment, les doigts chargés d'humidité pénétrant sans mal aucun le cul de l'amante... Elles se tortillent, ondulent, louvoient des hanches, vont et viennent contre le corps de l'amie, se masturbent contre lui et masturbent la chérie, elles râlent, gémissent, poussent des petits cris... Puis se tendent, se crispent, crient presque... et jouissent.
Elles restent ainsi de longues minutes enlacées, visages contre sexes. Puis la grande se sépare, se lève et, sans un mots, se rhabille... La jeune fait de même... Un dernier baiser. Elle ramasse la couverture et elles repartent, main dans la main, vers la voiture. Qui démarre doucement...
Et moi ? J'ai hésité à me montrer. Pourquoi faire ? Elles n'avaient pas besoin de moi et j'aurais, assurément saccagé leur bonheur... Je me suis contenté, bêtement, d'ouvrir mon pantalon, de sortir mon sexe dressé et de le caresser... J'ai joui en même temps qu'elles, violemment, solitairement, bêtement...
Je suis revenu le lendemain. Elles n'y étaient pas. Pourtant j'ai attendu un peu... Décidément, on ne peut compter sur personne !

Faites comme ces femmes,
Mesdames, Mesdemoiselles,
n'hésitez pas à m'envoyer des photos de vous
pour mon album Vous ou
pour Vos Portes du Paradis.

Nina, une nouvelle jeune amie venue sur mon blog.
Elle a osé !
Sa Porte du Paradis ne semble t'elle pas accueillante ?

Madame, Mademoiselle, fidèles à ce blog,
faites comme Nina.
N'hésitez pas à m'envoyer une photo de votre intimité
qui rejoindra mon album "Vos Portes du Paradis".

Doux baisers. Là ! !

Je vous présenterai plus tard
d'autres photos de Nina...
Grand merci elle !

Mais nous, les hommes, on aime aussi.
Y a t'il un homme parmi vous
qui n'aime pas recevoir cette caresse ?

Réédition

Une amie d'ami se forme aux massages chinois. Et elle propose à qui veut de prêter son corps pour qu'elle s'entraîne moyennant quelques euros pour l'aider à payer son loyer et ses huiles de massage... Je conviens donc au téléphone d'un rendez-vous et sonne chez elle, au 3ème étage d'un immeuble, à l'heure dite.
C'est une jolie femme toute menue, toute souriante qui vient m'ouvrir. La trentaine environ.
Elle me fait entrer dans son séjour où est installée une table de massage... Le soleil rentre à flot par de grandes baies vitrées... Nous faisons rapidement connaissance. Elle me dit le rite : elle va faire brûler de l'encens si cela ne me dérange pas ; c'est sensé me détendre. Et puis elle va mettre un cd de musique douce. Le disque dure une heure, la durée de la séance de massage... Elle va utiliser des huiles qui sentent assez fort... En l'écoutant, j'observe -elle est devant la fenêtre- en transparence que sous sa blouse blanche elle est nue, ne portant qu'une petite culotte rouge...
- Vous avez des questions ?
- Non, je pense que ça va aller... Je me livre entre vos mains...
- Vous voulez bien vous déshabiller... Vous ne gardez que votre slip...
Je me déshabille donc. Elle me regarde. Quand je suis prêt, elle me fait signe de m'allonger sur le ventre, sur la table... Elle met la musique, allume l'encens... Tire le rideau...
- On commence. Attention, je vais vous verser de l'huile sur le haut du dos. Au début c'est un peu froid...
Et elle commence à me masser la nuque, les épaules, les omoplates... Elle a la main douce et à la fois ferme.
- Il y a longtemps que vous faites des massages comme ça ?
- Ca fait 9 mois. Mais j préfère qu'on reste en silence. Laissez-vous faire, concentrez vous là où sont mes mains... Et il faut que je me concentre aussi...
Bon !... Je me tais donc ! Elle descend le long de ma colonne vertébrale, s'attardant sur chaque vertèbre, une à une... Ses mains glissent... passent sur le côté... La taille... Elle s'y attarde... C'est bon... J'ai souvent mal là quand je suis fatigué...
- Vous permettez ?
Sans attendre une réponse, elle tire l'élastique de mon slip sous mes fesses... Fesses qu'elle presse, malaxe... Elle y met toute sa force. Je l'entend accompagner chaque pression d'un profond soupir pour accompagner son effort. Puis remet l'élastique en place... Elle a provoqué en moi un début d'érection... Humm ! Que c'était bon...
Elle part à mes pieds... Me fait écarter légèrement les jambes. Et commence à s'occuper d'un pied. Orteil après orteil... Le tarse et le métatarse... Et puis la cheville, le mollet, l'arrière du genou... L'arrière de la cuisse... Puis elle enveloppe la cuisse de ses deux mains et lentement monte du genou jusqu'en haut... Plusieurs fois... Chaque fois sa main qui à l'intérieur vient buter contre mon périné, mes testicules... Puis elle passe à l'autre jambe qui subit le même traitement, lent, doux et ferme à la fois... Je suis extraordinairement bien...
- Vous pouvez vous mettre sur le dos maintenant ?
La honte ! Evidemment qu'il faut se mettre sur le dos... Mais je bande. Elle va le voir...
De nouveau elle s'attaque à mon épaule puis le bras, le coude, l'avant bras, le poignet, la main, chaque doigt l'un après l'autre, phalange par phalange, s'attardant sur chaque articulation... Puis elle fait le tour de la table, s'occupe de l'autre bras... Puis la poitrine, le ventre... Sa main glisse légèrement sous l'élastique de mon vêtement, effleure par inadvertance mon sexe tendu... plusieurs fois... Elle continue comme si de rien n'était...
Et puis elle reveint à mes pieds... remonte doucement le long de ma jambe... Passe de nouveau sous l'élastique, un autre, pour me masser l'aine... Elle est penchée sur moi... Elle a les yeux fermés, de temps en temps les ouvre le regard fixé sur la forme à travers le tissus... Par l'échancrure de sa blouse je vois ses deux seins, deux magnifiques petites poires qui pendent...
Elle passe à l'autre jambe... Même parcours... Même effleurement... Même regard... Même vision... Je vais exploser... Je le crains...
Et alors arrive l'inattendu... L'inespéré, devrais-je dire !
Elle pose une main à plat sur la bosse de mon slip...
- Tout cela vous fait de l'effet, à ce que je vois !
Et sans rien attendre, d'autorité, elle tire sur l'élastique vers le bas... Je soulève légèrement les reins pour laisser le passage... Elle m'enlève complètement ma seule protection... Mon sexe libéré et gonflé se couche sur mon ventre... Elle se remplit le ceux d'une main d'huile et prend mon vit à pleine main... Elle le branle tandis que l'autre masse mon périné, glisse sous mes fesses, pénètre dans le sillon... Elle fait rouler mes testicules entre ses doigts... Elle découvre complètement mon gland, l'enduit de cette matière  grasse, le frotte doucement de la paume tandis que l'autre main va et vient le long de la hampe... Je tend la main, veux la toucher, la caresser aussi... Elle est hors d'atteinte... Je veux me redresser...
- Ne bougez pas, laissez-vous faire...
Je ne peux plus tenir... Je vais craquer... Je craque... Je jouis... Mon sperme jaillit violemment sur mon ventre, sur ma poitrine, jusqu'à mon cou... Elle accompagne chaque jet d'un savant mouvement de main... Elle sait y faire la bougresse...
C'est finit. Elle s'écarte de la table. Le disque s'arrête... Elle tend une serviette.
- Une heure juste, vous voyez... Essuyez-vous. Dans le couloir vous trouverez la salle de bain. Prenez une douche... et rhabillez-vous !
Et elle disparait par une porte dont je l'entend tirer le verrou... Je me retrouve seul et ne peux qu'obéir...
Lorsque je reviens cinq-dix minutes plus tard, je la trouve assise sur un pouf. Les rideaux ont été tiré et de nouveau le soleil inonde la pièce. La table a été pliée et est dans un coin... Sur la table basse, une théière et deux tasses.
- Je vous offre un thé ? Asseyez-vous...

Réédition

Ces belles courbes qui font la femme :
courbe de sa nuque
courbe de ses épaules,
courbe de ses deux seins,
courbe de ses hanches,
courbe de ses reins,
courbe de ses fesses,
courbe de ses cuisses...

Courbes qu'on veut suivre
du bout des doigts,
du plat de la main,
de la langue,
des lèvres,
avec son sexe aussi...

Courbes qu'on veut épouser
avec son propre corps,
suivre ses méandres
avec ses propres courbes :
celle de mon bras qui enlace,
de ma langue qui embrasse,
de ma main qui effleure,
de ma cuisse qui se glisse
entre les siennes,
de mon sexe qui se glisse
au plus profond du sien.

Des bouts d'elles !
Vous aviez compris...