Le Démon de Midi

Avec retard...
Mais avec un salut spécial à celles et ceux
qui ont le droit d'aimer quelqu'un de leur sexe...
Quoiqu'en disent les soi-disant "âmes pures"
qui n'hésitent pas de leurs côtés à exploiter d'autres personnes,
à vendre des armes, à traficoter en bourse... !
Ceux qui au nom de la charité chrétienne
se permettent de mépriser et de rejeter le différent !
Aimez-vous les uns les autres, qu'Il disait !...

Des dessins de Martin Van Maele (1863-1926), de son vrai nom Maurice Martin, nom nettement plus banal !
J'imagine qu'avec de tels dessins, les ensoutanés, les brandisseurs de chapelets, les bigottes de bénitiers, ... ont du le vouer au diable !...

Ca fait du bien dans ce rythme effréné !
Je m'allongerais bien volontiers tout contre elles !

Peintre dessinatrice (1904-1985)
Elle s'est mariée... Mais n'aimait-elle pas les femmes ? L'histoire ne le dit pas.
Mais du moins elle aimait les dessiner...
Et en jolies compagnies !
Vous la connaissez ? En savez plus sur elle ? Eclairez-moi !...

J'aime quand tu t'occupes de mon sexe avec ta bouche.
Quand, alors que je suis allongé nu sur la couche,
tu te penches sur moi et le couvre de baisers.
Ou alors quand tu es à genoux à mes pieds,
moi debout et toi comme soumise...
Ou encore quand sur le bord du lit tu es assise,
je suis droit devant toi entre tes jambes ouvertes...
J'aime quand mon sexe gonfle sous tes caresses buccales.
Quand tu lèches ma hampe gonflée de désir,
que tu gobes mon gland turgescent...
Hummm... Sentir ta langue l'envelopper,
la pointe pénétrant le méat...
J'aime quand tu le suces, que tu l'aspires,
le tètes, le suçottes, le lèches comme une glace...
Et quand tu prends tout mon phallus en bouche,
le rejettes, le reprends comme si tu voulais le dévorer...
Et quand tes mains s'en mêlent...
allant et venant le long de la tige,
variant l'amplitude, le rythme, la pression,
alliant leur effet à celui de tes lèvres, de ta langue...
Quand elles jouent avec mes testicules,
les faisant rouler doucement entre les doigts...
Ou qu'elles se faufilent entre mes cuisses,
qu'elles caressent, massent mon périnée,
et viennent effleurer mes fesses...
J'aime rester ainsi passif,
tout livré à ton savoir faire jouir...
Sentir ainsi le plaisir monter
prêt à exploser
l'esprit tout concentré
sur ce lieu névralgique
magique
dont tu t'occupes si bien...
Quand la tension est trop forte,
que je ne peux plus rien maîtriser,
je te préviens pour ne rien t'imposer.

Quel homme est insensible à une telle caresse,
au plus beau des baisers ?...
Et toi, amie, aimes-tu prodiguer cette caresse à l'homme que tu aimes ?

... belles amies.

... pour quelques jours...
... voire plus !
Mais je penserai à toi !
Bises.