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Le Démon de Midi

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26 juin 2007

Véro - 1 : La rencontre

Avec Véro, qui vient régulièrement sur mon blog et je vais régulièrement visiter le sien, Erotissimo que je vous invite à aller visiter également, avec Véro, donc, nous avons décidé de raconter une renconte érotique à deux mains... Chacun écrit sa partition, chacun son tour, en tenant compte de ce que l'autre a écrit avant... C'est comme en amour... Chacun prend ses initiatives, a ses réactions... et le partenaire s'adapte et apporte ses propres initiatives !...
Nous ne savons pas où ça va nous mener... On verra... En bleu : ce que j'ai écrit ; en rouge, ce qu'a écrit Véro. Bonne lecture et merci de vos réactions...


LUI
Cela fait un moment que je communique par internet avec Véro… Nous avons chacun un blog que nous voulons l'un et l'autre consacré à l'érotisme, aux plaisirs des corps qui se cherchent, qui se trouvent, qui se frottent, qui se caressent, qui se font jouir… Chacun notre style. Véro, elle, c'est la poésie… Elle trouve des beaux textes… Moi c'est plus l'expression de mes fantasmes, de mes envies… Nous nous sommes découverts mutuellement un peu par hasard, nous avons échangé des commentaires nous disant comment nous recevions les textes de l'autre… Et puis un jour, nous nous sommes dit un peu plus qui nous étions. Et nous avons décidé d'oser la rencontre. Et c'est aujourd'hui.
Nous devons nous retrouver dans un restaurant de sa ville à midi trente. Il fait chaud. Je me suis habillé léger.
Je suis un peu inquiet. Comment est-elle ? Nous n'avons pas voulu échanger de photo. Ca va être la surprise. Et comment va t'elle me trouver ? Trop vieux pour elle ? J'ai de la chance, je n'ai pas de cheveux blancs. Enfin, pas trop ! Pas de ventre non plus !… Elle aime les beaux textes. Mais a t'elle de la conversation ? Je l'ai idéalisée, bien évidemment. Dans mes rêves, c'est la plus belle… Je l'imagine… Et je nous imagine !… Comment ce peut être autrement ? Nous avons tellement aimé nos textes parlant d'amour, de sexe, de corps frissonnant, de corps mêlés… Nous savons bien chacun que l'autre aime ça ! Alors je me dis que si elle a accepté cette rencontre, c'est peut-être qu'elle veut elle aussi… Mais peut-être que je me trompe complètement. Qu'elle ne souhaite pas du tout faire l'amour ou du moins pas avec moi. Et peut être que je ne vais pas lui plaire ou qu'elle, elle ne va pas me plaire… Et si elle me plait, comment lui dire que je veux coucher avec elle, là, maintenant ?… Elle va me prendre pour un vieux dégueulasse lubrique et je vais me ramasser une baffe !…
Toute ces pensées provoquent un léger fourmillement dans le bas de mon ventre et je remarque que ma braguette est légèrement enflée !… Il ne manque plus que ça que mes pensées lubriques se voient !
J'arrive devant le restaurant indiqué… Il y a déjà du monde… Elle m'a dit qu'elle y serait déjà… Et comme signe distinctif, un livre érotique qu'elle lirait en m'attendant.
Elle est là ! C'est elle ! Nos regards se croisent… Echange de sourires… "Véro ?" ; "Domi ?" ; "On peut se faire la bise ?! "


ELLE
« Je t’en prie » Alors le voilà Monsieur Domi. Etrange je l’imaginais plus grand, un peu plus vieux aussi. Mais il est pas mal du tout. Moi qui n’ait toujours été attirée que par les hommes qui n’ont pas encore atteint les quarante ans, il a vraiment beaucoup de charme. Et… non Véro ne commence pas à l’imaginer nu. Il n’a peut-être aucune envie de toi maintenant. Et puis tu ne le connais même pas. Bon d’accord sa chemise légèrement déboutonnée laissant dévoiler un torse légèrement velu t’excite et tu aurais bien envie de la lui déboutonner complètement. Mais quand même un peu de retenue ma fille. Et comment va-t-il me trouver ? Et s’il avait horreur de mes rondeurs ? D’accord par nos échanges l’érotisme battait son plein. On sentait un désir mutuel, mais là nous ne sommes plus dans le virtuel. Et que va-t-il penser si tu lui dis comme ça de but en blanc que tu as envie de le croquer ? Non franchement tu ne peux pas. Et pourtant… un à un je lui déferais bien ses boutons de chemise pour voir son torse. Sentir son odeur. J’aime l’odeur de l’homme qui se dit qu’il va faire l’amour. Il a dans sa peau le sexe qui respire.
Allez on se fait la bise. Hum il sent divinement bon.
Cesse de trembler Véro, ce n’est qu’un déjeuner après tout. Un déjeuner peut-être, mais et ensuite ? Et comment va se passer ce déjeuner ? Depuis ce matin je l’imagine. Mais sera-t-il distant ou jouera-t-il le jeu ? Je l’imagine caressant de son pied mes jambes et montant doucement sous la table. Ce n’est pas pour rien que j’ai mis cette jupe longue et ample, et mon chemisier décolleté. Aime-t-il les poitrines généreuses ? Ca y est je suis déjà toute excitée. Est-ce que ça se voit ? J’ai vraiment envie d’un après midi sexe, brut de sexe.
Nous passons à table. Galant il me présente la chaise ! C’est rare de nos jours. Son parfum est un véritable aphrodisiaque. Le sait-il ? Et si je lui disais maintenant « On prend une chambre ? ». 
- Tu as fait bon voyage ? le trajet n’était pas trop long ?
- Oui c’était très bien.
Tu as vu ? j’ai fait tourner les regards avec mon « Vénus dans le cloître » à la main…

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25 juin 2007

Soirée Créole

Valérie m'envoie un nouveau texte qu'elle a écrit... Chaud ce numéro à trois !...

Je n’accepte que très rarement une invitation à dîner un soir de semaine, trop fainéante peut-être après la journée de boulot. Mais Erica et Alain sont de très bons amis et voulait me remonter un peu le moral suite à ma rupture avec J., je ne pouvais refuser, et je ne le regrette pas, la soirée fût excellente.

Je savais qu’Erica avait prévu un repas créole, je suis donc venue avec une bouteille de rhum dans les mains, et pour sûr, nous lui avons fait honneur…

- Minuit déjà ! Je vous aide à débarrasser et à faire la vaisselle et je file.

- Non laisse, je voudrais te montrer mes dernières trouvailles, Alain jouera la maîtresse de maison pendant ce temps !

Fou rire général ! On dirait que le rhum commence à faire sacrément effet ! Après ce petit instant de folie, alors qu’Alain prend effectivement son rôle très au sérieux, je suis Erica dans leur chambre, elle veut me montrer la lingerie qu’elle vient de s’acheter, c’est d’ailleurs grâce à a lingerie que nous nous sommes connues, à l’époque elle était vendeuse dans ce domaine et moi cliente ! Elle était très bonne conseillère, peut-être parce nous avions les mêmes mensurations ?
Immédiatement, sa petite robe qui lu allait à ravir tombe à terre !

- Tiens regarde celui-là, c’est mon préféré !

Oui en effet, cette dentelle noire était superbe, très classe. Farfouillant dans ses tiroirs, elle offrait à ma vue son super cul. Je ne sais pas ce qui m’a pris, mais ma main à couru sur ses deux globes bien fermes, j’ai immédiatement prétexté que c’était pour toucher l’étoffe. Elle fit semblant de me croire… Elle se releva et sorti au moins une bonne dizaine d’ensemble différents, strings, boxers, soutien-gorge et caracos recouvraient le lit. A tour de rôle, nous jouions les mannequins, des allers et retours dans la pièce, mais enivrées de rhum et de rires, nous finissons par nous écroulons ensemble sur le lit. Furtivement, Erica me déposa un baiser sur les lèvres. Elle me dit que c’était une vengeance à la suite de ma main aux fesses.
Une délicieuse vengeance, à tel point que je lui rendis son baiser, elle s’est laissée faire, elle en a même redemandé. Moi aussi. Nos mains sont parties à la découverte de nos poitrines respectives, de nos ventres, de nos cuisses… Quand soudain, Alain débarque en furie dans la chambre, s’inquiétant du soudain silence… Surprise ! La fée du logis cru rêver… Oh pas longtemps si je me souviens bien… Il est rapidement venu prendre place entre nous. Baisers à trois langues, caresses à six mains, plaisir divin. Un regard complice échangé avec ma belle créole, et nous nous jetons sur la belle queue dressée entre nous. Tandis qu’Erica caresses et gobe ses deux couilles, moi je m’atèle à sucer et téter son gland, déjà luisant de désir et d’envie. Mes lèvres lui procurent le plus beau des baisers. Alain ne tarde pas à jouir de ce duo sur son intimité, nous partageons toutes les deux sa liqueur dans un baiser passionné.
En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, notre bel étalon retrouva une vigueur impressionnante.
aJe me suis laissée guider par mon couple d’hôtes. Toujours allongée sur le dos, lascivement, les deux mains masculines se sont refermées sur mes seins, tandis que les deux mains féminines se sont posées sur mon bas ventre, et ont glissées très rapidement entre mes deux cuisses bouillantes. Elle ne tarda pas à utiliser sa langue en complément de ses dix doigts. Alain, délaissa le haut de mon corps pour se placer derrière Erica, la croupe en l’air, les riens cambrés, il l’a pris par les hanches et d’un coup de rein précis la pénétra ! J’étais un fruit bien juteux, et ma gourmande me léchait goulûment pour ne rien perdre de mon plaisir, elle-même dégustée par une tige en folie, un va et vient incessant, une symphonie érotique à trois, nos respirations, nos gémissements se mêlaient, nous étions proche du bouquet final. Un doigt curieux explorant ma grotte secrète me fit rendre les armes… Je jouis la première mais mes deux acolytes ne tardèrent pas à faire de même, j’ai presque jouis une deuxième fois en regardant leur visage se tordre sous le plaisir, Erica a fermé les yeux et s’est pincée les lèvres en basculant sa tête en arrière, tandis que qu’Alain plongea son regard sur ma poitrine, et ouvrit la bouche pour laisser filer un râle viril de victoire.

Épuisés de ce trio improvisé, nous nous sommes endormis sans dessus sans dessous.

22 juin 2007

Nouvelles photos

De nouvelles photos et nouveaux dessins dans mes albums...

a   a1   a2

 

Je suis preneur si vous en avez de belles.

 

22 juin 2007

Femme enchainée.

Suite à mon appel de mon dernier message, Sandrine m'a envoyé plusieurs dessins. Dont celui ci :

a1

Des dessins de femmes attachées, violentées. Les dessins sont beaux, ni trop crus, ni trop hards. Mais où la femme est tout de même un peu considérée comme un objet de plaisir... Sandrine me dit qu'elle aime être attachée, qu'elle adore même. Elle tient un blog que vous pouvez aller voir.

Et au milieu de ces dessins, il y a aussi celui-ci.

a

Un sentiment de grande liberté... C'est drôle de voir ensemble ces deux dessins. Qu'en pensez-vous ?

Je veux faire un double appel
1 - Que vous inspire ce dessin. Pouvez-vous m'envoyer un texte, un poème qui l'illustrerait ?
2 - pouvez-vous suivre l'exemple de Sandrine et me faire parvenir dessins et photos que nous pourrions raconter...

20 juin 2007

Littérature érotique.

Je n'ai aucune action dans la collection Librio, cette collection de livres à 2 euros. Mais je vous conseille tout de même de lire dans cette collection quelques livres.

bVénus dans le cloître, de Abbé du Prat, un roman d'éducation sexuelle à l'usage des jeunes filles.

Les infortunes de la vertu, de Sade. Après avoir été l'objet des fantasmes sexuels de bien des hommes qui en abusaient et la jetaient ensuite comme un kleenex (manière de parler car ça n'existait pas à l'époque) Justine se retrouve dans un couvent. De pratiques abominables en exercices cruels, les moines libertins célèbrent alors de curieuse façon les mystères divins. Et la trop sage Justine, victime rêvée, ne sait qu'attiser leurs coupables désirs.

♥  Fanny Hill, la fille de joie, de John Cleland. Fanny l'orpheline raconte les aventures qu'elle a connues après avoir quitté le village de son enfance et les circonstances qui l'ont conduite à faire commerce de son corps avant de retrouver l'amour de sa vie.

♥  Deux filles et leur mère, de Gilles de St Avit. L'éducation sexuelle, le moins qu'on puisse dire débridée, de deux jeunes filles par leur mère et leurs copines. On y lit entre autre comment un jeune étudiant est dépucelé par 4 jeunes filles. Chacune d'elles tire deux papiers : une première série numéroté de 1 à 4 qui donnera l'ordre de passage. Sur les papiers de la deuxième série sont écrits les mots doigts, con, bouche et cul qui indiquent la manière dont le gars devra jouir.. « Tu ne pourras sortir d'ici que lorsque tu auras vidé tes couilles 4 fois ! Pour nous montrer qu'on est toutes désirables. Sinon je te promets une bonne correction !
Evidemment la première fois, ça fonctionne bien d'autant plus que la fille « empalla son vagin étroit sur sa verge ». La seconde lui fit une fellation et l'éjaculation ne tarda pas trop non plus. La troisième dut le masturber. Mais le sexe était mou ! Et pour le raidir elle eut l'idée de lui enfoncer un doigt dans le cul... Quand à la quatrième, elle devait se faire sodomiser ! Et alors là, ce fut bien difficile d'avoir un sexe d'une raideur capable de pénétrer le cul étroit... Mais tout finit bien...
Et pendant que chacune leur tour les filles étaient occupées avec le gars, les trois autres s'en donnaient à coeur joie, se lutinant mutuellement...

♥ Il y a aussi bien sûr les 11000 verges de Guillaume Appolinaire (voir extrait sur ce blog) mais pas dans cette collection

♥ Et d'autres...

Partagez votre savoir en la matière et indiquez des livres que vous avez aimés.
Je ne sais pas ce que de tels livres provoquent chez les femmes et j'aimerais le savoir mais je peux vous assurer que cette littérature me provoque de sacrés érections, fantasmes et envies !

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13 juin 2007

Désirs de reines, désirs de rois

Un nouveau site que je vous engage à aller visiter, Désirs Divins.

C'est là que j'ai pris cette photo très sensuelle.

a

11 juin 2007

Jeunes femmes

Ilsa, Malou, d'autres jeunes femmes aussi, jeunes filles même, me disent qu'elles apprécient les photos ou dessins, de femmes faisant l'amour ensemble que j'ai pu mettre dans mon blog.
Une fille qui me dit avoir 18 ans m'écrit un com. "je trouve que deux filles ensemble c'est beaux et surtout plus romantiques bisous". Et dans l'échange courriel qui a suivi elle me dit qu'avec sa cousine elles aiment se "toucher" l'une l'autre.
Une autre de 24 ans me dit "Quand je vois ce genre de dessins, je suis toute emoustillée". ET elle me dit qu'elle est bi, que ce n'est pas l'essentiel de sa pratique sexuelle (quand on voit son blog, on s'en rend compte !) mais  qu'elle aime aussi aller avec des femmes et qu'elle a initié des copines aux amours lesbiens.

a1


Alors j'aimerais demander à Malou, à Ilsa et aux autres de me raconter cette image...
Quand j'ai trouvé ce dessin, j'ai pensé à vous et je me suis dit que c'était vous...
Jeunes et jolies et pleines de grâce !...

11 juin 2007

Soumise

Un nouveau texte que me confie Valérie. Merci à elle et vous toutes n'hésitez pas à faire de même. Il me plait d'autant plus que je me sens visé puisque ce texte m'est adressé...

Tu me plais ! Tu m’attires, une de ces attirances purement physiques, charnelles. Je ne doute pas que tu es charmant en tout point mais là, j’ai envie de toi, rien de plus.
Evidemment le mâle que tu es, ne refuse pas ce moment intime, mais avoue que tu te sens un peu déstabilisé de mon initiative… Alors je te laisse prendre la suite en mains…
Dans le hall de l’hôtel, alors que tu règles la réservation de la chambre, tu dragues la réceptionniste en affichant ton sourire de séducteur et, culotté au plus au point, en même temps ta main gauche se pose sur mes fesses… Je rougis légèrement de cette initiative.
Arrivés dans la chambre, tu prends soin d’accrocher la petite pancarte « do not disturb » à la poignée. La porte à peine fermée tu m’ôtes mon manteau, et me fais asseoir sur le bord du lit. Tu enlèves mes escarpins, d’abord le droit, puis le gauche, tu caresses le bas de mes jambes, je suis en jupe, tu ne sais pas encore si je porte des bas ou des collants. Tu te relèves, ôtes à ton tour ta veste, ta cravate et tes chaussures.
Je te demande de tirer les rideaux, je me sentirais plus à l’aise dans la pénombre mais tu refuses et me dis que de toute façon je serais dans le noir, que je ne dois pas m’inquiéter.
Je ne comprends pas…
Tu me demandes de fermer les yeux quelques instants, ce que je fais… Je sens le matelas se creuser, je sens ta chaleur derrière moi, ton souffle dans ma nuque et puis soudain, une bande de tissu, ta cravate j’imagine car l’étoffe sent ton parfum, vient m’effleurer, me caresser le visage avant d’emprisonner mes yeux. Un petit sursaut de peur m’envahit mais tu es doux et rassurant. Mon corps est tendu, ma peau à l’affût de tes touchers, je me concentre sur ta respiration, sur les bruits de tissus, imaginant tes mouvements, tes positions…
Tu n’es plus sur le lit avec moi, on dirait que tu fouilles dans ta sacoche, est-ce pour en sortir quelques accessoires ?
Non, j’ai du me laisser entraîner par mes fantasmes, tu t’es simplement déshabillé. Tu t’es replacé derrière moi, ton ventre et ton sexe contre le tissu de mon chemisier, tu caresses mes cheveux, laisse glisser un doigt sur ma nuque, si j’en crois l’évolution de ton dard, tu es tout aussi excité que moi. Tu m’allonges sur le lit et viens te positionner à califourchon sur moi. Tu entreprends de déboutonner mon chemisier d’une lenteur insensée mais diablement sensuelle, tes doigts sucent ma peau à chaque étage, c’est délicieux. Arrivé au terme de ton exercice, tu écartes presque violemment les deux pans de tissu, dévoilant ainsi ma poitrine, retenue par quelques centimètres de dentelle noire. Je soulève légèrement mon dos pour dégrafer mon soutien-gorge mais tu m’en empêches et plaque mes bras contre le matelas, tes mains appuyées sur les miennes pour m’interdire tout contact. J’ai peur mais cette peur me procure un plaisir inédit.
Tes lèvres se posent sur ma bouche, ta langue tente un passage en force entre mes lèvres, je ne cède pas. Je ne cède pas… Je cède, tu viens de me faire définitivement comprendre que tu es le maître et que je n’ai le droit que d’obéir et de me laisser faire.
Tu continues, tu baises ma bouche avec intensité, je crois que je pourrais déjà jouir de cette situation.
Je sens ton sexe qui bat contre mon ventre, mon corps est de plus en plus en éveil, je m’accoutume de ce bandage sur mes yeux.
Ta bouche vient glisser dans mon cou, puis au creux de mes seins mais tu ne t’y attardes pas, tu poursuis ton chemin vers mon nombril, sur mon ventre, te voilà coincé par le bouton de ma jupe, que vas-tu faire ? Le déboutonner, je t’en prie, je veux que tu me libères. Mais non, tu sembles t’être légèrement décalé, je sens tes mais sur mes cuisses, remontant sous ma jupe, tu te rends enfin compte que je porte des bas, tu tires un peu sur le liseré dentelé, puis tu remontes encore jusqu’à mon slip, d’un mouvement précis tu me fais lever légèrement les fesses et attrapes cette culotte sur mes hanches pour la faire glisser à mes pieds. Tu tires sur ma jupe, j’ai du mal à reconnaître tes gestes, jusqu’au moment ou je sens tes joues mal rasées irriter mes cuisses, où je sens ton visage se faufiler sous cette fichue tenue… Un sursaut de plaisir puis un gémissement lorsque ta langue s’est promenée sur mes grandes lèvres, un deuxième gémissement plus langoureux quand ta langue s’est appuyée sur mon bouton déjà bien fleurit. Quelle divine sensation, ta bouche sur mon intimité, cherchant les endroits les plus sensibles, mon miel coule sur ta langue… Quelques courtes minutes de cette danse me suffisent à jouir violemment…

8 juin 2007

Trouble

Je ne sais pas pourquoi mais ce dessin me trouble particulièrement.
Peut-être l'impression de fragilité de la femme dans la bourrasque.
Peut-être la jeunesse du modèle,
jeunes seins, taille adolescente !...

a

Qu'en pensez-vous ?

8 juin 2007

Un peu d'humour...

Dessin envoyé par une jeune femme avec qui j'étais en grande amitié. J'ai cru que c'était une invitation mais ce ne l'était pas ! Dommage ! Mais nous sommes restés très amis quand même ...

Panneaux_20de_20l_amour

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