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Le Démon de Midi
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7 juillet 2010

La Réunion

La Réunion, un lieu magique où j'ai vécu quelques bonnes année et qui a laissé quelques traces dans mon coeur et ma mémoire. La Réunion, île d'où Anna Galore, dont je vous ai parlé récemment, est originaire... Ce n'est qu'à La Réunion qu'elle pouvait situer cette histoire que voici, extrait de "J'ai encore treize envies", tant cette île est pleine de sensualité...
Ah, ce chemin entre Dos d'Ane et Grand Ilet, au coeur de Mafate ! Ce ti-punch, le massalé !
Jasmine, je l'ai rencontrée, aimée... Ou, si ce n'était pas elle, c'était une autre qui lui ressemblait. Il y a beaucoup beaucoup de Jasmine à La Réunion.

Yves et moi, on est amis depuis l’adolescence. On a connu le grand amour à peu près

en même temps et, le jour où il s’est fait plaquer par sa chérie, j’ai découvert que la mienne
s’envoyait en l’air avec un autre depuis des mois.
L’autre, c’était lui. On s’est bien engueulés et on a rompu tous les ponts.
J’ai pris l’habitude de vivre seul et de voyager loin. Une de mes passions, c’est la
randonnée. C’est comme ça qu’un beau jour, je me suis retrouvé à La Réunion, avec le
projet de faire un peu de plage et beaucoup de marche dans les paysages somptueux des
cirques de Mafate, Salazie et Cilaos, les trois immenses cratères éteints qui forment le
centre de l’île.
Après l’atterrissage à Saint-Denis, j’avais pris ma première nuit dans un petit hôtel
de La Possession. Le lendemain, je me suis fait déposer par un couple de touristes à Dos
d’Âne. J’ai admiré la vue incroyable qui portait sur des dizaines de kilomètres. On
distinguait plusieurs îlets, ces petits hameaux perdus au milieu des amoncellements
chaotiques de lave vieille de deux millions d’années à peine, partiellement recouverts de
végétation luxuriante. Sur ma droite, de l’autre côté du lit presque sec de la Rivière des
Galets, je pouvais voir un chemin minuscule courant vers le sud, à flanc d’une pente quasi
verticale. C’était par là que je reviendrais à la fin de mon circuit, une semaine plus tard.
Mais pour le moment, cap à l’est, en direction de Salazie et du fameux Trou de Fer,
la cascade vertigineuse qu’on ne pouvait atteindre qu’à pied ou en hélico. Les falaises face
à moi culminaient à plus de deux mille mètres d’un bout à l’autre de l’horizon. Elles
retenaient de justesse une énorme masse nuageuse qui devait arroser toute la façade
orientale, comme d’habitude. Par contre, au dessus de moi, il faisait beau.
Je suis plutôt bon marcheur. Pourtant, pendant les premiers kilomètres de mon trek,
j’ai été doublé à plusieurs reprises par des natifs qui semblaient se promener sans effort,
mais avançaient deux fois plus vite que moi sous un soleil de plomb.
J’ai atteint Grand Îlet en fin de journée, lessivé. Je me suis avancé sur le pas de la
porte grand ouverte de la première maison qui proposait des chambres. Des éclats de voix
résonnaient quelque part à l’intérieur. Une querelle entre un homme et une femme. Ils
parlaient en créole et je n’en pipais pas un mot, surtout à la vitesse à laquelle les phrases
fusaient. Je me suis demandé si je ne ferais pas mieux de repartir quand un mec plutôt
baraqué a jailli de l’une des pièces, l’air furieux et s’est barré sans même me regarder. Je
l’ai suivi des yeux quelques secondes puis j’ai tourné à nouveau la tête vers la pièce
principale.
Une jeune femme sublime, aux traits typiquement indiens, se tenait à trois mètres de
moi. Cheveux noirs très longs, peau mate, hanches minces, poitrine fière d’adolescente et
yeux émeraude qui lançaient encore des éclairs. Elle s’est vite radoucie en me voyant.
- Bonjour, vous cherchez une chambre ?
- Bonjour, oui, en effet. Vous auriez quelque chose pour la nuit ?
- Pas de problème. Je peux aussi vous faire à manger, si vous voulez.
- Parfait.
- Suivez-moi, je vais vous montrer. Je m’appelle Jasmine.
La chambre était sobre et le lit semblait confortable. J’ai posé mon sac et enlevé mes
chaussures. Je suis allé me rafraîchir et me débarrasser de ma sueur sous une douche
artisanale qui trônait à l’arrière de la maison. J’ai eu la nette sensation d’être observé
pendant que l’eau tiédasse m’aspergeait.
Je suis retourné dans la chambre et j’ai passé des vêtements propres avant d’aller
m’attabler sur la terrasse. À peine étais-je assis que Jasmine m’a rejoint, avec une carafe de
ti-punch. Elle aussi s’était changée. Elle avait troqué son jean délavé et son chemisier
contre une jupe très courte et un top moulant que j’ai eu beaucoup de mal à ne pas fixer,
tellement il semblait fait pour mettre ses seins en valeur.
La table avait été dressée pour trois personnes. Jasmine s’est assise juste en face de
moi et a rempli mon verre puis le sien.
- On n’attend pas votre… euh… votre ami ?
- Qui, Lenny ? Sûrement pas. Ça m’étonnerait qu’il ose repasser ici après ce que je
lui ai passé, ce petit salaud. Non, la troisième place, c’est pour un client qui m’a prévenu
qu’il arriverait dans la soirée. Il fait la même rando que vous, mais en sens inverse.
- Ah, d’accord. Ben alors, on ne va peut-être pas l’attendre pour trinquer.
- Ce serait bête, imaginez qu’il ne vienne pas.
- Après tout, on est très bien comme ça.
- Oui, la soirée s’annonce bien.
- À la vôtre !
- Tchin !
Trois ou quatre tournées plus tard, je ne pensais plus ni au copain de Jasmine, ni au
client qui avait réservé. On riait de plus en plus fort et je commençais à fantasmer
sérieusement. Elle s’était mise à me frôler les jambes sous la table et à se pencher vraiment
très en avant à chaque fois qu’elle me resservait du punch. Impossible de ne pas mater sa
poitrine, dans ces conditions. Impossible aussi de ne pas remarquer qu’elle ne portait pas
de soutif et qu’elle pointait dur. Elle était en train de m’allumer à fond et je n’avais aucune
raison de ne pas en profiter.
J’étais en train de me dire que le plat de cabri massalé allait attendre une heure ou
deux à la cuisine qu’on aille d’abord s’envoyer en l’air quand le touriste retardataire s’est
présenté à l’entrée.
Ça m’a dégrisé instantanément. Le type, c’était Yves. Le seul mec de toute la planète
que je n’avais aucune envie de voir. Bon, il voyageait seul aussi, donc il avait dû se faire
larguer depuis longtemps par mon ex après avoir continué à baiser à droite à gauche. Mais
quand même, je n’allais pas lui taper sur l’épaule et parler du bon vieux temps. On a fait
semblant de ne pas se connaître.
Quand Jasmine l’a conduit à son tour à la chambre qu’il allait occuper, je l’ai vu ne
pas se gêner, pendant qu’il la suivait, pour admirer ses jambes fines, son petit cul qui se
dandinait et son dos nu évocateur.
Pendant le repas, on n’a pas décroché trois mots. J’ai avalé mon assiette de cabri
aussi vite que j’ai pu et je me suis barré dans ma chambre. Lui est resté pour boire quelques
verres de plus. Je les ai entendus se marrer pendant une demi-heure puis le silence est
retombé.
J’AI ENCORE TREIZE ENVIES ANNA GALORE
© Anna Galore 2010 79
J’ai entrouvert ma porte. Tout était éteint, à part un trait lumineux irrégulier, au ras
du sol, sous la porte de Jasmine. Je me suis approché à pas de loup et j’ai collé mon oreille
sur le vantail. Rien, pas un son. J’ai commencé à bander. Avec d’infinies précautions, j’ai
ouvert suffisamment pour passer la tête.
Éclairée par une bougie, Jasmine était agenouillée, de profil, entièrement nue. Dans
sa bouche, il y avait la bite d’Yves. Il avait son short sur les chevilles, les yeux fermés et la
tête tournée vers le plafond.
Et merde. En plus, je bandais vraiment très dur, désormais. J’étais partagé entre
l’envie de revenir à ma chambre pour me branler tranquillement ou le faire là, sur place, en
profitant du spectacle que m’offrait Jasmine, même si ce n’était pas le bon pénis qu’elle
suçait.
À ce moment, Yves a baissé la tête pour fixer Jasmine d’un air halluciné, lui a attrapé
les cheveux à deux mains pour la plaquer contre le bassin et, bien qu’elle tentait de se
débattre, lui a vidé tout ce qu’il pouvait dans la bouche en poussant des grognements de
satisfaction.
Il l’a enfin lâchée et fait un pas en arrière, regardant avec un sourire béat sa queue en
train de ramollir alors que Jasmine se relevait en déglutissant à plusieurs reprises, l’air
vraiment pas content.
Il fallait que je file, ils allaient me voir si je restais plus longtemps. Je me suis éclipsé
aussi vite que j’ai pu, alors qu’elle lui reprochait à voix pas si basse que ça de la laisser en
plan après à peine une minute de pipe et qu’il n’était qu’un éjaculateur précoce qui n’avait
rien dans son froc pour contenter une vraie femme. Ce qui, à mes oreilles, était tout de
même une vraie satisfaction. Ah le gros nase de Don Juan de mes deux, il était ridicule.
Assis sur mon lit, j’ai entendu une porte claquer puis une autre. Celle de Jasmine puis
celle d’Yves. Je ne savais pas trop quoi faire. Si j’allais retrouver Jasmine pour tenter ma
chance, elle pouvait très bien me jeter aussi sec tellement elle était furieuse et ce connard
d’Yves comprendrait que je m’étais pris un râteau alors que lui, il avait malgré tout tiré son
coup. En même temps, elle avait sûrement très envie de baiser, après s’être fait laissée
tomber juste au moment où elle commençait à s’échauffer.
Je n’ai pas eu besoin d’hésiter plus longtemps. Ma porte s’est ouverte largement et
elle était là, vraiment excitée. Comment je le sais ? Parce que non seulement elle était
toujours nue, mais qu’en plus, une seconde plus tard, elle se jetait sur moi et je me
retrouvais sur le dos alors qu’elle me léchait le visage, cherchant à s’empaler au plus vite
en repoussant mon slip d’une main pendant qu’elle dégageait ma bite de l’autre.
Inutile de dire qu’elle était largement lubrifiée quand je l’ai enfin pénétrée.
Avant elle, je n’avais jamais connu d’autre expérience, disons, exotique. Impossible
pour moi de dire si ce que j’ai vécu cette nuit-là était typiquement dans le tempérament
réunionnais ou indien ou tropical ou créole. Ou nana très énervée après avoir jeté son mec
et s’être fait éjaculer dans la bouche au bout d’une minute par un autre, avant d’en
rencontrer un troisième qui assure enfin – moi, en toute modestie.
Quoi qu’il en soit, je peux dire qu’elle était un ouragan sexuel incomparable. Chaque
centimètre carré de sa peau m’excitait par sa douceur et sa chaleur. Ses seins étaient non
seulement superbes à voir, mais fermes et ultrasensibles à chacune des sollicitations que je
n’ai pas manqué de multiplier, les caressant, les pétrissant, les pinçant, les léchant, les
serrant autour de mon bois bandé. Sa langue, ses lèvres, sa bouche avaient un contact
indescriptible, je comprenais rétrospectivement qu’Yves ait explosé en si peu de temps.
Quant à sa chatte, même le piton de la Fournaise en pleine éruption était froid et faiblard à
côté. Elle m’a fait jouir deux fois de suite en une heure, ce qui ne m’était jamais arrivé
auparavant. Et elle, elle a dû avoir une bonne demi-douzaine d’orgasmes, tous plus
cataclysmiques les uns que les autres.
Le cirque de Mafate est peut-être un volcan éteint, mais en son centre, un cratère
secret est plus que jamais actif. Il fait trembler tous les sismographes de la planète quand il
déchaîne sa puissance. Et il s’appelle Jasmine.
Ce n’était pas que du sexe. Il y avait plus que ça. Il se passait vraiment quelque
chose. Enfin, c’est ce que j’ai ressenti. On s’est endormis enlacés, en se murmurant des
mots tendres.
Quand je me suis éveillé au petit matin, elle n’était plus allongée contre moi. Elle
avait dû se lever tôt pour préparer les petits déjeuners. Je suis allé sur la terrasse. Un bol à
moitié vide de café trainait là avec un reste de tartine beurrée. Yves s’était barré à l’aube
pour éviter de subir mes sarcasmes ou pire, ceux de Jasmine en ma présence.
Je me suis assis avec un sentiment de plénitude, face au paysage splendide éclairé par
le soleil levant. Des pas ont résonné derrière moi. Pas du tout légers, les pas. Je me suis
retourné. C’était Lenny qui apportait mon petit dèj, le visage indifférent. Merde, il était
revenu. Où était Jasmine ? J’ai posé la question, l’air le plus détaché possible. Il a
marmonné qu’elle était partie faire des courses à Salazie et qu’elle ne rentrerait que le soir
ou le lendemain. Puis il m’a présenté ma note.
Un peu sonné par la situation, je l’ai payé et j’ai repris ma rando, la tête vide et avec
une boule au ventre. J’étais trop confus pour savoir si je souffrais de ne pas pouvoir serrer
Jasmine à nouveau dans mes bras ou si ce n’était rien d’autre qu’une grosse envie de
repasser une nuit de sexe avec elle.
Au bout de deux heures de marche sous le cagnard, mon cerveau s’est remis à
fonctionner. J’étais débile de laisser passer un plan pareil. Rien à foutre de mon trek et
encore moins de Lenny. Il me restait six jours sur l’île, je n’allais pas les cramer à
m’enfoncer dans ma solitude alors que je venais d’avoir un aperçu du paradis. Peut-être
que je me plantais et qu’elle était comme ça avec tous les touristes de passage. Mais peut être
pas. En tout cas, il fallait que j’en aie le coeur net. J’ai fait demi-tour, décidé à attendre
qu’elle revienne chez elle. Je verrais bien comment elle me recevrait.
Dix pas plus loin, la tête ailleurs, je faisais une sale chute en glissant sur un bloc de
lave instable. Heureusement, un mec est passé par là peu après et m’a vu, gisant en
contrebas. J’ai été rapatrié dans un état semi-comateux en hélico jusqu’à Saint-Denis puis
en vol sanitaire vers la France par Europ Assistance.
J’ai mis six mois à retrouver tous mes moyens. Il y a quelques semaines, j’ai repris
contact avec Jasmine par mail. Elle a définitivement plaqué Lenny. Elle vit seule. Elle veut
me revoir.
Demain matin, je prends le premier vol pour aller la rejoindre. Les sismographes
vont le sentir passer.

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6 juillet 2010

Plein le cul !

Moralement ! Pas physiquement. Je ne l'accepterais pas...

a

5 juillet 2010

Un peu de fraîcheur

a

c

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5 juillet 2010

J'aime sucer !

Vous connaissez Anna Galore ? Il y a quelques mois je vous ai déjà présenté un texte d'elle, "massage" qui était extrait de son recueil "J'ai treize envie". Elle m'apprend en avoir sorti un nouveau : "J'ai encore treize envie". Vous pouvez trouver la totalité de son oeuvre ici.
"J'ai encore treize envie" commence ainsi...

aJ’aime sucer. Je suis vraiment excellente quand je le fais. En tout cas, c’est ce que disent ceux qui ont eu l’occasion d’en profiter. J’ai ma technique, faite de coups de langue et de succion. Je profite aussi d’une malformation un peu particulière : ma luette est atrophiée et située plus en arrière de ma bouche que chez la plupart des humains. Cela me permet de prendre entièrement dans ma bouche des pénis de longueur imposante sans qu’ils risquent de presser dessus. Ils peuvent venir s’appuyer sur le fond de ma gorge, ce qui augmente les sensations.
La position de la main est très importante aussi. Je m’en sers pour aider la montée du plaisir par des pressions régulières, mais aussi pour retenir le plus longtemps possible le passage ultime de l’éjaculation, en comprimant la base de la verge juste là où il faut.
J’avale tout à la fin. C’est important pour obtenir une jouissance maximale. De toute façon, j’adore ça. Je continue à lécher le gland pendant que les giclées de sperme s’écrasent sur le fond de ma gorge. Et je le suce encore sur toute la longueur après qu’il a fini d’éjaculer, provoquant des spasmes à la limite de la douleur tellement la sensation est intense.

Avec son autorisation, je vous présenterai d'autres texte d'elle. Mais en attendant, allez voir son blog !

4 juillet 2010

Homme et femme

Différents...

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4 juillet 2010

Doux réveil

aJ'aime...
J'aime quand au réveil tu te blottis contre moi.
Quand tu colles ton corps nu au mien,
que je sens la pointe de tes seins,
que je peux caresser tes fesses rondes,
suivre la courbe de tes hanches...
J'aime ta main qui glisse sur ma poitrine
pour arriver à ma virilité,
s'en saisir, doucement la réveiller...
Pour le moment, encore engourdis de sommeil,
nos gestes sont lents...
Mais quelque chose me dit que ça ne va pas durer
et que la passion va l'emporter...

4 juillet 2010

Ombres et lumières

a

b

c

d

e

f

3 juillet 2010

Recherche de fraîcheur

b

Et cette fois, je peux vous demander
laquelle de ces photos vous préférez ?
Pour moi, sans conteste,... la première.


a

2 juillet 2010

La belle et la bête

c

2 juillet 2010

Mériade

domiAujourd'hui, Mériade me fait un cadeau.
Elle me ratifie de cette photo de sa Porte du Paradis !
Porte devinée.
Mais qu'on imagine prête à s'entrouvrir...
Il suffirait de caresser ces hanches,
de glisser la main sous le porte-jarretelles,
de longer ces belles cuisses,
de flatter la croupe par derrière...
Il suffirait de serrer ce corps contre le sien,
de le couvrir de baisers,
de suivre les courbes de la pointe de la langue...
Et puis de glisser un bout d'un doigt
le long de cette fine fente...
De chercher vers le haut le bouton magique,
de jouer avec, le titiller, le pinçotter...
Et de s'enfoncer entre les deux cuisses légèrement ouvertes...
Point de doute que le chemin serait couvert de rosée,
et qu'on trouverait là un puits d'amour
prêt à s'ouvrir,
prêt à accueillir,
prêt à frémir et à jouir...
Merci, Amie Mériade.
Et allez voir son blog "Expériences sensuelles"

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