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Le Démon de Midi

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5 juin 2010

Plaisir d'offrir...

Réédition

Alina est la fille d'un couple ami qui habite non loin de chez moi mais loin de ses parents. Alors ses parents, malgré qu'elle ait plus de 25 ans, m'ont demandé un peu de la parrainer ce que je fais volontiers car elle est fort sympathique et je pense qu'elle m'apprécie aussi. Et, par dessus le marché, ce qui ne gâche rien, elle est plutôt mignonne et moi qui aime les femmes, cela ne me déplait pas... Mais il n'y a jamais rien eu entre nous et je ne l'ai même jamais envisagé.
Ce samedi après midi, il fait un temps exécrable et comme je n'ai rien de particulier à faire, je lui téléphone pour lui proposer de venir lui faire une petite visite comme cela m'arrive de temps à autre. Elle accepte avec enthousiasme.
Je me rends donc chez elle et nous nous installons sur son canapé. Elle me sert un thé, met un bon disque de jazz, un goût que nous avons en commun, et nous parlons de choses et d'autres. Et dans le courant de la conversation, elle me demande :
- je peux te dire quelque chose que tu ne répèteras pas aux parents ?
- Bien sûr...
- Depuis un moment, je me suis trouvé un job pour arrondir mes fins de mois...
- Ah bon ! C'est bien. C'est quoi ?
- Je fais modèle pour un photographe.
- Ah bon ? Tu as là des photos qu'il fait de toi ?
Elle tend le bras et attrape un album. Elle me le tend mais avec une certaine réticence.
- Tu ne diras rien, hein ?...
- Non, non...
Et je commence à regarder. Sur les premières pages, des photos noires et blancs d'Alina dans différentes pauses. Belle. Je continue à tourner les pages.
aaEt puis je tombe sur une photo d'elle, torse nu, seins pointés vers l'avant...
- Ouah ! Et bien je comprends tes recommandations de silence... Ils sont magnifiques ces seins. La photo est retravaillée ?
- Dis donc, tu es vexant ! Non, ce sont mes seins comme ils sont. Tu veux que je te montre ?
Sans attendre ma réponse, elle se lève, ôte son tee-shirt et son soutien gorge. Ses seins apparaissent, bien hauts, fermes, joliment en courbe, de bonne taille... Je ne sais que dire. J'ai la gorge sèche. J'ai envie d'y toucher... Je ne peux que dire :
- Jolis...
Et je continue à tourne les pages...
- Et là ce sont bien mes fesses, regarde !
Et elle laisse tomber sa jupe et enlève dans la foulée sa culotte... Elle se tourne et me met presque ses fesses sous le nez... Bien rondes, bien fermes elles-aussi, tout en courbes... Elles sont si proches de mon visage, que je ne peux m'empêcher cette fois de déposer un baiser sur l'une d'elle.
- Ouah... super... Tu te rinces l'oeil, coquin !... Tu veux toucher ?
Et sans attendre ma réponse, elle m'enlève l'album des mains, le pose sur la petite table et s'assoit sur mes genoux en m'enlaçant le cou et en coinçant sa tête contre mon épaule...
aEt, timidement d'abord, puis plus fermement, ma main caresse son corps sur tout son long, longeant ces courbes, mesurant la fermeté, suivant les pleins et les déliés... Ses épaules, ses seins, son ventre, ses hanches, ses fesses, ses cuisses... Puis cette main glisse entre ces cuisses légèrement ouvertes... Et tout en lui embrassant, épaule et seins, je la masturbe longuement, je pénètre des doigts son sexe dégoulinant, je joue avec son clitoris qui se dresse... Je vais et viens en elle jusqu'à sa jouissance...
Elle, n'aura aucun geste vers moi pour m'apaiser et je lui en suis gré. Elle s'offre à la jouissance que je veux et peux lui offrir. Elle se laisse faire, se laissant guider vers l'absolu. Elle s'offre à moi pour que je la fasse jouir. Elle me laisse lui procurer cet immense plaisir. Que peut-elle m'offrir de plus. Elle me fait déjà le cadeau royal de son corps nu tout contre moi. Elle m'offre le plaisir de me sentir puissant en la faisant frémir. Elle me donne la satisfaction, enfin, de me sentir responsable de cette explosion finale qui lui fait perdre toute notion de tout pendant de magnifiques secondes... Plaisir immense qu'est le mien de l'observer dans cet extrême moment d'abandon...
Ayant retrouvé ses esprits, elle me dit merci en m'embrassant sur le front. Puis elle se lève et se rhabille.
- Tu ne diras rien à mes parents hein ?!
Bien sûr que je ne dirai rien, Alina...

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3 juin 2010

Violé !...

Réédition

Par hasard, elle était arrivée sur mon blog. Elle l'avait largement parcouru, lisant tous mes textes et elle avait aimé. Elle m'a envoyé un mail dans lequel elle me disait que mes textes « l'avaient troublée » et elle me remerciait. Je lui ai répondu (comme je fais chaque fois que je reçois de tels messages)  pour lui dire que j'en étais ravi, que mon blog était bien fait pour troubler les femmes. Et je lui demandais ingénuement ce qu'elle entendait par « troublée ». Et elle m'a répondu : elle a eu chaud, elle s'est sentie liquéfiée, envie de se caresser la poitrine, entre les cuisses... ce qu'elle fait d'ailleurs avoir fait sitôt dans son lit, m'avoue t'elle. Et elle avait alors atteint une immense jouissance. Des telles confidences ne pouvaient que me donner envie d'en savoir plus.
Et c'est ainsi que nous avons commencé une correspondance. Erotique, certes, mais pas seulement. Nous parlions du dernier film vu, de la musique qu'on aimait, de notre travail. Infirmière, elle adorait son métier et s'y donnait à fond. Mais elle avait juste 25 ans. Je pouvais être son père ! Je le lui dit et elle me répondit : peu importe l'âge, si on se respecte et qu'on aime dialoguer ensemble. J'étais intrigué par cette jeune femme, par son volontarisme, son altruisme, son respect, son sens de l'injustice, sa simplicité... Je me retrouvais dans ces qualités, en toute modestie. Intrigué aussi par sa grande liberté à parler sexe, à me raconter ses expériences (pas trop réussies, semble t'il), à me poser des questions très directes : est-ce que j'aimais faire un cunilingus à une femme, est-ce que je me masturbais, est-ce que j'aimais qu'une femme me fasse une fellation, est ce que j'avais eu des expériences homosexuelles,... Je lui répondais le plus franchement possible et lui retournais les questions auxquelles elle répondait aussi très directement. Et puis elle me demandait tout le mal que je pensais de Sarko, est-ce que je croyais en Dieu, si j'aimais Camus, le jazz, la brandade de morue, son plat préféré...
Et puis un jour, je ne sais pas qui a lancé l'idée, nous avons décidé de nous rencontrer. Rendez-vous pris un samedi en début d'après midi dans un café près des Halles. J'étais très clair en y allant : je voulais poursuivre les conversations de vive voix. L'écriture est piégeante. Envie d'en savoir plus sur elle, de voir si elle ressemblait à l'image qu'elle donnait d'elle. Mais pas question pour moi d'avoir avec elle une quelconque relation sexuelle. Je le lui avais plusieurs fois dit quand elle m'avait demandé si ça me gênerait de faire l'amour avec une fille de son âge. Je lui avais dit que bien sûr dans mes fantasmes, j'en avais très envie et que beaucoup de jeunes filles croisées me provoquaient des envies de les violer... Mais je ne le ferai pas à cause de notre différence d'âge, que j'aurais l'impression d'abuser d'elle, de la salir...
Nous nous sommes donc retrouvés, reconnus. Bises très affectueuses. Une belle jeune fille, plutôt fine, montrant peu son corps, habillée dans un épais anorak et un pantalon en laine qui tombait droit... Conversation très agréable de tout et de rien autour d'une bière pour moi et un coca pour elle... Et bien sûr la conversation a petit à petit versée sur mon blog, sur l'érotisme, sur des choses que nous avions partagées par écrit. Et elle me demande si c'est compliqué de tenir un blog comme le mien. Non très simple. Explique moi... J'essaie de lui expliquer... Mais difficile ainsi... Tu veux venir chez moi, j'habite à 5 minutes, et tu me montreras sur mon ordi. OK. J'étais bien avec elle, clair dans ma tête...

aNous arrivons chez elle. Elle me fait asseoir face à l'ordi, m'invitant à l'ouvrir et me dit de l'attendre, elle va se changer vite et revient... Et effectivement elle revient vite et je ne peux empêcher un sifflement d'admiration : elle a enfilé une mini-jupe d'où sortent deux magnifiques jambes, fines, galbées et elle porte un petit chemisier blanc... « Je te plais ? ». « Ben, t'es mignonne, oui, très belle et très sexy ! ». « Tu vas vouloir faire l'amour avec moi alors ? ». « Mais non, je te l'ai déjà dit, n'insiste pas ».
Elle s'énerve : « Mais pourquoi non ? A cause de l'âge ? Qu'est-ce que ça peut foutre ? Tu as envie, j'ai envie, ça suffit. Ca ne regarde personne. C'est quoi cette morale ? Elle ne va pas avec les histoires que tu racontes dans ton blog ». « Peut-être, mais il ne faut pas confondre ce qui est de l'ordre du fantasme avec la réalité. Il faut que tu te trouves un ou des mecs de ton âge. Tu mérites quand même mieux qu'un vieux de mon âge !... ».
« D'abord tu fais 10 ans de moins. Et les mecs de mon âge, ils pensent qu'à vider leurs couilles en moi. En fait ils se branlent dans mon corps, c'est tout. Ma chatte est mieux que leurs mains pour les faire jouir, c'est tout. Pas un seul n'a su me faire jouir. Pas un seul n'a été tendre !... Je  veux baiser avec un homme mûr, qui n'a plus besoin de rien se prouver, qui saura prendre le temps de me caresser, qui saura attendre que je jouisse avant de se vider... Voilà pourquoi je veux faire l'amour avec toi ! ». « Mais qu'est-ce qui te dit que je saurais faire cela ? ». « Tes textes. Tu parles de tendresse, de douceur, de caresses... Quand tu dis que tu jouis plusieurs fois de suite, je ne le crois pas. Mais quand tu racontes ces caresses, ces doigts qui se promènent sur le corps d'une femme, ou tes lèvres, là je me dis que tu dois aimer faire ces caresses pour les raconter si bien »...
aJe suis toujours assis sur ma chaise. Elle est debout tout près de moi. Elle déboutonne alors son corsage... Elle ne porte pas de soutien gorge. Ses deux seins apparaissent. Deux poires, bien dressées, bien haut, fermes, le têton pointant au milieu des larges aréoles. Je ne peux qu'admirer... et protester. « Arrête ! Allez, rhabille-toi. Sinon, je pars ! ». « Non ». Et sans crier gare, elle me prend une main et la pose sur son sein. J'essaie de résister. Mais je ne veux pas lutter. Et puis, je craque... Son sein est doux sous la paume de ma main, je le sens palpiter, je sens le téton durcir... Elle me tient toujours la main de ses deux mains... Alors je me laisse aller, et je caresse doucement ce magnifique sein... Silence. Ca dure. J'ai la gorge sèche. Elle respire fort... Au bout d'un temps, je retire ma main. « Allez, ça suffit maintenant ». Je sens qu'elle va pleurer... « Non, je veux plus. Trop tard maintenant. Tu vois, une petite caresse comme celle que tu viens de faire, je ne l'ai jamais eue, d'aucun des mecs de mon âge comme tu dis ».
Et elle dégraphe sa jupe qui tombe au sol. Elle porte un petit string en dentelle rouge... Je ne sais plus quoi dire. Je bande terriblement bien sûr et ça me fait mal en position assise !... Je ne peux que dire un bête : « Tu me violes !... ». Ca la fait rire. Elle pose ses mains sur mes épaules... « Allez ! Viens... Prend-moi dans tes bras, caresse-moi, embrasse-moi partout, fais-moi jouir... Fais-moi ce que tu racontes dans tes histoires dans ton blog... ».
Ses mains glissent sous le col de ma chemise, je les sens sur ma peau, elle ma caresse la nuque, le haut des épaules, descend jusqu'à mes omoplates... Plus elle descend le long de mon dos, plus son buste se rapproche de mon visage... J'ai ses deux seins pointés à 10 cms de mon visage... Je ne sais pas où mettre mes mains mais elles ont tellement envie de se poser sur ces deux fesses rondes séparées par la fine lanière de dentelle rouge... Je sens son odeur. Je vois les battements de son coeur. Rapides. Je vois le grain de sa peau...
Alors je craque ! Je la fais asseoir sur mes genoux, la serre contre moi, nos lèvres se rencontrent, nos langues se trouvent... Mes mains courent le long de son beau corps fin, ses cuisses, ses fesses, ses hanches, ses seins, ses épaules, son dos, ses fesses, ses cuisses, ses fesses, ses hanches... Ses mains elles s'activent à ouvrir ma chemise qu'elle m'enlève bientôt...
Elle se lève et me fait mettre debout, me traîne... « Viens, sur mon lit on sera mieux ! ».
Et nous avons fait l'amour profondément. Et elle a jouis. Moi aussi.

2 juin 2010

1ère fois avec une autre femme...

Une petite histoire prise sur le net. Pardon à son "auteuse" -si elle se reconnaît- de lui avoir piqué ce texte !

Je m’appelle Nicole. Je vais vous conter ce qui m’est arrivé il y a une trentaine d’années et dont le souvenir me met encore le feu au plus profond de moi. J’étais donc à Lyon dans une boîte de nuit qui se trouvait à cette époque sous le Théâtre des Célestins.

Je m’étais adossée au mur et était bien décidée à ne pas moisir dans cette ambiance où tous les mecs profitaient des danses pour tenter de te peloter. J’en étais à ce stade de mes pensées lorsque je croisais à nouveau le regard de cette beauté féminine adossée, elle aussi, au mur d’en face et que j’avais remarquée à plusieurs reprises au cours de la soirée. Je n’avais aucune attirance à cette époque pour le sexe qui était le mien et j’en restais à ce stade de mes réflexions en regardant danser les couples sur la piste et refusant systématiquement les appels des mâles en quête de bonnes affaires.

cA cet instant je sentis une main très douce se poser sur mon bras et j’entendis une voix me disant : « Je m’appelle Emma et je voudrais danser avec vous. Le voulez-vous ? ». La voix était douce et chaude à la fois, et le regard que j’avais vu de l’autre côté de la salle était en face de moi. Cette fille était encore plus belle que je ne le pensais et je ne sais pourquoi, j’ouvris alors les bras où elle se glissa sans autre mot. Je peux même dire qu’elle se blottit littéralement contre moi et un peu plus petite, elle posa sa tête dans le creux formé par mon épaule et la base de mon cou. Nous n’avions encore dit aucun mot lorsque la musique s’arrêta et elle releva la tête pour dire de ne pas bouger que la musique allait reprendre. C’est à cet instant que je sentis pour la première fois son parfum, qui, comme elle, était doux, sensuel, mais très discret à la fois. Au moment où nous nous trouvions dans un coin un peu plus sombre que les autres, elle releva à nouveau le visage et me caressa les lèvres avec les siennes et me déclara qu’elle aimait beaucoup faire l’amour avec les femmes et qu’elle ne verrait aucune animosité à ce que je la laisse plantée là. A nouveau et je ne sais pourquoi, je la gardais contre moi et sentis son corps se serrer contre le mien, et elle m’embrassa à nouveau mais cette fois, sa langue essayant d’ouvrir mes lèvres, ce que je fis et à mon tour je répondis à son baiser. Ne comprenant pas ce qui m’arrivait je prétextais l’envie d’aller aux toilettes pour tenter d’y voir un peu plus clair.

Je me regardais dans le miroir et derrière moi je vis Emma debout devant la cuvette des WC, la jupe relevée et qui était en train de satisfaire un besoin tout naturel. Elle vit mon étonnement et me demanda si j’étais nue sous ma jupe. Devant ma réponse négative, elle me demanda de lui donner ma petite culotte. Elle l' a prise pour la porter près de ses lèvres et elle la jeta dans la cuvette des cabinets en me disant de venir danser.

Nous rejoignîmes la piste et elle se lova carrément contre moi, son ventre sur le mien et sa main passa sous mon corsage pour titiller la pointe de mes seins. Mon ventre se serra contre le sien et mes seins devinrent durs, je sentais que ma chatte mouillait littéralement. Elle le comprit aussi et descendis sa main sous ma jupe et je sentis ses doigts me caresser, m’entrouvrir les lèvres et, sans aucune retenue, je lui écartais mes cuisses où elle trouva le clitoris devenu un véritable petit membre qu’elle se mit à triturer ce qui me fit sauter comme une puce dans ses bras et j’appuyais mes lèvres sur les siennes pour étouffer un cri. Dans un souffle je lui demandais de me suivre, et en cinq minutes nous étions dans ma voiture qui filait jusqu’à mon domicile.

aLa porte à peine refermée derrière nous que nous étions déjà nues toutes les deux et nous allâmes sous la douche où en experte elle me fit ma toilette, laissant un peu d’humidité sur le devant de mes cuisses mais en s’attardant longuement sur mes fesses et l’entrée de mon anus, qu’elle caressa, ce qui me procura un plaisir jusque là inconnu, n’ayant jamais accepté de mes partenaires une sodomisation.

Nous nous allongeâmes sur le lit ,elle se mit à me lécher le clitoris pour me faire mouiller à nouveau et pénétra sa langue dans mon vagin pour y boire tout ce que je pouvais lui donner. Puis elle commença à me caresser les fesses puis elle tourna doucement ses doigts autour de mon anus et parvint à y pénétrer l’un d’eux sans me faire mal et devant la nouvelle jouissance qui me secoua elle commença à exercer un va-et- bvient avec son doigt dans l’anus, elle entra sa langue à nouveau dans ma chatte et me fit jouir comme jamais je n’avais joui de ma vie. Je la retournais alors contre moi pour lui sucer son clitoris et faire de sa chatte mon domaine pour ma langue et la faire mouiller à son tour ce que je parvins à faire et elle se dégagea pour se mettre les jambes écartées au dessus de mon visage et elle me dit de la laisser se branler. Je la regardais faire et d’un seul coup je sentis un jet puissant sortir de son vagin et mon visage fut tout inondé. Après avoir joui à son tour elle se pencha vers moi pour me lécher le visage et boire sa semence. Nous avons refait l’amour plusieurs fois avant de nous endormir. Le matin à mon réveil elle était partie. Je l’ai cherchée même où je l’avais rencontrée et jamais je n’ai pu la retrouver. J’ai pourtant l’impression trente années après, en prenant du plaisir avec mon mari de sentir encore son parfum.

1 juin 2010

Un petit plaisir en solitaire...

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1 juin 2010

Pour un peu de tendresse...

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27 mai 2010

A plus tard...

Nouvelle absence ! Jusqu'à plus tard...
Alors, pendant ce temps, écrivez-moi...
Des souvenirs, vos fantasmes...
Des histoires érotiques...
Et pourquoi ne pas commencer avec toi
une correspondance où nous nous dirions
nos désirs, nos soupirs, nos plaisirs,
où nous nous ferions envie,
vibrer, imaginer, rêver...
A bientôt, amies chéries.
Bises

26 mai 2010

Les mecs !

Des dessins de Tom of Finland ! "Tom of Finland est le pseudonyme de Touko Laaksonen (Kaarina, Finlande, 8 mai 1920 - 7 novembre 1991, 71 ans). C'était un dessinateur et peintre finlandais homosexuel célèbre dans le monde gay pour ses représentations fantasmatiques et fétichistes d'hommes. Il a durablement influencé l'imaginaire gay" nous dit Wikipédia !.

Ce n'est pas que j'aime beaucoup... Je dirais même... pas du tout ! Mais il en faut pour tous les goûts. Et peut-être certains (certaines ?) vont aimer... Certains (certaines ?) vont fantasmer sur ces mecs hyper virils...

a
bcde

25 mai 2010

Etreinte

a

Photo prises à Chimères érotiques

24 mai 2010

Il fait chaud...

... et c'est tant mieux !
Mais une bonne douche fait du bien !...
N'est-ce pas ?

a

b

21 mai 2010

Lolita

Mignonne, non ?

a

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