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Le Démon de Midi
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29 juin 2009

"Quand je pense à Fernande..."

... Je bande, je bande ..."
Vous connaissez la chanson de Brassens !
"La bandaison papa ça ne se commande pas" !...

Ben non ! Ca ne se commande pas. Comment ça peut s'expliquer ?

Hier, dans le train de banlieue, en face de moi, une très belle jeune fille.
Top largement décolleté laissant voir le haut de ses seins magnifiques...
Tétons qu'on voyait, dur, à travers la finesse du tissu, sans soutien gorge !
Mini-jupe... Longues cuisses... Hummm ! J'vous dis pas !
Selon sa position, jambes plus ou moins ouvertes,
parfois, je voyais le fond de sa culotte... Rouge !
Et bien, bien sûr, je bandais, et avais du mal à ne pas la fixer !
Je ne voulais pas passer pour un satyre. Y'avait du monde dans le wagon !
Je bandais et ça se voyait, évidemment, avec mon pantalon un peu serré,
en toile légère d'été...
Et elle l'a vu !
Mais comment s'empêcher de bander ?

Par exemple, cette photo me fait bander.

aa

Celle-là, pas du tout !

bb

Celle-ci me fait bander aussi

cc

D'alleurs, ça me plait tellement, que j'en remets une

dd

Mais là, très très très peu d'effet

dd

Là aussi je bande dur !

aa

Mais devant des images montrant de la violence, du non respect, ça reste mou...

Etonnant, non !...

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25 août 2009

Avec toi... Sylvie

Evidemment, j'étais en avance au rendez-vous tant était grande mon impatience ! Mais je t'ai tout de suite reconnue quand tu es arrivée au coin de la rue. Toi aussi d'ailleurs tu m'as reconnu. Tu m'as fait un grand geste. J'ai été à ta rencontre... Le baiser que je voulais chaste a été plus... disons... entreprenant que je ne le souhaitais. Tu t'es laissé faire, te laissant aller contre moi.
Nous avons été à une terrasse. Nous nous buvions du regard...
- Pas déçue ?
- Non, pas du tout. Je te savais plus âgé que moi, je t'imaginais les cheveux blanc ou avec la tonsure, ventripotent... Rien de cela... Et toi ?...
- Plus belle que je n'osais l'imaginer...
Nous nous faisons face... Nos mains se rejoignent sur la table... Je change de place, me mets à côté de toi, t'enlace...
- J'ai envie...
- Moi aussi...

aaNous avons vite trouvé un chambre dans un hôtel... Sitôt la porte refermée derrière nous, nous nous sommes enlacés.
Nos mains courent sur nos corps, se faufilent, déboutonnent, dénouent...
Ta robe est à terre, j'ai dégraphé ton soutien gorge... Tu ne porte plus que ton string...
Moi je suis empêtré dans mes vêtements... La chemise, va encore, tu as pu me l'enlever... Mais pour enlever le pantalon, il faut enlever mes chaussures... Et bien sûr, dans la précipitation je serre les noeuds des lacets... Impatience toujours !...
En m'attendant tu t'es laissé tomber dans un fauteuil... C'est ainsi que je te trouve quand enfin je me redresse libéré de mon carcan ne portant plus que mon shorty...
Je te regarde longuement... Quelle belle femme tu es !... Ces deux seins provoquant, gonflés de désir, les pointes dressés... Ton ventre souple... Tes longues cuisses...
Je pose mes mains sur tes jambes, les fais légères... Remonte jusqu'à tes hanches... Ta peau frissonne... Je continue ma montée sur les côtés jusqu'à atteindre tes seins...
Mes doigts se font papillons qui effleurent le galbe de ces deux petites poires... se posent sur les pointes, les titillent, les pinçottent, les font rouler...
Mes mains se font coupes qui enveloppent ces deux seins ; elles s'enroulent autour, légères puis plus fermes pour les malaxer... et puis légères encore pour les caresser...
Je me penche. Ma bouche s'en mêle, mes lèvres, ma langue... L'un après l'autre, je les suce, les lèche, les tète, les aspire, les baise, les mordille...
Pendant ce temps, mes mains glissent vers un autre lieu, longent tes courbes et se posent en coquilles sous tes fesses offertes... Là aussi elles effleurent, caressent, enveloppent... Les doigts s'insinuent entre les lobes, logent le fin tissus de ton string, l'écartent, se glissent dessous...
Doucement, je tire sur l'élastique, le fait glisser le long de tes cuisses... Ta fine toison m'apparaît... Ta douce fente... ouverte... que je devine humide et chaude...
Je m'agenouille entre tes jambes ouvertes... Mes mains glissent sur tes cuisses, tes fesses, tes aines, tes hanches... Et je dépose un léger baiser sur tes lèvres... puis un autre... plus appuyé... ma langue se faufile entre elles... pénètre le plus loin qu'elle peut... Hummm ! Ce goût ! Cette odeur !...
Ma langue trouve ton bouton d'amour... Je l'aspire entre mes lèvres, le pince, le tète... Ma langue va et vient...
Je te sens frémir... Tu serres tes cuisses autour de ma tête... Tu respires fort... Tu ondules des hanches allant à la rencontre du plaisir... Tu prends ma tête entre tes mains... Tu donnes le tempo, tu mesures la pression... Je deviens ton objet...
Je sens ta jouissance venir. Je me redresse. Sans hésiter tu baisses mon shorty... Je m'en débarrasse... Tu m'attires sur toi... Rencontre de nos sexes... Le tien aspire le mien... Le mien pénètre le tien...
Je te serre contre moi... Tu t'accroches empoignant mes fesses à pleines mains...
Tes seins contre les miens.
Nos bouches se soudent...
Je perds toute conscience du temps... Je ne maîtrise plus... Tu sembles perdre pieds... Nous flottons...
Jouissance...

Merci à En Apparté de m'avoir fait cadeau de cette magnifique photo d'elle... Et bises à toi, chère Sylvie.

3 septembre 2009

Et entre eux ?

aaTiens ! Ca fait longtemps que j'ai fait un sondage !
Dans un post récent à propos du désir de femmes de faire l'amour entre elles, l'une d'elle me répond que c'est là un fantasme d'hommes. Certes ! C'est l'un des miens de voir deux femmes s'offrir du plaisir et je ne suis pas le seul, certainement !
Mais si on parlait de l'inverse ? Des hommes entre eux ! Ils expriment moins facilement cette envie. Je suppose -du moins c'est mon cas- qu'ils considèrent qu'un acte sexuel accompli nécessite la pénétration... Hors me faire pénétrer par un homme, donc sodomiser,... très peu pour moi ! Je n'accepte dans mon petit trou intime que... les doigts d'une femme !
Mais vous, Mesdames ? N'avez-vous pas ce fantasme de voir deux hommes s'empoigner, se frotter l'un contre l'autre, vit contre vit, se masturber mutuellement, se pétrir, plonger dans un 69 délirant... ?
Dîtes-moi. A l'occasion, certaines m'ont déjà dit que oui. Et vous ?...

bb

8 août 2015

Une collègue... efficace !

Dès qu'elle est arrivée dans notre service, je l'avais repérée la petite rousse, Mag ! Mignonne, pleine de dynamisme, sympathique, avec un sens de l'humour que j'apprécie... Mariée ! Hélas !...
Nous avons assez vite sympathisé d'autant plus que nous étions souvent amenés à travailler ensemble sur des dossiers communs. Elle était aussi très compétente et nous nous trouvions assez complémentaires... Ca fonctionnait bien...
Petit à petit, nos conversations sont passées du stade professionnel à des confidences plus intimes sur nos vies à chacun... On s'est découvert quelques points communs au niveau de ce qu'on aime faire : lecture, musique, cinéma, ballades,...
Et petit à petit, nos relations ont aussi évoluée... Du simple bonjour, on est passé à la bise quotidienne sur les deux joues, puis à l'étreinte plus affirmée... J'aimais ces quelques secondes où elle me laissait la serrer contre moi...
Je l'ai invitée, elle et son mari, à venir dîner chez moi... 15 jours plus tard, elle me rendait l'invitation... Le lendemain, elle me demande :
- Tu le trouves comment mon mari ?
Comment lui dire que je le trouvais un peu con, sans conversation sinon sa passion de la course cycliste et sa manie de juger tout le monde assez catégoriquement ?
- Ben !... Euh !...
- Un peu bourrin, non ? Tu ne crois pas ?
- Ben... Non ! Je ne dirais pas ça, mais...
aa- Le problème c'est qu'il est bourrin aussi au lit... Si tu savais comme je m'emmerde avec lui... Il tire son coup et dodo !... Merde, j'ai besoin d'autre chose, j'ai besoin de caresses, de frémir, qu'on prenne son temps... Bon ! Je te raconte ça... Excuse-moi. Mais ça me fait du bien... N'empêche que je n'ai jamais joui avec lui et si je veux grimper au 7ème ciel je ne peux compter que sur moi-même !... Fait chier !... Allez ! Au boulot !... A chacun ses problèmes...
Je ne sais trop quoi lui dire... Lui proposer de pallier aux insuffisances de son homme ? Elle va me foutre une baffe, c'est sûr... Je ne peux que la serrer contre moi, un peu plus fort que d'habitude...
Elle ne m'a plus jamais reparlé de son mari et moi non plus, bien évidemment. Mais je sentais que des choses changeaient entre nous... Elle se collait davantage à moi, ses étreintes étaient plus précises... Elle se faisait plus coquette, plus sexy, même... De mon côté, je me montrais plus prévenant, plus attentif à ma tenue aussi lorsque je devais la voir... Nous étions en pleine séduction...

Et puis il y a eu cette période, l'été dernier, où nous nous sommes retrouvés seuls dans le service tout le monde étant parti en vacances. Nous avions un gros dossier de demande de financement à boucler et il fallait le rendre avant le 1er août. Les vacances, ce sera pour après.
Ce jour là elle est arrivée particulièrement sexy ! Un corsage blanc en nylon qu'elle avait laissé largement ouvert laissant une vue imprenable sur la naissance de ses deux seins... Deux seins d'ailleurs en liberté : elle n'avait pas mis de soutien gorge et cela se voyait au premier regard : les aréoles transparaissaient. Et une mini-jupe noire qui lui arrivait pratiquement sous les fesses...
Nous étions souvent amenés à aller l'un vers l'autre pour nous montrer un tableau, pour nous poser une question... En fait le moindre prétexte était bon.
Une fois, elle vient me trouver, se place face à mon bureau, les deux coudes sur le plan de travail... J'ai une vue plongeante dans son chemisier : je suis fasciné par ces deux mignonnes petites poires qui appellent la main... Mais je me retiens...
Une fois c'est moi qui vais la voir. Il fait chaud. J'ai largement ouvert ma chemise sur mon torse. Mon sexe est gonflé et ça se voit à travers mon pantalon... Je me campe devant elle, cambré, jambes écartées pour qu'elle puisse bien voir son effet sur moi... Et effectivement, son regard va de ma poitrine à ma braguette...
Une fois, elle vient et se colle tout contre moi assis à ma table... Je fais un mouvement de côté... Mon épaule frôle son pubis... Elle cherche, appuie le contact...
Une fois, c'est moi qui viens vers elle. Je veux lui montrer des papiers que j'ai étalés sur son bureau. Je suis debout contre elle qui est assise... L'un et l'autre exagérons nos gestes l'une pour toucher de son épaule ou de son bras l'excroissance de mon pantalon... L'autre pour frôler un sein, l'autre, les deux...
Une fois, je viens de nouveau vers elle. Elle semble m'attendre. Elle a entrouvert le tiroir du bas de son bureau et a posé un pied dessus, écartant ainsi largement les jambes. Pour être à l'aise, elle a remonté haut sa mini jupe... Elle me fait signe de m'assoir sur la chaise à côté d'elle... Vue plongeante sur son entre jambes... Elle porte un string rouge !... Je m'assois sur le bord de la chaise, dos appuyé, jambes largement écartées... Nous ne nous disons pas grand chose, elle le regard fixé sur ma braguette maintenant prête à craquer, moi obnubilé par cette fine lanière qui disparaît entre ce que je devine de ses deux fesses...
Nous ne sommes plus dans la séduction. Nous sommes dans la provocation. Mais tous les deux, nous résistons encore...
bbIl n'y a pas trois minutes que je suis revenu dans mon bureau, qu'elle revient... Elle se colle de nouveau contre moi... pose une main sur ma nuque...
- Domi...
- Mag !...
Et je craque... J'entoure ses jambes de mon bras, pose ma main sur sa cuisse et sans attendre la remonte lentement, passe la frontière de la lisère de la jupe.... et arrive à sa fesse...
Profond soupir de Mag qui se raidit... Elle me serre contre elle, pose sa tête sur la mienne... fait glisser sa main sur mon épaule puis la glisse sous ma chemise et la pose sur ma poitrine...
Son corsage et largement ouvert devant moi... J'y plonge le visage et de ma bouche attrape un sein...
Je recule mon siège, le fait pivoter, lui remonte la jupe pour la faire assoir à califourchon sur mes genoux... Nos bouches se joignent... Premier baiser profond tandis que nos mains s'occupent à déboutonner le haut de l'autre... Chemise et chemisier bientôt tombent au sol... Nos mains caressent, glissent, se faufilent...Les miennes sur son dos, ses seins, son ventre, ses cuisses largement ouvertes... Les siennes sur mon torse, mes bras, mes épaules, ma nuque...
- Drrrrriiiiiing !
- Merde ! Oui ! Allo ! Ah, c'est toi ! Qu'est-ce qu'il y a ?
Son ton est rude, presque méchant...
- Non, ch'uis pas près de rentrer... Beaucoup de travail.... Oui, si tu veux !.... J'm'en fous !.... mais non ça ne me dérange pas.... fais ce que tu veux... Salut... Oui, c'est ça, à après demain...
Et elle raccroche brusquement !
cc- C'est mon mari ! Il me demandait l'autorisation d'aller avec son frère voir le passage du Tour de France demain à 300kms de là... Qu'il y aille ! Il part dans une heure... Tant mieux ! Un peu de liberté...
Elle se lève, va fermer la porte d'entrée de notre service à clé... repasse devant mon bureau...
- Viens...
et m'entraîne vers le salon de réception... En marchant dans le couloir, elle dégraphe sa jupe qui tombe au sol... S'arrête pour ôter son string... Va s'assoir sur le canapé, jambes écartées... Me fait venir contre elle...
- J'ai envie de toi... Le dossier attendra !...
et sans attendre, elle ouvre mon pantalon et le fait glisser au sol entraînant avec mon shorty...
Et complètement nus nous nous enlaçons, nous nous embrassons, nous nous caressons...
Rapidement, elle a voulu que je la pénètre.
- J'ai trop attendu !
Et notre première jouissance commune a été simultanée et profonde...
Je dis première, parce qu'il y en a eu d'autres... Au bureau et chez moi puisqu'elle avait deux jours de liberté grâce au Tour de France... Et la semaine où nous avons été seuls au bureau, c'est pratiquement nus que nous avons travaillé nous offrant régulièrement une récréation ! Mais le dossier a été remis à temps... Et nous avons reçu les félicitations de notre boss au retour de vacances car les financements demandés ont été accordés !...
- Vous formez une bonne équipe tous les deux ! Continuez donc à travailler ensemble nos dossiers...
Merci, patron ! S'il savait !..

30 septembre 2009

Réponse à l'invitation !

Il y a quelques temps, j'ai écris un texte en pensant à une amie du blog... Viens là, près de moi... Et bien voici la suite... racontée par elle. Elle souhaite pour le moment garder l'anonymat... Tant mieux. Je la garde pour moi tout seul...

Tu me lis, tu me regardes, tu me veux. Ton invitation ne se refuse pas, elle est trop tentante. Oublions le virtuel, place au réel !

Tu as parcouru cette route, tu es venu jusqu'à moi. Tu as choisi un lieu propice à notre rencontre, un endroit calme et entouré de nature. Cette attention m'a enchantée.

Et maintenant que je suis là, que j'attends ton arrivée, je suis perdue. Ce que tu as vu et lu de moi est une chose. Qu'en penseras-tu dans la crudité du concret, dans la vérité du réel ?

aaOn frappe à la porte. Je m'agite. Je jette un regard furtif au miroir. Cette jupe courte, légèrement bouffante et couleur prune, devrait te plaire. Du moins, je l'espère.

J'ouvre... et te découvre. Malgré un sourire intimidé sur mes lèvres, je te lance un "Bonjour" éclatant.

- Bonjour ma douce et belle amie. Tu es encore plus ravissante en chair et en os !

Je rougis et t'invite à entrer.

Nous prenons notre temps. Tu t'installes confortablement dans le fauteuil de la chambre, je te sers un peu de vin que j'avais pris soin d'amener avec moi. Nous trinquons joyeusement à notre rencontre.

bbLa conversation bat son plein, comme à notre habitude. Dernières confidences échangées, impressions détaillées, opinions partagées. La seule différence est notre présence charnelle. Mais cette différence a toute son importance.

Tu me redis ton désir, je succombe à nouveau à l'entendre. Je me rapproche. Ma jambe se montre curieuse et remonte lentement le long de la tienne, jusqu'à ton entrejambe. Sourire en coin, oeil mutin, je prends conscience que tu ne mens pas. Tu es déjà dur, trop à l'étroit.

L'appel du pied se mute en appel du corps. Je me lève et m'assois sur toi, à califourchon. Sans prononcer un mot, je t'embrasse doucement, puis effrontément. Tu réponds à mon audace avec beaucoup d'engouement. Tes mains me parcourent, soulevant ma jupe, lui donnant encore plus de bouffant. Tu ne tardes pas à découvrir ma surprise. Aucun barrage n'arrête ta main exploratrice et tu souris à cette attention.

Tu me trouves donc déjà humide et prête à t'accueillir. Je ne te laisse pas le temps de me dévêtir, je ne fais moi-même. J'ôte donc mon petit haut, libérant par la même occasion mes seins nus de toute lingerie. Tu y plonges immédiatement tes lèvres, m'arrachant quelques gémissements de plaisir.

aaJe prends les choses en main. Déboutonne ta chemise, déboucle ta ceinture et offre à ton vit tout l'espace qu'il mérite et dont il a besoin. Plus je le caresse, plus il se dresse, fier et droit, insolent presque. Je te laisse encore goûter à ma bouche avant de décider de te prendre dans la mienne.

Ma langue s'enroule autour de ton gland déjà décalotté, je te suce avec gourmandise. Je m'active pendant que tes mains pétrissent mes fesses et s'enduisent de ma cyprine.

Et quand la brûlure de mes reins devient trop pressante, je t'invite à pénétrer en moi. Mes lèvres s'ouvrent doucement tandis que je descends sur ta verge turgescente pour mieux te sentir monter en moi. La chevauchée prend de l'ampleur, nous partons au galop. Et avant que je n'exulte, tu me bascules soudainement sur le sol et m'infliges tes derniers coups de reins souverains et dévastateurs. Nous nous perdons alors dans nos cris de jouissance.

Photos empruntées à Chimères érotiques

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28 novembre 2009

Salopard !

Des couples tiennent des blogs où Madame s'expose... Je soupçonne que c'est le plus souvent Monsieur qui tient le blog et qu'il a plaisir à exposer ainsi sa femme. Mais, enfin, Madame pose. Les photos ne sont pas "volées". Et souvent elle est belle, attirante... Je ne dirai donc rien. J'aime assez flâner sur ces blogs et y trouve du plaisir...
Mais il arrive aussi de tomber sur des blogs où Monsieur expose sa femme... mais les photos sont volées. Prises sans doute avec un téléphone... Photos de mauvaise qualité. Le téléphone passé innocemment sous la robe ! Ou Madame se déshabillant pour se coucher... Ou sous sa douche... Jamais des photos à l'avantage de Madame... De drôle de salopards... Bien peu de respect !... Assez écoeurant... Surtout quand, de surcroit, les textes  parlent de "salope", de "femelle"... Et je parle pas de commentaires ! Drôle de zèbres ! Honte des hommes !...
Mais je juge, je juge...
Pourtant, aujourd'hui, je veux faire pareil...
Et sans vergogne, sans qu'elle le sache, en toute lâcheté,...
je vous présente aujourd'hui... la chatte à ma femme !

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18 novembre 2021

Insomnie...

 

aa                     Réédition

Je ne dors plus... déjà ou encore...
La nuit est encore longue... Tant mieux... à condition de retrouver le sommeil...
Souci de travail... de famille... La pensée vagabonde...
Je tends le bras... Attrape mon MP3...
La trompette de Miles Davis dans la nuit... Beau...
Instinctivement ma main glisse le long de mon corps nu
se saisit de mon sexe au repos entre mes cuisses légèrement ouvertes,
joue avec sans m'en rendre compte,
le fait rouler, le triture en pensant à autre chose...
Le bout de chair flasque, mécaniquement, devient barre solide et dressée...
Premier frisson ressemblant à du plaisir...
Bifurcation de la pensée qui devient centrée sur cette raideur...

bb

Ma main va et vient le long de la hampe,
enveloppe le gland...
L'autre vient à la rescousse...
Montée du plaisir...
Je pense à toi, à tes derniers écrits
Où tu me racontes tes caresses solitaires,
aux photos que tu as bien voulu m'envoyer...
J'imagine un moment de rencontre.
Tu as accepté que je te photographie...
Petit à petit nous te déshabillons...
Du pied, je rejette la couette.
J'enduie de salive pouce, index et majeur de ma main droite
et m'en caresse doucement le gland découvert, gonflé.
Ta bouche sur mon sexe.
Mon autre main continue à caresser mon vit
de la racine à l'extrémité...

Dans mon rêve, je retire doucement ta dernière protection,
ta petite culotte exposant ainsi ton sexe. Nu.
Je suis prêt à exploser...
Je serre mon phallus. Le tire vers l'arrière.
Me retenir. Faire durer. Penser à autre chose...
Un peu de repos. Et je reprends ma caresse.
J'imagine tes seins. tes fesses. Tes cuisses...
Dans mon imagination, coquine, tu te colles à moi.
Je te prends à pleines mains...
Mes doigts écartent tes lèvres humides...
Tes mains s'en mêlent...

 

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Je ne peux plus me retenir. Je franchis le point de non retour.
Jouissance. Le sperme en cascade sur ma poitrine...
J'ai plaisir à l'étaler sur tout mon corps.
Maintenant, chercher le sommeil...
Toujours la trompette de Miles Davis dans la nuit...

26 juillet 2010

Les humeurs du valet

Le  texte qui suit 'avec les photos qui l'illustrent) vient d'un blog que je viens de découvrir, "Les humeurs du Valet"... Allez vite le visiter. De beaux textes comme celui-ci, de belles illustrations... De la sensualité, du rêve, des petites choses racontées qui deviennent grandes... Blog tenu par un homme qui se surnomme Sganarel ! C'est évident pour un valet !...

Après cette journée harassante,
Tu files sous la douche.
Folle envie de te rejoindre
Me glisser derrière toi
T’enduire d’un gel rafraichissant,
Promener mes mains sur chaque parcelle de ton corps,
Passer le jet sur ta peau pour te rincer,
Glisser le pommeau jusqu'à l’intérieur de tes cuisses.
Ta tète en arrière vient chercher un baiser sur mes lèvres.
Tes mains posées sur mes fesses,
Promener mes doigts sur la pointe de tes seins,
Ma virilité tendue se presse contre la raie de tes fesses.
« Branles moi doucement »

Ta main pour la saisir à la base
Ce va et viens que tu imprimes,
Finis de mettre à nu mon gland que tu colles contre ta peau.
Soupirs de plaisir à ton oreille,
« ..Tu aimes, hein ?! »
« humm, tu le sais, petite salope !…’ »
Tes mains s’activent généreusement.
Plaisir insoutenable, tu me sens défaillir.
Un dernier mot à mon oreille,…

« Baises-moi !.. »

12 décembre 2009

Une nourrice...

Une amie me raconte que dans le temps, dans des familles bourgeoises, on payait une nourrice pour sucoter le zizi des petits garçons trop turbulents pour les calmer...
Alors cela me donne des idées...

Je me sens nerveux en ce moment, fatigué... Alors je vais me prendre une nourrice pour qu'elle me sucote mon zizi pour me calmer ! Elle sera à ma disposition... et prête, dès que le besoin se fera sentir...
aaD'autre part, je suis pour soutenir les jeunes. Alors je prendrai une jeune fille au pair ! Ce sera bon pour elle et pour moi. Tout le monde y gagnera...
Et je suis de nature généreuse. Je la paierai, bien évidemment. Mais ne soyons pas vulgaire, il ne sera pas question d'argent... c'est méprisable. Non, je lui offrirai ma tendresse, mon attention... J'irai même jusqu'à la faire dormir dans mon lit, avec moi... Vous voyez, ma modestie dut-elle en prendre un coup, je suis tout de même bien généreux... En remerciement de ses soins, je la caresserai, je lui procurerai du plaisir, je m'occuperai d'elle...
Je suis ouvert. Bien sûr qu'elle pourra recevoir chez moi ses amies, ses copines... Mon lit est assez grand pour les y accueillir...
Merci l'amie de m'avoir donné cette idée. Je vais dès maintenant rédiger mon annonce.
Et toi, si tu es proche de chez moi, que tu es jeune et belle et que cela t'intéresse... et bien fais-toi connaître. Tu ne le regretteras pas.
Et en accompte, je te fais mille baisers.

Photo empruntée à Madame CoCo

3 janvier 2010

L'année commence bien

J'ai mis ce post dans ma rubrique "Fantasme ou réalité ?". A vrai dire, je ne sais plus très bien si c'est réellement arrivé ou si je l'ai rêvé...

31 décembre 2009. 23 heures. Je vais finir l'année chez des amis. Encore une demi heure de route. Je vais arriver juste au bon moment. Mais ma voiture en décide autrement... Panne dans un petit village Bourguignon que je ne connais pas... Je cherche du secours, un garagiste ouvert, un taxi, que sais-je !... A cette heure, ce jour précis... mission impossible.
Mais j'ai vu... Vous raconterais-je ce que j'ai vu  ?... Après tout oui, nous sommes entre amis. Mais vous ne le répéterez pas...
nymphJ'ai vu le Maire -je l'ai reconnu, il avait encore son écharpe- entièrement nu dans sa mairie, entouré, tel Berlusconi, de trois nymphettes, chacune plus jeune, plus mignonne et plus nue que les deux autres... Elle s'occupaient activement de lui, le caressaient, recevaient ses caresses, se faisaient aussi des mamours entre elles...
J'ai vu Monsieur le Curé, la soutane relevée jusqu'à la taille, deux vieilles filles, les grenouilles de bénitier les plus ferventes sans doute, à genoux devant lui couvrant de baisers et suçant son goupillon... Plus loin son jeune vicaire nu comme un vers, enculait chacun leur tour deux jeunes enfants de choeur tout aussi nus. En attendant leur tour, les garçons se branlaient avec grande délectation...
handPassant devant la boucherie, j'ai vu le boucher assis sur son billot, la femme du Maire -je l'ai reconnue, j'avais vu sa photo au bras de son mari dans la mairie- empalée sur son sexe tendu, montant et descendant...
Dans la pièce à côté, son jeune commis était avec la petite vendeuse de la boulangerie -elle avait de farine dans les cheveux. Elle était allongée, nue, sur le comptoir. Lui, nu également, avait le visage plongé entre ses deux cuisses et léchait avec allégresse la jeune fente... Elle ne restait pas inactive et tenait à pleine main et branlait la longue et fine tige du garçon...
Je suis passé alors à la caserne des pompiers... Et j'y ai vu le capitaine en train de s'en faire offrir un majestueux -de pompier- par une femme que je n'ai pas reconnue. Devant lui, ses hommes se suçaient, se branlaient, se sodomisaient mutuellement avec ardeur dans une énorme orgie gay...
Une salle de classe était allumée... Les pupitres avaient été entassés dans un coin et au sol avaient été étalés des tapis de gymnastique. Sur chacun d'eux, un couple d'adolescents, nus... Deux adultes, une pompfemme et un homme, les profs sans doute, également nus, circulaient entre les tapis, donnant des conseils, donnant une précision à une caresse... "Attention Virginie quand tu caresses les bourses de ton partenaire, c'est fragile, ne serre pas trop fort, sois douce !... Martial, soulève toi sur les coudes, tu écrases la pauvre Rachel qui est sous toi... Essaie de te faire léger.... Bien Sophie cette fellation... caresse la verge de Marc en même temps, il va aimer... Alors, Cédric, tu l'as trouvé le clito ? Caresse le doucement du bout des doigts... Va lui donner un coup de langue... Quoi ? Mais non ce n'est pas dégoutant ! Voilà ! Tu vois ! Mélanie adore... C'est bien ! Maintenant regardez-nous. On va vous montrer ce qu'on appelle la levrette"... Les couples se défont, les élèves se lèvent et se mettent en demi cercle autour du bureau professoral. La femme appuie ses coudes sur le bureau, pointe son postérieur vers l'arrière, cambre les reins, écarte légèrement les jambes... L'homme caresse, écarte, présente son sexe à l'entrée de l'orifice... en expliquant ses gestes, les précautions à prendre pour que chacun en tire du plaisir... Une leçon d'éducation sexuelle avec travaux pratiques...

En désespoir de cause, je cherche un hôtel. Les gens sont trop occupés. Je ne trouverai aucune aide.
Lorsque je rentre à la réception, je vois deux femmes assises sur canapé. Nues. L'une, la patronne sans doute, a la quarantaine. L'autre, la soubrette, la vingtaine... Elles se branlent mutuellement d'une main s'agitant dans le con de l'autre tandis que l'autre main se promène sur leurs corps, caresse, soupèse, enveloppe, pinçotte...
- Excusez-moi de vous déranger... Vous reste t'il une chambre libre ?
- Toutes les chambres sont libres, Monsieur.
- Et c'est combien la chambre ?
- Pour vous et aujourd'hui, ce sera gratuit... Deux cons peut-être à remplir !...
Tout en me parlant, la patronne a continué à caresser sa soubrette et à recevoir ses caresses... Elle me regarde avec intensité et son regard s'arrête avec insistance à la hauteur de ma braguette...
Soudain, leurs visages se crispent, leurs muscles bandent... Et devant moi, elles jouissent avec intensité...
Et de partout dans le village j'entends des halétements, des cris, des feulements, des plaintes, des grognements de jouissance... Les douze coups de minuit sonnent au clocher. Nous sommes en 2010.
- Venez, Monsieur, on va vous montrer notre chambre...
Elles ont repris leurs esprits, se séparent, se lèvent et, toujours nues, me précèdent dans les couloirs...
C'est la petite soubrette qui referme la porte de la chambre derrière nous trois tandis que la patronne se colle à moi...
L'année commence vraiment bien !

aa

6 avril 2010

Les exploits d'un jeune don Juan (3)

Le dernier chapitre ! (Les gravures sont de Bécat et de Lobel-Riche).

À table on fut très gai. Mon père s’occupait de maman. M. Franck s’empressait autour de ma tante. Je m’entretenais avec mes soeurs. On avait donné ma chambre à l’invité. Je devais coucher au même étage que les femmes, dans la chambre d’Élise, qui partageait celle de Berthe avec Kate.
Quand tout le monde fut couché, je regardai dans la chambre de mes soeurs. Berthe dormait mais Élise n’était pas là. Je vis une lumière, je me cachai et vis paraître Élise et ma tante en chemise qui regardaient par une fente de la porte de mes parents. On entendait de fortes claques sur un cul nu. Puis la voix de mon père s’éleva : « Maintenant laisse tomber la chemise, Anna... Comme tu es belle avec tes poils noirs. »
Baisers et chuchotements.
aa« Marche, Anna. En avant, marche !... Halte !... Les bras en l’air... Que tu as de poils aux aisselles... Regarde comme je bande, Anna, prends-le... Présentez, arme... Arme sur l’épaule... viens ici !
– Voyons, Charles, ne t’excite pas tant... tu me fais mal... tu m’as assez vue... J’ai honte de ma laisser regarder le derrière.
– Sois tranquille, mon enfant... Mets-toi sur le lit... les pieds en l’air... plus haut... voilà... mon trésor... »
On entendait les craquements du lit.
« Est-ce que ça vient, Anna ?
– Bientôt, Charles !
– Oh ! ça vient... C’est bon !... Cha-arles... Ah ! Ah...
– Anna !... je décharge !... »
Sur les escaliers on entendait la voix de Kate. Élise l’entendit et entra dans la chambre. Ma tante se sauva vers la sienne, mais sans la fermer. Elle ressortit. Mes parents avaient éteint la lumière. J’entrai dans la chambre de ma tante. En rentrant, elle eut peur. Je lui dis tout. Elle ralluma la lumière. Je l’embrassai sans parler. Je sentais les jolies formes de son beau corps. Elle tremblait. Je saisis son con sous sa chemise. Elle se débattait. Je la consolai.
« Soyons mari et femme, chérie, jolie Marguerite ! »
Mon doigt jouait sur le clitoris. Elle s’abandonna. Je découvris ses beaux tétons pareils à des boules de neige. Je la poussai vers le lit. Elle se mit à sangloter. Je lui proposai de partir pour nous marier. Ça la fit rire. Je mis mon vit nu. Elle était aussi excitée par le champagne qu’elle avait bu. Elle éteignit la bougie. Je mis mon vit dans sa belle main, puis je lui fis minette ; le plaisir était trop grand, elle s’agitait, son clitoris se gonfla. Je mis un doigt dans son con et suçai ses tétons. Puis je lui enlevai la chemise, je la pressai contre moi et, bouche à bouche, je poussai à coups redoublés ma pine dure dans sa fente virginale.
Un seul cri léger précéda la jouissance qui l’accabla aussitôt. C’était maintenant une femme enflammée et elle s’abandonna à la volupté.
bbUn court combat, mais dont les sensations furent infinies, nous amena tous deux aux bornes de l’extase la plus voluptueuse, et c’est avec les plus violentes secousses que je répandis dans son sein le baume vital.
Le plaisir avait été trop grand, je bandais toujours. Je la caressai puis je rallumai la bougie. Elle se cacha le visage dans les coussins ; sa pudeur était revenue, mais je tirai la couverture pour voir son corps de Vénus. Une légère trace de sang se voyait sur les poils du con, mêlée avec notre sperme. Je la nettoyai avec mon mouchoir, la retournai, lui chatouillai le dos, le cul et lui mis la langue dans le trou du cul.
Puis je me mis sur elle, la tête enfouie dans ses cheveux parfumés. Je mis mes bras autour de son corps, la soulevai un peu et replongeai ma pine dans sa fente humide. Un long combat s’ensuivit qui nous fit transpirer par tous les pores. Elle déchargea la première en criant de volupté comme une folle. Ma décharge suivit dans une volupté presque douloureuse. C’était assez, nous nous séparâmes.
aaQuelques semaines se passèrent en plaisirs divers. M. Franck faisait de plus en plus la cour à ma tante. Un jour, Élise et ma tante entrèrent dans ma chambre en pleurant. Elles étaient enceintes. Mais elles n’osaient l’une devant l’autre dire que j’étais le malfaiteur. Mon parti fut vite pris.
« Élise, épouse Frédéric, et toi, tante, marie-toi avec M. Franck. Je serai votre garçon d’honneur. »
Le matin du jour suivant, ma porte s’ouvrit. Ursule entra. Elle aussi était enceinte. Je lui dis d’épouser le cousin du régisseur qui lui faisait les yeux doux et promis d’être le parrain de son enfant. Puis je la mis nue et lui léchai le con et le cul. Ensuite je me lavai avec de l’eau de Cologne et me fis lécher le cul par elle. Cela m’excita énormément. Je la baisai avec de telles secousses que ses cheveux flottaient sur le lit.
Nous eûmes bientôt les trois mariages. Tout se termina amoureusement et je couchai tour à tour avec les femmes de mon harem. Elles savaient chacune ce que je faisais avec les autres et sympathisaient.
Bientôt Ursule accoucha d’un garçon, plus tard Élise et ma tante, d’une fille ; le même jour je fus parrain du petit Roger d’Ursule, de la petite Louise d’Élise et de la petite Anna de ma tante, tous enfants du même père et qui ne le sauront jamais.
J’espère en avoir bien d’autres et, ce faisant, j’accomplis un devoir patriotique, celui d’augmenter la population de mon pays.

Que pensez-vous de cette littérature ? Dites-moi... Moi j'aime.
N'hésitez pas à m'envoyer des textes érotiques d'auteurs... ou de votre écriture !...

16 novembre 2019

Doux moment

cc

Réédition

Je suis allongé sur le dos.
Tu es sur moi. Presque à genoux,
jambes de part et d'autres des miennes.
Redressée sur tes coudes.
Nos lèvres sont jointes.
Nos langues dansent l'une contre l'autre.
La pointe de tes seins effleurent mon torse.
Ta fine toison humide caresse mon ventre.
Mes mains courent le long de ton dos.
Se saisissent de tes deux globes.
Glissent le long de tes cuisses,
remontent et suivent ta douce fente,
du bas de ton dos
bbjusqu'à ton clito...
Mes doigts s'insinuent,
insistent, pressent, pénètrent...
Tu ondules au rythme de mes caresses.
Et puis tu te laisses tomber,
glisses légèrement vers le bas
et avales entre tes lèvres chaudes
mon vit qui n'attendait que cela.
Douce sensation.
Mes jambes se referment sur toi
pour mieux te posséder,
mieux te pénétrer.
Nos bras nous enserrent.
Un instant de calme avant la tempête.
Recherche de la moindre sensation.
Mais bientôt, nous ne maîtrisons plus rien
jusqu'à l'apothéose.

aa

3 avril 2010

Pour toi...

aaCe texte s'adresse à une femme qui vient parfois par ici.
Moi même je vais parfois sur son blog
ou, ingénue, elle se montre nue.
J'espère qu'elle se reconnaîtra...

Tu n'as plus vingt ans depuis longtemps.
Tu as des enfants adolescents.
Mais tu restes femme, évidemment
et ton corps est toujours attirant.
J'aime ta taille fine, la rondeur de tes seins
et leurs tétons qui pointent,
la courbe de tes hanches,
ton ventre plat, tes fesses pleines,
tes longues cuisses fuselées...
J'aime tes positions provocantes,
tes tenues aguichantes.
Tantôt tu es pleine de pudeur,
tantôt tu me mets en sueur.
Mains sur tes seins
pour les cacher ou pour les exciter.
ccMains au pubis pour le protéger
ou pour te masturber...
Nue, tu te montres dans toute ta beauté
et tu as bien raison de m'en faire profiter.
Quelque soit ton âge, tu restes désirable
et tu m'émeut, que diable !
Alors.... Alors je me prends à rêver.
Nos corps nus emmêlés.
Nos respirations à l'unisson.
Nos lèvres soudés.
Nos peaux explorées.
Nos sexes en fusion.
Unis par le même désir,
la recherche du même plaisir,
de l'onde sublime qui nous met en transe.
Non, tu es loin d'être... "périmée" l'amie.
Pardonne-moi si je ne te l'ai pas assez dit...

4 avril 2010

Les exploits d'un jeune don Juan (2)

Il y a quelques jours, je vous ai présenté un premier extrait des "Exploits d'un jeune don Juan" de Guillaume Appolinaire. En voici un autre, un peu plus loin (chapitre VII). Roger, le jeune en question, va rendre visite à Berthe, sa soeur un peu plus âgée, qui est restée au lit car elle a ses premières menstrues...
Les gravures sont de Avril et datent du 19ème siècle...

Elle était couchée et semblait réellement malade. Elle se réjouit pourtant de ma vision.
Ma polissonnerie naturelle ne tarda pas à se réveiller. Mais lorsque je voulus la toucher sous les couvertures, elle se tourna en disant : « Non, Roger, depuis avant-hier, j’ai mes affaires... tu sais bien... et j’ai trop honte. – Ah ! dis-je, tes menstrues, ainsi tu n’es plus une fillette, mais une femme. Je suis aussi devenu un homme, Berthe », ajoutai-je fièrement et, me déboutonnant, je lui montrai mes poils et mon vit décalotté. « Et je l’ai fait aussi, tu sais ! mais je n’ai pas le droit de dire avec qui.
– Tu l’as fait ? demanda Berthe, mais quoi donc ? »
Alors j’expliquai le coït à ma soeur attentive.
« Et tu sais, papa et maman le font aussi toujours.
– Va donc, c’est trop dégoûtant. » Elle dit cela d’un ton qui signifiait le contraire, et j’ajoutai : « Dégoûtant ? Pourquoi donc deux sexes ont-ils été créés, Berthe ? Tu ne peux pas croire comme ça fait du bien, beaucoup plus de bien que quand on le fait tout seul.
aa– Oui, ça m’a semblé toujours meilleur lorsque Kate me branlait que lorsque je le faisais seule. Et avant-hier, ah ! je croyait être au ciel. Alors Kate m’a dit : “Maintenant ça t’est aussi venu, Berthe, fais attention, tu vas bientôt avoir tes affaires.” Ce même jour j’ai eu mal au ventre et tout à coup quelque chose d’humide m’a coulé le long des cuisses. J’ai été très effrayée quand j’ai vu que c’était du sang ! Kate s’est mise à rire et a été chercher maman, qui m’a regardée et a dit : “Mets-toi au lit, ma Berthe, tu auras cela tous les mois, pendant trois ou quatre jours. Il faudra changer de chemise lorsque ça cessera de saigner et ne pas te laver avant, sans cela ça ne cessera pas. Tu ne porteras plus des robes de fillette.” Je vais avoir de longues robes comme maman et ma tante, conclut Berthe non sans orgueil.
– Allons, Berthe, faisons-le, et je l’embrassai et la pressai contre moi.
– Ne me fais pas de mal à la poitrine, dit Berthe, je suis maintenant très sensible. » Mais elle ne s’opposa pas à ce que j’ouvrisse sa chemise pour voir ses petits tétons dans la première période de leur développement.
C’était une paire de petits monticules qui m’apparurent comme ceux d’une jeune Psyché ou Hébé. Mais pourtant ils avaient déjà la forme classique, ne montraient aucun signe d’affaissement et tendaient deux petits bonbons roses.
Je lui dis des choses tendres et elle se laissait volontiers embrasser et même sucer ; mais cela l’excitait.
Après quelques refus elle me permit de voir son con, mais elle roula auparavant sa chemise ensanglantée.
Elle avait déjà beaucoup plus de poils que moi. Un peu de sang aqueux coulait sur ses cuisses ; certes, ce n’était pas très appétissant, mais j’étais trop excité pour y prendre garde.
Elle tenait les cuisses serrées, mais mon doigt trouva bientôt son clitoris. Ses cuisses s’ouvrirent sous la pression de ma main. Enfin, je pus mettre mon index dans son con humide, mais pas très loin, car elle se contractait. J’appuyai contre son hymen, au milieu duquel il y avait déjà un petit trou. Berthe poussa un petit cri de douleur et se contracta encore.
Très excité, je me déshabillai, levai ma chemise et me mis sur ma soeur pour pénétrer dans son con avec mon membre toujours plus dur. Berthe protesta à voix basse, se mit à pleurer, poussa un petit cri lorsque je fus bien entré dans son vagin. Mais la courte douleur sembla bientôt se changer en volupté. Ses joues étaient échauffées, ses jolis yeux brillaient, sa bouche était à demi ouverte. Elle m’enlaça et répondit avec force à mes secousses.
bbAvant que j’eusse fini, le nectar se mit à couler de son con. Ses yeux se fermèrent à moitié et clignotèrent nerveusement ; elle criait fort, mais de volupté : « Roger, ah ! ah ! ah ! Ro-o-ger, – je... – je... aah ! » Elle était complètement hors d’elle. J’avais dépucelé ma soeur.
À cause du coup que j’avais tiré le matin et aussi à cause de mon excitation je n’avais pas encore déchargé. À la vue de la volupté de ma soeur, je fus encore plus excité et je me pressai, mais je sentis brusquement quelque chose de chaud dans le con de Berthe, je me retirai et il sortit une coulée sanglante, mélange de mon sperme et du sang produit par le déchirement de l’hymen et par la menstruation.
Nous fûmes tous deux très effrayés, mon membre était tout couvert de sang qui collait aussi à mes poils et à mes couilles.
Mais notre terreur ne connut plus de bornes lorsque nous entendîmes une voix qui disait : « Ah ! ce n’est pas mal ! les jeunes gens font une jolie conversation. » Kate se tenait près de nous.
Elle avait oublié quelque chose et on l’avait renvoyée pour le chercher. À cause de notre occupation absorbante, nous ne l’avions pas entendue monter l’escalier, mais elle nous avait, paraît-il, regardés quelque temps du dehors et était entrée en ouvrant doucement la porte pendant l’extase voluptueuse de Berthe.
Son visage polisson reflétait l’excitation causée par ce qu’elle avait vu et entendu. Berthe et moi étions si étonnés que pendant quelques instants, nous ne pensâmes pas à remédier à notre désordre. Kate eut tout le temps de regarder le fort saignement de Berthe et l’affaissement de mon vit que la terreur avait fait débander.
« Lorsqu’on fait une chose pareille, dit en riant Kate, il faut avant tout fermer la porte ! » et elle alla pousser le verrou.
« Berthe, ta maman a oublié de te dire qu’on ne doit pas le faire pendant que l’on a ses affaires.
« Mais je sais bien, ajouta-t-elle en éclatant de rire, que c’est alors qu’on en a le plus envie.
« Mets seulement un linge sec entre tes jambes et reste tranquillement couchée.
« Mais cette chemise ne doit pas aller dans le linge sale, à moins que tu n’aies aussi tes affaires, Roger. »
ccJe vis alors que ma chemise était tachée de sang. Kate mit de l’eau dans une cuvette et s’approcha de moi.
« Heureusement que ça s’en va facilement, dit-elle ; lève-toi, Roger, je vais te laver. »
Je me mis debout devant elle pour qu’elle trempât la chemise, mais ce n’était pas facile. Alors elle enleva tout de go la chemise, de façon à ce que je fusse nu devant les deux jeunes filles.
Elle lava la chemise en se moquant :
« Viens donc ! » ajouta-t-elle sérieusement, et elle me lava avec l’éponge.
À ce contact, mon vit commença doucement à se soulever. Kate disait : « Ah ! méchant vit qui est entré dans le con de Berthe ! » Et elle lui donnait de petites claques avec la main. Tout à coup, elle m’empoigna avec le bras gauche, me mit sur ses genoux et me fessa de toutes ses forces. Je me mis à crier. Berthe se tordait de rire.
Les fesses me brûlaient, mais je sentais une excitation plus forte que celles que j’avais ressenties jusque-là.
Déjà, autrefois, lorsque j’avais dix ans, ma mère, à cause d’une bêtise que j’avais faite, m’avait pris entre ses cuisses, ôté mes culottes et avait tapé dur sur mes petites fesses, de telle façon, qu’après la première douleur, j’avais conservé toute la journée un sentiment de volupté.
Lorsque Kate regarda mon vit de nouveau très présentable, elle se mit à rire : « Oh ! oh ! quelle grosse manivelle il a Roger, il faut tourner la manivelle ! » Elle prit mon vit dans sa main, le serra et le décalotta. Je n’y tins plus. J’empoignai Kate aux tétons, elle fit semblant de se défendre. Je mis alors la main sous ses jupes. Elle ne portait pas de pantalon. J’empoignai son abricot. Elle voulait se retirer, mais je la tenais aux poils. Avec le bras gauche j’enlaçai son cul. Je m’agenouillai et lui enfonçai dans son con chaud, le pouce de ma main droite, en le faisant entrer et sortir.
Cela lui faisait du bien, ce n’était pas niable, elle se défendait mollement et s’approcha du lit de Berthe qui, pour ne pas avoir honte devant Kate, m’aida en l’empoignant au cou pour la coucher sur le lit.
Kate perdit la tête, tomba sur le lit. Je lui soulevai la robe et mis son con à nu. Ses poils étaient roux, mais pas aussi épais que je l’eusse cru d’après les renseignements de Berthe, mais assez longs et humides de sueur. Sa peau était blanche comme du lait et douce comme du satin. Ses blanches cuisses étaient agréablement arrondies et portaient joliment des bas noirs qui renfermaient une paire de mollets fermes et ronds.
Je me jetai sur elle, poussai mon vit entre ses cuisses, pénétrai doucement dans son con, mais j’en ressortis aussitôt. Mes pieds ne trouvaient pas de point d’appui. La position était trop incommode.
Mais Kate, qui maintenant était en chaleur, sauta debout, me poussa sur la chaise, près du lit, et se jeta sur moi. Avant que j’eusse le temps de me reconnaître, mon membre était enfermé dans son con.
Je sentais ses longs poils contre mon ventre. Elle se remuait et me tenait les épaules. À chaque mouvement ses grandes lèvres touchaient mes couilles.
Elle enleva d’elle-même son léger casaquin de percale et me dit de jouer avec ses nichons, parce que ça lui faisait du bien, disait-elle. Ses tétons étaient naturellement plus développés que ceux de Berthe et plus durs que ceux de la régisseuse, bien qu’ils ne fussent pas de beaucoup aussi gros. Ils étaient aussi blancs que ses cuisses et son ventre et avaient deux grosses pointes rouges, entourées d’une couronne plus jaune sur laquelle étaient de petits poils.
La crise s’approchait chez Kate très excitée. Dans la violence des mouvements, mon vit était sorti deux fois de son con et en le rentrant elle me faisait très mal, bien qu’à elle cela semblât lui faire beaucoup de plaisir.
Je restai en retard sur elle, tandis qu’elle criait d’une voix extasiée : « Maintenant... maintenant... maintenant... ça me vient... Ah ! Oh ! mon Dieu... ton vit me fait du bi-i-en... » En même temps elle déchargea et je m’en aperçus à l’augmentation de l’humidité de son con. Au dernier moment de son extase, la sensible femme de chambre me mordit à l’épaule.
En sentant sa bouillante éjaculation, je remarquai que la catastrophe approchait aussi chez moi.
Kate avait rapidement repris ses esprits.
« Roger, ta queue devient toujours plus brûlante, tu vas décharger maintenant. » Et elle se dressa brusquement, saisit de la main droite mon vit humide de sperme et se mit à le frotter violemment, en disant : « Sans cela je pourrais devenir enceinte. »
Je m’étais levé aussi ; Kate me pressait contre elle avec son bras gauche ; je suçai ses tétons. Je dus ouvrir les jambes. Mon ventre se secouait convulsivement, complètement nu devant les deux curieuses filles. Tout à coup mon jet partit.
Berthe avait regardé attentivement l’éjaculation et contemplait avec curiosité le liquide blanc qui était tombé sur le lit.
La raffinée, pendant que je déchargeais, me chatouillait le cul en m’encourageant : « Voilà, mon Roger, tu décharges gentiment, ça y est... ça y est. »
Ma jouissance avait été indicible.
Ensuite je retombai sur la chaise. Kate faisait comme si rien ne s’était passé. Elle mit tout en ordre, m’essuya la queue avec son mouchoir, reboutonna sa casaque, prit son panier et nous dit avec sa gaieté habituelle : « Dieu soit loué, que ça se soit passé ainsi ! Maintenant soyez prudents. Toi, Berthe, reste tranquillement couchée et toi, Roger, descends maintenant ! »
Elle s’en alla et je regagnai ma chambre après m’être rhabillé et avoir embrassé Berthe.

2 mai 2010

Un plaisir du bronzage...

Je ne résiste pas au plaisir de vous présenter ce texte pris sur le blog de Gena ! Un blog éphémère  que je découvre par hasard, malheureusement en panne d'inspiration et de publication depuis de longs mois... Si Gena passe par là, qu'elle me pardonne de l'avoir "pillée"...

Un après-midi, après ma baignade, je suis allée me faire bronzer dans les dunes. Je voulais un coin tranquille, pour bronzer sans traces de maillot vous comprenez... J'ai trouvé un coin idéal, désert, mer et sable à perte de vue. Le sable était un peu chaud mais pas trop. Pas de vent. J'avais un drap de plage immense : je l'ai posé, je me suis installée. J'ai enlevé ce que j'avais, le peu que je portais sur moi : j'ai tout retiré. Ah, que c'est bon d'être libre ! J'adore être nue. J'avais un bouquin mais je l'ai à peine ouvert. Je suis restée seule un moment. Je rêvais... Je me tournais d'un côté, et de l'autre, sur le ventre ou sur le dos pour exposer tout mon corps. Je sentais le soleil sur ma peau, ça la rendait chaude et douce. Je me caressais les seins... Ils sont doux sans rien qui les bride...
Je ne l'ai pas entendue arriver. Mais tout à coup, une fille était là, debout, qui me regardait. Je ne la voyais pas bien, car elle était dans le soleil, mais sa silhouette était parfaite. Elle se tenait droite, et son ombre était sur moi. Elle me cachait le soleil, alors j'ai protesté : « Eh, vous permettez qu'on bronze ? «
Alors elle s'est écartée, s'est penchée vers moi avec un sourire, très à l'aise, et m'a dit :
« Oh pardon ! Je ne voulais pas vous déranger. Je cherchais un coin tranquille. Je ne m'attendais pas à vous ! »
Puis, très vite :
« Vous avez des seins superbes ! »
aC'est bien ce que je me disais. Elle appréciait le spectacle. Cette fille me plaisait.
« Merci ! Ils sont aussi très doux vous savez...
Vous voulez bronzer ici ? Installez-vous !
- Bronzer ? Si on veut, oui... »
Elle s'est posée à côté de moi, puisque je l'invitais.
Mais avant de s'allonger, elle a pris son temps, en se baissant, puis accroupie, puis à genoux, elle n'arrêtait pas de me regarder. Je la regardais aussi : c'était une belle brunette. Elle n'avait pas besoin de bronzage : sa peau était de miel. Elle a tout enlevé, en me fixant droit dans les yeux. Ma parole, elle me faisait un vrai strip-tease ! Elle n'avait pas grand'chose à retirer mais elle faisait ça bien, en prenant son temps, en se caressant devant moi. Elle avait un corps parfait, ferme et bien roulé. J'avais envie de la toucher.
Mais c'est elle qui a commencé :
« Vos seins sont doux, c'est vrai ? »
J'étais redressée sur mes coudes, je lui ai présenté mes seins dans mes mains :
« Viens voir ! »
Elle s'est approchée, elle m'a caressé les seins. Elle me regardait toujours.
C'est incroyable ce que cette fille me faisait de l'effet !
Elle prenait mes seins dans ses mains, à pleines mains et par en dessous, et les soupesait et les pressait et les pinçait un peu, exactement comme j'aime, ça me rendait dingue.
Sa bouche : j'ai eu envie de sa bouche... Et elle m'a embrassée.
Ses seins, ses seins contre les miens, c'était une sensation incroyable : je les touchais, je les caressais, je les prenais moi aussi dans mes mains...
bElle s'est penchée et m'a sucé les seins, l'un après l'autre : j'avais envie de crier tellement c'était bon. Et elle descendait, le ventre, les fesses, elle voulait tout, toucher caresser, embrasser lécher, et j'aimais ça, ça m'excitait, ma chatte se mouillait et s'ouvrait... pour elle. Alors elle est venue, l'a regardée, l'a caressée, y a glissé ses doigts pour l'écarter, y a mis sa bouche, sa langue, dessus, ses doigts, dedans... Elle était au dessus de moi et m'a présenté la sienne, juste au dessus de ma bouche. C'était du miel, une fleur exotique ou quelque chose comme ça, luisante et trempée : je l'ai pressée contre ma bouche et j'y ai enfilé ma langue, j'ai bu son jus et sucé ses plis, ses lèvres, son clito tout excité... Le mien n'en pouvait plus sous ses doigts habiles, sa langue experte : elle m'a fait jouir, vite, j'en ai crié ! Mon cri résonne encore dans les dunes... Le sien a suivi en écho, j'ai senti comme ça la secouait, on s'est cabrées toutes les deux comme des bêtes, quel pied !
On est restées là encore un moment, mais après, j'avais trop chaud, du sable partout et envie de bouger : je me suis levée pour rentrer.
Elle est partie de son côté, je ne sais pas qui était cette fille.

22 avril 2010

Sylvia

J'ai envie de vous raconter, comme cela, pour le plaisir, cette histoire que m'a racontée Sylvia il y a quelques temps. Une belle femme, Sylvia, qui avait à l'époque quarante et quelques années. Nous nous sommes retrouvés plusieurs fois pour nous offrir du bon temps. Ce jour-là, dans ce temps de confidences qui souvent suit l'amour, elle me dit qu'il lui était arrivé plusieurs fois de faire l'amour avec des femmes et qu'elle y trouvait autant de plaisir qu'avec les hommes même si ce plaisir était complètement différent. Et à cette période, elle "voyait" régulièrement Irène et elles passaient leurs nuits ensemble. Et elle m'a raconté comment elles s'étaient rencontrées, reconnues et aimées...

A ce moment là, Sylvia habitait dans une belle résidence. Célibataire par choix, pour garder une certaine liberté, mais aimant malgré tout les choses de l'amour, il n'était pas rare qu'elle passe la nuit avec un homme... Certains régulièrement, d'autres pour un soir... Et aussi, je vous l'ai dit, parfois avec des femmes... 
Depuis un moment, elle était intriguée par une belle femme, sensiblement son âge, qui habitait deux étages plus bas. De temps en temps elle la croisait dans le hall de l'immeuble. Elle était subjuguée par son odeur, par son physique : grande, de longues jambes toujours fuselées dans son jean moulant, un cul d'enfer appelant la caresse, des seins merveilleux, provoquant... Sylvia en rêvait, pensait à elle en faisant l'amour avec d'autres, se caressait en imaginant que c'était elle qui lui prodiguait ces caresses... Mais elle n'osait pas l'aborder. Elles se contentaient d'échanger un simple bonjour...
Et puis elle a été encore plus intriguée quand elle l'a vue plusieurs fois avec une jeune femme d'une trentaine d'année tout aussi canon... Elle les imaginaient toutes les deux nues, leurs corps offerts à l'autre, s'offrant mutuellement du plaisir... Mais elle n'a plus eu de doute quand elle les a aperçues toutes les deux en ville, marchant hanche contre hanche, se tenant par la taille et échangeant de temps en temps un rapide baiser...aa
Alors, un jour qu'elle la croise de nouveau à l'entrée de l'immeuble, elle prend son courage et l'aborde.
- Excusez-moi, ça fait un moment que je vous croise dans l'immeuble et j'ai envie de vous connaître davantage. Auriez-vous envie de venir prendre un café chez moi.
Et avec un grand sourire, l'autre a accepté immédiatement l'invitation.
Deux minutes plus tard, elles étaient assises côté à côte sur le canapé de Sylvia et elles se sont mis à papoter... La résidence, les petits potins, le quartier, les commerçants, leur travail respectif... Conversation sympathique mais parfaitement superficielle...
Un moment Sylvia, ose :
- Je vous vois parfois avec une jeune femme. C'est votre soeur ? Je trouve qu'elle vous ressemble...
En fait, strictement aucune ressemblance...
- Non, c'est ma petite amie...
Sylvia est stupéfaite de la franchise de son invitée. Et cela doit se voir...
- Oh ! Je vous choque ? Ben oui, désolée mais je suis lesbienne. Vous, vous aimez les hommes. Je vous ai souvent vu arriver avec des hommes. Moi j'aime les femmes...
- Oh non ! Ca ne me choque pas du tout. Et pour être aussi franche que vous, si j'aime les hommes, j'aime aussi les femmes et j'ai souvent passé des nuits avec des femmes...
- Ah bon ? Bon, excusez-moi, mais il faut que j'y aille...
Et elle se lève, prend son sac à main et se dirige vers l'entrée...
Enorme déception de Sylvia, vous imaginez. Elle ne peut que bredouiller 'on se reverra... Merci d'être venue'...
Elle n'en a presque pas dormi de la nuit. Ca l'a perturbée tout le lendemain... Elle avait un cafard monstre le soir... Quand ça sonne à sa porte. C'est Irène.
bb- Bonsoir. Excusez moi de vous déranger et excusez moi surtout d'être partie aussi vite hier mais j'avais un rendez-vous. J'ai très envie de poursuivre notre conversation et je voulais vous proposer de venir dîner chez moi un de ces soirs...
Rendez-vous est donc pris pour le lendemain soir. De nouveau, Sylvia n'en a presque pas dormi de la nuit et elle a été perturbée tout le lendemain, excitée comme une puce...
Elle rentre chez elle et se prépare... Elle a décidé de faire dans la provoc... et de s'habiller légèrement. Un string, pas de sous-tif, sa robe légère, très décolletée, avec ses fines bretelles et qui lui arrive au tiers de la cuisse...celle qu'elle portait quand je l'ai rencontrée la première fois et qui m'a fait craquer...  Et c'est le coeur battant qu'elle sonne chez Irène.
Mais son coeur est prêt à exploser quand Irène vient lui ouvrir. Elle aussi semble vouloir faire dans la provoc : une mini-jupe moulante laisse sortir ses longues jambes fines ; un top très moulant aussi, arrivant presque à la pointe des seins et largement au-dessus du nombril...
- Oh, excusez-moi de vous accueillir dans cette tenue. J'aime bien me mettre à l'aise quand je suis seule chez moi. Rentrez et installez-vous. Je vais m'habiller plus décemment...
- Non, non, restez ainsi...
Ca a échappé à Sylvia. Et elle ne peut non plus s'empêcher de prendre Irène par la taille et de l'embrasser sur les joues comme une vieille amie. Irène lui rend son baiser, à son tour l'enlace et elle la serre contre elle...Et sans la lâcher, elle l'entraîne vers le salon, la fait assoir sur le canapé et s'assoit tout contre elle...
Elles restent un moment en silence, serrée l'une contre l'autre... Irène pose sa main sur le genou de Sylvia et doucement la remonte le long de la cuisse. Sylvia fait de même... Leurs visages se rapprochent, leurs lèvres se joignent...
Bientôt elles sont nues... La nuit a été longue...

aa bb cc

29 juin 2022

Délice

a

Réédition

Douceur de ton sexe sous la caresse de ma main.
Ton pubis glabre, tes lèvres chaudes et humide
qui s'écartent facilement au passage de mes doigts.
Moiteur de l'entrée de ton vagin.
Mes doigts s'amusent avec ton petit bouton.
Plaisir de voir ton plaisir,
de sentir ton corps se crisper sous la caresse...

Odeur et saveur de ton sexe lorsque ma bouche s'en mêle.
Lorsque mes lèvres aspirent ton petit clito qui bande.
Odeur acre. Saveur ambrée.
Ma langue lèche de haut en bas, de bas en haut,
s'insinue à chaque passage plus profondément...
Elle s'attarde à l'entrée de ton puits,
y pénètre autant qu'elle peut...

Délice lorsque mon sexe remplace bouche et doigts,
lorsque mon gland se présente à l'orée de ton intimité
et doucement s'enfonce, pénètre,
écartant les chairs qui l'enserrent...
Nos sexes ne font qu'un.
Les nerfs sont à vif... Nos plaisirs sont intenses
et ne cessent d'augmenter...
Je vais et je viens...
Tu ondules du bassin
soulèves tes reins...
Jusqu'à ce que la tension soit extrême
jusqu'à la jouissance suprême...

 

26 mai 2010

Les mecs !

Des dessins de Tom of Finland ! "Tom of Finland est le pseudonyme de Touko Laaksonen (Kaarina, Finlande, 8 mai 1920 - 7 novembre 1991, 71 ans). C'était un dessinateur et peintre finlandais homosexuel célèbre dans le monde gay pour ses représentations fantasmatiques et fétichistes d'hommes. Il a durablement influencé l'imaginaire gay" nous dit Wikipédia !.

Ce n'est pas que j'aime beaucoup... Je dirais même... pas du tout ! Mais il en faut pour tous les goûts. Et peut-être certains (certaines ?) vont aimer... Certains (certaines ?) vont fantasmer sur ces mecs hyper virils...

a
bcde

12 juin 2010

Emilie

Très beau texte -à mes yeux- que j'ai pris sur le blog de Malaury...
Malaury, si tu viens ici, tu ne m'en voudras pas ?
Dommage que tu aies arrêté ton blog parce que des textes comme ça, on en redemande !

aOn dit que la beauté est dans le regard de l'autre. Il faut croire que c'est vrai. Je ne me sens jamais aussi belle que quand elle me regarde avec cet air coquin qui n'appartient qu'à elle. Je voudrai disparaitre dans ces moments. Disparaitre dans ses yeux pour n'être plus qu'à elle.
Je ressens une chaleur dans mon bas-ventre rien que de la regarder, appuyée sur la rambarde du balcon. Mes tétons durcissent. Cela doit se voir à travers mon débardeur... Je contemple ses formes. Apprécie ses jolies fesses rebondies... J'ai soudainement envie de sentir sa peau sous mes doigts, de sentir nos langues se mélanger, de sentir la caresse de ses doigts sur moi, en moi. Je voudrais que sa langue me fouille... Elle est si douée pour ça aussi. Je me rend compte combien je l'aime et les larmes me montent au yeux. Elle tourne la tête vers moi, elle a sentie ma présence.
"- Viens ! Il fait doux et la vue est magnifique !"
Je m'avance timidement. J'ai toujours l'impression d'être une fillette à ses côtés, même après toutes ces années partagées. Elle remarque alors le trouble dans mes yeux.
"- Tu pleures ? Que t'arrive t-il ma puce ? Tu es fatiguée ?"
Je veux me retenir mais mes larmes finissent par couler.
"- Tu es si belle, j'ai si peur de te perdre quand je te vois. Si peur que tu t'envoles ..."
Elle me caresse délicatement le visage. Un tendre sourire illumine sa figure. Quelle vision de paradis !
"- Voyons, ma puce, tu sais que je n'aime que toi, que je ne peux aimer que toi. Tu es mon trésor." Elle pousse délicatement une mèche de mes cheveux, passe sa main dans ces derniers.
Je l'écoute mais ses paroles n'atteigne pas mon cerveau. Sa voix m'hypnotise. La caresse de ses doigts m'apaise. Je me laisse aller dans sa main alors qu'elle la pose sur ma joue. Je ferme les yeux. Ma respiration se fait plus haletante, le rouge me monte aux joues, je sens l'humidité entre mes cuisses. Elle a perçue mon excitation, certainement a la vue de mes tétons cpointant à travers mon débardeur ou simplement à mon attitude. Elle me connait si bien ... sur le bout des doigts. Je sens d'ailleurs le désir monter à l'idée de ses doigts caressant mon intimité, passant sur mon pubis rasé. Je m'imagine alors sa chatte si douce ... Je sens ses doigts glisser sous mon débardeur, me caresser les hanches. Elle pose sa main sur mes côtes, le haut de sa main effleurant le bas de ma poitrine. Je reste là, offerte, les yeux toujours fermés. Seul mon torse se cambre légèrement pour mieu recevoir ses caresses. Je sens son souffle sur ma nuque, puis ses lèvres. Nous nous embrassons enfin longuement, langoureusement. Sa main monte alors plus haut, son doigt dessine une spirale sur mon sein, finissant sur mon téton. Elle le pince gentiment puis prends mon sein à pleine main, caressant son extrémité de l'index. Je frémit. Elle m'embrasse à nouveau dans le cou et je pousse un gémissement sourd. J'ouvre les yeux et nos regards se croisent, se perdent l'un dans l'autre. Je passe mes mains autour de sa taille, la masse du bout des doigts. Nous ne disons rien mais nos regards, nos respirations, en disent plus long que tout les mots. Enfin elle brise ce moment d'éternité. Je lui en veux presque. Elle soulève alors mon débardeur et ses lèvres viennent remplacer son index. Je ne peux retenir mon cri de jouissance, je sens l'humidité entre mes jambes. Elle aussi la ressent alors qu'elle me caresse, frôlant mon intimité à travers ma culotte trempée. Elle se lèche les doigts en me lançant un sourire complice. Je lui adresse un faible sourire, trop perdue dans mon propre plaisir pour pouvoir faire mieux. Elle n'a pas l'air de m'en vouloir alors que ses lèvres passent sur mon autre téton ... Je me décide à ôter mon débardeur, lui offrant ma poitrine en offrande. Elle me caresse des doigts, de la langue, parcourt le vallon de mes seins, s'attarde sur leur galbe. Elle remonte parfois vers le creux de ma gorge, ses mains s'attardent sur mon ventre, caressant mon nombril. Je passe mes mains dans sa belle chevelure, pressant sa tête contre moi.
Nous restons à nous regarder longuement, nos mains vagabondant sur nos formes.
"- Je t'aime ..."
bCe simple mot paraît à la fois si banal et merveilleux entre mes lèvres. Banal car il exprime si mal mon adoration ... Mais merveilleux car j'ai l'impression qu'il devient immense, qu'il envahit mes pensées lorsque je m'adresse à elle. Je ne regretterai jamais d'avoir pris la décision de partager ma vie avec elle. Elle est tout pour moi. L'évidence s'impose à moi : en dehors de ses bras l'Amour n'existe pas. Ce ne sont que des ersatz, de pâle copie ...
"- Moi aussi, ma puce. Je t'adore, tu es ma perle, mon si précieux bijoux ..."
Les larmes me montent aux yeux, elle sourit et m'embrasse. Ses mains caressent ma poitrine, elle doit sentir mon cœur battre à en exploser. Je caresse ses cuisses, ses hanches, ses fesses. Mes doigts se glissent vers son délicieux minou et je ressens l'humidité de son désir ... Cela me remplit de joie et j'accentue mes caresses, mes lèvres sont brûlantes ... Elle recule et me dit en ôtant sa culotte :
"- Tu as l'air fiévreuse, ma puce, je vais t'apporter quelque chose pour te rafraichir ..." Elle m'adresse un sourire coquin. J'essaie de me calmer mais mes mains parcourent mon corps malgré moi. Elle me regarde quelques instants puis s'éloigne. J'admire sa démarche chaloupée, sa superbe chute de rein. Puis elle disparait. Une sourde angoisse m'envahit ... Et si elle ne revenait pas ? Si tout ceci n'était qu'un rêve ? La naïveté de mes pensées me fait rougir de honte. Mais je ne peux m'en empêcher. Si je suis son bijoux, elle est mon écrin, l'indispensable complément qui me rend merveilleuse aux yeux du monde. Elle revient enfin, un petit seau de glaçon à la main. C'est un petit jeu qu'elle affectionne ... Et moi aussi. Elle commence par en saisir un entre ses lèvres et m'embrasse. Le glaçon danse entre nos lèvres. Je sens à peine la fraicheur de ce dernier, trop concentrée sur la langue de ma partenaire. Elle l'attrape entre ses lèvres puis caresse l'extrémité de mes seins avec celui-ci. Un frisson me parcourt l'échine. Elle continue de plus bel. Je me cambre, m'appuyant sur le banc alors qu'elle passe au dessus de moi. Je sens sa poitrine sur mon ventre ... C'est si bon, si doux ... Le glaçon fond enfin. Elle en saisit un nouveau entre ses doigts, caresse mon nombril, puis entreprend de traverser le val de mes seins ... Il glisse, tente de s'échapper. Mais elle le retient, continuant son inexorable voyage. Chacun de ses mouvements provoque des vagues de plaisir en moi. Le glaçon finit sa course au creux de ma gorge et elle le saisit alors délicatement du bout de la langue avant de me regarder en le suçotant avec un air gourmand. Je n'y tiens plus, j'ai très envie d'elle ... Elle le sait et se penche en arrière pour m'inviter. Je commence alors à délicatement sucer les lèvres de son dintimité, savourant le miel qui en coule. Je tâtonne et saisis un glaçon. Je le pose sur son clitoris et commence à la masser doucement. J'arrête de la sucer pour admirer l'effet que cela à sur elle. J'ai enfin réussie à la faire céder ... Sa respiration est moins contrôlée, elle se caresse sans retenue. Je suis heureuse. Je recommence à la lécher doucement, la caresser avec le glaçon. Je le glisse lentement en elle et un cri de plaisir s'échappe de sa gorge. Je lui souris malicieusement. Elle me regarde, les yeux dans le vague, elle souris faiblement, perdue dans sa jouissance. Son désir se mêle au mien lorsque nos yeux se croisent ... Le glaçon remonte jusqu'à son nombril et décrit des cercles sur son ventre alors que ma langue s'aventure plus profondément dans sa douce chatte. Je sens sa main sur mes cheveux, elle me caresse délicatement, mais je sens l'urgence dans ses mouvements. Je prends plaisir à la taquiner, tourner autour du centre de son plaisir ... Le glaçon a fondu et j'en saisis un nouveau. Je le fais glisser sur ses cuisses. Elle frisonne lorsqu'il lui caresse le bas des fesses. Je m'applique à la lécher soigneusement. Ma main fais glisser le glaçon le long de sa hanche et remonte vers sa poitrine. J'en dessine le galbe avant de commencer l'escalade vers son mamelon dressé par le plaisir. "- Oh oui, ma puce, continues ... C'est si bon ... J'aime ta langue ..." Je suce son clitoris et recommence à lui lécher le minou. Ma langue se plante parfois en elle et je la sens alors frémissante.
"- Oui, oui, continues !"
Le flot de son plaisir coule entre mes lèvres. Je sens mes propre cuisses s'humidifier de plus en plus. La voir ainsi m'excite terriblement. "- Aaahhhh oooouuuuiiiii !!!" Ce dernier râle ede jouissance s'accompagne de spasmes à travers son bas ventre, ses cuisses. Son clitoris ruisselle de son désir. Elle se laisse choir sur le banc alors que les dernières convulsions de plaisir la parcourent. Je m'allonge a ses côtés. Nous nous embrassons.
"- Tu as été parfaite, ma puce." Ses doigts caressent délicatement mes seins et ma chatte. Elle ressens mon propre désir. Elle me murmure à l'oreille.
"- A ton tour ..."
Je me laisse aller entre ses doigts et ne tarde pas à atteindre moi aussi l'orgasme. Je la regarde ... On dirait un ange ... Son sourire est radieux.
Je lui chuchote dans un sourire :
"- C'était merveilleux, chérie."
Elle ne répond pas, se contentant de m'embrasser. Je me blottit dans ses bras et nous nous endormons, caressées par les doux rayons du soleil estivale ...

24 juin 2010

Plaisir soliT/Daire...

15 ans. Elle se retrouve seule chez elle en ce bel après midi de début d'été. Elle s'enferme dans sa chambre, ouvre en grand la porte fenêtre de son 10ème étage. Et elle se plante devant son grand miroir. Elle se regarde, se dévisage, s'observe...
Elle prend ses seins à pleines mains... Elle les aime bien ses seins. En trois ans, ils ont pris du volume. Ils sont haut placés, fermes, à la belle courbe. Avec, elle se sent femme maintenant. Et elle aime les caresser... Elle aime sentir la pointe durcir, se dresser... Elle ôte son tee shirt, dégrafe le soutien gorge...!
Elle se regarde se caresser la poitrine... Puis ferme les yeux... Imagine la main de... (de qui d'ailleurs...) à la place de la sienne... Un jour, dans la cours de récréation, Marco, cet obsédé, était arrivé par surprise derrière elle, avait pris ses seins à deux mains et l'avait plaquée contre lui... Elle s'était débattue, dégagée et l'avait copieusement engueulé... Autour, des bbgarçons et des filles se marraient de la scène... En fait, c'est pour eux qu'elle a fait ce mini scandale, pour ne pas apparaître comme une traînée... Mais au fond, elle avait aimé ce contact des mains de Marco sur ses seins...
Une de ses mains glisse le long de son corps et dégrafe sa jupe droite et stricte qui tombe au sol. Elle la dégage d'un coup de pied... Tout en continuant de se caresser, elle regarde ses longues jambes, fines, ses cuisses galbées, un peu musclées... Vive le sport. Finalement, elle se trouve bien foutue. Sauf cette horrible culotte avec des petits chats imprimés que sa mère s'obstine à lui acheter comme quand elle avait 8 ans ! Elle sait que certaines de ses copines portent des culottes en dentelles ou même des strings… Quand elle en a parlé à se mère, celle-ci lui a dit : tant que tu vivras chez moi, ma fille…
Sa main glisse dans cette culotte… atteint sa toison, continue son chemin… Elle trouve son bouton d’amour, joue avec un moment… Enorme sensation de bien être. Ses lèvres sont humides, elle glisse un doigt entre elles, pénètre son intimité…. Soupir de contentement…
Elle s’est mise entièrement nue maintenant… D’une main, elle se caresse les seins, de l’autre le sexe… Tantôt, elle se regarde… Tantôt, elle ferme les yeux, attentive à chacune des sensations qu’elle tire de son corps…

15 ans. Il se retrouve seule chez lui en ce bel après midi de début d'été. Il s'enferme dans sa chambre, ouvre en grand la porte fenêtre de son 10ème étage de l’immeuble face au précédent. Et il se plante devant son grand miroir. Il se regarde, se dévisage, s'observe...
aaEt sans hésiter, il s’offre un strip tease… Bouton après bouton, il ouvre sa chemisette, dégage son torse, ne perd pas une miette du spectacle… Le vêtement atterrit sur le lit… Il admire ses pectoraux, sa fine musculature des bras, ses abdominaux dont, d’un coup de poing mesuré, il mesure la fermeté… Fier de devenir un homme ! Fier de son corps !
Sa main glisse sur son ventre, s’attarde pour ouvrir le ceinturon et chaque bouton de sa braguette… Le pantalon glisse à ses pieds… Il le retire complètement et le jette lui aussi sur le lit… Il se regarde de nouveau, dans son shorty… Il regarde longuement la bosse que forme son sexe… Il le regarde se gonfler doucement à travers le tissu, se développer, s’étaler… Il l’aide à son épanouissement en le caressant du bout des doigts… Puis il longe de bas en haut, de haut en bas ce long renflement à travers le tissu…
Alors, doucement il tire son shorty vers le bas… Apparaît sa toison, puis la racine de son pénis… Et soudain, son vit se libère de l’élastique et tel un ressort jaillit vers le haut en claquant contre son ventre. Il l’enlève alors complètement et prend son sexe à pleine main tandis que de l’autre il caresse ses testicules qui pendent dans leurs bourses…Doucement il se masturbe, en ne perdant pas une miette du spectacle offert par ses mains qui vont et viennent, par son gland qui apparaît puis disparaît dans sa peau…

Un grand cri de jeux d’enfants dehors. Ensemble, la fille et le garçon tournent la tête vers la fenêtre. Et ils se voient. Chacun dans sa nudité. Chacun dans son occupation solitaire. Comme un premier réflexe, ils se cachent tous les deux le bas du ventre de leurs deux mains… Mais, curieux, (c’est la première fois qu’ils voient elle un garçon nu, lui une fille nue) ils s’approchent de la fenêtre et se font face avec la rue entre eux deux. Et, en se regardant avec intensité, ils reprennent leurs caresses. Chacun sent le plaisir monter, plus intense que jamais, plus fort que lorsqu’ils sont seuls… Comme par instinct, leurs gestes s’harmonisent, prennent la même amplitude, le même tempo.
Le garçon jouit le premier. La fille ne tarde pas.
Et ils restent encore un temps à la fenêtre, se laissant observer…

5 août 2015

Cours particulier !

Réédition

Je poursuis mes réditions des textes que j'écrivais au tout début de ce blog. Ce texte a plus de 5 ans. J'ai toujours été sensible aux amours lesbiens...

Marion a 23 ans. Une belle étudiante à la fac de droit. Par altruisme, pour passer du temps utilement, depuis le mois d'octobre, deux fois par semaine, le lundi soir et le mercredi après midi, elle fait du soutien scolaire chez la jeune Cindy. A 16 ans, elle est en seconde. Le mercredi, elles se retrouvent seules dans l'appartement, les deux parents de la jeune fille travaillant et ne rentrant pas avant 19h.
L'année scolaire approche de la fin. Après toutes ces rencontres, une vraie amitié est née entre les deux filles. Souvent, les devoirs finis, les leçons sues, les exercices compris, elles ont passé du temps à papoter : musique, cinéma, l'actualité, les garçons aussi... Toutes deux se sont avoué ne pas être vraiment intéressées par les garçons... Quelques expériences amoureuses pour Marion, aucune pour Cindy... Mais pas de grandes envies...
Ce mercredi de juin, c'est presque la dernière fois que Marion vient chez Cindy. Dans moins de 15 jours, les grandes vacances ! Il fait chaud. Toutes deux rient de bon coeur lorsque Cindy vient ouvrir à Marion. Sinon la couleur, elles sont habillées exactement de la même manière : haut tenu par de fines bretelles et laissant le nombril à l'air. Jeans moulant à taille basse. bEn plus, elles sont guillerettes ! L'approche des vacances, le soleil et la chaleur... Et puis Cindy a annoncé lundi qu'elle passait en première ! Alors, il n'y a plus grand chose à faire... Cindy est soulagée et heureuse. Marion a le sentiment du devoir accompli...
Elles s'assoient tout de même comme d'habitude, côte à côte, devant la table de travail dans la chambre de Cindy... Cette dernière, soudain, rit.
- Tu ne mets pas de soutif ? Je vois tes seins...
Marion ne fait rien pour les cacher et se contente de sourire...
- Toi non plus t'en n'as pas. Et moi aussi je vois les tiens...
- Ils sont beaux les tiens. J'ai envie de les toucher !
Marion avale sa salive, rougit légèrement... Que dire ? Laisser faire ? Mais elle s'entend répondre
- Vas-y...
Sans hésiter, la gamine approche sa main et la pose sur un sein qu'elle malaxe doucement à travers le tissus.
- Hummm ! Ils sont durs ! Je sens la pointe qui se redresse...
cEt elle passe sa main sur l'autre sein. Puis sans plus attendre, la plonge dans l'échancrure du top et reprend ce sein à peau nue... Doucement, elle le caresse, le contourne, le soupèse...
Marion prend sa jeune élève par la taille, se serre contre elle et glisse elle aussi son autre main sous le vêtement, par le bas, et la remonte jusqu'au sein de la fille. Ce sein n'a rien à envier aux siens ! Ferme, gonflé, en forme de petite poire, la pointe se dressant elle aussi sous l'effet de la caresse... Elle dépose un baiser sur la tempe de Cindy, puis sur la joue, puis à la commissure des lèvres... Cindy tourne légèrement la tête et leurs lèvres entrent en contact... Elles s'embrassent et puis les langues sortent et s'emmêlent...
Elles restent ainsi enlacées un long moment. Et puis Marion soulève complètement le vêtement de Cindy et lui passe par dessus la tête. Elle ôte aussi le sien... Elle repousse sa chaise en arrière et fait venir Cindy assise à califourchon sur ses cuisses... Elles se retrouvent seins contre seins, lèvres contre lèvres... Cindy passe ses bras autour du cou de Marion et se serre contre elle. Les mains de Marion courent le long du dos de la fille. L'une d'elles se faufile sous la ceinture, un doigt s'insinuant dans la raie entre les deux fesses... Cindy soupire :
- Oui ! Vas-y... J'ai envie... Depuis longtemps...
Alors, l'étudiante fait se relever la jeune fille, ses doigts s'attardent sur le bouton du pantalon qu'elle fait glisser jusqu'à mi-cuisses, entraînant la culotte avec... Elle serre la fille contre elle, prenant un sein en bouche et malaxant doucement les fesses...
Au bout d'un temps, à son tour elle se lève et tandis que la fille achève d'enlever jeans et culotte, elle se met à son tour entièrement nue. Et elle entraîne son élève vers son lit qu'elle ouvre en grand avant de la faire se coucher... Elle la couvre à moitié de son corps... Cette fois, c'est Cindy qui lui caresse le dos, les fesses, tandis qu'elle caresse et tète ses seins...
Et puis, elles se font face, chacune sur le côté. Leurs mains glissent le long du corps de l'autre, sur le ventre, puis se posent sur le sexe...
- Tu es rasée ?...
- Oui, tu vois. Moi j'aime bien ta fine toison...
aLeurs doigts glissent entre les lèvres... Elles se procurent mutuellement les caresses qu'elles s'offrent chacune à elle-même dans la solitude... Leurs sexes sont humides de désir et de plaisir. Elles pénètrent l'intimité de l'autre, jouent avec son clito... Elles se taisent, toutes tendues vers le plaisir, toutes attentives à offrir du plaisir à la compagne... Leur respiration devient saccadée... Elles ont chaud. 
C'est de nouveau Marion qui la première change de position. Elle se met tête bêche, ses genoux de part et d'autre du corps de Cindy, glisse ses mains sous les fesses et plonge le visage entre les cuisses de la fille, sa langue entre ses lèvres... Cindy se tend mais reprend ses caresses sur les fesses de sa "maîtresse", l'arrière des cuisses, le pubis... Elle enfonce deux doigts dans son vagin...
Et c'est ainsi qu'elles jouissent ensemble. Toutes les deux pour la première fois avec une autre fille-femme.
Elles restent longuement enlacées dans les bras l'une de l'autre... Et elles s'avouent mutuellement que depuis longtemps, elles rêvaient de cet instant...

28 juin 2010

Julien

Suite des aventures de Marie-Jo. Quelques jours après sa première expérience lesbienne avec Annie, celle-ci l'amène chez Julien, son amant.

Annie et Julien disparurent dans la chambre. J’entendis les gémissements d’Annie et les râles de Julien.

Au bout de quelques minutes, Annie réapparût dans l’ouverture de la porte. Elle était nue. Elle se dirigea vers moi, me prit la main.

« Viens avec nous » dit-elle simplement. Et me tenant toujours la main, elle me conduisit jusqu’à la chambre.

Julien était debout entre la porte et le lit. Nu, son sexe en érection, presqu’à la verticale contre le ventre. Il m’embrassa sur la joue, une seule fois.

« Tu es très belle ! »

« Merci … »

« … Annie m’a dit pour elle et toi ! … Tu es d’accord de passer un moment avec nous ? »

« Oui ! » répondis-je sans une seconde d’hésitation, attirée par cette nouvelle expérience et désireuse de m’immiscer encore davantage dans la vie d’Annie, de partager sa vie, fût-ce au prix de la partager elle-même.

C’était la première fois qu’un homme d’âge mûr me complimentait aussi ouvertement. Oh, bien sûr il y avait leurs regards mais bien souvent ils se détournaient après avoir croisé le mien. Et même Michel. Ses compliments n’avaient été qu’à moitié exprimés.

Et puis, il y avait enfin quelqu’un qui savait. Quelqu’un d’autre qu’Annie et moi. Quelqu’un qui partageait le terrible secret de ma relation avec Annie. Quelqu’un avec qui je ne devrais pas jouer la comédie, avec qui nous ne devrions pas jouer la comédie. Annie se plaça derrière moi, ôta mon t-shirt et mon soutien-gorge. Elle prit un sein dans chaque main et les offrit à la bouche de Julien. Mes tétons se mirent à durcir et à gonfler. J’avais l’impression qu’il allait avaler mes seins en entier !

bPendant ce temps, Annie poursuivait mon effeuillage en retirant ma jupe et ma petite culotte. Julien promena ses mains sur mon corps, comme s’il voulait en apprécier les formes et la douceur. Je caressai son torse, ses pectoraux durs et saillants. Il me serra un peu plus dans ses bras. Pas vraiment pour m’étreindre. Mais simplement parce qu’il était beaucoup plus grand et plus costaud que moi et que ses bras auraient pu faire deux fois le tour de mes épaules.

Annie se plaça contre nous, un bras autour de la taille de Julien, l’autre autour de mes épaules, juste en-dessous de celui de Julien. Je sentais son sexe palpiter contre mon ventre. Malgré l’envie, je n’osai pas le prendre en main, ni même le toucher. Anna m’embrassa dans le cou, sur la joue, sur l’oreille puis elle s’écarta.

Julien me libéra de la douce contrainte de ses bras et alla s’allonger sur le lit. Annie m’y fit grimper, m’installa accroupie au dessus du torse de Julien et elle se positionna à la hauteur du sexe. Elle prit celui-ci en main, le releva, souleva les fesses et, lentement, l’engloutit. J’étais aux premières loges pour voir l’énorme vît pénétrer dans son petit trou. Je regardai aussi le visage d’Annie et je n’y vis qu’une jouissance extrême. Le mélange de la belle couleur brune de Julien et du rose tendre du sexe de mon amie, du pieu raide, musclé, solide et de la chair si douce, mystérieuse, fragile, tout cela était saisissant de contraste et d’harmonieuse complémentarité.

Me saisissant par les hanches, Julien me fit reculer jusqu’à ce que mes fesses se retrouvent à la hauteur de sa bouche et il se mit à me butiner. Sa langue n’était pas moins habile que celle d’Annie mais nettement plus fouineuse. Elle taquinait, effleurait, léchait, piquait, transperçait. Aussi bien mon petit bouton magique que l’entrée de mon fourreau, et même entre mes fesses. Sa bouche m’aspirait, me suçait, me tétait, me mordillait, m’étirait. Langue et bouche ne s’arrêtaient que quelques instants de temps en temps pour permettre à leur propriétaire de reprendre son souffle. Dieu, que c’était bon ! Pourvu que cela dure ! Que je ne vienne pas trop vite !

Tout en glissant sur le mât de cocagne, Annie se cajolait le clito. Nos regards se croisèrent. Le sien traduisait déjà la montée d’un plaisir sauvage, violent, presque bestial. Elle prit ma main et la dirigea vers le haut de sa chatte. Elle écarta les lèvres, m’offrant ainsi une vue superbe sur sa perle brillante, gonflée, et que le dard viril qui la transperçait faisait saillir davantage. J’entrepris de mignoter ce bourgeon aussi impudiquement exposé mais les mouvements d’Annie rendaient mes gestes inefficaces. Alors je me fis plus hardie. J’attrapai le rebelle par la hampe, le pinçai, le fit rouler entre mes doigts, l’étirai au gré des va-et-vient. Ainsi rudement traité, le bouton enflait encore et Annie feulait de plaisir.

aMon autre main ne restait pas inactive. A chaque fois qu’Annie arrivait au sommet du mât, laissant même parfois apparaître le gland, je griffais le vigoureux phallus ou bien, tirant la peau vers le bas aussi loin que possible, je mettais à vif la hampe violacée.

En réponse, sa langue me fouillait plus profondément. Je sentais la région de mon coccyx parcourue d’agréables contractures et mon oeillet battre la chamade. Julien en profita pour glisser un doigt dans ma corolle. Passé quelques secondes d’étonnement, je trouvai la caresse très agréable et je dus même me retenir pour ne pas exploser. Même s’il m’arrive, surtout après quelques jours de jeûne, de jouir en quelques secondes, je me suis toujours complu à prolonger ce temps qui précède l’abandon ultime et l’inéluctable retombée. Certain du consentement de mon corps, il en profita pour me fouiller davantage.

A partir de ce moment la, j’adoptai le rythme de mon amie. Julien comprit le ballet que nous exécutions et nous accompagna. Quand Annie descendait sur la queue, je m’enfonçais sur le doigt. Quand elle remontait, je soulevais les fesses. A ces petits jeux, nous ne fûmes pas longues à jouir. C’est Annie qui déclencha la série. Elle se mit à geindre, non de douleur mais de plaisir, faiblement d’abord et puis de plus en plus fort, coulissant à un rythme fou le long du robuste pieu, balançant la tête de droite à gauche et d’avant en arrière, les yeux fermés. Ses seins pourtant si fermes s’agitaient au même rythme.

Sous les effets conjugués de la langue et du doigt qui me fouillaient, et de ce que je voyais, je fus la seconde à succomber. Un plaisir d’autant plus intense que je l’avais maîtrisé pendant de longues minutes.

Je fus suivie de très près par Julien. Il souleva les fesses, hissant Annie avec lui, poussa des « oh, oui, oui, oui … » qui résonnèrent jusque dans mon ventre et enfonça son doigt encore plus profondément dans mon petit cul. Je vis aussitôt une grande quantité de sperme couler du sexe d’Annie et s’étaler sur le bas-ventre de Julien.

Annie, toujours juchée sur son étalon cabré et qui avait continué de se masturber, explosa une seconde fois. Comme à chaque coup, son visage juste après le plaisir était d’une beauté fascinante : yeux mi-clos, bouche légèrement entr’ouverte, sourire mi-angélique, mi-gourmande, …. Son corps avait cessé de s’agiter en tous sens mais sa respiration haletante projetait maintenant ses seins vers l’avant et leur donnait encore plus d’arrogance.

2 juin 2010

1ère fois avec une autre femme...

Une petite histoire prise sur le net. Pardon à son "auteuse" -si elle se reconnaît- de lui avoir piqué ce texte !

Je m’appelle Nicole. Je vais vous conter ce qui m’est arrivé il y a une trentaine d’années et dont le souvenir me met encore le feu au plus profond de moi. J’étais donc à Lyon dans une boîte de nuit qui se trouvait à cette époque sous le Théâtre des Célestins.

Je m’étais adossée au mur et était bien décidée à ne pas moisir dans cette ambiance où tous les mecs profitaient des danses pour tenter de te peloter. J’en étais à ce stade de mes pensées lorsque je croisais à nouveau le regard de cette beauté féminine adossée, elle aussi, au mur d’en face et que j’avais remarquée à plusieurs reprises au cours de la soirée. Je n’avais aucune attirance à cette époque pour le sexe qui était le mien et j’en restais à ce stade de mes réflexions en regardant danser les couples sur la piste et refusant systématiquement les appels des mâles en quête de bonnes affaires.

cA cet instant je sentis une main très douce se poser sur mon bras et j’entendis une voix me disant : « Je m’appelle Emma et je voudrais danser avec vous. Le voulez-vous ? ». La voix était douce et chaude à la fois, et le regard que j’avais vu de l’autre côté de la salle était en face de moi. Cette fille était encore plus belle que je ne le pensais et je ne sais pourquoi, j’ouvris alors les bras où elle se glissa sans autre mot. Je peux même dire qu’elle se blottit littéralement contre moi et un peu plus petite, elle posa sa tête dans le creux formé par mon épaule et la base de mon cou. Nous n’avions encore dit aucun mot lorsque la musique s’arrêta et elle releva la tête pour dire de ne pas bouger que la musique allait reprendre. C’est à cet instant que je sentis pour la première fois son parfum, qui, comme elle, était doux, sensuel, mais très discret à la fois. Au moment où nous nous trouvions dans un coin un peu plus sombre que les autres, elle releva à nouveau le visage et me caressa les lèvres avec les siennes et me déclara qu’elle aimait beaucoup faire l’amour avec les femmes et qu’elle ne verrait aucune animosité à ce que je la laisse plantée là. A nouveau et je ne sais pourquoi, je la gardais contre moi et sentis son corps se serrer contre le mien, et elle m’embrassa à nouveau mais cette fois, sa langue essayant d’ouvrir mes lèvres, ce que je fis et à mon tour je répondis à son baiser. Ne comprenant pas ce qui m’arrivait je prétextais l’envie d’aller aux toilettes pour tenter d’y voir un peu plus clair.

Je me regardais dans le miroir et derrière moi je vis Emma debout devant la cuvette des WC, la jupe relevée et qui était en train de satisfaire un besoin tout naturel. Elle vit mon étonnement et me demanda si j’étais nue sous ma jupe. Devant ma réponse négative, elle me demanda de lui donner ma petite culotte. Elle l' a prise pour la porter près de ses lèvres et elle la jeta dans la cuvette des cabinets en me disant de venir danser.

Nous rejoignîmes la piste et elle se lova carrément contre moi, son ventre sur le mien et sa main passa sous mon corsage pour titiller la pointe de mes seins. Mon ventre se serra contre le sien et mes seins devinrent durs, je sentais que ma chatte mouillait littéralement. Elle le comprit aussi et descendis sa main sous ma jupe et je sentis ses doigts me caresser, m’entrouvrir les lèvres et, sans aucune retenue, je lui écartais mes cuisses où elle trouva le clitoris devenu un véritable petit membre qu’elle se mit à triturer ce qui me fit sauter comme une puce dans ses bras et j’appuyais mes lèvres sur les siennes pour étouffer un cri. Dans un souffle je lui demandais de me suivre, et en cinq minutes nous étions dans ma voiture qui filait jusqu’à mon domicile.

aLa porte à peine refermée derrière nous que nous étions déjà nues toutes les deux et nous allâmes sous la douche où en experte elle me fit ma toilette, laissant un peu d’humidité sur le devant de mes cuisses mais en s’attardant longuement sur mes fesses et l’entrée de mon anus, qu’elle caressa, ce qui me procura un plaisir jusque là inconnu, n’ayant jamais accepté de mes partenaires une sodomisation.

Nous nous allongeâmes sur le lit ,elle se mit à me lécher le clitoris pour me faire mouiller à nouveau et pénétra sa langue dans mon vagin pour y boire tout ce que je pouvais lui donner. Puis elle commença à me caresser les fesses puis elle tourna doucement ses doigts autour de mon anus et parvint à y pénétrer l’un d’eux sans me faire mal et devant la nouvelle jouissance qui me secoua elle commença à exercer un va-et- bvient avec son doigt dans l’anus, elle entra sa langue à nouveau dans ma chatte et me fit jouir comme jamais je n’avais joui de ma vie. Je la retournais alors contre moi pour lui sucer son clitoris et faire de sa chatte mon domaine pour ma langue et la faire mouiller à son tour ce que je parvins à faire et elle se dégagea pour se mettre les jambes écartées au dessus de mon visage et elle me dit de la laisser se branler. Je la regardais faire et d’un seul coup je sentis un jet puissant sortir de son vagin et mon visage fut tout inondé. Après avoir joui à son tour elle se pencha vers moi pour me lécher le visage et boire sa semence. Nous avons refait l’amour plusieurs fois avant de nous endormir. Le matin à mon réveil elle était partie. Je l’ai cherchée même où je l’avais rencontrée et jamais je n’ai pu la retrouver. J’ai pourtant l’impression trente années après, en prenant du plaisir avec mon mari de sentir encore son parfum.

7 juillet 2010

Confession

Je vous ai déjà présenté plusieurs extraits de "Les exploits d'un jeune Don Juan" de Guillaume Appolinaire, ici, ici et ici ! En voici un nouveau, savoureux. Le jeune don Juan s'est caché derrière le confessionnal et écoute...

La confession de ma mère était très innocente mais non sans intérêt : « J’ai encore à vous faire une demande, mon père, dit-elle, après avoir énuméré ses péchés quotidiens, mon mari exige de moi, depuis quelque temps, certaines choses.
« Dans notre nuit de noces, il m’avait mise nue et avait répété cela de temps en temps. Mais maintenant il veut toujours me voir nue et il m’a montré un vieux livre dont l’auteur était un religieux, dans lequel se trouve, entre autres choses, ceci : “Les époux doivent accomplir l’acte charnel complètement nus, de façon à ce que la semence de l’homme se mêle plus intimement à celle de la femme.” J’ai maintenant des scrupules à ce sujet, ils me sont venus à mesure que je vieillissais.
LE CONFESSEUR. – Ce livre a été écrit au Moyen Âge. La mode de porter chemise n’était pas générale. Les personnes de rang élevé seules en portaient. Les petites gens dormaient sans chemise dans le lit conjugal et il existe encore maintenant des campagnes où cet usage a persisté. Nos paysannes, par exemple, dorment presque toutes ainsi, principalement à cause des punaises. L’Église ne voit pas cette pratique d’un bon oeil, mais elle ne l’interdit pas expressément.
MA MÈRE. – Je suis maintenant rassurée sur ce point. Mais mon mari me fait aussi toujours prendre certaines positions dont j’ai honte.
aDernièrement, il a fallu que je me mettre nue à quatre pattes, et il m’a regardée par derrière. Chaque fois il faut que je me promène nue autour de la chambre, il me donne une canne et commande : « En avant, marche ! » ou bien : « Halte ! » ou bien : « Par le flanc droit ou gauche », comme à l’exercice.
LE CONFESSEUR. – Cela ne devrait pas avoir lieu mais si vous le faites seulement par obéissance, vous ne commettez pas de péché.
MA MÈRE. – Ah ! j’ai encore quelque chose sur le coeur, mais j’ai honte de parler.
LE CONFESSEUR. – Il n’y a pas de péché qui ne puisse être pardonné, ma fille. Soulagez votre conscience.
MA MÈRE. – Mon mari veut toujours me prendre par derrière et il se conduit d’une telle façon que je manque de m’évanouir de honte. Dernièrement donc, je sens qu’il m’introduit son doigt, couvert de pommade, dans... dans... l’anus. Je veux me relever, il me calme, mais je sens bien qu’il introduit son membre. Cela m’a d’abord fait mal, mais je ne sais pourquoi, au bout d’un moment, cela me fut agréable, et lorsqu’il eut fini j’eus la même sensation que s’il eût agi par la voie naturelle. (Le reste fut murmuré à voix trop basse pour que je l’entendisse.)
LE CONFESSEUR. – Ceci est un péché. Envoyez-moi votre mari à confesse.

8 juillet 2010

Au risque de vous choquer !

aBen oui ! Ces petits minets me font de l'effet !...
Ces jouvenceaux que je veux croire puceaux !
Même si j'aime par dessus tout les femmes.
Peut-être pour ça d'ailleurs... Ils ont encore
de la féminité en eux :
la peau imberbe,
les muscles fins,
le ventre plat,
la fesse ronde,
la cuisse longue...
Et puis tout de même leur jeune virilité
qu'ils montrent avec fierté,
discrète ou déjà arrogante...
Oui, mes amies, j'ai envie de prendre
ces corps contre moi,
de peloter leurs fesses,
de caresser leur peau douce...
Envie de prendre leur fine tige dans ma main,
elle qui n'a pas encore connu le doux glissement,
le délicieux enfermement
dans la gangue de la femme ;
envie de la caresser, de la branler,...
Envie de la sentir gonfler dans ma bouche,
de lécher leur gland découvert,
de faire rouler entre mes doigts leurs jeunes boules
déjà pleines de leur semence...
Envie de les faire jouir !

Je vous choque ?

b

d

e


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